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Libéralisme Idéal "questions"


Invité ze_real_hope

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Invité ze_real_hope
Posté

Complètement néophyte,

Un certains nombre de question me viennent à l'esprit.

- Je souhaiterai connaitre à quoi ressemble un état totalement libéral?

- A qui un tel modèle profite t-il réellement?

- Quelles sont les éléments clés qui garantissent que le système ne sombre dans une crise pareille à la crise argentine?

- Quels risques courrons dans un pays où les médias sont privatisés?

- Quels risques courrons dans un pays où les entreprises publiques sont ruinées?

- Le libéralisme peut-il engendrer la corruption?

J'attends vos éclaircissements merci.

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Posté
Complètement néophyte,

Un certains nombre de question me viennent à l'esprit.

- Je souhaiterai connaitre à quoi ressemble un état totalement libéral?

- A qui un tel modèle profite t-il réellement?

- Quelles sont les éléments clés qui garantissent que le système ne sombre dans une crise pareille à la crise argentine?

- Quels risques courrons dans un pays où les médias sont privatisés?

- Quels risques courrons dans un pays où les entreprises publiques sont ruinées?

- Le libéralisme peut-il engendrer la corruption?

J'attends vos éclaircissements merci.

Rapidement :

-A la même chose qu'un pays normal, mais tout fonctionne mieux, tout est moins cher, tout le monde vit mieux, la polution et le chommage sont au plus bas, et personne n'a peur.

-A la grande majorité des gens, il suffit de se bouger le cul pour en profiter. Même une personne aujourd'hui profiteuse, avec une mentalité d'esclave ou d'assité, pourra trouver son compte en société libérale si elle le veut vraiment.

-La crise en argentine a été partiellement provoquée par le fait qu'on s'est contenté d'ouvrir les frontière sans réforme de l'économie intérieur (un peu comme si l'URSS de Staline s'ouvrait au commerce internationale tout en conservant une économie de collectivisation en interne), le résultat ne pouvait être autre chose qu'une catastrophe. Il faut ajouter que le pays était déjà en crise avant qu'on ouvre les frontière (4000% d'inflation, qqchose comme ça). L'ouverture des frontière a provoqué un calme trompeur : la crise a semblé se résorber dans un premier temps pour reprendre plus violemment que jamais ensuite. Ceci n'est en rien comparable avec la situation économique d'un pays vraiment libéral (hint ne pas se fier aux critères/dires/affirmation du FMI ou de la Banque Mondiale pour savoir quel pays est vraiment libéral et ce qu'est vraiment le libéralisme : Ces deux organismes sont gérées par des Etats, et non pas indépendants comme on le fait souvent croire).

-On peut retourner la question : Quels risques courront nous dans un pays ou les médias sont à la botte de l'État (someone said 'propaganda') ? De manière plus générale, les médias étant d'une effroyable inutilité, la question de savoir s'il sont privés ou publiques est anecdotique.

-Dans un pays libéral les entreprises publiques ne sont pas ruinées : elle n'existe pas. D'une, et ensuite, une entreprise publique est toujours ruinée, par définition. Que ce soit dans des pays communistes ou des sociales démocratie ou même des pays partiellement libéraux, les entreprises publiques ont toujours étées et seront toujours criblées de dette.

-La corruption n'est que la démonstration de ce que la loi de l'offre et de la demande n'est pas une convention arbitraire mais une loi naturelle aussi imprescriptible que celle de la gravité. Quand l'Etat essaye de la détruire, la corruption rétabli l'équilibre. Et plus l'Etat tente de contrôler l'économie (donc grossi) plus il y a de corruption. Réciproquement, moins il y a d'Etat, moins il y a de corruption : Dans une société libérale, le concept même de corruption n'a plus de sens.

Posté

Une société libéral a ic sur ce forum plusieurs formes. Même si on est pas en accord avec la forme, on est en parfait accord sur le respect des droits naturels de chacun.

Un société libérale banni le collectivisme. C'est à dire qu'il n'y a pas de plus forte autorité que celle du citoyen. Je m'arrête là parce que les différences commencent là.

Pour ce qui est de l'éxistance de l'Etat, les libertariens se prononcent pour l'abolition de l'Etat. Différents mécanismes permettent de faire respecter le droit naturel de chacun dont les compagnies d'arbitrage. Ces compagnies, privées et en libre concurrence, utilisent des peines en liquidité pour faire respecter le droit.

