Aller au contenu

Bockel Critique Le Projet Du Ps


Messages recommandés

Posté
Le 30/06/2006 à 11:54

Le sénateur-maire socialiste de Mulhouse, Jean-Marie Bockel, a critiqué vendredi le projet socialiste pour la présidentielle, quelques jours après avoir créé un "Comité d'action pour la modernisation de la France" avec les sénateurs Christian Blanc (app. UDF) et Alain Lambert (UMP, sarkozyste).

Les trois sénateurs veulent "créer les conditions d'un sursaut collectif" d'ici l'élection présidentielle et prônent une réforme "globale et cohérente" pour remédier au "patinage de l'économie française", refondre les modes de fonctionnement de l'Etat et réduire le poids de la dette, qui atteint un niveau "insoutenable".

"La méthode des petits pas est vouée à l'échec car chaque petit pas se heurte à l'incompréhension --et donc aux résistances-- des populations concernées. Tant et si bien que la succession de petits pas se termine par un piétinement inefficace, coûteux et démoralisant", avertissent les trois signataires dans un appel lancé en prélude à un "manifeste pour la modernisation" qui sera rendu public en janvier 2007.

"Les dernières déclarations de Lionel Jospin m'ont définitivement convaincu que Ségolène Royal incarne l'avenir, ou au moins un renouveau possible du parti socialiste", a par ailleurs déclaré M. Bockel vendredi à l'AFP. (sic….! icon_evil.gif )

Appelant les socialistes à "une plus grande audace réformiste", le sénateur-maire de Mulhouse a dénoncé "les vestiges d'un socialisme rigide" qui entachent, selon lui, le projet du PS et les orientations de M. Jospin.

M. Bockel s'en prend notamment au "fétichisme du rassemblement de la gauche", émet de "sérieuses réserves sur la crédibilité budgétaire du projet" et "regrette le mélange d'idéologie et de volontarisme rigide qui commande l'extension des 35 heures, ou encore la réintroduction du contrôle public à 100% d'EDF".

……………..Jean-Marie Bockel, Christian Blanc et Alain Lambert proposent une réforme "globale et cohérente" pour résoudre le problème du "patinage de l'économie française". Au sujet de la dette publique, les trois hommes ont déclaré dans un appel commun: "La méthode des petits pas est vouée à l'échec car chaque petit pas se heurte à l'incompréhension -et donc aux résistances- des populations concernées. Tant et si bien que la succession de petits pas se termine par un piétinement inefficace, coûteux et démoralisant".

Les trois sénateurs entendent rédiger un "manifeste pour la modernisation" qu'ils présenteront au public en janvier 2007……

Je serais curieux de lire ce manifeste pour la modernisation mais j'ai bien peur que ça n'interesse pas grand monde et surtout la gauche traditionnellement anti-libérale.

Posté

Vu que le fameux projet du PS est rétrograde, étatiste et antilibéral, le fait que Bockel s'en démarque est la moindre des choses.

Posté
"Les dernières déclarations de Lionel Jospin m'ont définitivement convaincu que Ségolène Royal incarne l'avenir, ou au moins un renouveau possible du parti socialiste", a par ailleurs déclaré M. Bockel vendredi à l'AFP. (sic….! :icon_up: )

Pourquoi ce :doigt:? Bockel a parfaitement raison, en effet:

- L'avenir de la gauche en Europe se joue au centre et il va bien falloir que le PS en prenne acte. Ségo s'inscrit dans ce courant même si on aurait pu, effectivement, trouver meilleur représentant (Kouchner par exemple)

- Le PS doit se débarasser de ses radicaux, ou du moins les museler comme l'ont fait le New Labour ou le PSOE. Une candidature Ségo, victorieuse ou non, serait un bon prétexte pour un congrès de Tours bis où les gauchos à la Montebourg/Melanchon seraient invités à la mettre en veilleuse ou à prendre la porte.

