Fredo Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 Et que l'on envoie en stage sur Salusa Secundus tous ces excités qu'on a vu dans les rues ces jours-ci.
Severin Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 alex6 a dit : Bon, personne ici ne se posera en défenseur du SMIC ni d'aucunes des rigidités des contrats de travail.En revanche la suppression d'un minimum salarial n'est possible que dans une économie dynamique et réactive (type usa) où le passage par un bas salaire n'est qu'une transition vers des emplois correctement rémunèrés, pour ceux qui le souhaitent et se donnent la peine bien sûr (une sorte de turn-over des postes nécéssitant de faibles compétences) En france ça ne paraît pas vraiment possible pour l'instant… En tant que libéral pragmatique, je revendique la suppression du SMIC de toute urgence, ainsi qu'un contrat de travail unique, autorisant une grande souplesse concernant le licenciement. Par exemple (je précise que je connais mal le monde de l'entreprise) : - un préavis minimum de 5% du temps passé dans l'entreprise avec un plafond de 3 mois de préavis. - une indemnité minimum de 5% du salaire reçu dans l'entreprise avec un plafond de 3 mois de revenu. Le code du travail doit tenir sur une page ! Le reste découle de la liberté contractuelle, du droit civil, et éventuellement du droit pénal. Mais en même temps, je revendique le remplacement du RMI par un système qui crée un filet de sauvegarde minimum, et qui incite vraiment à travailler, puisqu'il est cumulatif, et qui divise le besoin de recourir à la bureaucratie au moins par mille, puisqu'il est inconditionnel : j'ai nommé le revenu de base (version libéral pragmatique du revenu d'existence) : THE BASIC INCOME EARTH NETWORK http://www.usbig.net/links.html Je précise que ce réseau est une alliance un peu contre-nature de libéraux et de sociaux-démocrates. Je pense que certains doivent y être en tant que pragmatiques. Tandis que les utopistes des deux bord s'imaginent tirer la couverture vers eux plus tard. Le fondateur du réseau Philippe Van Parijs est un économiste libéral de gauche. Le groupe VIVANT, qui s'est présenté sur le thème de la baisse des impôt en Belgique, reprends déjà cette revendication. Et Alternative Libérale également avec leur "Bouclier Social", même s'ils semblent mal l'assumer, et même si ça semble être malheureuement juste une astuce stratégique pour une majorité de ses militants. Tout ça pour dire que lutter contre la précarité de la vie, c'est lutter pour le libéralisme pragmatique. Les jeunes qui manifeste en moment même en bas de chez moi sont gravement à côté de la plaque. Comment les faire douter ? —————————— La revendication anti-CPE a surement aussi pour origine la hausse actuelle des loyers, et la sélection à l'entrée par la possession d'un CDI. Il faut donc trouver un moyen de simplifier l'accès au logement. Pour cela, il faut un programme libéral pragmatique. D'un côté faire respecter la propriété privée avec la possibilité d'expulser les locataires mauvais payeurs après un préavis d'1 mois, et les bons payeurs après un préavis de 3 mois. On voit que la situation est bien meilleur pour tout le monde au Canada par exemple : http://www.er.uqam.ca/nobel/r25545/Presse/logement.pdf Ca devrait suffire à inciter la plupart des propriétaire à louer leur logement vide, même à des jeunes précaires et à faire baisser un peu les loyers. Par ailleurs il faut rediriger progressivement les subventions aux locataires vers des subventions à l'accès à la première propriété foncière, et vers le fameux revenu de base. Ca parait logique non ? Il faut aussi revoir le plan d'occupation des sols pour autoriser la création de quartiers de gratte-ciel de bureau et d'appartemet de haut-standing , et cela dans chaque centre-ville, afin de faire baisser de manière importante la rareté du m2. Enfin pour assurer la transition en douceur, il faut évidemement continuer et même accroitre la construction de logements sociaux pendant encore deux ou trois ans. Afin de décrisper le marché de la location immobilière. Toutes ces mesures devraient suffire, à assurer un logement pour tous. Si ce n'étais pas le cas, si provisoirement il restait encore beaucoup problème de logement, et notamment encore quelques SDF : Je risque de choquer, mais bon, tant pis : J'ai logé un été à Londre dans une cité Universitaire, la chambre ne faisait que 8 m2, mais était confortable, genre super cabine de bateau, et très lumineuse (un des murs était en fait une fenêtre), les sanitaires collectifs étaient propres, et l'ambiance des lieux étaient bonne. Pour donner rapidement un mini-logement à tous les SDF actuel, je suis prêt à envisager des subventions importantes à de tel système de logement, en échange d'une garantie réelle sur leur propreté, leur sécurité et leur convivialité. On pourrait y adjoindre aussi la présence d'un bureau d'information et d'aide sociale (psychologique, formation, papier, désintoxication, culture, assocaitions, sport, aide juridique…). Et un plafond sur les loyers. L'objectif de telle subvention serait évidemment de permettre à ces personnes de rapidement retrouver un vrai logement, mais d'éviter concrètement de les laisser mourrir de froid. Et ce serait une mesure provisoire, en attendant de retrouver un société rassurée, avec plus de solidarités naturelles et plus de responsabilité individuelle (épargne pour les coups durs) et surtout un marché du logement et de l'emploi plus équilibré et plus accessible. Ces mesures d'urgence interventionniste pourraient donc ne pas être nécessaires très longtemps. Je partage à 100% les objectifs de l'Abbé Pierre, mais je diffère à 100% sur la méthode. Tout ça pourra sembler cynique, mais puisque le but est bien d'atteindre des objectifs concrèts maintenant, et pas de pousser des cris d'indignation, j'assume.
