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Nyl

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Tout ce qui a été posté par Nyl

  1. Nyl

    Présentation - Nyl

    Lancelot, si tu passes à Lyon, la bière sera quand-même offerte, mais, j'ai consulté un article sur le net ... et, les indices me déclarent INTP. * Insérer mentalement un meme avec Horacio Caine et le générique des Experts Miami ici ^^* c'est définitivement moi.
  2. Nyl

    Présentation - Nyl

    C'est un peu plus que Mars et Venus, les comportements sociaux. Je pourrais parler pendant des heures dessus, ne me lance pas. En gros, d'après le conseiller que j'ai lu, il existe plusieurs compétences dans l'intelligence financière: savoir gagner de l'argent, Savoir gérer son argent savoir Investir/savoir faire la différence entre un actif et un passif, etc savoir se servir de la dette à son avantage plutôt qu'à son désavantage. Par exemple: beaucoup de gens disent "si je gagne 1M au loto, j'achète une maison pour plus avoir à payer de loyer". En gros, c'est une mentalité qui conduira à être encore plus endetté après avoir gagné qu'avant. J'entre pas dans les détails, mais il vaudrait mieux par exemple, acheter des apparts et les louer, ce qui serait une source de revenus, plutôt qu'acheter un bien qui serait une source de dépenses. Je suis lyonnais, pélote Citronne. Je vois que t'es un peu éparpillée dans le Sud est. Tu n'arrives pas à choisir un camp; tu dois être étudiante, ou connaître des gens un peu partout. ^^ J'ai peur d'en connaître le résultat. Je risquerais d'y accorder de l'importance, faire une fixette. Je suis curieux. Plus fort que moi. et j'aime la stimulation; intellectuelle. Merci, c'est tout le temps ce que je me dis. Je ne te connais pas, mais je t'apprécie déjà. Coucou! Ca m'a épuisé, tous ces messages, il me faut une bière.
  3. J'y crois pas, il a osé.
  4. Nyl

    Présentation - Nyl

    Merci pour la bienvenue Noob et Bisounours. Nico, je bois quoi? Vu que je n'aime pas du tout le Champagne, quand il ne me reste plus de rouge ou de rosé, je tourne à la Cristalline, ou à l'aloe vera. Je réserve le blanc pour la morue. *Non chérie, c'est pas de ta mère que je parlais*
  5. Nyl

    Présentation - Nyl

    Scientologue? Je me disais bien que mon école de sciences m'avait coûté cher à l'année.
  6. Nyl

