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Elections Au Medef


Messages recommandés

Invité Aurel
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Je crois que Parisot est pas mal du tout. Et Beigbeder, que j'ai rencontré, la soutient dorénavant. Lui est assez extra, dommage qu'il ne s'engage pas plus en faveur du libéralisme pour des raisons d'image. La règle patron = collabo n'est pas près de changer

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On prévoit une forte augmentation de la demande de mouchoirs en tissu pour sécher les larmes des partisans du oui au référendum sur la "constitution" européenne. :icon_up:

Une recommandation: investissez dans les entreprises qui fabriquent des gilets de sauvetage.

  • 3 weeks later...
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PATRONAT

Medef : Francis Mer retire sa candidature à la présidence [ 15/06/05  - 11H16 ]

L'ancien ministre de l'Economie et des Finances avait enregistré il y a quinze jours un échec lors du vote à bulletins secrets du conseil exécutif de l'organisation patronale

L'ancien ministre de l'Economie et des Finances, Francis Mer, annonce qu'il se «retire» de la course à la présidence du Medef (patronat), qu'il briguait en tandem avec le président de l'Union des industries textiles, Guillaume Sarkozy. Dans un entretien au quotidien «Le Monde» daté de jeudi, il explique : «Je n'ai pas été considéré, ce qui m'a surpris, comme quelqu'un qui pouvait apporter une certaine valeur ajoutée à l'association qui représente les entreprises françaises. Visiblement je suis perçu comme un empêcheur de tourner en rond. Ce n'est pas la peine d'insister», explique-t-il. Et d'ajouter : «si le Medef ne sait pas bouger vers les autres et notamment vers les syndicats, nous aurons malheureusement de grandes chances de continuer à ne pas savoir comment nous réformer ensemble». Selon lui, «dans la période actuelle, nous avons besoin d'un Medef qui contribue à faire bouger une société française bloquée et qui, on l'a vu avec le référendum, appelle au secours». A propos de Guillaume Sarkozy, Francis Mer «souhaite que sa relation avec d'autres candidats lui permette de mobiliser ses atouts au service du Medef», sans plus de détails.

Cette décision de retrait n'est pas vraiment une surprise après l'échec subi lors du vote à bulletins secrets du conseil exécutif de l'organisation patronale, organisé le 30 mai, qui l'avait placé au dernier rang des candidats. Francis Mer, qui espérait 15 voix, n'en avait obtenu que 7 sur 44, contre 21 voix pour Laurence Parisot, 8 pour Yvon Jacob et 8 pour Hugues-Arnaud Mayer. Charles Beigbeder s'était auparavant désisté en faveur de Laurence Parisot. Ce vote n'était qu'indicatif, mais avait constitué un sévère avertissement avant l'Assemblée générale du Medef du 5 juillet, qui désignera le nouveau président.

Une semaine auparavant, Francis Mer avait enregistré sa première grave déconvenue, avec le choix exprimé par la très influente Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM) en faveur d'Yvon Jacob, le président de la Fédération des industries mécaniques (FIM). Certains considéraient que cette fédération très influente aurait été «obligée» de soutenir l'ancien PDG d'Usinor Sacilor.

Dans l'ordre, mes candidats étaient: Charles Beigbeder, Laurence Parisot, et c'est tout (un peu Jacob, aussi).

Pas mal du tout, espérons qu'elle sera une bonne présidente, si elle est élue!

PS: les Echos proposent des interviews complètes des candidats, et il me semble vraiment que c'est une femme qui est libérale, sans complexe, contrairement au tandem Sarkozy-Mer ou d'autres encore.

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Charles Beigbeder parce que je l'avais rencontré en 1999 et que je l'avais adoré (il avait présenté alors sa start-up inconnue encore, SelfTrade)

Laurence Parisot, pour tout son programme, je t'en donne juste une phrase:

On vous dit « ultra-libérale ». Qu'en pensez-vous ?