Posté
Je serais curieux de lire ce manifeste pour la modernisation mais j'ai bien peur que ça n'interesse pas grand monde et surtout la gauche traditionnellement anti-libérale.

est ce que bockel est libéral uniquement économiquement, c'est ce qui semblait ressortir de sa motion à part quelques pages sur les droits homosexuels?

Posté
Pourquoi ce :icon_up: ? Bockel a parfaitement raison, en effet:

- L'avenir de la gauche en Europe se joue au centre et il va bien falloir que le PS en prenne acte. Ségo s'inscrit dans ce courant même si on aurait pu, effectivement, trouver meilleur représentant (Kouchner par exemple)

- Le PS doit se débarasser de ses radicaux, ou du moins les museler comme l'ont fait le New Labour ou le PSOE. Une candidature Ségo, victorieuse ou non, serait un bon prétexte pour un congrès de Tours bis où les gauchos à la Montebourg/Melanchon seraient invités à la mettre en veilleuse ou à prendre la porte.

Tu crois franchement que ségolène qui n'a de cesse d'attendre les résultats des enquêtes d'opinion pour donner son avis se positionne au centre ? Pour en avoir discuté avec des membres du bureau fédéral, personne ne sait ou on peut la situer. Moi j'attends qu'elle dise ou elle est et ce qu'elle veut faire. Si elle est sociale-libérale tant mieux je la soutiendrais mais je doute fort qu'elle le soit et je crois même qu'elle est plus à gauche que DSK.

Kouchner c'est un autre problème, il est à droite du PS et d'ailleurs je suis un peu comme lui… je me demande pourquoi j'y reste…au PS.

Le PS doit se débarasser des montebourg et emmanuelli c'est un fait évident. Ils freinent notre évolution et empêche d'être en adéquation avec nos partenaires socialistes européens qui eux ont fait le choix du libéralisme sans aucun état d'âme… par rapport à nous.

  • 1 month later...
Invité jani-rah
Posté

Le courant Réformisme et rénovation (R2) souhaite incarner un socialisme rénové, pragmatique et libéral, européen et progressiste pour prolonger dans le Parti Socialiste la motion 4 de Jean-Marie Bockel du congrès de Mans.

Nous avant fait le choix d'agir dans et par le PS, pour le rénover de l'intérieur, car nous nous sentons de gauche, car nous nous sentons au coeur de la gauche ( l'extrême gauche n'a de gauche que le nom).

Il s'agit de nous faire connaitre dans le PS, là où nous sommes nous arrivons à dédiaboliser notre libéralisme.

Qu'est-ce qu'être socialiste libéral ? C'est différent de libéral social ou de libéral. C'est proche de social-libéral, dont certains chez nous se réclament, sauf que c'est socialiste. C'est proche des autres partis réformistes de gauche européens, des sociétés d'Europe du Nord, parfois des travaillistes anglais. Ce blocage autour du mot libéralisme devra s'ouvrir. Son contenu lui est largement pratiqué au niveau local, alliant justice et efficacité. Au niveau national, dans les discours et les pratiques, il faut une rénovation, proche d'une révolution pour un parti comme le PS.

Texte contre l'antilibéralisme primaire : http://rfrn.over-blog.com/article-3594158.html

Ainsi, nous nous positionnons de manière critique sur le projet socialiste : en admettant une alliance éventuelle avec l'udf plutôt que forcément avec le PC, en refusant la renationalisation d'edf, en portant attention à la dette et à la crédibilité économique, sans dire n'importe quoi sur les retraites ou les 35h…

cf : Camarades, encore un effort ! http://rfrn.over-blog.com/categorie-816085.html

Ou encore un projet socialiste amendé par R2 http://rfrn.over-blog.com/article-3618257.html

Tout n'est cependant pas mauvais dans ce projet : institutions, mariage homosexuel, recherche, anti-discriminations etc…

Nous voulons :

-une politique concrète, de terrain, décentralisatrice et expérimentatrice présente sur tous les sujets

- une politique économique réaliste, qui ne renonce pas au marché et au capitalisme, créatrice de richesses et de justice

- sortir de la langue de bois et des consensus mous, pour un parti plus ouvert, moderne, riche en débats et qui sort des vieilles rhétoriques et des pratiques anciennes.

