Saucer

Quoi ? Du Kiddouch ?

Je vous souhaite à tous de retrouver une totale liberté d’esprit cosmique vers un nouvel âge réminiscent.

Un peu de respect pour le minitel. Je me souviens avec émotion des fois où je composais le 3615 KINO pour avoir les horaires des séances de ciné. J'anticipais le chargement des pages pour écrire "marseille" avant que la case ne s'affiche. Oui, je tenais le minitel en respect. M1n1T3L r0xx0r.

Hank Moody a une tumeur aux couilles. Le Seigneur a frappé juste.

Un film un peu pompeux et cliché. On aurait dit un guide culturel de l'Espagne pour touriste américain. Le narrateur m'a brisé les burnes, aussi. Une chose m'a fait sourire. Pas le film, mais les spectateurs qui s'attendaient tellement à du Woody Allen qu'ils riaient bêtement pendant les scènes de drame. Bref, ne t'arrête pas à ce film si tu veux découvrir Woody Allen.

C'est clûr : c'est clair et c'est sûr. Simple et efficace. (simplicace)

Douchka - Mickey, Donald et moi. [dailymotion]x2ex4q[/dailymotion] Le danseur est un héro.

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Ce n'est pas justement lié à la présomption d'innocence ? Quoi qu'il en soit, j'espère qu'on a atteint le point limite, autrement dit le fond, de cette inflation de lois anti-discrimination.

En parcourant un peu les commentaires de l'article, je tombe sur : http://www.halde.fr/IMG/alexandrie/3311.PDF Je ne suis pas juriste. Pourtant je lis clairement : C'est à l'accusé d'apporter la preuve de son innocence, alors qu'il suffit au plaignant de "s'estimer" discriminé. Je suis pas vraiment au courant de l'évolution de la Justice avec un grand J, ces derniers temps, et peut-être que je m'enivre de vieux principes désuets, mais… la présomption d'innocence, bordel de ventre-merde ?!

Je me rappelle d'un somnencule, de Nick de Cusa, à propos de chais plutro quoi.

Que tu présumes. Je faisais bien entendu allusion à celui-ci.

C'est le scénario parfait d'une comédie romantique. "Ils se détestent dans la vraie vie, mais partagent une correspondance amoureuse sur Internet. Un jour, au beau milieu du Texas…" Quoi, déjà fait ?

Je rejoue à Monkey Island 2. Ca fait un paquet de temps, et j'ai trouvé de quoi améliorer les graphismes, via Dosbox et des shaders. Check the shit out :

Hu hu, c'est pas nouveau. Finkielkraut (!) a écrit en 81 un petit livre sans prétention : Petits extraits : Usurpéteur : Personne qui s'arroge par la fraude le pouvoir de commander à son derrière autant de pets qu'il le désire. Masturbin : Point de vue ouvrier sur l'onanisme. Altipute : Prostituée des stations de sports d'hiver. Oui, oui, c'est bien Finkie, l'auteur de La défaite de la pensée qui a écrit ces lignes (bien sûr je sélectionne les plus croustillants, la plupart des mots sont tout à fait bon enfant*). On continue : Misanthropophage : Cannibale qui boude son plat. Anarcissisme : Plaisir à se dire marginal ou à prendre la pose du révolté. Acidu : Consommateur régulier de substances hallucinogènes. "Un élève acidu est perdu pour les étude" Georges Marchais. Grêve : Air distrait de celui qui s'évade de son travail en songe. "Nous avions les grévistes ; nous voici maintenant confronté au problème de la jeunesse grêveuse. Où sont les ouvriers d'antan ?" François Ceyrac. On le reconnaît mieux ici : Idiolâtrie : Culte rendu au Jeune parce qu'il parle le langage de l'Absolu et qu'il est sans mémoire. *Pluriel de bon enfant ?

Bof, en soirée, c'est Vodka Guronsan ou rien.

Vopt.

Personnellement, quand on m'envoie des fleurs, j'envoie sur les roses. C'est de bonne guerre.

Tu as les sourcils en pétard, c'est tout.

Oui, c'est… un peu plus pertinent.

Coïncidence : Sarkozy ne boit pas, mais fume le cigare.

Déjà, "vlà" = voilà.

Certaines oeuvres resteront à jamais : La BO de Jurassic Park est sortie dans les années 90. Ainsi que de nombreux Best Of des années 80.

Bien, ce fut l'apogée de la saison parisienne. L'effet Gomis comme je l'appelle.