Chitah Posté 3 mai 2005 Signaler Posté 3 mai 2005 Allez, je lance un fil sur la question, en parlant d'une agréable surprise, la candidature du camarade Beigbeder: Beigbeder, candidat à la présidence du Medef03 mai 2005 Le patron de Poweo, Charles Beigbeder, a confirmé mardi sur France Info sa candidature à la présidence du Medef et a dit vouloir oeuvrer pour le développement des petites entreprises. Le quotidien Les Echos a annoncé dans son édition de mardi que Charles Beigbeder, actuellement président de l'association patronale CroissancePLus, avait pris sa décision ce week-end, à une semaine de la date limite de dépôt des candidatures. Pour le fondateur du fournisseur indépendant d'énergie, la priorité doit être donnée aux petites entreprises. "Il faut leur permettre de se développer", a-t-il déclaré sur France Info, le principal obstacle à la création d'emploi résidant selon lui dans "le code du travail qui est beaucoup trop rigide". Cette candidature à la succession d'Ernest-Antoine Seillière est la cinquième, après celles de Laurence Parisot, présidente de l'IFOP, de l'ancien ministre et ancien patron Francis Mer, en tandem avec Guillaume Sarkozy, et de deux patrons de PME, Yvon Jacob et Hugues-Arnaud Mayer. Plus de news un peu plus tard, je développerai des éléments sur les autres candidats.
Evildeus Posté 3 mai 2005 Signaler Posté 3 mai 2005 Pourquoi pas. Etant à la tete de Poweo, il est certainement plus enclin à plus de libéralisme qu'à plus de protectionnisme. Mais, il faut voir à la longue.
Patrick Smets Posté 3 mai 2005 Signaler Posté 3 mai 2005 Guillaume Sarkozy, c'est le frère de l'autre ?
Chitah Posté 3 mai 2005 Auteur Signaler Posté 3 mai 2005 Guillaume Sarkozy, c'est le frère de l'autre ? <{POST_SNAPBACK}> Ouaip.
Patrick Smets Posté 3 mai 2005 Signaler Posté 3 mai 2005 Ca me parait risqué pour 2007 d'associer son nom au medef…..
Chitah Posté 3 mai 2005 Auteur Signaler Posté 3 mai 2005 Ca me parait risqué pour 2007 d'associer son nom au medef….. <{POST_SNAPBACK}> D'où la présence de Francis Mer devant lui, c'est la seule candidature où il y a deux personnes à se faire élire.
Patrick Smets Posté 3 mai 2005 Signaler Posté 3 mai 2005 Décidément, il est pas con le petit nicolas…
Freeman Posté 3 mai 2005 Signaler Posté 3 mai 2005 Qui fera une victime : le libéralisme. C'est quand même dingue venant de la bouche de certains médias d'associer Jospin au blairisme alors que celui-ci n'a jamais été blairiste et de dire " c'est la faute du libéralisme " Quand est-ce que les gens vont réagir ? C'est la même merde que vend l'UMP et le PS et le PS veut nationaliser si y'a un nouveau congrès ? Les gens sont assez cons pour croire que ça marchera ? Ca fait 30 ans que l'ont vit sous le socialisme ! Y'en a marre à la fin ! Quand l'économie de ce pays sera libérale, les gens comprendront.
Evildeus Posté 3 mai 2005 Signaler Posté 3 mai 2005 C'est pas pret d'arriver, vu la mentalité et l'éducation des Francais.
