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Complainte Chez Ardisson


ricotrutt

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je suis un grand fan de l'émission "tout le monde en parle" d'Ardisson mais je tiens à pousser un coup de gueule contre la complainte à la con à laquelle on a eu le droit en début d'émission concernant les incendies dans les logements sociaux. Ca puait le lieu-commun et la gnangnaterie de bas niveau. Il nous avait habitué à mieux

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je suis un grand fan de l'émission "tout le monde en parle" d'Ardisson mais je tiens à pousser un coup de gueule contre la complainte à la con à laquelle on a eu le droit en début d'émission concernant les incendies dans les logements sociaux. Ca puait le lieu-commun et la gnangnaterie de bas niveau. Il nous avait habitué à mieux

C'est le shtroumph grognon qui se moque de Caliméro :icon_up:

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Le message de Stomy Bugsy cumulait vraiment tous les poncifs du genre: "tout le monde est responsable", "avec tout ce que la France a pris en Afrique…", "il faut construire plus de logements sociaux", :icon_up:

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Ouiiin, pour une fois j'ai raté l'émission. Tellement crevé, je me suis endormi à 21h. :icon_up: Mais bon, c'est pas la première fois qu'il nous joue son gaucho…

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mais ARDISSON est tjrs comme ça, le méchant liberalisme, les pov' noirs etc.. je peux pas blairer ce con !

Il illustre à la perfection l'hypocrisie de ce milieu.

Par exemple, pour le jeu de fin d'émission (dont j'ai oublié le nom :icon_up: ), lors de la phase finale où chacun joue pour lui-même, il dit toujours: "maintenant, c'est chacun pour soi, c'est le libéralisme!". On s'attendrait à ce que les participants, bien-pensant qu'ils sont, refusent de jouer. Or c'est souvent la phase la plus animée du jeu. :doigt:

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Ce jeu s'appelle le Blind Test, fort prisé par quelques libertariens ici :doigt:

Et, non, je ne rappellerai pas une certaine anecdote de crainte de froisser certains. :icon_up:

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http://www.dhnet.be/index.phtml?content=ht…phtml?id=129408

«Je me défonçais du matin au soir» (10/09/2005)

 

© FRANCE 2

Tentative de suicide, cocaïne, homosexualité… Dans son autobiographie, Ardisson dit tout

BRUXELLES Thierry Ardisson a beau être un fervent catholique, on sait depuis longtemps qu'il n'a jamais rien eu d'un saint. Mais quand même, là, ça dépasse tout ce qu'on pouvait imaginer! Dans son autobiographie, intitulée Confessions d'un baby-boomer, qui sort le 16 septembre chez Flammarion, l'animateur laisse tomber sa veste noire pour se mettre à nu. L'homme, qui est aujourd'hui revenu en grande partie de ses excès (il est marié depuis 20 ans avec la même femme, Béatrice, avec qui il a 3 enfants), y dresse un portrait peu reluisant de lui-même.

Comment il a plongé: la vie d'Ardisson bascule en 1966 sur une plage de Juan-les-Pins lorsqu'il est abordé par Johnny Honeywood, patron d'une boîte de nuit. A l'époque, Thierry n'a que 17 ans et Honeywood lui propose de devenir DJ. «Ce type m'a mis sur la voie de ce que serait ma vie. Une vie avec de la musique, du spectacle, de la drogue, du sexe, du fric, des livres, de la télé. Tout est parti de ce coin de plage.»

Homosexualité: l'animateur décrit «les folies orgiaques des chambres de Juan-les-Pins où les mecs baisaient entre eux.» Il affirme qu'il se contentait de regarder. Mais il ira malgré tout une fois plus loin. «Un de ces soirs, je me suis fait un mec. On s'est roulé des pelles dans la voiture. Il est monté chez moi. On ne peut pas dire que j'y ai pris du plaisir.»

Avortement: «C'est sans doute un soir de haschich que j'ai mis Christiane, ma première épouse, enceinte. Et j'ai fait pire. J'ai décidé de la faire avorter. Ça s'est passé sur la table de cuisine d'une faiseuse d'anges à coups d'aiguille à tricoter. Le gosse est parti dans les chiottes.» :icon_up:

Suicide: lorsque, deux ans plus tard, il découvre que Christiane le trompe, il décide de s'ouvrir les veines. Il sera sauvé in extremis.

Drogue: en 1974, il part avec Christiane à Bali. Là-bas, il rencontre un milliardaire qui initiera le couple aux paradis artificiels: héroïne, cocaïne… Ardisson essayera tout. «La défonce commençait au petit-déjeuner avec les omelettes aux champignons hallucinogènes. J'étais du matin au soir occupé à me défoncer.»

