Aller au contenu

Le Modèle Républicain D'intégration


Messages recommandés

Posté
  Hellboy a dit :
L’abus d’Etat nuit gravement à votre santé et à celle de votre entourage… devrait on écrire sur les bâtiments administratifs.

Excellente idée …

abusEtat.jpg

Posté

Un article intéressant du Figaro. Ca me fait penser qu'à Bruxelles, certains quartiers anciennement marocains (je pense à la rue Ropsy-Chaudron, entre autres) sont devenus des quartiers noirs. A tel point qu'on n'y trouve presque plus de Marocains, comme on ne trouve presque plus de Belges dans les quartiers marocains.

  Citation
Davantage de Noirs chez les émeutiers Les enfants d'origine africaine, de plus en plus nombreux, cumulent les handicaps qui favorisent l'entrée dans la délinquance.

Cécilia Gabizon

[11 novembre 2005]

«CE SONT des bandes de Noirs qui font tout ça», assurait Fatima, 43 ans, après la première nuit de violences à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). «Ils traînent tout le temps dehors et leurs parents s'en fichent», s'énervait-elle, soucieuse de marquer la différence avec les familles maghrébines installées de plus longue date dans la cité des 3000.

Au-delà des rivalités entre ces différentes vagues d'immigration qui se rejettent la responsabilité de la dégradation de leurs quartiers, policiers et travailleurs sociaux ont maintes fois signalé, sans jamais pouvoir la chiffrer, l'augmentation de la délinquance des jeunes issus de l'immigration africaine.Au cours des dernières nuits d'émeutes, «il y avait plus de Noirs que de Maghrébins», confirment les policiers de la Seine-Saint-Denis. «Cela reflète la situation démographique dans certaines cités : Noisy-le-Grand, Aulnay, La Courneuve sont très largement peuplées de familles d'Afrique subsaharienne.»

Ces vingt dernières années, plus de 250 000 Africains sont arrivés en France, sans compter les clandestins. Beaucoup se sont installés en Ile-de-France et notamment dans les cités HLM les plus dégradées. Car ces familles sont en moyenne deux fois plus importantes que les autres et peinent à se loger ailleurs. Les femmes, encore nées en Afrique pour la plupart, ont conservé les habitudes du pays d'origine et sont souvent mères de cinq ou six enfants. Dans les foyers polygames, estimés à 12 000, on dénombre en moyenne douze personnes.

Livrés à eux-mêmes

En quelques années, le nombre des jeunes Noirs a donc sensiblement augmenté, jusqu'à représenter 17% de l'ensemble des Français d'origines africaine, maghrébine et turque, selon les données du recensement de 1999, spécialement analysées par deux chercheurs du Cevipof. Dans ce groupe d'origine étrangère, 6% des 18-24 ans se disaient prêts en avril dernier à causer des dégâts matériels pour protester, contre 2% du panel-miroir composé à l'image de la société française. «On ne peut pas parler de culture de la violence», estime le politologue Vincent Tiberj. En revanche, les enfants d'Africains cumulent les critères qui favorisent l'entrée dans la délinquance : ils sont issus de familles pauvres, se trouvent souvent en échec scolaire et vivent principalement dans la rue, car leur logement est surpeuplé. «Sous prétexte qu'en Afrique, c'est le village tout entier qui élève les enfants, les parents ne les surveillent pas», commente un policier de la brigade des mineurs de Saint-Denis.

Livrés à eux-mêmes, sans argent, certains commencent «dès 12-13 ans» à voler, profitant d'être en bande pour impressionner leurs victimes. «Bien souvent, leurs familles sont dans la précarité et vivent d'allocations familiales. Elles ferment les yeux sur ces rapines», assure un commissaire de Saint-Denis, qui regrette que des fratries entières soient connues de la justice.

