Ronnie Hayek Posté 13 mars 2006 Signaler Posté 13 mars 2006 Du bouddho-situationnisme couillu: La dialectique peut-elle casser des briques ?.
Sous-Commandant Marco Posté 13 mars 2006 Signaler Posté 13 mars 2006 "You've kept your illusions about Castro. You're retarded. Leave me the fuck alone." Je crois que je vais en faire ma signature.
h16 Posté 13 mars 2006 Signaler Posté 13 mars 2006 Amateurs du Triomphe de Bali-Balo ou de la Classe Américaine, bonsoir. "Là, je n'ai pas envie de jouer au cow-boy, et pourtant, je dis pan !".
Dilbert Posté 14 mars 2006 Signaler Posté 14 mars 2006 Du bouddho-situationnisme couillu: Inutile de mettre le préfixe "bouddho-" quand ce n'est pas justifié, ça peut prêter à confusion. Pourquoi pas aussi "christiano-capitaliste" pour les westerns spaghetti ?
Dardanus Posté 14 mars 2006 Signaler Posté 14 mars 2006 Inutile de mettre le préfixe "bouddho-" quand ce n'est pas justifié, ça peut prêter à confusion. Pourquoi pas aussi "christiano-capitaliste" pour les westerns spaghetti ? La dimension christique des Giuliano Gemma et autre Lee Van Cleef est pourtant patente. Les réalisateurs étant idéologiquement d'extrême-gauche développent en effet une critique féroce de la loi de la jungle capitaliste dans ce sous-genre intéressant. Comme disait SH : Mon cher W vous êtes un conducteur de lumière…
Ronnie Hayek Posté 14 mars 2006 Auteur Signaler Posté 14 mars 2006 La dimension christique des Giuliano Gemma et autre Lee Van Cleef est pourtant patente. Les réalisateurs étant idéologiquement d'extrême-gauche développent en effet une critique féroce de la loi de la jungle capitaliste dans ce sous-genre intéressant. Comme disait SH : Mon cher W vous êtes un conducteur de lumière… Bien que la proposition de Dilbert soit fort tentante, je ne vois pas trop le lien entre la dimension christique présumée des Trinita, Nobody et autres Sabata ( ) et le gauchisme de Leone et de ses épigones.
Legion Posté 14 mars 2006 Signaler Posté 14 mars 2006 La dimension christique des Giuliano Gemma et autre Lee Van Cleef est pourtant patente. Les réalisateurs étant idéologiquement d'extrême-gauche développent en effet une critique féroce de la loi de la jungle capitaliste dans ce sous-genre intéressant. Je ne la vois pas trop cette critique dans A Fistful of Dynamite, j'aurais plutôt l'impression d'en vir une apologie
Dardanus Posté 14 mars 2006 Signaler Posté 14 mars 2006 Bien que la proposition de Dilbert soit fort tentante, je ne vois pas trop le lien entre la dimension christique présumée des Trinita, Nobody et autres Sabata ( ) et le gauchisme de Leone et de ses épigones. Enfin, le Christ était le premier sans-culotte. Je ne la vois pas trop cette critique dans A Fistful of Dynamite, j'aurais plutôt l'impression d'en vir une apologie C'est la fascination pour ce qu'on dénonce.
Sous-Commandant Marco Posté 14 mars 2006 Signaler Posté 14 mars 2006 Est-il établi que Sergio Leone était d'extrême-gauche? Ce n'est pas ce qui ressort d'un de mes films préférés: "Il était une fois la Révolution". Mais je me trompe peut-être, il faudra que je me refasse une séance un de ces soirs.
Dardanus Posté 14 mars 2006 Signaler Posté 14 mars 2006 Est-il établi que Sergio Leone était d'extrême-gauche? Ce n'est pas ce qui ressort d'un de mes films préférés: "Il était une fois la Révolution". Mais je me trompe peut-être, il faudra que je me refasse une séance un de ces soirs. C'était en tout cas un déçu du rêve américain : cf. Le Bon, la Brute et le Truand (qui est le seul film par ailleurs dudit Leone que j'apprécie vraiment). Je faisais d'ailleurs référence aux épigones de Leone dans mes précédents messages : Leone est le seul qui ait vraiment du talent même si le western-spaghetti a ses fans.
Sous-Commandant Marco Posté 14 mars 2006 Signaler Posté 14 mars 2006 C'était en tout cas un déçu du rêve américain : cf. Le Bon, la Brute et le Truand (qui est le seul film par ailleurs dudit Leone que j'apprécie vraiment).Je faisais d'ailleurs référence aux épigones de Leone dans mes précédents messages : Leone est le seul qui ait vraiment du talent même si le western-spaghetti a ses fans. Il est probable qu'il était anti-bourgeois et anti-clérical. La séquence d'ouverture d'"Il était une fois la Révolution", avec les bouches en gros plan dans la diligence, est assez explicite sur ce point.
Legion Posté 14 mars 2006 Signaler Posté 14 mars 2006 (Il était une fois la Révolution et A fistful of dynamite c'est même film, ndlr) Moi je n'ai pas autant aimé Le Bon, la Brute et le Truand qu'Il était une fois dans l'Ouest, limite j'ai l'impression que le premier est le brouillon du second.
Sous-Commandant Marco Posté 14 mars 2006 Signaler Posté 14 mars 2006 (Il était une fois la Révolution et A fistful of dynamite c'est même film, ndlr)[…]Ho la la, j'ai besoin de vacances. J'ai bien lu "a fistful of dynamite" mais j'ai compris "a fistful of dollars", auquel ton message peut s'appliquer aussi.
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