D'emblée, le qualificatif « ultra » discrédite celui à qui il se rapporte. Cette façon de s'interdire de comprendre la pensée de l'autre est inacceptable. Je me définis comme libérale, car, dans cet adjectif, il y a le mot « liberté ». Et je suis prête à prouver que libéral ne veut pas dire antisocial, tout au contraire.

Voir dossier complet ici http://www.lesechos.fr/medef/index.htm et http://www.lesechos.fr/medef/candidats_parisot.htm , il me paraît impossible, pour un libéral de soutenir quelqu'un d'autre qu'elle, mais on peut en discuter.

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Merci. J'ai vu Beigbeder chez Ardisson l'autre jour, et bien qu'il se soit fait taillé en pièce par le discours oui-ouin gnan-gnan grand cheval père la morale de Besancenot, il m'avait paru convaincant, intelligent et pas du tout dans le style Seillères (ortho?).

Posté
Merci. J'ai vu Beigbeder chez Ardisson l'autre jour, et bien qu'il se soit fait taillé en pièce par le discours oui-ouin gnan-gnan grand cheval père la morale de Besancenot, il m'avait paru convaincant, intelligent et pas du tout dans le style Seillères (ortho?).

Besancenot qui fut bien aidé par ce rigolo de Baffie, comme quoi l'invitation de Beigbeder avait surtout pour but de permettre à Besancenot de montrer sa tronche de la façon la plus favorable possible.

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Le succès de Besancenot démontre que même les communistes sont tombés dans le gnangnan.

La première fois qu'il était venu chez Ardisson (non pas que je regarde toutes les semaines), il avait même pleuré parce qu'on reprochait à la LCR d'abriter des antisémites et de manifester avec des gens qui crient "morts aux juifs". Et lui de s'effondrer en larmes et de dire "je me sens profondément insulté, l'anti-sémitisme et le racisme, à la LCR on est tous contre, nos valeurs sont à l'opposé de celles-là, comment osez-vous nous dire ça, c'est un scandale"….

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La première fois qu'il était venu chez Ardisson (non pas que je regarde toutes les semaines), il avait même pleuré parce qu'on reprochait à la LCR d'abriter des antisémites et de manifester avec des gens qui crient "morts aux juifs".

[…]

Au vu de la réaction identique d'Arlette Laguiller quand on l'interroge sur les millions de son gourou Hardy, on va finir par appeler cela "des larmes de cocodile".

  • 3 weeks later...
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éluee avec une large majorité

PARIS (Reuters) - Laurence Parisot, élue mardi à la présidence du Mouvement des entreprises de France (Medef), revendique son appartenance à la famille libérale, un vocable qu'elle rêve de faire rimer avec social.

La P-DG de l'institut de sondages Ifop, qui fêtera fin août ses 46 ans, est un "symbole de modernité et d'audace", dit d'elle Ernest-Antoine Seillière, satisfait de lui laisser les rênes de l'organisation patronale.

Cette femme de 1,60 mètre, qui a ses entrées en "Chiraquie" et a su tisser ses réseaux d'influence dans les milieux parisiens, ne passe pas inaperçue.

Pour devenir la "patronne des patrons", elle a surmonté l'hostilité de l'Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM), la principale fédération professionnelle du Medef, traditionnel maître de ballet. Pour de nombreux entrepreneurs, cette quadragénaire est l'espoir d'une cure de jouvence.

Femme de tête, brillante, énergique et déterminée, ses partisans disent de Laurence Parisot qu'elle sait convaincre et vaincre si nécessaire. Très sportive, cette célibataire à la frêle silhouette, au visage juvénile et aux yeux bleu acier aime la vitesse, les voitures et le ski nautique. Sa vie professionnelle, elle la mène comme un bolide, tambour battant, alliant, de son propre aveu, le culot et la ténacité.