Toast Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 Apparemment les écoles maternelles sont entrées en grève… http://fr.news.yahoo.com/18032006/290/phot…cpe-a-lyon.html
DiabloSwing Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 Les profs qui les ont forcés à faire ça mériteraient d'être démis de leur fonctions, si ce n'est plus…franchement embrigader les enfants à cet âge, il y en a qui n'ont aucune morale :-/
Toast Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 BlackJack a dit : Les profs qui les ont forcés à faire ça mériteraient d'être démis de leur fonctions, si ce n'est plus…franchement embrigader les enfants à cet âge, il y en a qui n'ont aucune morale :-/ Vu qu'on est samedi, peut-être est-ce l'oeuvre de parents (ça serait déjà plus correct…) !
DiabloSwing Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 C'est un peu limite quand même. A titre personnel je n'approuve pas…
Messer Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 BlackJack a dit : Les profs qui les ont forcés à faire ça mériteraient d'être démis de leur fonctions, si ce n'est plus…franchement embrigader les enfants à cet âge, il y en a qui n'ont aucune morale :-/ Ma soif de voir une tête tomber est plus présente devant ce genre de fait que devant un crime pénal…
Dilbert Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 Bonne prestation de Saïd Bouaïssi sur le CPE (un peu long, mais intéressant pour voir l'angle d'attaque d'Alternative Libérale) : http://www.alternative-liberale.fr/medias/…ouaissi_Cpe.htm Je comprends enfin un peu mieux la stratégie d'AL, assez efficace, pour ratisser à gauche…
pankkake Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 Saïd Bouaïssi vient d'ATTAC à ce que j'ai lu dans l'article de Charlie Hebdo…
Freeman Posté 18 mars 2006 Auteur Signaler Posté 18 mars 2006 Je suis en train de la regarder ( plutôt l'écouter, puisque je vous réponds en même temps )
Dardanus Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 Pankkake a dit : Saïd Bouaïssi vient d'ATTAC à ce que j'ai lu dans l'article de Charlie Hebdo… C'est donc cela l'angle d'ATTAC d'AL ?
Messer Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 Pankkake a dit : Saïd Bouaïssi vient d'ATTAC à ce que j'ai lu dans l'article de Charlie Hebdo… Sans rire ??? J'écoute à ce moment même le débat..
Freeman Posté 18 mars 2006 Auteur Signaler Posté 18 mars 2006 Pour l'instant là où j'en suis il a pas encore parlé Said
Toast Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 Messer a dit : Sans rire ??? C'est plutôt positif non ?
pankkake Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 Messer a dit : Sans rire ??? J'écoute à ce moment même le débat.. Pourquoi beurk ? C'est bien la preuve que seuls les imbéciles ne changent pas d'avis. J'écoute aussi. Edit : Pourquoi la politique rend-elle les gens si agressifs ?
Freeman Posté 18 mars 2006 Auteur Signaler Posté 18 mars 2006 Il fait partie de ceux qui ont enfin compris Marx Si tous ceux d'ATTAC pouvaient finir par le comprendre et nous rejoignaient Ca y est, je l'entends, il s'en sort pas trop mal finalement Même si c'est vrai que c'est pas facile…
Messer Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 Pankkake a dit : Pourquoi beurk ? C'est bien la preuve que seuls les imbéciles ne changent pas d'avis.J'écoute aussi. Edit : Pourquoi la politique rend-elle les gens si agressifs ? Je constate son calme olympien cependant… Pourquoi Beurk ?Car il revient de cette fange tout simplement… Mais bel effort de l'avoir fait au demeurant.
pankkake Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 L'animal préhistorique partouzeur de droite est particulièrement ridicule. La fille est agressive, mais elle a des couettes. Les libéraux sont calmes, normal ; ils n'ont pas de petite bite.