Pour les républicains, l'Etat existe et est l'arbitre. Il détient lui seul la force. Les moyens de contrainte peuvent être des contraintes par corps. Par contre, ses pouvoirs sont limité. Sa légitimité est donné par la nation.

Voici un texte qui vous rapellera certainement quelque chose mais si il est appliqué, il défini parfaitement ce qu'est un Etat libéral.

Les représentants du peuple français, constitués en “Assemblée nationale”, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif pouvant à chaque instant être comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.

En conséquence, l'“Assemblée nationale” reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l'Être suprême, les droits suivants de l'homme et du citoyen :

Article premier - Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.

Article II - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.

Article III - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.

Article IV - La liberté consiste à faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.

Article V - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.

Article VI - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens, étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leurs capacités et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.

Article VII - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l'instant; il se rend coupable par la résistance.

Article VIII - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit et légalement appliquée.

Article IX - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne sera pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.

Article X - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.

Article XI - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la loi.

Article XII - La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.

Article XIII - Pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable. Elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.

Article XIV - Chaque citoyen a le droit, par lui-même ou par ses représentants, de constater la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.

Article XV - La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration.

Article XVI - Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a pas de Constitution.

Article XVII - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.

Posté

ze_real_hope : Comme tu es nouveau, je te recommande de faire ce que beaucoup d'entre nous ont déjà fait : ignorer Nicolas Luxivor, qui est une machine à répéter inlassablement les mêmes choses.

Posté
Rapidement :

-A la même chose qu'un pays normal, mais tout fonctionne mieux, tout est moins cher, tout le monde vit mieux, la polution et le chommage sont au plus bas, et personne n'a peur.

-A la grande majorité des gens, il suffit de se bouger le cul pour en profiter. Même une personne aujourd'hui profiteuse, avec une mentalité d'esclave ou d'assité, pourra trouver son compte en société libérale si elle le veut vraiment.

-La crise en argentine a été partiellement provoquée par le fait qu'on s'est contenté d'ouvrir les frontière sans réforme de l'économie intérieur (un peu comme si l'URSS de Staline s'ouvrait au commerce internationale tout en conservant une économie de collectivisation en interne), le résultat ne pouvait être autre chose qu'une catastrophe. Il faut ajouter que le pays était déjà en crise avant qu'on ouvre les frontière (4000% d'inflation, qqchose comme ça). L'ouverture des frontière a provoqué un calme trompeur : la crise a semblé se résorber dans un premier temps pour reprendre plus violemment que jamais ensuite. Ceci n'est en rien comparable avec la situation économique d'un pays vraiment libéral (hint ne pas se fier aux critères/dires/affirmation du FMI ou de la Banque Mondiale pour savoir quel pays est vraiment libéral et ce qu'est vraiment le libéralisme : Ces deux organismes sont gérées par des Etats, et non pas indépendants comme on le fait souvent croire).

-On peut retourner la question : Quels risques courront nous dans un pays ou les médias sont à la botte de l'État (someone said 'propaganda') ? De manière plus générale, les médias étant d'une effroyable inutilité, la question de savoir s'il sont privés ou publiques est anecdotique.

-Dans un pays libéral les entreprises publiques ne sont pas ruinées : elle n'existe pas. D'une, et ensuite, une entreprise publique est toujours ruinée, par définition. Que ce soit dans des pays communistes ou des sociales démocratie ou même des pays partiellement libéraux, les entreprises publiques ont toujours étées et seront toujours criblées de dette.

-La corruption n'est que la démonstration de ce que la loi de l'offre et de la demande n'est pas une convention arbitraire mais une loi naturelle aussi imprescriptible que celle de la gravité. Quand l'Etat essaye de la détruire, la corruption rétabli l'équilibre. Et plus l'Etat tente de contrôler l'économie (donc grossi) plus il y a de corruption. Réciproquement, moins il y a d'Etat, moins il y a de corruption : Dans une société libérale, le concept même de corruption n'a plus de sens.

Nickel comme réponse.

Une société libre (donc sans Etat), bani le monopôle de la violence et vise à limiter au maximum les relations de violence entre individus.

Maintenant, pour retourner la question, jaimerai que tu nous dises, ze_real_hope, quels sont les domaines dans lesquels l'Etat est supérieur au privé dans un système de concurrence.