- ne plus abandonner des sujets qui concernent concrètement chacun( insécurité, travail) (ainsi, position de Bockel sur sécurité: http://rfrn.over-blog.com/article-3650060.html )

Cordialement,

Réformisme et rénovation.

Posté
est ce que bockel est libéral uniquement économiquement, c'est ce qui semblait ressortir de sa motion à part quelques pages sur les droits homosexuels?

Vu sa position sur la sécurité, je dirais qu'il est plutot conservateur pour tout ce qui est hors économie, non ?

Bockel, je le trouve pas mal. Mais tant que le mot libéral a sa connotation actuelle en France, il a zéro chance. La voie qu'il a choisie, c'est no future.

Posté
Vu sa position sur la sécurité, je dirais qu'il est plutot conservateur pour tout ce qui est hors économie, non ?

Bockel, je le trouve pas mal. Mais tant que le mot libéral a sa connotation actuelle en France, il a zéro chance. La voie qu'il a choisie, c'est no future.

en fait ce serait plutôt l'aile droite du PS alors…

puisqu'on a un représentant on peut en profiter pour lui poser la question.

d'ailleurs je n'ai pas trop compris ce que vous êtes et ce que vous n'êtes pas, pas libéral, pas social libéral, vous vous revandiquez socialiste, qu'entendez vous par là?

une autre question, vous êtes militant socialiste, vous allez militer aux présidentielles pour un programme qui ne sera de toute façon pas du tout libéral, est ce que ça ne vous gene pas quelque part?

Posté

Le socialisme ne peut se conjuguer avec le libéralisme. J'ai l'impression qu'ils ont oubliés à la fois ce qu'est le socialisme et développés une idée, si ce n'est fausse, du moins incomplète du libéralisme.

Votre article sur l'antilibéralisme primaire en est un bon exemple.

Affirmation N° 1 :"Le libéralisme, c'est plus de choix et des meilleurs prix pour le consommateur"

……………………..

FAUX: Selon le dogme libéral lui-même, le libéralisme ne peut fonctionner que si il existe une concurrence suffisante de l'offre. Or dans les faits, le capitalisme libéral tend vers la concentration et la formation de monopoles qui éliminent toute concurrence, réduisent le choix du consommateur et font monter les prix (ou baisser la qualité).

Tout cela est vrai : le marché, s'il n'est pas contrôlé, tend vers des situations de monopole et la disparition de la concurrence.

Ce n'est pas de l'intérêt, comme le souligne notre camarade, du consommateur ou du citoyen, (étrangement, il semble admettre que lorsque la concurrence existe, le choix est étendu et les prix bas, ce qui est également notre avis).

Dans un monde de concurrence les prix sont bas et le choix grand (c'est assez facile à constater dans la vie quotidienne pour les produits soumis à concurrence) ; en parallèle les profits tendent alors vers zéro.

Par ailleurs dans un monde de concurrence parfaite

Les monopoles ne peuvent se former

Il n'y a donc pas d'entreprise pouvant imposer son pouvoir à la puissance publique.

Il n'est donc pas seulement de l'intérêt du consommateur que la concurrence reste parfaite, c'est également de celui du citoyen.

Synthèse

Dès lors, pour assurer un choix maximum et des prix bas, il convient de veiller à ce que la concurrence soit réelle.

C'est la raison pour laquelle :

le projet de traité constitutionnel prévoyait une concurrence libre et non faussée…

les lois anti-trusts et leurs instruments de contrôle sont une clef de la régulation d'une économie libérale.

???

Et j'en passe…

Néanmoins pour un "parti" de gauche français, c'est une évolution somme tout appréciable. Mais sans grand avenir je le crains. Ou pas en quelque sortes.

