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Li Po

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Tout ce qui a été posté par Li Po

  1. Et puis, même les candidats PS qui n'auront pas l'investiture ont raison d'y croire sachant que, de toute façon, c'est une élection sans perdants : les postulants sont assurés d'être intégrés à l'équipe qui dirigera le pays demain, et tous auront à gérer une partie considérable du budget de l'etat. C'est donc du "gagnant-gagnant" … selon la formule consacrée Gilles Quenard, militant PS, sur une page de soutient à Martine Aubry . Voilà, je crois que tout est dit là .
  2. je propose de financer les vacances d'été 2012 des français avec l'argent des élus et des syndicalistes, qui seront tous emprisonnés dans des camps de travil ( des boulags ) . La société sera libre, l'économie aussi, mais pas eux ! mais bon, en septembre faudra se remettre au boulot, et au mandarin .
  3. je serai humble comme Villepin, responsable comme Fabius, tempéré comme Cresson, indépendant comme Fillon, polyglote comme Raffarin, efficace comme Jospin, dynamique comme Barre, honnête comme Chirac, généreux comme Rocard, funky comme Juppé .
  4. moi je vois bien des passages d'avion avec des banderoles "pour votre santé nagez-respirez"
  5. ça va on sait tous que tu l'adores, il faut arrêter cette propagande maintenant !
  6. http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/A-Avignon-les-socialistes-lancent-le-debat-sur-la-politique-culturelle-359221/?from=headlines Elle vient tous les ans depuis 1976 et, pour rien au monde, Martine Aubry ne manquerait un Festival d’Avignon. Cette année, elle n’a pas changé ses habitudes. Elle est là avec son mari, Jean-Louis Brochen, croise ses amis et voit des spectacles. Samedi soir, elle a vu Yahia Yaïch — Amnesia, et son programme est rempli pour les prochains jours. Mais une fois n’est pas coutume, Martine Aubry avait de la concurrence, et Avignon affichait ce week-end des allures de festival des primaires. Arnaud Montebourg y était avant elle, se promenant dans toute la ville, s’attardant dans les lieux les plus en vue. Manuel Valls était présent samedi. Quant à François Hollande, il sera là dimanche. [/url] "Augmenter le budget de la Culture de 30 à 50 %" À neuf mois de la présidentielle et à trois mois de la désignation du candidat socialiste, les prétendants ont fait escale dans la cité des papes. Comme un retour aux sources de ce festival, au temps où la culture et la gauche ne faisaient qu’un. Mais aujourd’hui, l’ambiance est différente, les artistes ont remarqué que le projet du PS ne faisait guère de place à la culture et ils s’en sont plaints. Avignon a donc pris des airs de séance de rattrapage. Et les professionnels ont vécu ce pèlerinage socialiste comme un signe de reconnaissance, tout en cherchant les raisons de cet éloignement. Vendredi, au forum organisé par Libération, le cinéaste Christophe Honoré a mis les pieds dans le plat face à Martine Aubry : "J’ai lu les trente engagements du PS. Je n’ai pas du tout vu le mot art", lance le réalisateur de La Belle Personne. Celle qui a toujours rêvé d’être ministre de la Culture se justifie et développe son programme. La candidate s’engage à "augmenter de 30 à 50 % le budget de la culture". Une promesse qui fait immédiatement le tour des professionnels. Aubry propose également d’obliger toutes les grandes scènes financées par l’État à "consacrer 5 à 10 % de leur temps annuel à l’accueil de jeunes artistes". Mais c’est surtout lorsqu’elle dévoile son "jardin secret" qu’elle convainc le public. "J’ai vécu entourée de livres, j’attendais le jeudi pour aller à la bibliothèque rendre les quatre œuvres que j’avais lues. Tous les dimanches matin, mes parents nous amenaient au musée et, dès 14 ans, j’étais abonnée aux Amandiers." Christophe Honoré s’adoucit et lui demande si elle veut être "la présidente de la culture comme certains veulent être le président normal". Nostalgie des années Lang En sortant, Jean-Michel Ribes, pourtant soutien officiel de François Hollande, vient ostensiblement saluer Martine Aubry et glisse à la presse : "Elle est très bien, c’est une femme très cultivée." Car les artistes sont comme les autres, ils ménagent les candidats… et leurs arrières. Et s’amusent de ce défilé socialiste. "Je vote pour vous à la primaire si vous venez voir mon spectacle", promet une jeune actrice au candidat socialiste Manuel Valls, qui boit un café à la fondation Lambert, avant de participer au forum culture du PS. "Vous me promettez tous ça, alors je vais m’installer ici", répond-il. Celui qui veut tenir un langage de vérité aux artistes comme au reste des Français cultive sa différence. L’augmentation du budget de la culture promise par Martine Aubry? Une "facilité". "Il faut réinventer un modèle culturel, cela demande du temps et de la pédagogie", confie Manuel Valls. Il y a la nostalgie des années Lang, mais être fidèle à Jack Lang et à 1981, c’est se réinventer. Il ne faut plus un président qui promette de grands travaux. Réinventer le logiciel culturel, ça ne peut pas se résumer à dire "plus d’argent" ou "avec la gauche, l’artiste va retrouver sa place dans la société". Gauche et culture, l’histoire d’amour aura duré le temps d’un festival.
