Rira Bien Qui Rira Le Dernier ?!

[Apollon]

en passant, saurais tu de quel ouvrage est extraite ta citation de Proudhon?

C'est extrait de son programme électoral (et oui…) en 1848. Il y a d'autres citations notables dans la Théorie de la Propriété qui dessinent un Proudhon en faveur de la propriété.

Voir ce site par exemple : http://classiques.uqac.ca/classiques/Proud…a_propriete.pdf

[WALDGANGER]

C'est extrait de son programme électoral (et oui…) en 1848. Il y a d'autres citations notables dans la Théorie de la Propriété qui dessinent un Proudhon en faveur de la propriété.

Voir ce site par exemple : http://classiques.uqac.ca/classiques/Proud…a_propriete.pdf

meric beaucoup!!

[FRANCK]

J’ai donc encore écrit une chose qui ne leur plaisait pas.

Ils me considèrent donc avoir le droit de m’insulter dans leur vulgarité, je vous passe tous les mots, réduisant et ramenant alors toute ma personne à ces quelques lignes qui leur ont déplu.

Qu’est-ce qu’il ne fallait surtout pas leur dire pour être mieux vu.

Alors pour « certains » aurais-je vraiment manqué de cran ?

Je ne suis donc plus rien, ni même un bon libéral pour eux.

Je n’ai donc plus aucune valeur libérale à leurs yeux.

S’il m’arrivait plus grand bonheur de liberté, en seraient-ils plus contents ?

Sans doute « certains « aimeraient une fois de plus me punir.

Je pourrais leur répondre gentiment :Mais pourquoi êtes vous toujours autant attaché au libéralisme ?

Pour m’expliquer, peut-être dans leur vulgarité que c’est mieux de s’attacher aux choses, au libéralisme.

Ils ont donc alors pesé le vrai du faux, le préférable au non préférable.

Je suis moins mesuré, complétement dans l’erreur, à coté de la plaque.

Peut-être aussi difficile à comprendre pour les cas les plus lourds.

Pris à partie par tant d’inconnus aux pseudonymes si profonds,

pourquoi tant de haine ?

Notre humour est-il donc devenu si différent, que vous n’osez même plus vous moquer de votre libéralisme devant autrui ? Assurément !

Alors accès de mauvaise humeur, ou de mauvais humour ?

Et j’essaie de leur parler autrement.

Devrais-je vraiment disparaître de leur forum, afin de mieux les enchaîner à leur sacro-saint libéralisme.

Et c’est quoi cette nouvelle maladie qui consiste toujours à plusieurs à dire que du bien du libéralisme, et bannir tout autre point de vue amenant à davantage de réflexion par la même de détachement.

A une heure où plus personne n’ose exprimer une idée contraire devant le groupe, quel manque de cran !

Et quelle place accordez-vous encore à l’individu dans ce forum ?

Quel bel esprit de groupe…

Mais peut-être qu’à plusieurs vous pourrez peut-être de nouveau me laver le cerveau !

Et qui préfèrent à plusieurs plutôt réduire le sens de mes propos.

Merci encore pour votre impartialité flagrante !

Toujours, dans les heures bien éclairées de ce forum, l'esprit du groupe finira certainement par me ressusciter.

Et lorsque j’ai fait mention de tout le courrier insultant qui m'avait été hélas renvoyé un jour par les soit-disants plus brillants d'entres-vous, je ne faisais pas du tout allusion à mon joyeux vécu personnel dans

ce forum.

Alors comment pourrais-je rester bloqué sur une injustice, alors que je n’éprouve même plus le besoin de m’attacher à ce forum pour me sentir bien.

Alors aurais-je vraiment perdu tout discernement et toutes nuances dans mes propos ?

Terriblement banal d’entendre toujours des personnes encenser le libéralisme en toute naïveté.

Ils sont si attachés à leur libéralisme, que cela en devient même navrant.

Et ils prétendent encore être les seuls détenteurs de la vérité ou de la liberté ? Alors toujours aussi peu

sensibles à mes autres réflexions sur le sujet

Qu’est-ce qu’il ne faut surtout pas dire de dérangeant sur leur libéralisme.

Merci encore.

Hou, hou, hou, j’entends déjà le grognement des bêtes, mais ce n’est point grave, elles ne m’atteindront pas, elles sont si enchaînées à leur libéralisme !