timburton Posté 3 mai 2005 Signaler Posté 3 mai 2005 Guillaume Sarkozy, c'est le frère de l'autre ? <{POST_SNAPBACK}> Et Beigbeder c'est aussi le frère de l'autre ( celui qui a fait la campagne du PC en 2002) voir ici par exemple
Evildeus Posté 3 mai 2005 Signaler Posté 3 mai 2005 Ca je ne sais pas, c'est la question que je me posais. Mais en voyant sa photo, je dirais oui. En passant, quelqu'un connais mieux la présidente de l'IFOP? Laurence Parisot, présidente de l'IFOP et candidate à la présidence du Mouvement des entreprises de France (Medef) a estimé quant à elle mardi qu'"il faut en France libéraliser le marché du travail" pour améliorer la situation de l'emploi."Notre conception des offres et des demandes en matière de travail est beaucoup trop rigide et n'est pas adaptée à l'économie d'aujourd'hui où il faut réagir rapidement", a estimé Mme Parisot sur RTL, jugeant que le niveau du taux de chômage en France "est une honte". Pour la présidente de l'institut de sondage IFOP, "il faut que l'emploi s'adapte à l'activité et non pas l'inverse". A la question de savoir si cela impliquait de modifier le code du travail et de permettre de licencier plus facilement pour pouvoir embaucher plus aisément, la candidate à la succession d'Ernest-Antoine Seillière a répondu "oui". "Je préfère être pédagogique que démagogique", a-t-elle ajouté, estimant que les Français sont "enfermés dans des considérations pleines de bonnes intentions au départ, à vouloir très protéger" mais "que cela ne marche pas". "J'assume tout à fait le mot libéral. J'insiste aussi pour dire que libéral ne veut pas dire anti-social bien au contraire", a-t-elle encore dit. http://fr.biz.yahoo.com/050503/202/4e5fr.html
Chitah Posté 3 mai 2005 Auteur Signaler Posté 3 mai 2005 Ca je ne sais pas, c'est la question que je me posais. Mais en voyant sa photo, je dirais oui. Ce sont bel et bien des frère, je précise tout de même que les frères Sarko sont assez proches dans leurs idées, c'est plus difficile à dire pour les Beigbeder puisque Fredéric est un saltimbanque.
Chitah Posté 3 mai 2005 Auteur Signaler Posté 3 mai 2005 Ca je ne sais pas, c'est la question que je me posais. Mais en voyant sa photo, je dirais oui. Ce sont bel et bien des frère, je précise tout de même que les frères Sarko sont assez proches dans leurs idées, c'est plus difficile à dire pour les Beigbeder puisque Fredéric est un saltimbanque.
William White Posté 3 mai 2005 Signaler Posté 3 mai 2005 Je crois que Charles Begbeder est plutôt proche de Madelin et oeuvre au niveau européen pour plus de mesures libérales. Je me souviens qu'il était venu à la Maison de la Chimie pour une rencontre des libéraux, le lancement du courant réformateur de l'UMP peut-être, et qu'il avait fait une intervention.
ULYSSE Posté 11 mai 2005 Signaler Posté 11 mai 2005 ENTREPRISE Candidats à la tête du Medef, ils expliquent leur méthode pour réconcilier les Français et l'économie de marché Mer-Sarkozy : «Comment nous voulons aider à débloquer la France» Tous les candidats à la présidence du Medef le proclament : il faut réconcilier les Français et l'entreprise. C'est donc sur le «comment faire» qu'ils sont attendus. Et à lire leur programme, on sent que Francis Mer et Guillaume Sarkozy ont beaucoup travaillé sur la méthode et les ressorts susceptibles de débloquer les choses. Dans trois directions, et sans perdre de temps, pour profiter de «l'état de grâce post-électoral». Dès la mi-octobre, lancement de l'initiative «le Medef dans la société», car les deux challengers ont la conviction commune que les entreprises ne doivent pas seulement défendre leurs droits et leur vision, mais aussi prendre position sur des questions de société : la valeur travail, le rôle citoyen des salariés et des consommateurs, l'intégration dans l'entreprise, l'immigration ou les choix de redistribution par exemple. Un mois plus tard, lancement d'«un tour d'Europe» des autres patronats pour «construire l'Europe des entreprises», nouer des coopérations structurelles et peser dans la durée sur la gestion bruxelloise de l'Europe. Enfin, en décembre, troisième pilier du programme, ils proposeront aux syndicats la création d'une «instance économique de dialogue»: un lieu de débat où, ensemble, syndicats et patronat pourraient mettre au point «un tableau de bord de l'économie» et échanger sans devoir forcément parvenir à un accord, comme c'est le cas dans les lieux