Conquêtes: il révèle qu'il a été l'amant de Soraya, la première femme du Shah d'Iran.

La pub: dans les années 70 et 80, il crée plusieurs agences. «C'était l'époque où je me la jouais killer et fier de l'être. J'ai dessoudé des mecs à bout portant, affectivement et professionnellement. Je n'aurais pas voulu me croiser dans certaines circonstances. J'étais capable de tout.»

Fogiel: à propos de son ennemi du Paf, Ardisson dénonce la stratégie de l'imitation. «Pepsi contre Coca, on connaît ça en marketing.»

"Sa vie, c'est une suite de romans"

PARIS Journaliste médias et producteur télé, Philippe Kieffer raconte son Thierry Ardisson.

Comment est né Mémoires d'un baby-boomer, le livre que vous avez rédigé avec Thierry Ardisson?

«Un jour, un magazine annonçait la mort médiatique de Thierry Ardisson. Je l'ai appelé pour lui proposer un projet: je souhaitais faire un documentaire sur lui pour la télé. J'ai juste eu le temps de lui dire que j'avais un projet, et là, il me dit: Je suis d'accord pour faire un livre. Je lui ai alors répondu oui, mais à une condition: Thierry, raconte-moi ta vie. On a inversé les rôles…»

Vous pensez qu'il vous a dit tout sur tout ?

«Nous avions un pacte initial: donc, tu me racontes ta vie… et tu assumes! Il a énormément travaillé, entre mai 2003 et janvier 2004, nous avions des séances hebdomadaires de deux heures. C'était un échange permanent, il a vraiment joué le jeu. Je pense qu'il n'a rien caché.»

Justement, durant ces heures d'entretien, il est arrivé qu'il vous surprenne par ce qu'il racontait?

«Mais à chaque séance, j'étais surpris! On se connaissait sans se connaître depuis vingt ans, jamais on n'avait dîné ensemble… Mais voilà, sa vie est une suite de chapitres. De romans. Il m'a beaucoup parlé de son enfance, de son adolescence. Il m'a avoué qu'il s'est inventé des enfances parce qu'il a grandi dans une famille dont le père travaillait sur des chantiers. Six mois là, un an ailleurs et ainsi de suite. Thierry Ardisson n'a pas de liste d'amis d'enfance, par exemple…»

Vous le voyez finir en vieil animateur télé?

«On va encore le voir à la télé parce qu'il y a des choses à inventer! Mais il a très envie d'aller vers le cinéma et surtout la littérature. Pour y prouver qu'il a un vrai talent d'écriture…»

© La Dernière Heure 2005

Frédéric Seront

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Un avortement illégal. Une expérience homosexuelle. De la défonce. Une évolution vers les média et les professions du spectacle. Il ne manque plus que les barricades de mai 68…

Et dire que c'est cette génération, de Bush à Sarkozy, qui est au pouvoir…

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Le message de Stomy Bugsy cumulait vraiment tous les poncifs du genre: "tout le monde est responsable", "avec tout ce que la France a pris en Afrique…", "il faut construire plus de logements sociaux",  :icon_up:

Stomy Bugsy est l'homme à abattre. Non pas pour la connerie qu'il a proférée, mais parce qu'il sort avec cette fille (Noémie Lenoir) :

noemie_lenoir6.jpg

noemie_lenoir15.jpg

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Stomy Bugsy est l'homme à abattre. Non pas pour la connerie qu'il a proférée, mais parce qu'il sort avec cette fille (Noémie Lenoir) :

[…]

Plus maintenant, elle vient de faire un bébé avec Claude Makelele:

http://us.imdb.com/name/nm1105708/bio

Il faut croire qu'elle en a eu marre des platitudes de l'ami Stomy.

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Elle est jolie, mais qu'est-ce qu'elle est bête, mon Dieu, c'est ouf.

Tu sais, avec ce genre de fille, je me contrefous de connaître leur opinions au sujet de la société sans État dans l'Islande médiévale ou de la controverse qui opposa Newton et Leibniz sur la paternité du calcul différentiel.

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Tu sais, avec ce genre de fille, je me contrefous de connaître leur opinions au sujet de la société sans État dans l'Islande médiévale ou de la controverse qui opposa Newton et Leibniz sur la paternité du calcul différentiel.

Tu préfères sans doute rester au ras de la pelouse ?

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Tu préfères sans doute rester au ras de la pelouse ?

Les plaisirs simples ne sont jamais à dédaigner. :icon_up: Je me souviens, encore, avec très grand plaisir d'une certaine demoiselle dont le plus grand effort intellectuel qu'elle pouvait consentir était de manger proprement un éclair à la crème.

[C'était notre minute de machisme.]

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