  7. ben non, aucun pb que des gens qui ont réussi à mettre trois sous de côté malgré les attaques du fisc se retrouvent en slip à cause des mêmes gouvernements qui les ponctionnent depuis des années ! non, c'est vraiment pas choquant . On verra ce que tu en penses après avoir payé des impôts pendant quues années .
  8. oui, mais seulement si l'occasion lui en est donnée
  9. la dette est notre ennemie, et je la combattrai, si l'occasion m'en est donnée . F Hollande
  10. Le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC), Jean-Pierre Chevènement, affirme que "le courant passe avec Ségolène Royal", même s'il est "fermement" décidé à présenter sa candidature pour la présidentielle de 2012, dans une interview au Figaro samedi.Jean-Pierre Chevènement se dit "fermement" décidé à se présenter. "Je suis le seul à pouvoir offrir à la France, de manière crédible, un programme de salut public", affirme-t-il tout en précisant : "mai 2012 est encore loin. J'officialiserai ma décision à l'automne. Mais je ne désespère pas tout à fait de pouvoir faire évoluer le discours des autres candidats".
  11. c'est devenu une compétition qui n'en est plus ! dès qu'une écurie développe un avantage trop important, on modifie le règlement pour qu'elle arrête de gagner ! l'égalitarisme en F1 ça existe ! ils vont modifier le règlement pour freiner Vettel, comme cela avait été fait contre Schumacher ! imaginez qu'en tennis on ait forcé Borg ou Federer à jouer avec une raquette plus petite ou une main dans le dos
  12. moi je fais pousser mon tabac exotique dans mon jardin, mais comme il est trop fort pour être fumer seul, je le coupe avec du tabac plus classique acheté en Espagne si on te demande de faire du carrelage tu seras demasqué
  13. certes, mais j'imagine que tu es resté bloqué en mode AR
  14. Tartine au Brie a demandé hier à Christine Lagarde de quitter son habit de libérale . C'est fait .
  15. http://www.irefeurope.org/content/fran%C3%A7ois-hollande-et-la-%C2%AB-constitution-sociale-%C2%BB François Hollande entre en campagne avec un projet spectaculaire : inscrire dans la Constitution le droit des syndicats de fixer les conditions de travail et de gérer les entreprises. Ce retour à la Constitution marxiste de 1946 est dénoncé par le Professeur Jean Philippe Feldman, administrateur de l’ALEPS. On pouvait penser que le domaine constitutionnel serait le parent pauvre de la campagne présidentielle. En effet, le projet socialiste 2012 ne comportait rien de révolutionnaire à cet égard et il ne faisait qu’entériner le régime politique qui régit la France. Or, voilà que François Hollande, candidat à la primaire socialiste, veut « inscrire de nouvelles règles entre partenaires sociaux dans la Constitution » (« Il faut avoir confiance en la démocratie sociale », Le Monde, 15 juin 2011). Si on le comprend bien, au-delà de ses propos vagues et confus, il faudrait « élargir » le Préambule de la Constitution de 1946 en reconnaissant un domaine précis à la participation des « travailleurs » à la détermination collective de leurs conditions de travail et à la gestion des entreprises, si bien que le Gouvernement et le Parlement seraient liés par les conventions signées entre les partenaires sociaux sur des sujets précis. Une telle proposition ne manque pas de surprendre. D’abord, elle confirme la légitimité du Préambule de la Constitution de 1946, qui a valeur constitutionnelle selon les institutions de la Ve République. C’est oublier les conditions dans lesquelles il a été adopté. La Constitution de la IVe République a été inspirée par les socialistes et les communistes, alors nourris au lait marxiste, et son Préambule est totalement contradictoire avec les valeurs libérales exposées dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. S’il fallait toucher à ce texte, on serait bien inspiré de le supprimer plutôt que de l’« élargir ». Ensuite, alors même que la dernière réforme constitutionnelle, la révision du 23 juillet 2008 voulue par Nicolas Sarkozy, a entendu étendre les droits du Parlement, la proposition de François Hollande réussirait l’exploit de les limiter plus encore. En effet, il serait étrange de soumettre la volonté des représentants de la Nation au corporatisme. Enfin et surtout, la proposition entend promouvoir les syndicats. Or, ceux-ci sont négligeables dans le secteur privé pour la simple et bonne raison que la quasi-intégralité des salariés ne voit pas l’intérêt d’y adhérer. Si les syndicats remplissaient leur rôle, comme c’est le cas dans certains pays du nord de l’Europe, en rendant un véritable service aux « travailleurs » plutôt qu’en stigmatisant les entreprises comme le lieu de leur exploitation et en fomentant grève sur grève, ils seraient véritablement représentatifs et ils n’auraient pas besoin de vivre sous perfusion publique. Ce n’est certainement pas en gravant dans le marbre de la Constitution une extension de la « démocratie sociale » que l’on améliorera la situation des salariés en France, mais en laissant respirer les entrepreneurs et les créateurs de richesses.