Sous-Commandant Marco Posté 18 mars 2006 Signaler Posté 18 mars 2006 J'avais déjà vu la minette à couettes et à casquette gavrochienne dans une autre émission et elle m'avait paru récupérable d'un point de vue libéral (en plus d'être assez affriolante, mais je m'égare…)
Messer Posté 19 mars 2006 Signaler Posté 19 mars 2006 Plutot mignonne la petite aussi… Mais je ne la voyais pas si "vieille"
Ash Posté 19 mars 2006 Signaler Posté 19 mars 2006 Je confirme pour les couettes : c'est bien. Libéralisons les cheveux !
Libéralisateur Posté 20 mars 2006 Signaler Posté 20 mars 2006 J'ai aussi vu cette vidéo, mais l'impression que tout ceci m'a laissé, même si des choses justes ont été dites, c'est qu'encore une fois, il n'y a pas un seul entrepreneur qui soit intervenu dans ce débat du CPE. Car avec ce CPE, ou sans ce CPE, et tout le battage que l'on fait autour, la lettre C veut bien dire Contrat et la lettre E, Embauche. Alors le C, il n'y a qu'un entrepreneur qui peut le proposer avant qu'un jeune ou un moins jeune le signe. Et dans notre pays avec la "représentation" de la "jeunesse" à laquelle nous assistons, y a-t-il encore dans la salle un patron qui ait envie d'embaucher avec ou sans CPE tous ces excités. Comme l'état ne le fera plus, de quoi parlons-nous ? il y a là encore une bonne raison pour tous les jeunes qui veulent vraiment travailler d'aller à l'étranger et pour les entrepreneurs de le faire aussi. Cela me rappelle la fable de ceux qui vendaient la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Car pour qu'il y ait C ou E il faut quand même à ce que je sache des entrepreneurs qui fassent des offres. Moi - et pourtant j'en ai fait tout au long de ma vie professionnelle - je n'en ferais plus ! Et personne n'en parle
Punu Posté 20 mars 2006 Signaler Posté 20 mars 2006 Un excellent article de Lemennicier dans le QL : Citation Les manifestations contre le contrat première embauche (CPE) ou celles contre le Smig jeune ou contre l’école libre illustrent l’ignorance de la part de nos gouvernants des lois d’airain de la micro-politique(1). L’affaire est pourtant simple. La génération de 1968, celle de gauche, a usé de son pouvoir politique, via les urnes ou la rue, pour créer sur le marché du travail un secteur protégé de la compétition que se font les travailleurs entre eux et les entrepreneurs entre eux. Les jeunes, les immigrés et les femmes qui souhaitent être embauchés dans des entreprises sont les premières victimes de cette législation. Les instruments utilisés pour construire ce secteur protégé ont été un code du travail (lois Auroux par exemple) particulièrement contraignant pour les employeurs et un prix plancher (le SMIG) en hausse continue. Cette législation pèse sur les moins qualifiés d’entre nous. Ceux qui sont exclus du marché du travail par ce protectionnisme voulu et désiré par les partis de gauche et leurs clientèles respectives, ont pour seule alternative (du fait même du caractère universel de cette protection) que de se tourner vers l’assistance publique via toutes les variétés d’aides publiques (y compris l’allocation de chômage et le RMI) ou la clandestinité (travail illégal ou travail noir), voire les deux en même temps. Ce secteur protégé et généralisé à l’ensemble du marché du travail crée ce que l’on appelle un chômage de file d’attente. En effet, s’il existe une certaine probabilité d’accéder à un emploi protégé dans un délai raisonnable, cela vaut le coup de faire la queue dans la file d'attente des chômeurs pour obtenir l'emploi protégé convoité. Pour augmenter cette probabilité, les gouvernements de gauche successifs ont: 1) crée des emplois dans le secteur protégé (public et semi-public); 2) favorisé le taux de rotation des emplois en incitant les gens à prendre leur retraite le plus tôt possible, en retardant l'entrée des jeunes sur le marché du travail, en abaissant la durée légale du travail à 35 heures; 3) augmenté ou maintenu la rémunération du secteur protégé (secteur public, SMIG) à un niveau plus élevé que dans le secteur non protégé. Simultanément, ces mêmes gouvernants, pour éviter une jacquerie des chômeurs, ont suivi une politique de transferts de revenu via l’assistance publique pour faire patienter tout ce petit monde en quête d’un emploi protégé. Pour comble de l’ironie ils ont fait supporter ces transferts sur les entreprises qui sont aussi obligées de financer cette redistribution. Les effets pervers de cette politique sont nombreux. Nous en retiendrons deux. Le SMIG pousse les entreprises, à ce niveau de la valeur de la productivité