Posté

le mythe de la concurrence parfaite a la vie dure :icon_up:

mais à part ça j'ai beaucoup d'estime pour Bockel, je suis sans doute moins libéral que la plupart des intervenants de ce forum et je pourrais être intéressé par ce mouvement, mais si il faut adhérer au PS :doigt:

PARIS, 6 sept 2006 (AFP) - Jean-Marie Bockel, sénateur-maire socialiste de Mulhouse, a affirmé mercredi qu'il soutenait la candidature de Dominique Strauss-Kahn à l'investiture PS à la présidentielle de 2007, sans pour autant "remettre en cause" l'intérêt de la candidature de Ségolène Royal.

"Je soutiens Dominique Strauss-Kahn", a affirmé M. Bockel à des journalistes, mettant en avant "la crédibilité" de l'ancien ministre des Finances.

Mais il a précisé qu'il ne remettait pas en cause Ségolène Royal qu'il pourrait également "soutenir le moment venu". Il a souligné qu'il partageait certaines idées de la présidente de Poitou-Charentes, notamment sur "les questions de société".

Selon lui, si Dominique Strauss-Kahn n'est pas désigné par les militants socialistes en novembre, "le ou la candidate choisi aura besoin de sa crédibilité". Le sénateur n'exclut pas un ticket Ségolène Royal/ Dominique Strauss-Kahn pour 2007.

Quant à Lionel Jospin, M. Bockel pense que "sa candidature ne serait pas une bonne chose", car il représente "l'homme du passé".

Selon lui, pour gagner en 2007, le candidat socialiste devrait "se démarquer" du projet du PS. Ce projet, à ses yeux, "ne propose aucune réforme de l'Etat providence, ni un autre rapport de l'entreprise avec la société". Il ne pemettrait pas non plus une amélioration du chômage en France qui continuerait à "osciller entre 8% et 12%" de la population active.

Jean-Marie Bockel avait déjà exprimé cet été son désaccord avec le projet socialiste, y voyant des "concessions" faites à la gauche du PS.

Réformisme et Rénovation conserve sa neutralité, certains soutiennent DSK, d'autres Ségolène ou Lang. Mais cette position de Bockel reflète largement ce que nous pensons, un rassemblement des bonnes volontés réformistes est souhaitables pour affronter la droite et rénover le PS.

une foix qu'il a fait le choix de rester au PS, ségo et DSK sont effectivement les deux moins mauvais choix, mais bon…

Posté
Le courant Réformisme et rénovation (R2)

Tentez une alliance avec Démocratie Débrouillarde (D2).

R2D2, je ne sais pas, ça sonne bien…

Posté
Cet article m'a incité à écrire une réfutation :

"Erreur courante : le marché, livré à lui-même, tend vers des situations de monopole"

http://www.liberaux.org/wiki/index.php?tit…ons_de_monopole

je suis agréablement surpris de la position adoptée sur la question du monopole naturelle dans cet article:

On nomme monopole naturel les secteurs d'activité économique qui se caractérisent par des rendements strictement croissants (le coût de production de la dernière unité est inférieur à celui de toutes les précédentes) et par conséquent par des coûts moyens strictement décroissants (le coût moyen diminue avec le volume de production) et pour lesquels un opérateur unique est nécessairement plus performant que plusieurs opérateurs. Il s'agit en général d'activités dont les coûts d'investissement (coûts fixes) sont si élevés qu'il ne serait pas viable de les multiplier pour permettre l'introduction de la concurrence. Un exemple évident : le tunnel sous la Manche.

L'existence de coûts moyens décroissants interdit l'application des règles économiques de la concurrence pure et parfaite et de la tarification au coût marginal. Des règles spécifiques ont été développées, en particulier par Marcel Boiteux, ancien président d'EDF.

Les exemples de monopoles naturels donnés généralement sont ceux des réseaux d'infrastructure : réseau ferroviaire, réseau routier et autoroute|autoroutier, réseau de distribution d'eau, de gaz, d'électricité, ports, aéroports, … .