C’était au contraire pour vous rendre la lecture moins libérale, moins doctrinale, plus agréable, mais

apparamment ça n’a pas été le cas pour tous, veuillez alors m’en excuser.

Vous admettrez donc que le mode d'expression adopté par les moins maladroits d’entre-vous ne permet hélas toujours pas à relever cette discussion dans l’amabilité.

Et les plus grossiers d’entre-eux persisteront toujours à m’en vouloir à mort…

Au moins, j’aurai essayer de faire passer un autre point de vue.

N'ayant même plus la courtoisie de me remercier pour tout cela.

[Ronnie Hayek]

Franck is back !

[h16]

Quand on

pense qu'

un paragraphe

peut contenir

plusieurs lignes

collées ensemble,

il y a de quoi

frémir. La

technologie est

décidemment

sans bornes !

Vive le CR+LF ! Youpi !

[FRANCK]

Les remarques que j’ai formulées, l’autre jour, dans mes écrits, ne vous obligent pas tous à me répondre.

Je m’adresse principalement à ceux qui m’ont répondu mais également à ceux qui n’ont pas jugé bon d’intervenir pour le moment sur ce fil.

En effet je trouve dommage que la plupart des réponses qui m’ont été adressées jusqu’à ce jour, et malgré la dureté de certaines de mes remarques, ne reflètent pas davantage une plus belle conduite du libéralisme à travers elles. Et je pense que vous pouvez vous en désoler.

Oui toutes ces réponses m’ont conforté dans tout ce que j’avais pu me dire et vous dire précédemment.

Concernant les personnes n’ayant pas voulu intervenir dans le fil, je pense que vous auriez du, au contraire, l’enrichir de vos réflexions propres, que vous auriez pu vous faire aussi sur une certaine forme de libéralisme non profitable ni bénéfique pour vous comme pour autrui.

Vous rendez-vous compte que la totale dépendance émotionnelle et rationnelle de certains vis-à-vis des grands auteurs libéraux, leur en a privé la liberté de me répondre avec un peu plus de grandeur et de noblesse d’esprit.

Je les excuse, ils sont sans doute pour le moment, trop jeunes pour pouvoir m’écrire autrement à ce sujet. Je remercie néanmoins Mélodius, Wapiti, Chitah et quelques autres de ne pas avoir réduit le sens de mes remarques.

Pourtant je ne recherche aucunement à vous nuire, comme un méchant Troll mais à vous faire partager un autre point de vue sur le libéralisme, et d’en débattre bien sur en toute maturité et non vulgarité, cela va de soi ! il est vrai que je n’interviens pas aussi souvent que vous, néanmoins je peux toujours trouver le temps de

vous répondre ponctuellement et de façon différente, c’est-à-dire à la carte.

Aussi nombreux et aussi libéraux êtes-vous, je pense en effet qu’il n’est pas du tout déraisonnable et inutile d’aborder certains sujets oh combien sensibles, et aussi désagréables soient-ils pour la plupart d’entre-vous.

N’est-ce pas dommage, que cette démarche vienne de moi, moi qui ne suis plus autant attaché que vos corps et Ames au libéralisme. Serait-ce encore votre si grande dépendance inconsciente au libéralisme qui vous aurait privé la liberté d’effectuer cette démarche en toute conscience avant autrui ?

Et même si la forme et la syntaxe de mes écrits donnent tellement d’urticaire et de mauvaises ondes à certains, qu’ils s’en prennent à eux-mêmes, je n’y suis pour rien.

A vous entendre je devrais peut-être me sentir obligé de m’exprimer dans la forme qui vous dérange le moins, et la plus classique qu’il soit, c’est-à-dire sous la forme qui vous arrange le plus : Celle d’encenser sempiternellement le libéralisme au détriment d’autres modes de pensée, même propres. Ou encore celle de vous flatter encore et encore au fil des débats, c’est tellement plus commode ! Dois-je vraiment m’exprimer dans une phraséologie verbeuse, inopérante, et encore si distante pour me faire bien voir de vous. Combien de fois vous me l’avez reproché, je ne les comple plus. Et de surcroît sur un ton si peu égal au mien. Est-ce bien libéral envers autrui ? Je ne le pense pas.

