Ronnie Hayek

En effet. Tandis que le générique de fin passe : Paint It Black.

Yeeeeaaaaaah, c'est nickedélique ! (et non Nick de Cusa.)

Le type s'appelait Tommy Seebach, artiste danois. On lui doit ce chef-d'oeuvre : Disco Tango (présenté à l'Eurovision 1979). Un autre titre de son cru (pour lequel il a obtenu le "Danish Melodi Grand Prix") : Version .

Nancy Sinatra - These Boots Are Made For Walking. Kenny Rogers - Just Dropped In (To see what condition my condition was in). (qui illustre musicalement, en l'occurrence, une scène culte d'un film qui l'est tout autant !) Puisque j'ai parlé de Boogie Nights : Hot Chocolate - You Sexy Things. Sniff'n The Tears - Driver's Seat. Walter Egan - Magnet & Steel. Eric Burdon & War - Spill The Wine. Jean Beauvoir - .

Il a une tête digne de Boogie Nights. J'adore le moment des vocalises ("Oh oh oh oh oh oooh… Ah ah ah !")

Très à la mode à Bruxelles cette horreur.

En effet !… mais posté par Coldstar précédemment.

Pareil.

Tout cela pour devenir un bon Judo-Cat.

Michael Zager Band - Let's all chant (Merci Walter ! Doublement )

Du kitsch assumé : Tim Curry - Sweet Transvestite. (extrait de Rocky Horror Picture Show) Steve Martin - The Dentist (extrait de Little Shop of Horrors)

C'est l'histoire du Watchman Rorschach qui applique la justice rothbardienne.

J'ignore quelles étaient les opinions politiques de Lang, à dire vrai. En revanche, Pasolini c'est effectivement de la branlette sur pellicule et sur papier.

Merci beaucoup ! C'est ça, on cause de choses intéressantes, et tout le monde se taille ! Bonne nuit.

J'ai revu Un Flic, le dernier film de Melville. Très décrié à l'époque, mais injustement à mon avis. Sans doute est-ce à cause d'un malentendu : Melville n'est pas un cinéaste réaliste; chez lui, tout est stylisé, recréé. D'où une atmosphère onirique singulière. En l'occurrence, dans plusieurs scènes, il ne cache même pas que le fond du décor est constitué d'une toile peinte - que ce soit à l'intérieur d'un musée ou dans une rue mal famée. La scène du casse (lequel paraît lui-même invraisemblable) dans le train est, à cet égard, emblématique : impossible de ne pas voir qu'il s'agit d'une maquette. Melville a vraiment retrouvé la magie du cinéma des origines, à mon sens. La dernière scène, tournée en extérieurs réels dans une grande avenue de Paris, m'a toujours envoûté. Aussi vide qu'une ville de western lorsqu'un duel se prépare. Magistral.

Pour des problèmes avec LaTex, appelle BondageMan/h16 à ton secours !

Rock'n'Roll Mops ! Un bon gag de Salvador et Vian (lequel était ton premier avatar, si je me rappelle bien ?)

Aujourd'hui, j'ai écouté ceci, dans des registres très différents :

Le niveau s'élève d'heure en heure. [dailymotion]5mY1HAkIDF022dAFk[/dailymotion]

Bourvil - La Tactique du gendarme. Sa version entonnée à la fin du tournage du Cercle rouge. Moment émouvant, puisqu'il est mort peu de temps après.

Déjà posté, le premier par Taisei.

Eric Morena - Oh mon bateau ! Une version disco assez hallucinante d'Apache.

En tout cas, c'est effectivement un très beau moment de cinéma (mais je ne sais pas si je serais capable de tenir sur toute la longueur du film ).

Comme ceci, cela ira mieux : Merci de cette délicate attention, en tout cas.

Ah !? Toi aussi, tu arrêtes le spliff aujourd'hui ? (Solidarité avec Librekom ?) J'avais plutôt cru à l'heureux dénouement d'une constipation.