Cette situation pourrait donner un pouvoir exorbitant à l'entreprise exploitante. Cela justifie selon les collectivistes l'intervention des pouvoirs publics, qui peut prendre diverses formes : exploitation publique, nationalisation, ou contrôle étroit de la gestion privé par l'intermédiaire d'un régulateur ou d'une autorité ad-hoc (à travers par exemple d'une délégation de service public). À noter que ce pouvoir de l'État peut devenir une source de surcoût pour l'utilisateur (licences d'exploitation), de corruption (attribution des concessions) et que, dans certains cas où l'État exerce lui-même le monopole par le biais d'entités publiques, c'est lui-même ou ces entités et leur personnel qui se retrouvent détenir ce pouvoir important. Il est donc essentiel que leurs responsabilités et pouvoirs soient clairement définis et que les citoyens et leurs représentants disposent de moyens de contrôle précis pour que ces entités remplissent efficacement leur mission.

Lorsqu'il est possible de dissocier techniquement la gestion de l'infrastructure de celle des services rendus au client final, les tenants de la théorie libérale appliquée à l'économie (c'est notamment le cas de la politique suivie par l'Union Européenne) pensent qu'il est possible de maintenir la première dans le cadre d'un monopole contrôlé et d'organiser la concurrence dans les services. Ce point est une application de la théorie des trois couches.

à priori il n'y a donc pas d'opposition systémique à uné régulation du prix des infrastructures de la part des libéraux?

Posté
Cet article m'a incité à écrire une réfutation :

"Erreur courante : le marché, livré à lui-même, tend vers des situations de monopole"

http://www.liberaux.org/wiki/index.php?tit…ons_de_monopole

Bon article Dilbert !

J'ajouterai que ceux qui prétendent que l'Etat intervient pour limiter les monopoles sont de pure mauvaise foi: dans la pratique, sauf quelques cas médiatiques (genre Microsoft) le premier réflexe de l'Etat, c'est de favoriser le monopole.

Deuxièment, le monopole naturel n'est en aucun cas criticable comme le wiki le dit bien. Ce qui est criticable, c'est les barrières dressée souvent par lobbying autour de ce monopole (réglementaire surtout mais aussi environnementale de plus en plus, donc avec la complicité de l'Etat), ce qui empeche l'arrivée d'un nouveau concurrent.

C'est ce qui se passe par exemple avec le marché de l'électricité aux USA: les coupures de courant catastrophiques à New-York devraient constituer une aubaine économique en temps normal (explosion de la demande, insuffisance de l'offre). Mais là, à cause des barrières, ça devient un imbroglio juridico-politique qui fait fuir d'éventuels prétendants et maintient le status quo.

Posté

Je pense que les libéraux devraient rester en contact étroit avec les enthousiastes sincères qui pensent qu'ils vont faire avancer le libéralisme, qui au sein du PS, qui au sein de l'UMP. Leur enthousiasme va inévitablement se transformer, au bout de deux à cinq ans (pour les lent-comprenants) en frustration puis en dégoût.

A ce stade, ils seront murs pour sortir de leurs machines à attribuer des situations à ceux qui ne souhaitent pas passer par le travail pour en obtenir une (i.e., UMPS) et rejoindrons le camp des électrons libres.

Posté
Qu'est-ce qu'être socialiste libéral ? C'est différent de libéral social ou de libéral. C'est proche de social-libéral, dont certains chez nous se réclament, sauf que c'est socialiste.

Comme ça c'est tout de suite beaucoup plus clair :icon_up:

Mais est-ce que c'est proche aussi de libéraliste social, socialiste sidéral ou sobéral liriste ?

Posté
Comme ça c'est tout de suite beaucoup plus clair :icon_up:

Mais est-ce que c'est proche aussi de libéraliste social, socialiste sidéral ou sobéral liriste ?

En fait, on veut faire du socializme hard-core, mais avec du kapitalisme qui kogne.

  • 1 month later...
Invité jani-rah
Posté
Comme ça c'est tout de suite beaucoup plus clair :icon_up:

Mais est-ce que c'est proche aussi de libéraliste social, socialiste sidéral ou sobéral liriste ?