Pour prendre un exemple : la police. N'imagines-tu pas qu'une police privée - subissant la concurrence - devra limiter au maximum l'insécurité de ses clients. Donc agir à priori pour empêcher au maximum le crime. De même, cette police aura tout intérêt à ne pas faire de bavure, sans quoi elle perdra sa clientèle. Et ainsi de suite.

Posté
ze_real_hope : Comme tu es nouveau, je te recommande de faire ce que beaucoup d'entre nous ont déjà fait : ignorer Nicolas Luxivor, qui est une machine à répéter inlassablement les mêmes choses.

Ce message reflete parfaitement la grande ouverture d'esprit des féodaux… :doigt:

Fait donc ce qu'il te plait ! :icon_up:

Invité critico
Posté
Rapidement :

-A la même chose qu'un pays normal, mais tout fonctionne mieux, tout est moins cher, tout le monde vit mieux, la polution et le chommage sont au plus bas, et personne n'a peur.

-A la grande majorité des gens, il suffit de se bouger le cul pour en profiter. Même une personne aujourd'hui profiteuse, avec une mentalité d'esclave ou d'assité, pourra trouver son compte en société libérale si elle le veut vraiment.

-Dans un pays libéral les entreprises publiques ne sont pas ruinées : elle n'existe pas.

-La corruption n'est que la démonstration de ce que la loi de l'offre et de la demande n'est pas une convention arbitraire mais une loi naturelle aussi imprescriptible que celle de la gravité. Quand l'Etat essaye de la détruire, la corruption rétabli l'équilibre. Et plus l'Etat tente de contrôler l'économie (donc grossi) plus il y a de corruption. Réciproquement, moins il y a d'Etat, moins il y a de corruption : Dans une société libérale, le concept même de corruption n'a plus de sens.

Bravo pour la langue de bois ! Tu as piqué tout ça dans le petit livre rouge de la LCR en en changeant simplement les mots ?

Pour rendre le libéralisme économique crédible, il ne faut pas jouer au grand sorcier qui invoque les esprits .

Tu affirmes sans apporter le moindre début de preuve : une démonstration est ici absolument indispensable sinon le néophyte va rigoler un bon coup .

- " Tout est moins cher" . Tu dois expliquer pourquoi : la concurrence , le marché ,…en précisant dans quelles conditions fonctionne la loi de l'offre et de la demande .

- " Tout le monde vit mieux" . Donc simultanément, élévation du niveau de vie par accroissement de la richesse produite et diminution du temps de travail . Ca rappelle le " demain on rase gratis " des cocos .

- "La pollution et le chômage sont au plus bas" . Pour la pollution c'est d'accord, mais pour le chômage tu t'es avancé en terrain miné . Il te faudra faire une remarquable démonstration , dont pourraient d'ailleurs s'inspirer les responsables de l'Euroland . Tu es mal barré mon vieux .

- " Personnes profiteuse…" . Nous y voilà , comme chez les marxistes . L'homme doit s'adapter, se remuer le cul . Alors ? La carotte ou le bâton ? Qui va s'occuper des restos du coeur ou des goulags ? D'autant plus que le RMI et les autres bontés de l'Etat auront disparu . Gros poblème ici .

- Les entreprises publiques . Là je suis entièrement d'accord . C'est évident .

- La corruption . La relation entre elle et le poids de l'Etat ne résiste pas à l'observation . Dans le monde aujourd'hui, les pays où la corruption est la plus généralisée sont ceux où les pouvoirs publics sont le moins structurés . Exemple les pays d'Afrique . Quant aux effets bénéfiques de la concurrence, tu repasseras : marchés publics chez nous, les JO, ….

Soyons sérieux pour être crédibles !

Invité critico
Posté
En effet, je propose donc de lourder Critico, nous gagnerons alors beaucoup en crédibilité.

Un peu léger comme réponse mais ça ne m'étonne guère.

"Eliminons celui qui nous empêche de raconter n'importe quoi .

Comme ça on pourra continuer de dérouler notre credo entre nous .

Qu'on est bien au milieu de nos certitudes ! "

Mort de rire, le pôvre Critico .

Posté
- La corruption . La relation entre elle et le poids de l'Etat ne résiste pas à l'observation . Dans le monde aujourd'hui, les pays où la corruption est la plus généralisée sont ceux où les pouvoirs publics sont le moins structurés . Exemple les pays d'Afrique . Quant aux effets bénéfiques de la concurrence, tu repasseras : marchés publics chez nous, les JO, ….