Posté
  Gadrel a dit :
Un article intéressant du Figaro. Ca me fait penser qu'à Bruxelles, certains quartiers anciennement marocains (je pense à la rue Ropsy-Chaudron, entre autres) sont devenus des quartiers noirs. A tel point qu'on n'y trouve presque plus de Marocains, comme on ne trouve presque plus de Belges dans les quartiers marocains.

Ceci est d'ailleurs à rapprocher d'un de vos ouvrages evopsy de référence (Pq les femmes des riches sont belles, il me semble - et que j'ai moi aussi beaucoup apprécié) : les familles nombreuses ont beaucoup de jeunes, et de jeunes mâles de moins de 30 ans ; dans les cités, je pense que le ratio est supérieur à 0,4 hommes <30 ans sur les hommes >30 ans…

Posté
  Hellboy a dit :
:icon_up: Traduction?

Цель человеческой жизни и смысл счастья заключается в том, чтобы дать максимум того, что человек может дать.

« La finalité de la vie humaine et le sens du bonheur consistent à donner le maximum de ce qu'on peut donner. »

(Alexander Alekhine, champion du monde d'échecs)

Posté
  Hellboy a dit :
Oui et ceux qui aurait des doutes pourront trouvez la scène dans son contexte dans la dernière émission d’ASI encore disponible via le net.

http://www.france5.fr/asi/007548/10/129836.cfm

Le prochain numéro pourrait être assez croustillant, dimanche à 12h30 sur France5.

http://www.france5.fr/asi/007548/11/129994.cfm

  ASI - Vu de l a dit :
Que pensent les journalistes étrangers des émeutes en France ? Déconseillent-ils le tourisme à leurs ressortissants ? Comment expliquer l'intérêt des chaînes étrangères pour ces événements ? Montrent-elles des armes dans les banlieues françaises ? Voient-elles dans ces violences une montée de l'islamisme en France ? Ces violences urbaines leur donnent-elles l'occasion de critiquer et de ricaner de la France ?

Oui, j'avais oublié de le préciser, mais mon post de dimanche était assez inspiré de ce que j'ai pu voir durant cette émission! (d'ailleurs, j'ai souvent parler d'ASI, très bonne émission au demeurant)

Posté
  h16 a dit :
Ceci est d'ailleurs à rapprocher d'un de vos ouvrages evopsy de référence (Pq les femmes des riches sont belles, il me semble - et que j'ai moi aussi beaucoup apprécié) : les familles nombreuses ont beaucoup de jeunes, et de jeunes mâles de moins de 30 ans ; dans les cités, je pense que le ratio est supérieur à 0,4 hommes <30 ans sur les hommes >30 ans…

Exactement. J'en parlais justement avec Philippe Gouillou (auteur de "Pourquoi les femmes…") il y a deux jours et nous étions arrivés à la conclusion que le ratio de Mesquida s'appliquait aux banlieues et devait jouer un rôle beaucoup plus important que les débilités sur le chômage, etc.

  Citation
"Pourquoi… "

Mesquida et Wiener ont constaté que si le ratio entre les hommes de 15 à 29 ans et ceux de 30 ans et plus dépasse les 0,40, le risque d’agression collective devient important et croît avec l’augmentation de ce ratio (Wiener & Mesquida, 1996 ; Mesquida & Wiener, 1999). Reportés sur une mappemonde, les résultats sont impressionnants : quasiment tous les pays où le ratio atteint 0,5 sont en période de conflits collectifs, alors que les pays bénéficiant d’un ratio inférieur à 0,34 sont presque tous en période de paix. Ce modèle explique également l’histoire : l’Allemagne d’avant la première guerre mondiale connaissait un surplus de jeunes hommes (ratio de 0,75 en 1910) et a cherché à envahir ses voisins, tandis que ni les États-Unis ni l’URSS n’étaient dans cette situation pendant la guerre froide et aucun conflit direct n’a explosé. Pour valider leur modèle, Mesquida et Wiener ont comparé ce ratio avec le nombre de morts par agression collective pour chaque million d’habitants sur une période de dix ans. La corrélation entre les deux variables s’est avérée forte (0,63) et il est aussi apparu que le ratio est le seul critère permettant des résultats statistiquement significatifs, contrairement à ceux mesurant le niveau de pauvreté du pays agresseur, ou même la répartition des richesses entre ses habitants.