Fille et petite-fille d'industriels francs-comtois, elle n'a que 26 ans lorsqu'elle devient directrice générale de l'institut Louis-Harris et est tout juste trentenaire lorsqu'elle se lance à l'assaut de l'Ifop, qu'elle dirige depuis 1990.

Remarquée par Ernest-Antoine Seillière pour sa rigueur intellectuelle, Laurence Parisot accède directement au conseil exécutif et au bureau du Medef en 2003 sans faire ses preuves dans la hiérarchie interne.

Au Medef, elle a montré ses talents d'oratrice et sa liberté de ton en animant à plusieurs reprises assemblées générales et universités d'été. Pour autant, si elle veut "éviter les clivages" et promouvoir "un contrat social apaisé", elle devra déjouer les pièges de la médiatisation et se garder des formules choc mais caricaturales.

"TOMBEE DANS LE CHAUDRON DE L'ENTREPRISE"

Sa tirade de janvier sur "la liberté de penser (qui) s'arrête où commence le Code du travail" l'a fait connaître du grand public mais lui colle à la peau. Elle fait valoir, depuis, qu'elle a été "sortie de son contexte".

Laurence Parisot n'en affiche pas moins un programme qui promet de belles batailles avec les organisations syndicales. Comme son prédécesseur, elle veut fluidifier l'emploi, abolir l'impôt sur la fortune, alléger le coût du travail, desserrer l'étau des pouvoirs publics.

Mais elle s'insurge aussi contre la pauvreté et le chômage de masse, une "honte" contre laquelle elle estime que l'entreprise a son rôle à jouer.

Posté

Ces journalistes sont complètement :doigt:

Je suis sûr que ça les dérange ses idées libérales, ils auraient préféré qu'elle se couche devant Chirac et qu'elle lui dise " oui fous la France en l'air, t'as raison ! "

Qu'on vire une bonne fois pour toutes ces pseudo élites qui n'y connaissent rien à rien. :icon_up:

Posté

Sur France 2 on a vu Serge Dassault se réjouir de l'élection de Parisot, et dire qu'elle avait de très bonnes idées.

Pauvre Chitah! lui qui aimait bien Parisot, il va faire des cauchemards…

L'Express du 27/06/2005

Seillière

Le festival du off

par Corinne Lhaïk

Le président du Medef s'en va et, avec lui, son style. Florilège de ses propos privés, souvent drôles, parfois cruels…

Le 5 juillet, Ernest-Antoine Seillière quittera la présidence du Medef et aura probablement droit à ce plaisir rare: écouter sa nécrologie de son vivant. On dira qu'il a profondément réformé et modernisé l'organisation. Décomplexé le monde patronal. Lancé la refondation sociale, etc. On ne dira pas que son premier mandat fut plus réussi que le second. Parce que l'on ne dit pas ces choses-là, parce que la personnalité du sortant a masqué les atermoiements de la stratégie.

Avec Ernest-Antoine Seillière, c'est aussi un style qui s'en va. Adepte du parler dru en public, il ajoute de la drôlerie, parfois de la cruauté, en privé. Sous le sceau du off - ce que les journalistes peuvent entendre, mais ne pas répéter - il se lâche davantage. En voici un florilège. Que le baron, forcément grand prince, nous pardonne cette petite incartade…

