Salatomatonion Posté 5 avril 2006 Signaler Posté 5 avril 2006 Le journaliste de garde disait à la radio ce matin que l'OL avait été victime du mauvais oeil pour expliquer que l'équipe s'était fait enflée de deux buts en à peine cinq minutes… à la 88ème minute de jeu alors qu'ils étaient qualifiés sur le score de 1-1. De mon expérience des autres sports (je connais peu le football), ça s'appelle être mauvais et très mal gérer son avantage. Mais le sport français a décidément des spécificités vaudouesques que je n'arriverai jamais à cerner.
Messer Posté 5 avril 2006 Signaler Posté 5 avril 2006 Ouep j'avais déjà vu ce même genre d'évenements lors d'un Manchester-Bayern. Pof, en 3-4mn situation retournée.. De toute facon le foot c'est un sport de ptit zizi =P
Fredo Posté 5 avril 2006 Signaler Posté 5 avril 2006 Sport de gentlemen pratiqué par des voyous, oui. Que je sache, comment peut-on être qualifié avant le coup de sifflet final ?
antietat Posté 5 avril 2006 Signaler Posté 5 avril 2006 De toute facon le foot c'est un sport de ptit zizi =P Le syndicalisme aussi.
Salatomatonion Posté 5 avril 2006 Auteur Signaler Posté 5 avril 2006 Sport de gentlemen pratiqué par des voyous, oui. Que je sache, comment peut-on être qualifié avant le coup de sifflet final ? Et oui, à 88 minutes, sur le score de 1-1, ils avaient un pied en demi-finale et l'autre encore sur le terrain. Et puis, coincé sur la pelouse, le mauvais oeil qui leur matait l'entre-jambes à travers les trous du short est venu leur taquiner les coucougnettes.
Fredo Posté 5 avril 2006 Signaler Posté 5 avril 2006 Bien fait, alors ! XIXTu peux être invaincu, si jamais tu n'engages de lutte où la victoire ne dépende pas de toi. Garde-toi d'estimer heureux un homme choisi pour une charge officielle, ou très puissant, ou jouissant, pour une raison ou une autre, de l'estime publique. En effet, si l'essence du bien réside dans ce qui dépend de nous, il n'y a de raison ni d'être jaloux, ni d'être envieux. Quant à toi, ce n'est pas général, magistrat ou consul que tu veux être, mais libre; or, pour y arriver, il n'y a qu'un chemin: le mépris de ce qui ne dépend pas de nous.
Salatomatonion Posté 5 avril 2006 Auteur Signaler Posté 5 avril 2006 Bien fait, alors ! Je viens de transmettre ta citation à un collègue footballeur. Il m'a dit "ouais on va s'bouger le c.. l'année prochaine épictète qu'on va y aller en finale".
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