  16. ça y est, ils deviennent tous "libéraux" !! Ségolène à l'instant sur la 5 prétend être très attachée à la défense des libertés individuelles, et croit en l'égalité des chances, pas en l'égalitarisme ! ça y est on a notre candidate libérale
  17. ça y est, des messages d'insulte ! je l'ai rendu folle !
  18. elle dénonce des atteintes à la liberté et l'égalitarisme gaucho-boboide, mais avec des positions encore plus liberticides . J'ai crû comprendre que certains pensaient qu'elle était libérale ! évidemment après les gens vont dire que les libéraux sont des barjos . Il faudrait qu'ils arrêtent tous de se prétendre libéraux, ça serait sympa pour ceux qui le sont vraiment
  19. je débats de façon passionnée avec un être tout à fait intriguant concernant ces questions de société . et zou un lien vers son blog : http://naibed.blogspot.com/ elle hante les pages de groupes libéraux sur facebook, et sa réthorique est un délice, surtout quand on voit la très haute estime de soi qu'elle cultive : http://www.facebook.com/home.php?#!/notes/libert%C3%A9-ch%C3%A9rie-nice/le-mariage-homosexuel-nest-pas-moral-ou-non-il-trouble-les-rep%C3%A8res-de-la-soci%C3%A9t/116982551724032?notif_t=note_reply
  20. ça y est on a notre nouveau thème de campagne : la démondialisation ! c'est beau la France qui avance !
  21. d'autres ont un programme différent comme nous l'apprend un article de l'IREF : « J’embauche 17 000 fonctionnaires » Article rédigé par Nicolas Lecaussin le 09 Jun 2011 Déclaration surprise du Ministre de l’Education Nationale. Peu importent les sureffectifs, les coûts prohibitifs de nos enseignants : les élections approchent. Où sont les promesses de maîtrise budgétaire et de réduction du nombre de fonctionnaires ? Nicolas Lecaussin, directeur du développement de l’IREF, s’interroge… Luc Chatel, ministre de l’Education, accorde une interview au Journal du Dimanche (29 mai) dans laquelle il annonce le lancement d’une campagne de recrutement de fonctionnaires dans l’Education nationale. « J’embauche 17 000 personnes » affirme le ministre. Et il précise clairement : "la grande majorité d'entre elles seront fonctionnaires". Bizarre façon de s’exprimer. Le ministère serait-il devenu l’entreprise appartenant à M. Chatel ? A-t-on privatisé l’Education nationale ? Pas du tout. Le ministre veut faire plaisir aux syndicats et à tous ceux qui s’inquiètent de la baisse des effectifs dans l’enseignement, alors que Nicolas Sarkozy s’était engagé à ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux partant à la retraite. Le monde des fonctionnaires représente une très grosse part de notre Camembert national. Un électorat massif (environ 7 millions de personnes en tenant compte aussi des agents des entreprises publiques ou semi-publiques). Un monde dont on a perdu le contrôle et qu’on espère attirer dans sa nasse électorale. Peine perdue pour la droite car, les statistiques et les instituts de sondages le disent clairement, les fonctionnaires votent massivement à gauche. Alors, pourquoi essayer de leur faire plaisir ? D’autre part, faut-il rappeler une fois de plus que le budget 2010 du ministère de l'Éducation nationale était de 60,8 milliards d'euros, en augmentation de 1,56 % par rapport à 2009. Les principaux postes budgétaires étant : l'enseignement scolaire public du premier degré : 17,6 milliards ; la vie de l'élève : 3,8 milliards ; l'enseignement scolaire public du second degré : 29 milliards ; l'enseignement privé : 7 milliards. D'après le dernier rapport annuel (2010) de l'OCDE, la France dépenserait désormais 7213 dollars par an pour un enfant scolarisé du primaire au lycée, la moyenne de l’OCDE étant de 6313 dollars. La France dépense environ 7 % de son PIB pour l’éducation alors que la moyenne dans l’Union européenne est de 5.3 % du PIB. A-t-on besoin de plus de dépenses et de plus de fonctionnaires ou bien d’une vraie réforme de notre système éducatif, instituant une vraie liberté scolaire et une concurrence loyale entre établissements ? http://www.irefeurope.org/content/«-j’embauche-17-000-fonctionnaires-»
  22. Li Po

    Armageddon économique ?