habituels de négociation sociale. Des propositions dont on saura le 5 juillet si elles ont rallié les suffrages de leurs pairs. Propos recueillis par Nicolas Barré et Béatrice Taupin [11 mai 2005] -- PUBLICITE -- LE FIGARO ECONOMIE. – Vous venez d'adresser votre programme à vos électeurs. Quelle en est l'ambition ? Francis MER. – Nous avons avec Guillaume Sarkozy la conviction commune qu'il reste beaucoup à faire au Medef au-delà de ce qui a déjà été fait et bien fait. Nous voulons créer une dynamique en faveur de l'entreprise. L'une des raisons pour lesquelles la situation de la France n'est pas bonne, c'est que notre système économique ne se sent pas assez aimé et compris par le pays pour lui apporter la croissance et la valeur ajoutée nécessaires. C'est autour de cela que nous voulons réorganiser le Medef, pour le rendre plus participatif et plus démocratique. Mais quel est votre projet économique ? F. M. – Nous voulons que les entreprises retrouvent le goût d'entreprendre y compris au niveau mondial. Qu'elles n'aient pas peur du changement, qu'elles comprennent que c'est par le haut et avec leur personnel qu'elles trouveront le chemin du succès. Leur devenir passe par un renouvellement de leur offre. Guillaume SARKOZY. – Nous voulons à la fois améliorer l'environnement pour nos entreprises et aider à débloquer la France. Le dialogue social dans les PME est bloqué par la manière dont les lois et le Code du travail nous interdisent de négocier avec des salariés élus, leur préférant les seuls représentants syndicaux peu implantés dans le privé. C'est pourquoi nous pourrions proposer une négociation autour de la création d'un «conseil d'entreprise», qui serait une instance de concertation et de négociation unique. Les PME ont peur de la mondialisation. Quelles clés de lecture leur donnez-vous ? G. S. – Ce que je leur dis, c'est qu'elles doivent s'appuyer sur notre culture, personnaliser leurs produits, jouer sur l'innovation et la recherche, saisir les opportunités de la mondialisation pour acheter moins cher et conquérir d'autres marchés. Rien n'est perdu si on s'adapte aux nouvelles règles du jeu. Vos challengers considèrent tous que la formule du binôme n'annonce pas la direction plus collégiale, qui semble être un souhait commun à tous. F. M. – Le binôme consiste à reconnaître que nous avons des caractéristiques complémentaires mais des convictions communes. Nous n'avons pas du tout l'intention de diriger seuls ! Six commissions fonctionnant par projet – entreprise et emploi, entreprises et société, l'entreprise compétitive, l'entreprise dans le monde, entreprise et protection sociale, entreprise et territoire –, animées chacune par un vice-président exécutif qui en sera le porte-parole, seront des forces de propositions. A nous huit, nous formerons le comité de direction, qui se réunira chaque semaine pour préparer les décisions du bureau et du conseil exécutif. C'est cela, la gestion participative. En tant que président, j'animerai aussi les travaux de l'«Observatoire de la stratégie» que nous souhaitons mettre en place pour proposer la vision que les entreprises ont de la société à moyen et long termes. G. S. – Notre expérience nous l'a appris, on ne fait avancer les dossiers qu'en travaillant en réseau. Il faut donc améliorer la synergie entre le national et le territorial : il existe des tas d'expériences locales en faveur des jeunes, de l'emploi, de la création d'entreprise, que nous voulons faire mieux connaître pour montrer comment les entreprises s'impliquent et pour développer les meilleures pratiques partout. Il faut aussi faire avancer les dossiers grâce à des partenariats entre patronats de différents pays comme nous l'avons fait pour le textile. C'est aussi mon expérience dans le textile qui nous conduira à proposer la création d'une instance de dialogue économique avec les syndicats. Pour instaurer un nouveau paritarisme ? F. M. – Il est indispensable, en dehors de toute négociation formelle, d'avoir entre entrepreneurs et syndicalistes un lieu de débat et d'échanges sur des problèmes communs, que ce soit l'Europe, les délocalisations, la mondialisation, l'intégration ou l'emploi. On dit qu'on a tout essayé pour réduire le chômage, mais nous n'en avons jamais parlé ensemble ! Le seul fait de discuter et d'échanger, sans nécessairement partager la même vision, permettrait déjà de mieux se comprendre et ensuite