Posté
  Gadrel a dit :
Exactement. J'en parlais justement avec Philippe Gouillou (auteur de "Pourquoi les femmes…") il y a deux jours et nous étions arrivés à la conclusion que le ratio de Mesquida s'appliquait aux banlieues et devait jouer un rôle beaucoup plus important que les débilités sur le chômage, etc.

La relecture de l'extrait est particulièrement troublante effectivement, concernant la répartition des richesses notamment.

En gros, le fait de répartir ces jeunes en "surnombre" dans d'autres lieux (par le travail, la mobilité géographique) réduirait je pense de façon drastique les effets qu'on observe.

Posté

Tout à fait.

  Citation
"Pourquoi…"

La caractéristique principale des hommes de 15 à 29 ans est qu’ils sont à l’âge de fonder une famille et donc qu’ils auront besoin de ressources pour arriver à conquérir une femme. La violence générale de cet âge est expliquée par cette compétition pour les ressources, c’est ce qu’on appelle le Young Male Syndrome (YMS : syndrome des jeunes hommes). On peut donc imaginer que les agressions collectives ne soient qu’une extension de cette violence originelle. Nous avons de plus également remarqué que les coalitions sont le plus souvent nécessaires dans les sociétés pour atteindre le rôle de dominant et cela qu’il y ait ou non possibilité d’accumulation de ressources. Il faut enfin se rapporter à l’EEA. Si les guerres actuelles ne laissent quasiment aucune initiative (ni chance) au guerrier individuel (ce sont les armes de destruction massive et la coordination du groupe qui comptent), il n’en était pas de même avant la civilisation et il n’en est toujours pas de même dans les tribus de chasseurs-cueilleurs subsistantes. L’étude par Napoléon Chagnon des Yanomami (qui présentaient un ratio de 1,76 en 1958 selon Mesquida & Wiener) a montré que les guerriers efficaces ont plus de descendants que les autres moins valeureux. Il y a possibilité de gain en fitness via les agressions collectives et participer à celles-ci correspond donc à un pari qui peut s’avérer rentable. Nous sommes là en correspondance avec la théorie du handicap de Amotz Zahavi.

Posté

Le ratio de Mesquida et Wiener, je prends note. Très intéressant.

Maintenant, quel sens lui donner ? L'idée de compétition entre jeunes mâles, à un âge où l'on cherche souvent à en démontrer, du point-de-vue de la psychologie évolutionniste me semble une piste, en effet.

Posté
  Fredo a dit :
Le ratio de Mesquida et Wiener, je prends note. Très intéressant.

Maintenant, quel sens lui donner ? L'idée de compétition entre jeunes mâles, à un âge où l'on cherche souvent à en démontrer, du point-de-vue de la psychologie évolutionniste me semble une piste, en effet.

L'evopsy est intéressante mais elle n'a pas la primeur de ce genre de découverte, dans l'ouvrage ci dessous :

l'auteur remarque p 197 : "les recherches effectuées jusqu'à présent montrent qu'une certaine complexion démographique, caractérisée par la surabondance d'hommes jeunes par rapport aux tâches essentielles de l'économie, est particulièrement génératrice d'agressivité collective."

et plus loin :

"Tous les motifs de déclenchement des conflits armés décrits par l'histoire, tels que les raisons idéologiques, politiques, culturelles, économiques, d'ambitions personnelles, raciales etc.. sont réactivées par la structure démo économique.

Ce déclenchement n'aurait pas eu lieu ou très faiblement s'il n'était porté par une infrastructure démo économique appropriée."

Ajoutons que, selon Bouthoul, la guerre est en partie un "infanticide différé" qui tend justement à résorber cet excédent de jeunes mâles. Mais d'autres conditions sont aussi requises.

