younglib Posté 8 septembre 2006 Signaler Posté 8 septembre 2006 Voilà ma dernière chanson. Ce n'est qu'un texte, je n'ai pas de musique pour aller avec, je ne suis pas musicien. Pour moi c'est une sorte de poême rap. Elle est volontairement crue et provocante. Je comprends que cela puisse déranger. Mais j'adore écrire dans ton là. C'est une chanson assez longue (c'est ma plus longue chanson jusqu'à présent). J'espère que cela ne vous découragera pas de la lire en entier. Il y a énormément de jeux de mots car j'adore ça. J'espère que vous saurez tous les déceler. Certains sont très fins, tellement fins qu'on risque de passer à coté même après plusieurs lectures. D'autre sont beaucoups moins fin en revanche. J'espère que même si vous n'aimez pas le style vous saurez apprécier l'humour sous-jacent et les jeux de mots. Je serai content que vous me donniez votre avis sur la chanson, qu'il soit positif ou négatif. ————————————————————————————————————————— Fonctionnaires Tortionnaires Fonctionnaires, tortionnaires, te traitent comme un vert de terre, usurpent ton identité, te prennent tes biens, ta famille, ta chair, te refont le portrait, te taillent à la serpe, te dépouillent, te sapent le moral, sapent la morale, te coupent la chique et les couilles. « Va te faire ! ». C’est clair, c’est pas des paroles en l’air ; T’as pas à t’en faire, l’Etat s’occupe de toi, bienvenue en enfer. Dans le zoo , t’as droit à la ration sociale : un rmi, une salle des fêtes… t’es gâté c’est ta fête, le bal ! une prison, 6 millions de matons, ça se gâte, ferme ta gueule et avale. Eh ! Tu connais la meilleure ? C’est ton anniversaire ! On va te coucouner, et te prendre par derrière. Nouvelles lois, nouveaux impôts, que la mariées se fasse belle. Du déjà vu, rien de nouveau sous l’orage, sinon la grêle, nouvelles subventions pour les crevars, on t’offre la combinaison du parfait citoyen : le treillis bagnard. Ouvre les yeux ! Tu te fais baiser à qui mieux mieux, mais à trop vouloir t’enculer les chacals se mordent la queue. A force de se faire sucer le sang la victime court à la mort, le système commence à se déliter, et alors : c’est la débandade, le cour de la société s’effondre, car la poule aux œufs d’or n’a plus rien à pondre. Et alors ils te donnent le coup de grâce, la cerise sur le gâteau : ils te font la peau et te font porter le chapeau. ( Refrain 1 ) Dans la famille sociétale ils demandent le pouvoir. Pour asservir le peuple, sur le trône ils veulent s’asseoir, pour déféquer les lois et défaire les liens de paix, de vie, arracher les pourboires. Avides d’asservir, ils créent le mouroir, prélude à l’enfer dont la société se fait le miroir . Dans la famille martial ils demandent la cour, et créent la société de cour. La société est pris de cour. Ils exécutent les lois et la justice se meurt, le juge devient sourd. Il ne croit plus que ce qu’il voit : la Loi. Il n’adore plus qu’un roi : l’Etat. Car ils ont acquis le droit de faire la loi, de se dire l’Etat de droit. Tout se tient, tous se tiennent. T’as rien demandé mais t’as droit à l’Etat. ( Fin du refrain 1 ) ( Refrain 2 ) Les faux cul t’ont dans le focus, t’es dans leur ligne de mire. Pêche à la ligne, tir aux pigeon, appâtent les bleus avec du rouge, veulent te faire rôtir, me font vomir. Tu parles d’élites ! Tout ce que je vois ce sont des tireurs d’élites, les franc tireurs de la république qui te tirent par derrière et se tirent avec ton fric, sale flic. Et tu te fais pécho par cette bande d’excités qui ont la trique. Et tu l’as dans l’os, tu l’as dans le cul, toujours la même histoire, toujours la même musique. ( Fin du refrain 2 ) Fonctionnaire, tortionnaires, c’est à mourir de rire, à se rouler par terre Fonctionnaires, tortionnaires, ils cherchent à te rouler, à tort et à travers Ils disent qu’ils te tendent la main, et ils te tendent des pièges. Ils viennent en force et forment l’Etat de siège. Ils disent qu’ils ont le cœur sur la main, mais ce cœur ils te l’ont