    Présentation - Nyl

    salut Nicolas! Le régime paléo, c'est comme le poulet Kun Pao? J'avais cette image en rab. But no, I'm not. Ass or Tits? Why not both? Blonde, brune, ou rousse. Si tu parles des bières, ma préférence va à la première. Si tu parles des femmes, elle va à la dernière. *Celle du milieu doit se sentir toute seule... *
  7. J'ai été rabroué invité délicatement à présenter ma personne pour avoir manqué de passer par la case présentation. Offensé qu'on ne sache pas d'avance avant que j'arrive quelque part quelle personne importante je suis, et que vous n'ayez pas été prévenu par les trompettes, j'accepte d'en passer par cette coutume humaine bizarre, qui incite à initier contact avec d'autres homo sapiens qu'on ne connaît même pas pour se présenter: Passionné par les sciences du comportement, j'aime chercher les similitudes entre les comportements sociaux des animaux et ceux des humains. Mon régime alimentaire se compose de préférence de chocolat au lait, de bagels, et falafels et d'accras de morue. Je peux être observé sous la douche sur la piste de danse à l'occasion, ainsi qu'au bar avec les potes pour regarder du ballon rond; les autres sports, ça ne compte pas, sauf si c'est commenté par Philippe Candeloro. Je suis passionné par l'éducation et la formation, mais quand on parle instruction, pas de référence à l'ed Nat, au risque de me rendre plus agressif que le Yorkshire de votre vieille voisine. Je trouve la poupée Chucky repoussante, mais pas autant que les supporters du club de Saint-Etienne. Sinon, je suis passionné de langues étrangères, parle plusieurs langues, dont le créole, suis passionné de séries US en VO... Au plaisir de se retrouver dans les différents topics. Ah, puisque nous sommes entre libéraux -si y'a des intrus, dénoncez-vous- j'ai découvert le libéralisme en me rendant compte que je n'étais pas fait pour être salarié, et, sur cette voie, en m'intéressant à l'intelligence financière, à l'entrepreneuriat (les livres Robert Kyiosaki) Merci d'ailleurs aux créateurs de ce forum, même si je le cache beaucoup, ça fait plaisir de retrouver des personnes avec qui on peut débattre avec humour sur plein idées! Si vous avez des questions, écrivez au courrier des fans, envoyez 1 enveloppe et 10 timbres, et Dorothée -ou moi- se fera le plaisir de vous répondre! Banzaï!
  8. J'étais en train de me dire, qu'est-ce qui me parlait à moi en tant que jeune, ce que je regrettais à 13 ans: Ne pas avoir plus d'indépendance/ne pas pouvoir travailler. Aujourd'hui, les jeunes peuvent tout faire sans leurs parents ou presque, ils doivent attendre 18 ou 30 ans pour faire ce qui les intéresse vraiment, à cause de: *La majorité pour gagner en indépendance, donc travailler/faire des stages/les vendanges/créer son entreprise, *avoir le permis * Se droguer légalement dépénalisation des drogues -je parle de celles qui n'appartiennent pas aux labos- façon Portugal. *Quand je dis *faire ce qui les intéresse vraiment, je pense aussi commencer plus tôt certaines études qui durent 8/10 ans, genre, médecine, barreau... Donc, le contenu qui concerne la réforme de l'éducation, la majorité, le permis, ça leur parlerait beaucoup, ça. Les jeunes sont pas fénéants, ils veulent juste faire les choses à leur façon, et aujourd'hui, la technologie rend beaucoup de choses possibles, il faut juste que les jeunes ne se sentent plus bridés. Ah, aussi: *faciliter la disponibilité de travail, leur expliquer en quoi le smic est nuisible à ce qu'ils trouvent un premier job, même mal payé...
  9. Voilà, j'ai fini , je vais .
  10. Le capitalisme ne se soucie pas des femmes, mais il ne les libère. "Votre attitude capitaliste à l'endroit des femmes n'a pas lieu sous le communisme" déclara le premier ministre soviétique. Le capitalisme n'a pas créé la division sexuelle du travail; il est à l'origine du processus d'élimination de celle-ci. Nikita Khrouchtchev s'adressait alors au vice-président Richard Nixon pendant la journée d'ouverture de l'American National Exhibition de 1959 à Moscou. Nixon était là pour représenter non seulement le gouvernement des États-Unis, mais aussi General Mills, Whirlpool et General Electric - pour représenter, en d'autres termes, ce que les deux hommes avaient compris être l'essence du capitalisme. Qu'est-ce qui a provoqué la réprimande de Khrouchtchev? «En Amérique," Nixon avait déclaré pendant que des top modèles faisaient un show portant les dernières commodités de cuisine, "nous aimons rendre la vie plus facile aux femmes." Selon Bee Wilson, qui raconte l'histoire de ce qui allait être connu sous le nom des Débats de cuisine dans son livre 'Envisagez la fourchette', le 'haut fonctionnaire communiste' impliquait "qu'au lieu de rendre la vie plus facile, ces machines ne