Posté

Oui, enfin il y a une sérieuse différence "une infrastructure démo économique (?) appropriée" (je traduis : "tout et n'importe quoi") et un ratio précis (0.4) portant sur des groupes mesurables et dont la pertinence est confirmée par l'expérience.

L'objectif, fredo, c'est l'augmentation du fitness.

Posté
  Gadrel a dit :
Oui, enfin il y a une sérieuse différence "une infrastructure démo économique (?) appropriée" (je traduis : "tout et n'importe quoi") et un ratio précis (0.4) portant sur des groupes mesurables et dont la pertinence est confirmée par l'expérience.

L'objectif, fredo, c'est l'augmentation du fitness.

La quantification de phénomènes qualitatifs à l'air de te plaire on dirait. Bouthoul est un peu plus précis mais, je le crains, insuffisamment pour toi quand il dit : Les Etats "trouble paix" avaient :

Une population totale nombreuse (oui… je sais)

Une pyramide des âges caractérisée par une forte (oui.. je sais) proportion de jeunes hommes.

Une haute (oui… je sais) capacité technique et industrielle.

Bien que non quantifiées deux idées sont présentes. La cause essentielle du trouble est la proportion d'hommes jeunes et les explications généralement invoquées, autres que celle là, sont secondaires.

Posté

Tous les quartiers pauvres, et notamment Saint-Josse, s'africanisent à vue d'oeil.

Je sortais souvent à Matonge il y a dix-quinze ans. Il fut un temps où il n'y avait pour ainsi dire aucune délinquance (violente…) africaine. Depuis lors, ça a bien changé, avec des gangs genre Black Demolition dont les membres souvent très jeunes (et comptent parfois des filles). Certains de ces gamins étaient d'ailleurs des enfants-soldats dans la région des grands lacs et en ont gardé un profond respect pour la vie humaine.

Les Marocains, par contre, s'organisent rarement en vraies bandes et se cantonnent généralement à de petits vols et des traffics divers. C'est de la délinquance de nuls quoi.

Les vraies maffias à Bruxelles sont "yougoslaves", albanaises, turques et italiennes. Mais on les voit moins parce qu'ils règlent leurs affaires entre eux (d'où l'apparition sporadique de cadavres balkaniques dans le canal).

Et il y a toujours le milieu évidemment, qui, détail troublant, compte pas mal de Français (la population étrangère la plus criminogène de Belgique :icon_up: )

Posté

Trouvé sur le site du Figaro.

Le modèle suédois : le retour ? Bien que l'article soit des plus sybillins.

  Citation
Rinkeby, un modèle suédois pour les banlieues

Suède Près de Stockholm se trouve une cité peuplée d'immigrés où l'ordre règne et la vie est agréable.

Marie-Laure Le Foulon

[12 novembre 2005]

PAR PETITS GROUPES, les gens discutent, en ce doux après-midi d'automne, sur la place qui ouvre sur un centre commercial propre et agréable. On pourrait se croire dans n'importe quelle zone résidentielle de classe moyenne en Suède. Si ce n'est que les hommes, pour la plupart des Somaliens, portent une djellaba grise sur laquelle ils ont enfilé un anorak. Et que des femmes portent le tchador. Un agent de police féminin et blond écoute un vieil Africain confus. «Je n'ai pas bien compris», lui dit-elle gentiment.

Bienvenue à Rinkeby, cette commune devenue un nom générique en Suède pour désigner une banlieue d'immigrés. Construite à la fin des années 60, Rinkeby ne s'est jamais développée en hauteur (les immeubles ont de trois à cinq étages) mais en longueur, avec des espaces verts qui descendent jusqu'au lac voisin. Cette cité distante de onze kilomètres du coeur de Stockholm a donné naissance à «la langue de Rinkeby», qui est au Suédois ce que le verlan des banlieues est au français.