volé. A peine ils ouvrent la bouche, t’as la haine contre eux, ils t’ont soûlé. Ils t’enrôlent en leur seins, ils t’allaitent, ils prennent soins de faire de toi l’imbécile, l’enragé : le parfait citoyen. Ils te roulent une pelle, le baiser de la mort ça s’appelle. Accepte leur proposition et ton destin se scelle. Ils jurent en ton nom, et mettent ta main à couper, répandent l’injure sur ton nom, te coupent l’herbe sous le pied. Non de non, c’est impossible ! T’en a le souffle coupé. Non d’un chien ! Non d’une pipe ! Tu suffoques de leurs méfaits. Fais gaffe ! Car pour le fric ils sont prêt à commettre tout les forfaits. Fais gaffe ! Car pour le fric ton voisin devient flic, t’es fais, t’es défais. Fonctionnaires, tortionnaires, c’est à se cogner par terre C’est à se demander comment on fait pour supporter leur mer à boire, qu’ils nous bassine à longueur de temps, à tout bout de champs à toute heure de la vie, du matin au soir. A cause d’eux je broie du noir. En fanfare, ils paradent, entre bon camarades, Entre deux grèves ça bosse dur pour préparer la prochaine mascarade. Défilé à l’unisson, ils scandent leur revendications : ils veulent la maille, et exigent des filets pour gros poissons des taxes de taille, des lois à la pelle. T’es bonne poire, l’Etat te pèle, impossible de faire appel Et vas-y qu’ils veulent gagner plus, et vas-y qu’ils veulent bosser moins Et vas-y qu’ils compte sur toi pour payer leurs vacances à Saint-Ouin-Ouin. Fonctionnaires, tortionnaires, ponctionnaires, indéboulonnables, te clouent au sol, te foutent par terre, te mettent en terre. A la fois flic et braqueur, ils jouent aux gendarmes et aux voleurs, tous frères d’arme, armés jusqu’aux dents, regard de tueur, l’insouciance, l’arrogance, l’honneur et l’argent du dur labeur, la violence, la souffrance, la sueur froide et la peur. Harcèlement à rallonge, allonge le fric ou ils t’allongent. Les fous du roi te font la morale, puis ils te font les poches Bombent le torse, raflent la mise, et empochent. Ils marchent sur nos œufs avec des béquilles, les bras dans le plâtre, le cerveau en patte, ils courent sur des billes. Alléchés par l’odeur du fric, par l’appât du gain, les maîtres renards attirent les corbeaux et les chiens. Six millons de boulets à tes basques te forcent. Soixante millions de nigauds leur tendent la papatte, leur graissent la patte, les renforcent. L’honnête homme est à bout de force, il tient debout, malgré les entorses à sa liberté, les infractions à la morale, sa vie qui se corse au bout du rouleau, ça boue dans son cerveau, sa rébellion s’amorce. ( Refrain 1 ) Dans la famille sociétale ils demandent le pouvoir. Pour asservir le peuple, sur le trône ils veulent s’asseoir, pour déféquer les lois et défaire les liens de paix, de vie, arracher les pourboires. Avides d’asservir, ils créent le mouroir, prélude à l’enfer dont la société se fait le miroir . Dans la famille martial ils demandent la cour, et créent la société de cour. La société est pris de cour. Ils exécutent les lois et la justice se meurt, le juge devient sourd. Il ne croit plus que ce qu’il voit : la Loi. Il n’adore plus qu’un roi : l’Etat. Car ils ont acquis le droit de faire la loi, de se dire l’Etat de droit. Tout se tient, tous se tiennent. T’as rien demandé mais t’as droit à l’Etat ( Fin du refrain 1 ) ( Refrain 2 ) Les faux cul t’ont dans le focus, t’es dans leur ligne de mire. Pêche à la ligne, tir aux pigeon, appâtent les bleus avec du rouge, veulent te faire rôtir, me font vomir. Tu parles d’élites ! Tout ce que je vois ce sont des tireurs d’élites, les franc tireurs de la république qui te tirent par derrière et se tirent avec ton fric, sale flic. Et tu te fait pécho par cette bande d’excités qui ont la trique. Et tu l’as dans l’os, tu l’as dans le cul, toujours la même histoire, toujours la même musique. ( Fin du refrain 2 ) Fonctionnaires, tortionnaires, réactionnaires. Fonctionnaires, tortionnaires, actionnaires de l’Etat patron, l’entreprise