Soyons sérieux pour être crédibles !

Après cette bourde énorme sur les Etats africains, tu demandes du "sérieux pour être crédible"…

Dans les pays d'Afrique, l'Etat n'est peut-être pas structuré mais le moindre fonctionnaire veut son bakchich. Pour les Etats effondrés ou en voie de l'être, la corruption est décuplée. Un fonctionnaire qui n'est pas sûr de recevoir son traitement va profiter de sa position et des moyens de coercition qui en découle.

Il peut y avoir des organisations en lutte contre l'Etat. Mais elles appliquent le schéma étatique.

Bref, cela n'a rien à voir avec des pouvoirs structurés, bien au contraire.

Posté
En effet, je propose donc de lourder Critico, nous gagnerons alors beaucoup en crédibilité.

Il a l'air très préoccupé par les restos du coeur, les goulags, le RMI et les "autres bontés de l'Etat" (qui sont le résultat du vol des contribuables). Sans doute est-ce un collectiviste-étatiste (à peine) masqué. A-t-il sa place ici ? J'en doute.

Posté

A propos de concepts qui n'ont pas leur place dans une société libérale : le lourdage et le plonkage.

Personne n'est exclu dans une société libérale grâce à l'égalité en droit.

Personne n'est ignoré grâce encore à l'égalité en droit.

C'est pour cela que je répète beaucoup de fois la même chose… En parlant d'un rôle très limité de l'Etat, on s'attache seulement aux concepts de base. Forcément, le superflu est éliminé et quand d'autres parlent du superflu,…

Un peu comme le sketch de Fernand Raynaud :

Je voudrais un café avec des croissants…

- Désolé Monsieur nous n'avons pas de croissants.

Alors donnez moi un thé avec des croissants…

….

Posté
A propos de concepts qui n'ont pas leur place dans une société libérale : le lourdage et le plonkage.

Personne n'est exclu dans une société libérale grâce à l'égalité en droit.

Personne n'est ignoré grâce encore à l'égalité en droit.

Le droit de propriété, c'est le droit d'exclure et le droit d'ignorer.

Posté
A propos de concepts qui n'ont pas leur place dans une société libérale : le lourdage et le plonkage.

Personne n'est exclu dans une société libérale grâce à l'égalité en droit.

Personne n'est ignoré grâce encore à l'égalité en droit.

Le libéralisme implique la garantie que tu seras toujours libre de virer qui que ce soit de ta propriété. C’est aussi la liberté d'expression, c'est aussi la liberté de voter pour une charte qui m'interdit de dire xxxxxxx xxxxxxx est un xxxx trou xx xxx et un xxxxxxxx de sa xxxx et aussi un xxxxxxxxx et enfin un zigomar.

xxxxx

En fait le libéralisme te garanti de pouvoir te fixer tes propre règles y compris celles d'autoriser le plonk et l'exclusion sur un forum, du moment que ma chartre de celui-ci ne l'interdit pas, l'égalité en droit c'est que tout le monde à le droit de plonker tout le monde ou personne n'as le droit de plonker personne.

Posté

C'est vrai, j'aurai du préciser mes propos. Il était évident pour moi que l'individu a le droit d'exclure et d'ignorer. Mais pas "l'Etat". N'oublions pas non plus que nous ne parlons que de pensées. Pas d'une quelconque violation des droits naturels.

Un homme ayant un droit identique à un autre, a vis à vis d'une administration, un droit d'éxistance et de reconnaissance. Une administration étant une propriété de l'Etat (sens républicain), n'importe quel individu sera sur d'être respecté au moins à la hauteur de ses droits naturels et de la non violation de ceux des autres.

Il aura toujours la possibilité de dire tout ce qu'il veut. De proposer une loi si il le veut et de convaincre. C'est grace à ce mécanisme par exemple, que l'on peut s'exprimer dans un forum libertarien hébergé dans une nation républicaine.