font que confirmer l'opinion américaine que la vocation des femmes est d'être des femmes au foyer ". "Et peut-être," Wilson ajoute entre parenthèses, "avait-il en partie raison." L'est rencontre l'Ouest Il y a quelque chose de fascinant à propos de l'histoire des Débats de cuisine. Au lieu des abstractions de l'économie et de l'éthique, de la lutte pour le pouvoir et la théorie politique, nous avons deux hommes qui incarnent l'Est et l'Ouest, le communisme et le capitalisme dans le milieu du 20e siècle. Dans "How Ice Cream Won the Cold War" (Freeman, fall 2015 (Comment la Crème Glacée a gagné la guerre froide? automne 2015 *note du traducteur), j'ai utilisé l'événement pour examiner l'importance du luxe dans le développement économique. Mais il y a plus d'une chose profondément trompeuse à propos de l'utilisation de cette scène pour encapsuler l'affrontement de ces deux systèmes économiques. Tout d'abord, bien qu'il puisse y avoir un peu de justice à faire appel à Khrouchtchev pour représenter le communisme, quelque chose est terriblement dérangeant de laisser Nixon représenter la libre entreprise. Nixon n'a jamais été procapitalisme. Il était anticommunisme. Sa réputation tenait à sa capacité à débusquer les communistes infiltrés dans le gouvernement. Quand il a ensuite occupé la première place à la Maison Blanche, Nixon a augmenté la réglementation fédérale de l'industrie, tué les derniers vestiges de l'étalon-or, et imposé un contrôle des salaires et des prix sur une économie déjà en difficulté. Dans sa politique étrangère, le président Nixon a soutenu les petits dictateurs dans le monde entier qui étaient tout sauf pro marché libre - aussi longtemps que, eux aussi, s'opposaient à la menace rouge que Khrouchtchev défendait. Le système auquel Nixon a souscrit durant toute sa carrière politique avait plus en commun avec le corporatisme de Mussolini qu'il n'en avait avec la main invisible d'Adam Smith. Qui parle pour la Libre Entreprise? Mais il y a un problème plus fondamental. Même si Nixon avait été un véritable défenseur du marché libre, le système économique du commerce concurrentiel ne peut avoir un porte-parole. Le communisme est fondamentalement centralisé, qu'il soit dirigé par un petit comité central ou un seul dirigeant. Le capitalisme, en revanche, est radicalement décentralisé. Aucun comité ne peut guider une économie saine. Aucune personne ne peut 'diriger l'orchestre'. Et plus quelqu'un essaie de le faire, moins le système économique peut être décrit comme capitaliste. Lorsque Nixon a dit à Khrouchtchev, «Nous aimons rendre la vie plus facile aux femmes», il laissait entendre que les dernières commodités de cuisine étaient le résultat de la bienveillance, comme si les entrepreneurs qui réussissent - ou pire, des politiciens - dirigeaient les ressources du marché vers un objectif social: plus de loisirs pour les ménagères américaines. Et quand Khrouchtchev a répondu en accusant le capitalisme d'un agenda sexiste, il se livrait à la même erreur: l'idée que le capitalisme est entraîné par les capitalistes. Ce n'est pas important si les hommes d'affaires sont bienveillants ou condescendants, progressistes ou réactionnaires; dans une économie libre et concurrentielle, l'entrepreneur à succès maximise les profits grâce à un échange mutuellement bénéfique - anticiper les produits et services que les clients seront le plus disposés à payer. L'économiste John C. Goodman, écrit dans un contexte différent, l'explique très bien: Le marché unique allie altruisme et l'intérêt. Prenez Bill Gates, l'homme qui a lancé la révolution de l'ordinateur personnel. En permettant l'existence de propriétaire d'ordinateurs personnels partout dans le monde, il est devenu l'homme le plus riche du monde; et maintenant il redistribue toute sa richesse. A-t-il été motivé par l'égoïsme? Ou voulait-il de façon altruiste créer un bien pour le plus grand nombre?La beauté du marché est que la motivation de Bill Gates n'a pas d'importance. Vous obtenez à peu près le même résultat d'une manière ou d'une autre. (Independent.org, "Capitalisme, Socialisme, et le Pape") Libérer les femmes Et pourtant, Nixon n'avait pas tout à fait tort. Le capitalisme a rendu aux femmes la vie plus facile. Il a rendu la vie plus facile pour les hommes, également, mais comme l'historien Stephen Davies a fait remarquer, «les femmes ont notamment des raisons d'être reconnaissantes au-delà des gains de bien-être matériel qu'elles partagent avec les hommes." Même les courants plus individualistes du féminisme embrassèrent le capitalisme. Cela était vrai même avant l'avènement de la technologie grand public dont Nixon fit l'apologie à Moscou. Après la révolution industrielle, Davies écrit, pour la première fois, les femmes pourraient