Pas toujours simple, en effet.

Mais on bosse, ce qui est important c'est l'objectif : justice, progrès; les moyens sont l'économie, les politiques et la démocratie … La politique par l'action et la vérité.

Faut-il vraiment qu'on cherche à se qualifier ( socialistes libéraux etc), débats récurrents, est-ce qu'on ne passe pas trop de temps à justifier notre libéralisme plutôt qu'à convaincre sur le fond. Travailler le fond plus que la forme, le mot est connoté et dévalorisé actuellement..

rfrn.over-blog.com

Posté
Pas toujours simple, en effet.

Mais on bosse, ce qui est important c'est l'objectif : justice, progrès; les moyens sont l'économie, les politiques et la démocratie … La politique par l'action et la vérité.

Faut-il vraiment qu'on cherche à se qualifier ( socialistes libéraux etc), débats récurrents, est-ce qu'on ne passe pas trop de temps à justifier notre libéralisme plutôt qu'à convaincre sur le fond. Travailler le fond plus que la forme, le mot est connoté et dévalorisé actuellement..

rfrn.over-blog.com

Au delà de la retape pour le blog, finalement, comment vous définissez-vous ? Et qu'apportez-vous de différent, de plus, de moins ? Cela peut être intéressant, mais il semble qu'il faille un peu éclairer nos lanterne.

Posté
Mais on bosse, ce qui est important c'est l'objectif : justice, progrès; les moyens sont l'économie, les politiques et la démocratie … La politique par l'action et la vérité.

Que tu bosses, c'est bien. Le problème est qu'en l'espèce, le mot "libéralisme" est un peu dévoyé par les Bockéliens, d'où la remarque très juste de David Boring. On pense simplement que défendre le libéralisme par le biais du P.S. n'est pas la meilleure solution, c'est tout.

Faut-il vraiment qu'on cherche à se qualifier ( socialistes libéraux etc), débats récurrents, est-ce qu'on ne passe pas trop de temps à justifier notre libéralisme plutôt qu'à convaincre sur le fond. Travailler le fond plus que la forme, le mot est connoté et dévalorisé actuellement..

Il est surtout dévoyé.

Quant à la forme, je suis désolé mais je ne suis pas d'accord avec toi, les mots ont leur importance et mélanger la philosophie libérale avec la tyrannie socialiste, ça n'a pas de sens.

Posté

Que pensent-ils du dernier débat interne au PS.

Ils préfèrent toujours la mère Ségo ? Ou le côté jardinier de DSK ?

Posté
Que tu bosses, c'est bien. Le problème est qu'en l'espèce, le mot "libéralisme" est un peu dévoyé par les Bockéliens, d'où la remarque très juste de David Boring. On pense simplement que défendre le libéralisme par le biais du P.S. n'est pas la meilleure solution, c'est tout.

Il est surtout dévoyé.

je me suis un peu renseigné sur rfrn, forcément il n'y a pas une unité idéologique importante entre ses membres (c'est le courant d'un parti pas un courant philosophique), et il y a de vrais libéraux (avec des vrais morceaux de libertarianisme dedans) mais aussi beacoup de "pragmatiques".

Posté
Que pensent-ils du dernier débat interne au PS.

Ils préfèrent toujours la mère Ségo ? Ou le côté jardinier de DSK ?

Je vous le dis en vérité : 2ème tour : DSK / Le Pen. Le choc des deux borgnes pour le choc des deux Frances. Ca va cogner.

Posté
Je vous le dis en vérité : 2ème tour : DSK / Le Pen. Le choc des deux borgnes pour le choc des deux Frances. Ca va cogner.

Je vote DSK. Les deux sortent de grosses conneries pour flatter leur base electorale qui n'a rien de reluisant, mais dans le fond Lepen est un dirigiste tandis que DSK est au pire un keynesien, et de surcroit beaucoup plus fin economiquement que la majorite des politiques en France.

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...