nationale qui marche au son des coups de canons. Le pacte social est un impact qui cache la réalité et cré l’illusion. Ils souscrivent au capital de la société étatique par action politique, le droit de vote c’est que pour eux, en avant les dividendes sans prise de risque. Ils souscrivent aux passes-« droit acquis » par vol à l’arrachés, à l’étalage. Au vus et au sus de tous de leurs méfaits ils font étalage. A la loi de l’offre et de la demande, ils préfèrent le pacte avec le diable, le gourdin, la matraque, les coups bas. Bande de vaurien, d’incapables. Sur le marché de l’erreur ils font leur course. Tu souhaitais marcher pépère ? Ils te coursent ! Illuminés jusqu’à l’aveuglement, le plus lucide d’entre eux te ment La France est occupé par des fonctionnaires qui sont chargés de te faire la guerre. Société de siège, terrain minés, les victimes ont triste mine et répondent à l’appel des bourreaux, et se retrouvent bourrées. Etat de privilège et d’exception, où chacun occupe son siège et a sa fonction, formule éprouvée, par l’honnête homme qui souffre. Usurpateurs, arnaqueurs , les fonctionnaires font régner la peur, la violence s’engouffre, ça sent le souffre. Fonctionnaires, tortionnaires, gardien de l’enfer, le paradis social, la prison qui t’enserres C’est pas des anges, c’est de la fange. T’a faim ? Ils te mangent Ils foutent tout à sac, tout à sec, vident la piscine, et te proposent le saut de l’ange Et les sots sautent, leur tristes mines explosent Les retombées sont pour les autres, c’est sans arrêt la même chose, sans pauses Ame sensible écoute, c’est hardcore, je te plante le décors. Crapeaux sans prince charmant, crapules sans remords. Leur système te maintient la tête sous l’eau, t’es soûlé à ras bord. ça crèvent tellement les yeux que ça t’aveugles, mais rien à voir avec le chlore ça peut plus durer, le chapitre faut le clore. Voilà leur culture : ils te font une armure, en te plantant des clous dans le dos, ils t’engrossent, te fessent et s’engraissent sur ton dos, te refile le mioche. Sale bâtard ! la morale a bon dos ! Et tu encaisses les coups et tu décaisses le fric. Pendant que ça te ronge qu’ils te niquent ils se payent ta tête avec ton fric. Tu commences à comprendre ? Faut pas se laisser faire, c’est nos affaires. C’est pas affaire de goût, c’est affaire de vie sur terre. Et ouais c’est la guerre, contre la vermine, contre les vers de terre. Un vers de trop, et tu fini par terre, à la citoyenneté comme à la guerre. Ils avancent à petit pas, à l’aveugle, le doigt dans l’œil de verre. Tu recules à grand pas, le grand bond « en arrière toute ! ». Un pas en avant, 4 pieds sous terre. Adieu fonctionnaire, vive la société prospère !
melodius Posté 8 septembre 2006 Signaler Posté 8 septembre 2006 Tu ferais bien d'écouter un peu de Mozart de temps à autre, ça calme les nerfs et on accède à des sphères esthétiques dont tu ne sembles pas soupçonnner l'existence… A moins que ce ne soit du second degré ?
younglib Posté 8 septembre 2006 Auteur Signaler Posté 8 septembre 2006 Tu ferais bien d'écouter un peu de Mozart de temps à autre, ça calme les nerfs et on accède à des sphères esthétiques que tu ne sembles pas soupçonnner… Merci du conseil !
melodius Posté 8 septembre 2006 Signaler Posté 8 septembre 2006 Pas de quoi. Bach c'est pas mal aussi, et Vivaldi. Un peu de Händel ne fait jamais de tort non plus. Beethoven, vu ton état psychologique, vaut mieux attendre encore un peu. ;-)
Dilbert Posté 8 septembre 2006 Signaler Posté 8 septembre 2006 Les faux cul t’ont dans le focus Fallait oser la faire… Il paraît d'ailleurs que les faux-culs (rembourrages portés autrefois sous la robe, au bas du dos) reviennent à la mode…
melodius Posté 8 septembre 2006 Signaler Posté 8 septembre 2006 Fallait oser la faire…Il paraît d'ailleurs que les faux-culs (rembourrages portés autrefois sous la robe, au bas du dos) reviennent à la mode… Sauf qu'aujourd'hui ils sont en silicone et se portent sous la peau.