gagner un revenu de façon indépendante et subvenir à leurs besoins, ce qui était pratiquement (aussi bien que juridiquement) difficile dans la société traditionnelle. Cela signifie que ne pas être mariée mais plutôt être indépendante, n'était plus un désastre total, et n'équivalait plus à une condamnation à mort. Pour ceux qui se marient, poursuit-il, le capitalisme moderne a produit une série de dispositifs et d'innovations qui ont libéré physiquement les femmes des exigences et limites du travail domestique. Pour prendre un exemple, la machine à laver moderne a libéré les femmes de la nécessité de passer un voir deux jours chaque semaine à faire la lessive. D'autres appareils électroménagers avaient des effets similaires. ( «La force qui a libéré les femmes," FEE.org) De notre point de vue au 21e siècle, nous pouvons remettre en cause l'hypothèse selon laquelle la lessive devrait être le travail des femmes, mais le capitalisme n'a pas créé la division sexuelle du travail; il en a commencé le processus d'élimination. Il l'a fait d'abord en rendant le travail moins coûteux, puis en rendant l'indépendance une option plus réaliste, et enfin par la création d'un monde dans lequel les individus peuvent se permettre de rejeter le fardeau de la tradition - et de tenter de persuader les autres de se joindre à eux dans ce rejet. Si le sujet du féminisme se soucie de la libération des femmes de millénaires d'oppression, alors le capitalisme est le sponsor du féminisme, pas l'ennemi. Voilà pourquoi, Davies affirme, la quasi-totalité des premières féministes» étaient libérales et partisanes ardents du laissez-faire et de l'industrie capitaliste. Elles étaient bien conscientes de la relation entre l'autonomie et la liberté de choix qu'elles défendaient pour les femmes, et les transformations économiques qui avaient rendu la liberté possible comme une réalité du quotidien ». Compassion pour la malheureuse femme au foyer Khrouchtchev a laissé entendre que la ménagère moderne était une création du capitalisme - et il avait raison. Il a en outre laissé entendre que la prévalence des femmes au foyer dans l'Amérique de 1950 était une tâche dans le système de marché, et de nombreuses femmes occidentales depuis les années 1960 ont été enclines à partager ce point de vue. La réputation des femmes au foyer pourrait ne jamais se remettre d'un livre publié quelques années après les Débats de cuisine: Betty Friedan, The Feminine Mystique, dans lequel Friedan a parlé du "problème qui n'a pas de nom." "Simplement exprimé," écrit la féministe libertarienne Wendy McElroy, Friedan croyait que la domesticité niait aux femmes au foyer leur humanité et leur potentiel, les faisant à la fois souffrir physiquement et mentalement. Friedan a décrit la famille typique des années 50 comme un « camp de concentration confortable." Comme les détenus des camps, les femmes au foyer de banlieue s'étaient adaptées psychologiquement et étaient devenues «dépendantes, passives, enfantines» et vivaient à un "niveau humain inférieur." ( "Individualist Feminism: The Lost Tradition" FEE.org) L'avènement de la ménagère moderne est le résultat d'une plus grande richesse et de temps libre, et de plus en plus, la liberté pour les femmes d'accepter ou rejeter le rôle. After The Feminine Mystique est devenu une pierre angulaire de la deuxième vague du féminisme, Friedan, qui a cofondé la National Organization for Women (NOW) en 1966, a minimisé son activisme politique précédent: elle «avait été une militante politique acharnée de la gauche communiste depuis des décennies», selon McElroy, et ne voulait probablement pas que le mouvement alors connu comme «pour la libération des femmes» soit associé dans l'imaginaire populaire avec le socialisme radical. Mais, supposer une telle connexion n'était pas sans fondement. À bas le patriarcat capitaliste Comme Davies et McElroy soulignent, les traditions les plus individualistes du féminisme embrassèrent le capitalisme. Et pourtant, le courant dominant du féminisme moderne a emprunté de manière significative à la théorie socialiste. Au 19ème siècle, McElroy écrit, «les deux traditions de base du féminisme qui ont fondamentalement remis en cause le système politique étaient le féminisme socialiste, dont provient le féminisme radical contemporain, et le féminisme individualiste, qui est parfois appelé le féminisme libertarien." La langue des deux bases peut sembler similaire, en employant les mêmes mots et en nommant les mêmes objectifs, mais «les concepts clés du féminisme au sein de l'individualisme - tels que l'égalité, la justice, et la classe - ont donc peu de rapport avec les concepts utilisés par les socialistes que souvent les définitions entrent en conflit ". Par exemple, l'approche socialiste de