marginale à préférer des employés qualifiés à des non qualifiés. Dans le contexte présent cela les pousse à préférer des jeunes, des femmes ou des immigrés diplômés à ceux qui ne le sont pas. Ils repoussent donc dans la file d’attente toutes les personnes non qualifiées. La politique de transferts de revenu pour faire patienter tous ceux qui espèrent pouvoir accéder à un emploi protégé pousse chacun à être plus exigeant sur les conditions salariales, les conditions d’embauche, de licenciement et de travail. Cela les incite à refuser le premier emploi proposé et augmente la durée du chômage. Par un effet de réverbération (ou de hasard moral, diraient les économistes) la politique de transfert s’alourdit augmentant le coût du travail ce qui incite cette fois les entreprises à ne pas embaucher ou à se délocaliser. Pour sortir de cette impasse, le gouvernement de droite actuel tente de créer légalement un secteur non protégé en déréglementant très timidement le code du travail. En cela, il essaie de copier le modèle anglo-saxon. Il ne faut pas cependant se tromper sur ce modèle. Il existe dans ces pays, sur le marché du travail, un secteur protégé avec des syndicats bien plus puissants que les nôtres. Mais la probabilité d'accès à ce secteur est très faible. Ceux qui ne peuvent y accéder offrent leur travail dans un large secteur d’emplois légaux non protégés. La fin de l'article sur le site http://www.quebecoislibre.org/06/060319-6.htm
Libéralisateur Posté 20 mars 2006 Signaler Posté 20 mars 2006 Pour moi une seule réponse à tout celà et à brève échéance. Supprimer le code du travail purement et simplement et faire un moratoire sur la répression du travail au noir. La pseudo-droite, avant de mourir, nous fera-t-elle ce dadeau en le passant en force de loi. Après que l'on fasse des élections, quelles qu'elles soient et le bon Dieu reconnaîtra les siens. De toutes les façons cela se fera avec ou sans révolution, alors allons-y vite. Il faut que tous ces "laissés pour le compte" de notre "modèle social français" retrouvent un revenu d'existence avant que l'état "dépose son bilan" et soit en cessation de paiement pour ces aides sociales tous azimuts que le code du travail nous oblige à donner à tous ceux qu'il laisse sur la touche comme Lemennicier le redit. Sinon soit ils descendront dans la rue pour faire la révolution ou vont racketer la population pour simplement vivre.
Nick de Cusa Posté 20 mars 2006 Signaler Posté 20 mars 2006 Le Monde ne dit pas autre chose : Voilà le comble : les étudiants et les jeunes qui sont les exclus du monde du travail (ils sont les "out" des économistes) vont défiler avec les syndicats des "in", ceux de la fonction publique et de l'emploi à vie, qui bloquent toute évolution au nom d'une pseudo-résistance contre l'ultralibéralisme et la précarité. […] La réforme, la vraie, impliquerait toutes les catégories sociales mises sur le même plan, elle simplifierait les dizaines de dispositifs existants et les centaines de pages du code du travail, pour étudier, essayer, évaluer et adopter un contrat unique, pour tous, intermédiaire entre le CDD et le CDI et dont les garanties augmenteraient avec le temps. Le CPE est une initiative qui va dans ce sens, mais pressée, tarabiscotée et ne s'appliquant qu'aux jeunes, elle leur donne le sentiment qu'on leur réserve, une fois de plus, la précarité. Pour lire l'article: http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-…6-752119,0.html
Cédric Posté 20 mars 2006 Signaler Posté 20 mars 2006 Un excellent article de Bertrand Lemennicier sur le QL Lemennicier sur le CPE Edit : je n'avais pas vu que le lien était déja là
Chitah Posté 20 mars 2006 Signaler Posté 20 mars 2006 Libéralisateur a dit : Pour moi une seule réponse à tout celà et à brève échéance. C'est à mon avis tout bonnement impossible à brève échéance. Il y a 15 ou 20 millions de contrats à négocier, établir, et signer, compte deux heures pour tout cela, et tu fais ensuite le calcul. Je ne parle même pas des conventions collectives et tout le reste du fatras administratif. Je pense qu'avec un staff de 3000 personnes, il faudra une dizaine d'années pour arriver à un Code du Travail acceptable.
Toast Posté 20 mars 2006 Signaler Posté 20 mars 2006 Apparemment, des enfoirés on renommé l'amphi des AG bordelaises "amphi Joelle Aubron"…
Cédric Posté 20 mars 2006 Signaler Posté 20 mars 2006 Toast a dit : Apparemment, des enfoirés on renommé l'amphi des AG bordelaises "amphi Joelle Aubron"… Vivement la sélection dans les facs …
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