Aller au contenu

Lois Antitrusts


Messages recommandés

Posté

Oui enfin si on ne peut même plus souligner le fait qu'un discours soit incohérent… :icon_up:

En tout cas je suis ouvert à étudier les dires de Quipic avec une forme disons, plus clair.

Posté
  alex6 a dit :
Oui enfin si on ne peut même plus souligner le fait qu'un discours soit incohérent… :icon_up:

En tout cas je suis ouvert à étudier les dires de Quipic avec une forme disons, plus clair.

Je faisais allusion à l'ambiance générale…

Posté
  alex6 a dit :
Moi aussi… :icon_up:

Disons juste que pour "soigner" la maladie "néo-classique" dont Quipic est atteint, il faut y aller en douceur sans employer des traitements chocs

Posté

Ma mémoire flanche et je n'ai plus aucun souvenir (ou presque) de mes cours de latin.

Donc, j'ai du mal à comprendre (ou plutôt à traduire tout simplement) ces phrases…

Posté

Bon, reprenons les choses.

Autant que je sache et de manière générale :

système = ensemble d'éléments en interaction.

Ensuite, selon la Théorie Générale des Systèmes de Ludwig von Bertallanffy, la Cybernétique de Norbert Wiener et la Cybernétique II de Heinz von Foerster et consors, on décrit un certain nombre de propriétés aux systèmes.

Principe de totalité : le tout est supérieur à la somme des parties.

Principe de non-sommativité (corollaire) : on ne peut réduire la compréhension/description d'un système à celle de ses parties (il existe des phénomènes émergents, provenant des interactions et non réductibles au comportement d'éléments isolés).

Principe d'homéostasie : Les systèmes tendent vers des états d'équilibre de par la présence de rétroactions négatives.

Principe d'auto-organisation (parfois autopoiëse) : Des systèmes peuvent évoluer, générer de nouvelles formes sous l'action plus importante de rétroactions positives…

Enfin, ce qui "circule" dans un système peut être de la matière, de l'énergie, de l'argent, de l'information…

Ce que je demande c'est : que veut dire système social ? Quelle est la nature des éléments en interaction ? Et qu'est-ce qui y "circule" ?

Si c'est une manière de montrer la complexité de la société, en superposant divers éléments comme ceux sus-cités (information, monnaie, personnes, etc) j'ai bien peur qu'on s'y mélange les pinceaux, et surtout que l'on empile à un même niveau explicatif des systèmes qui devraient obéir à des descriptions de divers niveaux. Konrad Lorenz attirait l'attention sur les risques épistémologiques à mélanger les niveaux explicatifs (un peu comme le rasoir d'Occam) et donc à faire dans ce cas du sociologisme.

Posté
  Roniberal a dit :
Ma mémoire flanche et je n'ai plus aucun souvenir (ou presque) de mes cours de latin.

Donc, j'ai du mal à comprendre (ou plutôt à traduire tout simplement) ces phrases…

C'est du latin de cuisine. Un extrait de la parodique cérémonie qui termine le Malade imaginaire : donner le clystère puis saigner et enfin purger. La médecine douce du temps, quoi…

Posté
  Dardanus a dit :
C'est du latin de cuisine. Un extrait de la parodique cérémonie qui termine le Malade imaginaire : donner le clystère puis saigner et enfin purger. La médecine douce du temps, quoi…

Ah d'accord, c'est vrai que j'ai de vagues souvenirs de ce bouquin maintenant.

Mais en l'espèce, j'espère qu'on pourra guérir notre ami Quipic de manière plus douce et sans employer de grosses piqures (même si les "microbes" socialistes ont infesté ce pays et qu'il est difficile d'y échapper)…

Posté
  Fredo a dit :
Ce que je demande c'est : que veut dire système social ? Quelle est la nature des éléments en interaction ? Et qu'est-ce qui y "circule" ?

Chépa. Les citoyens proactifs et festifs, au travers d'une implication associative transparente et politiquement correcte, avec des vrais morceaux d'égalité dedans ?

Posté
  alex6 a dit :
Je te dois quelques explications sur mon désaccord (je me permet le tutoyement… :icon_up:)

Je parlais de tendance à la création de monopole dans l'absolu ce qui est une erreur ou en tout cas n'est assez précis:

En réalité la création de monopole n'est effectivement pas une finalité immuable et ne dépend pas d'un schéma de théorie économique non plus mais de l'environnement de chaque marché si tant est que l'on puisse découper le marché global en "petits" marchés.

Donc certaines activités conduisent à la création quasiment inévitable de monopole dit "naturel" dans lesquels j'incluerai potentiellement tout secteur où il est possible de créer par l'innovation une avance technologique suffisante pour se trouver dans une situation monopolistique.

En revanche, et ton exemple de la Nouvelle-Zélande est tout à fait pertinent, certains structures ont tendances à rester petites pour diverses raisons qui rendent moins attractives les économies d'échelle.

C'est ,il me semble, le cas de la Nouvelle-Zélande qui concentre ses activités technologiques dans la haute technologie.

Leurs activités principales étant l'agriculture, et du fait de sa position géographique, je ne pense pas que l'on puisse extrapoler le modèle néozélandais "libéral" à ce que serait systématiquement un marché libéralisé n'importe où dans le monde.

Ah, très bien, je comprend mieux ce que vous vouliez dire.

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...