Une porte Marcel Dassault

Jean-Louis Borloo? «C'est un artiste. Dans son bureau, on est vautré dans des poufs rose et bleu comme des bébés.» Et Seillière, excellent imitateur, de mimer le ministre de l'Emploi, affalé, la tête engoncée dans le col de sa veste et… inaudible. Avec Martine Aubry, c'est l'amour vache. Il la traitait de chef de bureau, mais il reconnaît: «A gauche, elle est la seule qui ait la niaque. Evidemment, sur le fond…» Serge Dassault l'amuse. Il a contribué au financement du siège du Medef, lequel a donné le nom d'une porte à Marcel Dassault. Il téléphone à Seillière: «Tu me fais entrer au conseil exécutif?» «Ah, mais ça, ça coûte plus cher qu'une porte», rétorque le président. Jacques Chirac concentre sa sévérité: «Nous sommes en monarchie avec un type là-haut qui fait ce qu'il veut.» Il raconte, avec truculence, le protocole suranné des vœux du président aux forces vives, le 4 janvier, révélateur, selon lui, d'une fin de règne. Pour la suite, Nicolas Sarkozy le séduit. «Lui, il ne discute pas, il fait. Il y a du populisme dans son libéralisme, mais je ne peux pas reprocher à un type de faire de la politique.» A l'automne dernier, le Medef n'a pas révélé cette question d'un sondage mené auprès de ses troupes. «A qui faites-vous confiance pour réformer?» Raffarin: 6%. Sarkozy: plus de 80%!

La réforme, justement, et en particulier celle du Code du travail. «Elle est paralysée par des syndicats qui ne représentent rien. En France, un homme peut aller à Bègles pour se marier à un autre homme, mais un chef d'entreprise ne peut pas renouveler un CDD de neuf mois.»

Ernest-Antoine Seillière n'est pas nostalgique, mais il part avec un regret. N'avoir pas fait progresser les relations Medef-gouvernement. Il s'énerve de devoir prendre le «chemin des poubelles», celui des entrées discrètes à Matignon, parce que l'on ne doit pas savoir qu'il rencontre le Premier ministre. Et il sait qu'il reste à faire aimer l'entreprise. C'est la faute aux gouvernants, aux enseignants, aux fonctionnaires, aux journalistes et… aux patrons. «Ils ne s'expriment pas assez, ils préfèrent le ski hors pistes à Courchevel au militantisme. Et les grands sont pires que les autres!»

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Sur France 2 on a vu Serge Dassault se réjouir de l'élection de Parisot, et dire qu'elle avait de très bonnes idées.

Pauvre Chitah! lui qui aimait bien Parisot, il va faire des cauchemards…

Toujours aussi intéressant ce que tu racontes.

Je rappele ma question: la propagande pour deux candidats à des fonctions électives est-elle conforme à la charte?

Deuxieme question, pour AK72: le zizi de Dassault est à ton goût, j'espère, j'aimerai savoir si tu avales ou pas?

Invité jabial
Posté
Je rappele ma question: la propagande pour deux candidats à des fonctions électives est-elle conforme à la charte?

Deuxieme question, pour AK72: le zizi de Dassault est à ton goût, j'espère, j'aimerai savoir si tu avales ou pas?

Je vous demande de vous arrêter.

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J'aurais voulu être une mouche pour voir la tête de Delanöé.

Il suffisait d'allumer ta télé. On l'a vu.

Il avait sa tête arrogante de socialiste bobo.

Persuadé d'avoir raison contre tous. Et préparant déjà les prochains coups de com pour se remettre en avant aux frais du contribuable.

Posté

EDF Energy filiale à 100 % du contribuable français a financé pour 1.5 Mil euros la candidature de Londres. Avec la même dépense pour Paris j'espère au moins que ça leur fera signer un gros contract parce que quand même 1.5 mil pour Paris ça fait cher. :icon_up:

Posté
EDF Energy filiale à 100 % du contribuable français a financé pour 1.5 Mil euros la candidature de Londres.

Non, je doute que EDF Energy ait été recapitalisé par la maison-mère, et cette filiale fonctionne en autonomie et en auto-financement de la tête de l'entreprise. Ce financement de 1,5m € n'a donc rien à voir avec le contribuable français qui n'a rien payé à cette filiale et vice-versa. Et elle ne sera bientôt plus filiale du "contribuable français".

NB : A part les retraites EDF, l'entreprise n'a jamais été recapitalisée depuis 20ans. Donc, toutes les acquisitions et les filiales à l'étranger ne doivent absolument rien au contribuable français.

Posté

Le Canard Enchaîné épinglait ce matin Laurence PARISOT à propos d'une employée de maison officiellement embauchée comme assistante et payée par une des boîtes en charge des sondages (Phone City) pour IFOP.