    ouais et en plus quand on connaît leur gastro-nomie et leurs goûts vestimentaires ça n'améliore pas le portrait de l'Allemagne …
  23. Programme pour une économie responsable Dans Les 4 Vérités, Patrick de Casanove, Président du Cercle Frédéric Bastiat, écrit : "Il faut rendre aux Français leur autonomie matérielle, réduire les prélèvements obligatoires et la dépense publique. Le programme qui en découle est clair et efficace. Il comprend seulement trois points. Il s’adresse à tous les Français, quelles que soient leur situation sociale, leurs croyances, leur couleur, leurs préférences, leurs talents. Il ne prend pas aux uns pour acheter les voix des autres. Il rend, à tous, ce qui leur appartient. Premier point : restituer aux Français l’intégralité de leurs revenus . Pour un salarié, cela s’appelle le salaire complet. C’est le salaire net, plus les charges dites « patronales » et les charges dites « salariales ». Dans les faits, ces charges sont prélevées sur le travailleur. Si chacun dispose de la totalité de ses ressources, il peut choisir, pour son assurance-maladie et sa retraite, entre des prestataires mis en concurrence. Il peut ainsi s’assurer mieux et à meilleur compte. Deuxième point : restituer aux Français la libre disposition de la propriété foncière et immobilière . Les règlements d’urbanisme draconiens engendrent la pénurie de logements et la hausse des prix. Les plus modestes ont des difficultés à se loger et cette difficulté touche désormais les classes moyennes. Avec le libre usage de la propriété foncière, chacun fait ce qu’il veut avec ce qu’il a, aux conditions de ne pas nuire aux voisins et de supporter tous les frais. Troisième point : appliquer la « flat tax ». Il n’y a plus de niche, d’exemption, de cas particulier… Les impôts et taxes indirects n’ont plus de raison d’être. Les Français paient les produits et services à leur véritable valeur . De toute façon, quel que soit le prélèvement considéré, il est toujours au final, payé par l’individu. Les impôts sur les entreprises ne sont pas payés par l’entreprise, mais par le consommateur. La conséquence de ce programme est la réhabilitation de la responsabilité . L’État ne se mêle plus de la vie privée des gens, la famille est la base de la société, la responsabilité sur les enfants est rendue aux parents . L’aide aux plus démunis et aux personnes en difficultés redevient de la responsabilité de chacun, ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être . Les secours publics ne s’adressent qu’aux accidentés de la vie qui ne peuvent trouver suffisamment d’aide de la part de leur entourage. La libre circulation des personnes et des biens prend le pas sur « l’immigration », parce que la responsabilité personnelle de subvenir à ses besoins s’adresse à tous et remplace l’assistance automatique. Dans ce schéma, la Nation se maintient dans ses fonctions régaliennes, garantit la sécurité, assure la justice et veille au respect des contrats. Si toutes les forces du pays, toute l’attention de nos gouvernants étaient concentrées sur ces missions-là, nul doute qu’elles seraient bien mieux accomplies qu’aujourd’hui. Lorsque la sécurité intérieure n’est plus assurée, les atteintes aux biens et aux personnes se multiplient, les forces de police et de gendarmerie étant utilisées ailleurs. Lorsque la justice est lente et inefficace, elle s’épuise à poursuivre une multitude de pseudodélits. Lorsque l’armée est souséquipée, elle a de plus en plus de mal à assurer sa mission de défense du pays. Ne nous faisons pas d’illusions. Il ne suffira pas d’exprimer ces vérités pour qu’elles se matérialisent." Voici qques arguments simples qui ne devraient pas trop effrayer Mme Michu ( sauf la sécu bien sûr hein parce qu'avec ses problèmes de circulation hein ) .
  24. euh ben moi pas, je trouve que ça commence à faire beaucoup
  25. un bon fix de socialine en IV !
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