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Entre Le Verbe « Aider » Et L’adjectif « Social ».


Invité Sam

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Invité Sam
Posté

Entre le verbe « aider » et l’adjectif « social ».

Y à t’il un rapport ?

Me considérant comme profondément libéral, je me pose quant même une question.

Compte tenue de la capacité de richesses que nos arrivons à créer cela grâce

aux technologies nouvelles, et surtout à venir.

Compte tenue du gaspillage énorme que nos gauchistes font tous les jours, toutes ces grèves, ces associations, ces cadeaux avec l’argent des autres, l’assistanat, les non sens, l'immigration affective, les entraves au travail, le code du travail, j’en passe et des meilleures, parce qu’on pourrait en faire un roman de plusieurs tomes, je suis certains qu’un état fonctionnerait très bien avec 1% des effectifs actuel, tous ces mecs et ces nanas qui font office d’élus et qui ne pense qu’a pomper du fric pour leurs élections…

Alors voilà ma pensé, pouvons nous imaginer, tel qu’il en va de même pour la régulation libérale, qu’une régulation puisse se faire si les œuvres sociales ne soit faites qu’en échange d’un effort.

Une règle toute simple, rien sans effort.

Les allocations pour les gosses en échange de bonnes notes.

Un RMI en échange d’un travail pour la collectivité.

Si il fallait demander seulement 20% sur les bénéfices des entreprises,

couplé avec un régime sec de l’Etat, selon vous, pourrions nous assurer

la maladie, le handicape ainsi que la formation aux citoyens du pays, et les aider ?

En gros, est-ce que la demande sociales peut descendre à un niveau bas et se stabiliser, se réguler dés lors ou l’argent donné, n’est pas donné pour rien.

Posté
Entre le verbe « aider » et l’adjectif « social ».

Y à t’il un rapport ?

Me considérant comme profondément libéral, je me pose quant même une question.

Compte tenue de la capacité de richesses que nos arrivons à créer cela grâce

aux technologies nouvelles, et surtout à venir.

Compte tenue du gaspillage énorme que nos gauchistes font tous les jours, toutes ces grèves, ces associations, ces cadeaux avec l’argent des autres, l’assistanat, les non sens, l'immigration affective, les entraves au travail, le code du travail, j’en passe et des meilleures, parce qu’on pourrait en faire un roman de plusieurs tomes, je suis certains qu’un état fonctionnerait très bien avec 1% des effectifs actuel, tous ces mecs et ces nanas qui font office d’élus et qui ne pense qu’a pomper du fric pour leurs élections…

Alors voilà ma pensé, pouvons nous imaginer, tel qu’il en va de même pour la régulation libérale, qu’une régulation puisse se faire si les œuvres sociales ne soit faites qu’en échange d’un effort.

Une règle toute simple, rien sans effort.

Les allocations pour les gosses en échange de bonnes notes.

Un RMI en échange d’un travail pour la collectivité.

Si il fallait demander seulement 20% sur les bénéfices des entreprises,

couplé avec un régime sec de l’Etat, selon vous, pourrions nous assurer

la maladie, le handicape ainsi que la formation aux citoyens du pays, et les aider ?

En gros, est-ce que la demande sociales peut descendre à un niveau bas et se stabiliser, se réguler dés lors ou l’argent donné, n’est pas donné pour rien.

Je propose que ce soit les associations caritatives en concurrences financées par les seuls dons (quite à y associer une déduction fiscale) qui cherchent les meilleures solutions pour aider les pauvres et qu'elles puissent le faire savoir.

Posté

Je n'aurais pas posé cela en ces termes, Sam. Mais as-tu par hasard lu l'interview de l'ancien ministre Neo-Zélandais qui racontait comment ils ont fait là-bas ?

Posté
Je propose que ce soit les associations caritatives en concurrences financées par les seuls dons (quite à y associer une déduction fiscale) qui cherchent les meilleures solutions pour aider les pauvres et qu'elles puissent le faire savoir.

Et le tout ne fonctionnerait-il pas encore mieux si on supprimait le sempiternel "non lucratif". L'aide et la solidarité ne seraient-elles pas encore mieux gérées par des organisations à but lucratif?

Existe-t-il des exemples de telles organisations? Si oui, quels sont les résultats? Si non, pourquoi celà n'a-t-il jamais été essayé, y-a-t-il une raison intrinsèque pour laquelle ça ne pourrait pas marcher?

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Je propose que ce soit les associations caritatives en concurrences financées par les seuls dons (quite à y associer une déduction fiscale) qui cherchent les meilleures solutions pour aider les pauvres et qu'elles puissent le faire savoir.

Pour. Réduction fiscale de 100% (ce qu'on leur donne on ne le donne pas au fisc).

Et le tout ne fonctionnerait-il pas encore mieux si on supprimait le sempiternel "non lucratif". L'aide et la solidarité ne seraient-elles pas encore mieux gérées par des organisations à but lucratif?

Existe-t-il des exemples de telles organisations? Si oui, quels sont les résultats? Si non, pourquoi celà n'a-t-il jamais été essayé, y-a-t-il une raison intrinsèque pour laquelle ça ne pourrait pas marcher?

Mis à part la pudibonderie des enquiquinants socialos, non. Mais pour une simple question de logique, il ne s'agit plus d'asso, mais d'entreprises (avec un statut juridique léger, disons) - je me vois mal donner à une association en sachant qu'au final, ça contribue à enrichir son président…

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Une règle toute simple, rien sans effort.

Les allocations pour les gosses en échange de bonnes notes.

Un RMI en échange d’un travail pour la collectivité.

Qui dit effort dit évaluation et contrôle de l'effort.

Invité Sam
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Je n'aurais pas posé cela en ces termes, Sam. Mais as-tu par hasard lu l'interview de l'ancien ministre Neo-Zélandais qui racontait comment ils ont fait là-bas ?

Non, sincèrement je sais pas ce qui se passe là bas.

"Qui dit effort dit évaluation et contrôle de l'effort."

Et alors ? plutôt que cette connerie d'assistanat, pourquoi pas une société qui se paye le luxe de récompenser l'effort des gens qui demandent de l'aide, imagines que les familles fassent des enfants pour qu'ils rapportes des bonnes notes, et que ce soit le seul moyen pour eux d'obtenir une aide, ça change tout, rend toi compte du niveau intellectuel du pays…

Des entreprises taxés entre 10 et 20% selon leur tailles, et un travail de la part d’associations autonomes pour chercher le vrai don, l’acte de générosité. Parce que je suis certains, que lorsque tu as de gros moyens et même de petits moyens, tu as envie de donner pour une cause qui te semble juste, et pourquoi pas si les résultats sont meilleurs, faire en sorte que les généreux soit reconnue comme tel, avec un petit coup sur les pompes tu fais des fois des miracles.

Invité Sam
Posté

Effectivement, excellent article…

De quoi bouleverser un socialiste, enfin je l’espère, remarque a force de manger des cailloux, et encore des cailloux, les Français pourraient avoir un déclic, du moins je l’espère.

Je peut pas penser que les Français soient aussi jaloux, au point de passer a coté d’une société de ce niveau d’excellence.

Et il est vrai aussi, pour revenir au problème de « l’aide », qu’ils serait très intelligent de savoir payer les responsables d’associations au pourcentage de ce qu’il arrive à rapporter, en les mettant bien sur en situation de concurrence et de transparence. Mais pour cela, les petits esprits ne pourrait pas supporter que ceux qui s’occupent de la faim dans le monde roulent en Porsche.

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