d'avancer. G. S. – Et nous avons la conviction que les syndicats sont prêts à ce dialogue économique, pour mettre en oeuvre un paritarisme de dialogue. Dans le débat constitutionnel actuel, on a le sentiment que pour que le oui l'emporte, il faut démontrer que l'Europe ne sera pas trop libérale. Cela vous agace ? F.M. – Nous vivons dans une économie de marché et dans un monde libéral que la France a acceptés. Libéral, cela veut dire aussi responsable. Une société libérale, c'est un système qui donne à chacun la liberté de tenter sa chance, de réussir ou d'échouer sans que cela soit une catastrophe. Cela ne veut pas dire qu'il faut appliquer les mêmes valeurs que la Chine ou les Etats-Unis. Les Français, et les Européens d'une manière générale, ont choisi de travailler moins, c'est un fait. Le système libéral n'impose pas un modèle de fonctionnement économique et social unique. Avec Guillaume, nous partageons les mêmes convictions autour de la valeur de la personne. Les entreprises doivent faire du profit pour se renouveler et se développer mais le profit n'est qu'un moyen. Elles doivent donc créer avec leurs salariés et leurs fournisseurs un environnement où chacun a envie de participer à la réussite, et s'intéresser aux problèmes de leur pays. Le Medef doit aussi être un vecteur de proposition pour l'école, l'université, l'environnement, la réforme de l'Etat. Avez-vous déjà une idée de propositions concrètes ? G. S. – Nous n'avons pas de recettes clés en main. Nous voulons développer une méthode de participation à la réflexion. Et nous pensons que pour réconcilier les Français avec l'entreprise et l'économie de marché, c'est au Medef de faire le premier pas. Nous n'aurions pas pu tenir ce discours avant. Il était d'abord nécessaire d'installer une parole forte des entreprises, ce que Seillière a fait, et bien fait. Mais aujourd'hui, cette stratégie trouve ses limites, car le monde change et le Medef doit lui aussi se renouveler. Si certains accidents récents – les propositions de reclassement en Roumanie ou l'affaire Bernard – ont eu autant d'échos, c'est parce que le monde de l'entreprise n'a pas assez montré qu'il appartenait aussi à la société civile. Le Medef est là pour proposer une vision, et pour contribuer à ce que notre pays s'adapte. http://www.lefigaro.fr/eco-monde/20050511.FIG0271.html
Ronnie Hayek Posté 11 mai 2005 Signaler Posté 11 mai 2005 Blabla politocard, comme en témoigne cet extrait: j'animerai aussi les travaux de l'«Observatoire de la stratégie» que nous souhaitons mettre en place pour proposer la vision que les entreprises ont de la société à moyen et long termes. Et un nouvel Observatoire, un !
Chitah Posté 11 mai 2005 Auteur Signaler Posté 11 mai 2005 Toute personne qui connaît un tant soit peu Francis Mer et son parcours, ainsi que celui de Guillaume Sarkozy, ne peut que rire à ce qui est écrit. Ces deux personnes sont à l'évidence des tocards. Tiens, je vais republier ma petite enquête de l'autre forum, tiens.
Invité Aurel Posté 11 mai 2005 Signaler Posté 11 mai 2005 Moi, j'aime bien Beigbeder pour l'avoir croisé et discuté avec lui quelques fois. Il a un peu peur de l'image "incontrôlable" de LC, hélas. Il préside une association d'entrepreneurs dynamiques qui n'a aucune envie de se trouver mêlée à pareils perturbateurs. Dommage, car ses idées sont franchement assez proches des nôtres en privé.
Salatomatonion Posté 11 mai 2005 Signaler Posté 11 mai 2005 Blabla politocard, comme en témoigne cet extrait:j'animerai aussi les travaux de l'«Observatoire de la stratégie» que nous souhaitons mettre en place pour proposer la vision que les entreprises ont de la société à moyen et long termes. Et un nouvel Observatoire, un ! <{POST_SNAPBACK}> Il aura suffi de les entendre causer du textile français un matin à la radio pour comprendre avec quelle puissance de feu ils vont "réconcilier les Français avec l'entreprise". En tout cas avec cet observatoire et le "tour d'Europe" les soirées pince-fesses sont sauves au moins.
Chitah Posté 16 mai 2005 Auteur Signaler Posté 16 mai 2005 "Le MEDEF est une institution démocratique", "une institution importante de la société française", dixit respectivement la présentatrice des 4 Vérités sur F2, et Laurence Parisot, candidate à la présidence du MEDEF. "Une institution a-partisane, qui a vocation à défendre les intérêts particuliers des entreprises, et ce faisant défendre l'intérêt général".