Point de contact

À Rinkeby vivent 16 000 personnes (1% de la population du grand Stockholm) issues de dizaines de nationalités différentes. Ainsi qu'en témoigne la bibliothèque municipale qui offre des livres en quarante langues, dont le persan, le chinois ou le bengali. Les deux tiers des habitants de Rinkeby sont nés à l'étranger ou issus d'au moins un parent étranger. Et 35% ont moins de 20 ans.

En sortant de la station de métro, aussi propre que celles du centre-ville, le local des «Valeurs citoyennes» est un point de contact. Cette association travaille en relation avec les organismes de logement, les entreprises, les services sociaux, les écoles, la police de proximité et les patrouilles volontaires de parents. Créée il y a quatre ans par le Centre suédois de prévention de la criminalité, elle emploie quatre personnes payées par la municipalité. Habillés d'un parka jaune canari visible de loin, Ibrahim, Mohamed, Johnny ou Amina reçoivent les doléances des administrés dans leur local, ou font des rondes dans la cité. Leur mission est multiple : appeler la police si quelqu'un consomme de la drogue, s'interposer dans les conflits, protéger les filles, mais aussi prévenir l'équivalent du syndic qu'une ampoule est grillée dans l'entrée d'un immeuble.

«Quand nous sommes arrivés ici, la bouche de métro était pleine de dealers qui haranguaient le passant, raconte Johnny, un Péruvien venu en Suède, par amour, il y a quinze ans. Aujourd'hui on s'ennuie presque», s'exclame-t-il en riant. Trois policiers sont postés à la sortie du métro. Les effectifs de la police de proximité ont triplé en quatre ans. Pour les animateurs, c'est un succès. «Lorsque j'appelle le commissariat central, les policiers arrivent avec les gyrophares et les sirènes hurlantes et s'attendent à voir un crime horrible, alors que la police de proximité nous connaît et son style est très différent», explique Amina, née en Suède d'une mère marocaine et d'un père suédois.

Posté
  melodius a dit :
Et il y a toujours le milieu évidemment, qui, détail troublant, compte pas mal de Français (la population étrangère la plus criminogène de Belgique  :icon_up: )

Preuve supplémentaire de la supériorité des Français. Il est bon qu'un Belge le reconnaisse publiquement. :doigt:

Posté
  melodius a dit :
Je sortais souvent à Matonge il y a dix-quinze ans. Il fut un temps où il n'y avait pour ainsi dire aucune délinquance (violente…) africaine. Depuis lors, ça a bien changé, avec des gangs genre Black Demolition dont les membres souvent très jeunes (et comptent parfois des filles). Certains de ces gamins étaient d'ailleurs des enfants-soldats dans la région des grands lacs et en ont gardé un profond respect pour la vie humaine.

Et les membres de ces gangs de jeunes noirs, quelle est leur religion en général ? Toujours catholique, comme avant ?

Posté

…. il est clair que l'état file donne plus souvent la mort que le tabac. Combien se sont suicidés à la suite d'une perte d'emploi ? Combien de contaminés par le sang ? En plus, avec le tabac, on a le choix.

Posté
  h16 a dit :
…. il est clair que l'état file donne plus souvent la mort que le tabac. Combien se sont suicidés à la suite d'une perte d'emploi ? Combien de contaminés par le sang ? En plus, avec le tabac, on a le choix.

Il y a eu aussi des buralistes qui se sont suicidés, dernièrement (j'ai entendu ça sur BFM, je crois).

Posté

Merci pour cet extrait de radio, très bonne intervention de Finkielkraut! Tout est dit, l'omni-présence de l'excuse sociale dans notre société et surtout sur le rôle de la culture pour expliquer la crise actuelle. Rien à redire.

Posté

Entendu ce matin sur Radio Classique cette explication des événements sous forme d'éditorial. Depuis la Révolution industrielle, la production n'a cessé de croître et la valeur travail de diminuer. Aujourd'hui, seuls ceux qui ont du capital et des idées tiennent le haut du pavé. Il faut diffuser les connaissances, sinon demain c'est la France qui brûlera.

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...