Un peu désordre le jour de l'élection à la tête du MEDEF non ?

Posté
NB : A part les retraites EDF, l'entreprise n'a jamais été recapitalisée depuis 20ans. Donc, toutes les acquisitions et les filiales à l'étranger ne doivent absolument rien au contribuable français.

Quelques miliards d'euros si je me souvien bien quand même qui mettent EDF en faillite virtuelle, sans conter le bénéfice qutidien du monopole.

Il me semble par ailleur qu'il y a eu bien des polémiques sur le coût des aquisitions faites par EDF à l'étranger.

Posté
Il suffisait d'allumer ta télé. On l'a vu.

Il avait sa tête arrogante de socialiste bobo.

Persuadé d'avoir raison contre tous. Et préparant déjà les prochains coups de com pour se remettre en avant aux frais du contribuable.

Mantra numéro 1: différencier socialistes de droite et socialistes de gauche

Mantra numéro 2: insulter ses "adversaires" socialistes de droite sur des motifs bidons (exemple: "DSK, c'est que un caca boudin arrogant, na!")

Mantra numéro 3: prendre soin de ne pas s'attaquer aux hommes proches du pouvoir (Lamour) et/ou propriétaires de grandes entreprises notamment de presse (Lagardère).

Mantra numéro 4: Ne pas oublier de prendre soin du pénis des hommes de pouvoir.

Posté
Mantra numéro 1: différencier socialistes de droite et socialistes de gauche

Mantra numéro 2: insulter ses "adversaires" socialistes de droite sur des motifs bidons (exemple: "DSK, c'est que un caca boudin arrogant, na!")

Mantra numéro 3: prendre soin de ne pas s'attaquer aux hommes proches du pouvoir (Lamour) et/ou propriétaires de grandes entreprises notamment de presse (Lagardère).

Mantra numéro 4: Ne pas oublier de prendre soin du pénis des hommes de pouvoir.

Mantra numéro 1 : différencier les purs (les libéraux les vrais les durs les tatoués "libertariens") des vilains (intouchables, tous socialistes, "l'UMPS", orcs, snaga ou uruk-hai du Léviathan horrible Seigneur de l'Anneau Etatique)

Mantra numéro 2 : ridiculiser ses adversaires, les mettre en Ignore List, leur répéter qu'ils sont nazes et ne savent pas argumenter, comme ça pas besoin de répondre aux arguments

Mantra numéro 3 : refuser la distinction pratique/théorique. Refuser tout rappel au réel et à la faisabilité des choses. Brûler celui qui parle de pragmatisme, c'est l'ennemi numéro 1, il met les libertariens aux côtés des trotskystes et des bovétistes, face à l'inanité de leur rêve de rupture totale avec le système et le conditionnement social, face à l'orgueil monstrueux de leur condamnation de ce qui existe au nom d'une chimère théorique. Pas d'autre solution que l'Ignore List face à cet importun. Ne pas oublier de bien répéter qu'il est naze et ne sait pas argumenter.

Mantra numéro 4 : prendre soin de répéter à l'adversaire qu'il est naze et ne sait pas argumenter (oui cet argument tient lieu encore et toujours de recours lorsqu'on est à bout de ficelles logiques)

Mantra numéro 5 : bien rappeler à celui qui est dans le système qu'il est un vendu, un soumis, un larbin, bien l'humilier pour se sentir soi encore plus pur lorsqu'on refuse tout, tout est si sale dans ce qui touche à l'Etat…

Mantra numéro 6 : quand une vérité résiste, la mettre en signature avec ironie pour essayer de la démolir en démontrant que c'est forcément une absurdité qu'un imbécile seul peut croire au premier degré. Nous les intelligents, les éclairés, les purs, nous savons que c'est une connerie, et que nous avons raison de résister aux tchandalas de l'UMPS.

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