Chitah Posté 16 mai 2005 Auteur Signaler Posté 16 mai 2005 Et maintenant, les Laurel et Hardy du business français. "les bonnes volontés, et blablabla, réconcilier les français avec l'entreprise, et blablabla" "Je considère que les syndicats sont très représentatifs des français" "ce qui est important, c'est de développer le dialogue". "ce n'est pas sur le fond que l'on veut travailler, c'est sur la méthode" "ce qui compte c'est la vision, cela ne sert à rien de modifier le Code du Travail si la population n'y adhére pas" "les 35h sont un acquis social, retravaillé depuis trois ans, [..] c'est peu près correct". "Ce n'est pas en ne pas travaillant que l'on créé de la croissance" Hé bé, ça fait peur. Des généralités, des généralités…. PS: je parle bien de l'émission matinale de F2: http://les-4-verites.france2.fr/ et non pas du site web de la Droite Nationale française.
Ronnie Hayek Posté 16 mai 2005 Signaler Posté 16 mai 2005 Et maintenant, les Laurel et Hardy du business français.<{POST_SNAPBACK}> Tu es trop sévère avec Laurel & Hardy: la métaphore "les Abbott & Costello du business frenchie" suffira amplement.
William White Posté 28 mai 2005 Signaler Posté 28 mai 2005 http://www.reuters.fr/locales/c_newsArticl…storyID=8633470 PARIS (Reuters) - Charles Beigbeder, P-DG de la société Poweo, retire sa candidature à la présidence du Medef et soutient désormais celle de Laurence Parisot, présidente de l'institut de sondage Ifop."J'ai peu de chances de l'emporter. Poweo est une société très jeune, je découvre un peu le Medef, je n'ai pas eu suffisamment de temps pour m'impliquer. J'ai choisi de me rallier à Laurence Parisot", déclare-t-il dans le Journal du dimanche. Charles Beigbeder, 41 ans, représentait la jeune génération des entrepreneurs. Sa société est un concurrent d'EDF. Son retrait laisse en lice quatre candidats pour la succession d'Ernest-Antoine Seillière à la tête du syndicat patronal. Il s'agit de Laurence Parisot, de l'ex-ministre de l'Economie Francis Mer - qui se présente en tandem avec Guillaume Sarkozy, actuel n°2 du Medef - d'Hugues-Arnaud Mayer, P-DG du fabricant de couettes Abeil, et d'Yvon Jacob, soutenu par la fédération de la métallurgie. L'élection est programmée le 5 juillet. Le conseil exécutif du Medef doit se réunir lundi et fera connaître ses préférences. Dommage, c'était l'un des candidats les plus intéressants. Reste peut-être Parisot, les autres ne m'inspirent pas vraiment, même si je les connais peu (enfin surtout pas Sarkozy).
Coldstar Posté 30 mai 2005 Signaler Posté 30 mai 2005 Communiqué du jour: Laurence Parisot favorite pour succéder à Ernest-Antoine Seillière à la tête du mouvement patronal annonce le Medef.
Sous-Commandant Marco Posté 30 mai 2005 Signaler Posté 30 mai 2005 Communiqué du jour: <{POST_SNAPBACK}> Avec le non, ce sont deux bonnes nouvelles. Le tandem Sarkozy-Mer arrive bon dernier: http://www.boursorama.com/pratique/actu/de…ml?news=2726169
Chitah Posté 30 mai 2005 Auteur Signaler Posté 30 mai 2005 Avec le non, ce sont deux bonnes nouvelles. Le tandem Sarkozy-Mer arrive bon dernier:http://www.boursorama.com/pratique/actu/de…ml?news=2726169 <{POST_SNAPBACK}> Le 30 mai sera à marquer d'une pierre blanche!
Salatomatonion Posté 30 mai 2005 Signaler Posté 30 mai 2005 Le 30 mai sera à marquer d'une pierre blanche! <{POST_SNAPBACK}> Merde alors ! Qui va sauver le textile français ?
José Posté 30 mai 2005 Signaler Posté 30 mai 2005 Merde alors ! Qui va sauver le textile français ? <{POST_SNAPBACK}> On prévoit une forte augmentation de la demande de mouchoirs en tissu pour sécher les larmes des partisans du oui au référendum sur la "constitution" européenne.
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.