la justice est axée sur "la fin justifie les moyens en terme de condition sociale spécifique", y compris l'égalité économique. Lorsque Nixon a reconnu que les appareils commodes de la cuisine étaient d'un plus grand bénéfice immédiat pour les femmes que pour les hommes, cette distinction était, du point de vue socialiste, non seulement une acceptation des différences entre les américains et les américaines de l'époque; c'était une acceptation de l'inégalité au sens socialiste de l'injustice. En revanche, les féministes libertariennes considèrent la justice comme l'absence de coercition. "Ce qui est volontaire est «juste »,« McElroy résume, "ou, du moins, aussi proche de la justice non-utopique qu'on peut l'être." Dans la mesure où, les femmes ont des options crédibles autres que d'être des femmes au foyer, le choix de rester à la maison et de gérer le ménage est le produit d'à la fois la liberté et la justice. Réussir le changement Nous pourrions dire que la combinaison de lois et d'options limitées pour les femmes dans les années 1950, que la prévalence des femmes au foyer était le fait d'une injustice, car il résultait de l'absence de vraie liberté pour les femmes. Comme nous l'avons déjà remarqué dans le cas de Nixon, les personnes en charge du gouvernement américain ne sont pas des défenseurs de la liberté individuelle. Ils avaient une vision particulière de la façon dont les choses devaient fonctionner, et ils ont utilisé l'autorité coercitive de l'Etat pour tenter d'en faire de la sorte. Mais c'est le capitalisme qui a miné leur vision. Nixon s'est réjoui des derniers 'appareils qui facilitent la vie aux femmes américaines', mais ces confortables lave-vaisselle et réfrigérateurs avaient un effet moins évident à plus long terme: en réduisant la charge du travail domestique, ils ont ouvert un monde de possibilités qui ne font pas le bonheur des hommes au pouvoir. Le loisir, ce n'est pas seulement l'absence de labeur; c'est la liberté de chercher un travail plus valorisant. «C'est indéniablement vrai," écrit McElroy, "dont Le Feminine Mystique a parlé à de nombreuses femmes dont la vie a changé à la suite de la lecture du livre. Pour elles, être une femme au foyer était une négation de leur potentiel en tant qu'êtres humains, et elles ont découvert le courage de tenter se saisir une opportunité différente ". Mais que ces femmes l'aient compris ou non, c'est la richesse de l'économie de marché qui leur a permis de résister à la tradition et d'envisager d'autres carrières - même lorsque la plus grande majorité pourrait ne pas avoir toléré qu'elles le fassent. Le capitalisme, en d'autres termes, n'est pas la même chose que la culture occidentale. Les assimiler l'un à l'autre c'est ignorer la lutte permanente entre les deux. Le marché sape les traditions en testant leur valeur par rapport à d'autres arrangements sociaux fluides. Ces coutumes qui dépendent d'une condition historique particulière seront perdantes, parce que, alors que l'économie se développe, les règles changent. Le capitalisme n'est pas la résistance à ces changements. Il est leur catalyseur. Profit et Progrès L'ère de la ménagère de banlieue a marqué une transition dans l'histoire occidentale. Les femmes ont toujours été responsable de la gestion de leurs maisons. Cela est vrai dans le monde et à travers les systèmes politiques et économiques.L'avènement de la ménagère moderne est le résultat d'une plus grande richesse et du nouveau temps libre, comme cela a été de plus en plus la liberté des femmes d'accepter ou de rejeter le rôle, bien avant les années 1950. Le temps-libre n'est pas seulement l'absence de labeur; il est la liberté de chercher un travail plus valorisant. Khrouchtchev dépeint Nixon comme réactionnaire culturel, "et peut-être», comme commenta Wilson, "il avait en partie raison à ce sujet." Peut-être l'homme politique américain était condescendant envers les femmes. Donc, aussi, peuvent l'avoir été les capitalistes individuels dont les produits étaient exposés à l'événement de Nixon. Mais le système économique qui a produit ces marchandises fonctionnelles, avec ou sans attitudes régressives, en 1959, avait produit un niveau sans précédent de richesse et de liberté pour tout le monde - et pour les femmes en particulier. Si nous pouvons regarder plus d'un demi-siècle en arrière, et prendre note des subtilités de ce qui était alors présenté comme un progrès, c'est seulement parce que le commerce et les entreprises continuent de nous permettre - hommes et femmes à la fois - toujours plus d'options pour poursuivre notre propre libération. BK Marcus BK Marcus BK Marcus est un collaborateur à la rédaction de FEE.org.
  11. Bonjour F Mas! Est-ce déjà traduit?
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