Tout un groupement de personnes associées dans un seul intérêt commun, celui de réclamer et de discourir pour toujours plus de liberté, hélas rendez-vous compte que vous en perdez peu-à-peu la votre. N’est-ce pas là avant tout votre bien le plus cher ? Qu’en avez vous fait ? Et dans votre amour de la liberté êtes-vous

des personnes à part entière ?

Et après toutes ces justifications de ma part, pensez-vous encore aujourd’hui que le seul discours libéral conduit toujours les libéraux vers la liberté ? Soyez honnêtes, répondez moi franchement ! Il n’y a pas de honte à rester soi-même devant les autres, et même devant les copains les plus tenus par le libéralisme.

Hélas certains sont si attachés à leur libéralisme, qu’ils ne montrent même plus l’indépendance d’esprit de le critiquer entre-autre devant leurs professeurs d’économie aussi respectés soient-ils pour la profondeur de leurs écrits.

Si tu as un ami libéral, ne te demande jamais d'entrer dans son jeu, car il pourrait alors user plus facilement de son ascendant libéral sur ta jeune impersonne.

C’est-à-dire celui de souvent faire la seule promotion du libéralisme devant autrui.Celui de vouloir souvent prendre la défense de son même groupe à penser. Et quelles si grandes aspirations que de vouloir toujours réduire la conduite d’un homme à cela ! De leur attachement au libéralisme ils osent si peu en parler

ouvertement.

Auriez vous donc si peur de perdre vos illusions sur le libéralisme que vous n’osez même plus en débattre en toute bonne foi et courageusement entre-vous ?

Oh bien sur, je suppose que certains trouvent mes propos excessifs mais n’êtes vous pas aussi dans l’excès et l’exagération qu’en vous ne recherchez qu’à faire l’unique promotion du libéralisme pour la société ?

Et votre amour du libéralisme doit-il systématiquement donner une explication favorable et excessive à tout ce qui pourrait se faire de bien dans une société. Quelle modestie !

N’est-ce pas aussi un réel travers de l’esprit libéral que de vouloir sans arrêt généraliser une vérité partielle à l’ensemble de tous les phénomènes émancipatoires d’une société ? Quel monopole !

Et comme c’est bien une idée éronnée de prétendre que seul le libéralisme pourra vraiment rendre le monde meilleur, regardez vous ? Jamais assez de liberté, pour les libéraux qui ne s’aiment plus en se déchirant. Pour bien sur toujours plus de liberté !

Et si je devais m’attacher autant que vous au libéralisme, comment pourrais-je encore me rendre capable de

le penser, de le voir et de vous en parler autrement ? Et si j’étais resté plus longtemps chez vous, aurais-je vraiment pu en prendre conscience ? Et sans vous sentir encore une fois offensés par toutes ces remarques,

vous êtes vous déjà posés sincérement et courageusement ce genre de questions entre-vous ?

A vouloir trop défendre le libéralisme pour mieux combattre en vain le socialisme, et toutes autres formes de pensées, le libéral ne pourrait-il pas lui aussi tomber dans une autre forme de dépendance inconsciente et qui ne serait pas mieux d’ailleurs à voir dans ces réponses.

Et que savons nous vraiment du libéralisme, en avons nous suffisamment de recul historique, pour vouloir souvent le prétendre le mieux du mieux. qu’est-ce que nous en savons réellement ?

Comment une doctrine pourrait-elle toujours prétendre à l’émancipation du genre humain, si elle recherche toujours à retenir l’homme vers elle ?

Nous qui sommes tellement conditionnés par les choses du passé ou encore par notre subconscient que savons-nous vraiment de l’homme à venir ?

Alors le libéralisme est-il vraiment la meilleure assurance de liberté pour l’homme ?

Veuillez alors me pardonner et me comprendre, si je ne suis plus autant attaché que vous au libéralisme et si la teneur de mes propos vous dérangent, moi ça ne m’affecte plus…

[Ash]

A vouloir trop défendre le libéralisme pour mieux combattre en vain le socialisme, et toutes autres formes de pensées, le libéral ne pourrait-il pas lui aussi tomber dans une autre forme de dépendance inconsciente et qui ne serait pas mieux d’ailleurs à voir dans ces réponses.

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