Posté

Oui tu as raison je pense que nous devrions crée une citée état où nous exclurions tous les critico de la terre pour diffusion d'idées populistes, manque de réflexion, influence altermonstrodialeuse, manque de lectures, manque d'arguments et manque de cerveau :icon_up::doigt::warez:

Posté
Oui tu as raison je pense que nous devrions crée une citée état où nous exclurions tous les critico de la terre pour diffusion d'idées populistes, manque de réflexion, influence altermonstrodialeuse, manque de lectures, manque d'arguments et manque de cerveau  :icon_up:  :doigt:  :warez:

Le problème c'est que cette citée serait très fréquentée :warez:

Posté
- " Tout est moins cher" . Tu dois expliquer pourquoi : la concurrence , le marché ,…en précisant dans quelles conditions fonctionne la loi de l'offre et de la demande.

http://www.liberaux.org/wiki/index.php?title=Concurrence

http://www.liberaux.org/wiki/index.php?title=March%C3%A9

http://www.liberaux.org/wiki/index.php?title=%C3%89change

http://www.liberaux.org/wiki/index.php?tit…de_%28loi_de%29

http://www.liberaux.org/wiki/index.php?tit…re-%C3%A9change

- " Tout le monde vit mieux" . Donc simultanément, élévation du niveau de vie par accroissement de la richesse produite et diminution du temps de travail . Ca rappelle le " demain on rase gratis " des cocos.

http://www.liberaux.org/wiki/index.php?title=Richesse

- "La pollution et le chômage sont au plus bas" . Pour la pollution c'est d'accord, mais pour le chômage tu t'es avancé en terrain miné . Il te faudra faire une remarquable démonstration , dont pourraient d'ailleurs s'inspirer les responsables de l'Euroland . Tu es mal barré mon vieux.

http://www.liberaux.org/wiki/index.php?title=Pollution

http://www.liberaux.org/wiki/index.php?title=Travail

- " Personnes profiteuse…" . Nous y voilà , comme chez les marxistes . L'homme doit s'adapter, se remuer le cul . Alors ? La carotte ou le bâton ? Qui va s'occuper des restos du coeur ou des goulags ? D'autant plus que le RMI et les autres bontés de l'Etat auront disparu. Gros poblème ici.

http://www.liberaux.org/wiki/index.php?title=Solidarit%C3%A9

- La corruption . La relation entre elle et le poids de l'Etat ne résiste pas à l'observation . Dans le monde aujourd'hui, les pays où la corruption est la plus généralisée sont ceux où les pouvoirs publics sont le moins structurés . Exemple les pays d'Afrique . Quant aux effets bénéfiques de la concurrence, tu repasseras : marchés publics chez nous, les JO, ….

http://www.liberaux.org/wiki/index.php?title=Bureaucratie

tiens, il manque un article "corruption", indubitablement.

Invité Talia
Posté

Je suis un peu perdue :icon_up: J'ai été me renseigner sur plusieurs sites, mais je ne comprends plus …

Certains libéraux parlent "d'Etat de droit"

Il faut des institutions fortes pour garantir un "Etat de droit", c’est-à-dire un Etat respectueux des droits individuels fondamentaux.

D'autres de la suppression de l'Etat ou encore la réduction du pouvoir de l'Etat au stricte minimum ?

Il faut savoir, l'Etat doit disparaître ou bien il faut garantir un "Etat de droit" ?

Qu'est-ce qu'un Etat de droit ? Des institutions (de préférences démocratiques… reste à définir ce qu'est la démocratie) qui définissent (pouvoir législatif) un ensemble de règles (le droit objectif) à appliquer (pouvoir exécutif et un de ses services, la police) pour tout le monde.

C'est quoi l'idéal ? En réduisant les pouvoirs de l'Etat, dans quels secteurs interviendrait-il ? Faut-il tout privatiser ? (Police - Justice)

:warez:

:doigt:

Autre question : vous pensez quoi de ce site : (du programme) ?

http://cvincent.club.fr/textes/textes/programmeliberal.htm

Posté
Il faut savoir, l'Etat doit disparaître ou bien il faut garantir un "Etat de droit" ?

Qu'est-ce qu'un Etat de droit ? Des institutions (de préférences démocratiques… reste à définir ce qu'est la démocratie) qui définissent (pouvoir législatif) un ensemble de règles (le droit objectif) à appliquer (pouvoir exécutif et un de ses services, la police) pour tout le monde.

Les libertariens, et surtout les anarcaps sont pour la disparition de l'Etat.

Les libéraux classiques sont (par défaut) pour un Etat minimal qui dispose des fonctions régaliennes, de justice, police, armée et diplomatie.

En ce qui concerne l'Etat de droit, il y a un très bon article dans le wikibéral (puisque c'est moi qui l'ait rédigé :icon_up:) : http://www.liberaux.org/wiki/index.php?title=Etat_de_droit

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