younglib Posté 8 septembre 2006 Auteur Signaler Posté 8 septembre 2006 A moins que ce ne soit du second degré ? Il y a du premier degré et du second dégré, c'est mélangé. Imagine que nous vivions en anarcapie (c'est un rêve je sais ) et que tout d'un coup débarquent des gens qui veulent nous envahir et nous contrôler pour notre bien (du moins telle serait leur justification). Je crois que cela ne choquerai personne que l'on en parle comme dans ma chanson, et tout ou presque serait à prendre au premier degré. Maintenant il est vrai que l'on ne vit pas en anrcapie, donc il y beaucoups de second degrés dans ma chanson. Mes parents sont fonctionnaires, ce n'est pas pour cela que je les déteste, même s'il ont une drôle de mentalité quand ils parlent du service public. D'ailleurs par respect pour leur idées je ne leur ferai pas lire ce genre de chanson.
melodius Posté 8 septembre 2006 Signaler Posté 8 septembre 2006 Une chanson que tu ne ferais pas écouter à tes parents par respect pour eux n'est probablement pas une bonne chanson…
younglib Posté 8 septembre 2006 Auteur Signaler Posté 8 septembre 2006 Beethoven, vu ton état psychologique, vaut mieux attendre encore un peu. ;-) Qui plus est, moi qui adore la philosophie, je ne voudrai pas finir comme Nietzsche !
melodius Posté 8 septembre 2006 Signaler Posté 8 septembre 2006 Lui c'est plutôt Wagner qu'il écoutait. Et on s'étonnera d'apprendre qu'il était dépressif ! Même Bizet n'a pu le sauver, c'est dire l'ampleur des dégâts
younglib Posté 8 septembre 2006 Auteur Signaler Posté 8 septembre 2006 Une chanson que tu ne ferais pas écouter à tes parents par respect pour eux n'est probablement pas une bonne chanson… Ce n'est pas une chanson grand public. Il faut avoir certaines idées libérales pour en comprendre le message. Autrement dit je ne la fait lire qu'à des libéraux, ou à ceux qui aiment les jeux de mots et qu'y s'en foute du message, ou encore à des personnes à qui j'explique le message (et qui sont en mesure de le comprendre en partie, ce qui ne serait pas le cas de mes parents à l'heure actuelle par exemple). Ceci dit je comprends que même des libéraux puissent prendre ça pour un torchon. C'est un poême peu poétique. Lui c'est plutôt Wagner qu'il écoutait. Et on s'étonnera d'apprendre qu'il était dépressif ! A mince ! Je me suis gourré.
ricotrutt Posté 8 septembre 2006 Signaler Posté 8 septembre 2006 Moi je trouve que c'est une autre approche du combat libéral. On avait déjà discuté de la production possible de ta première chanson, mais malheureusment je n'ai vraiment personne dans mon réseau qui soit libéral et qui sache rapper, ce qui est dommage maintenant que j'aurais les moyens de le produire.
WALDGANGER Posté 8 septembre 2006 Signaler Posté 8 septembre 2006 il faudrait envoyer le texte à doc gyneco son coming out "libéral": http://www.labanlieuesexprime.org/article….id_article=1018 Q:quelle serait ta politique? doc: sortir de l'idée de vivre sous différentes formes d'aides sociales (…) on va se dire que notre destin est où il est, où nous avons grandi et on ne peut rien éspérer d'autre, j'en ai marre de cette manière de penser qui nous lie les uns les autres par la misère (…) on doit aimer l'idée de pouvoir s'en sortir (…) je vais faire du social de droite et tous les gauchistes sont déja en train de crier derriere la caméra que le social ne leur appartient qu'à eux et que les gens qui souffrent de la misère il n'y qu'eux qui les comprennent…
John Loque Posté 8 septembre 2006 Signaler Posté 8 septembre 2006 J'aime beaucoup ses chansons mais je supporte pas un type qui met 30 secondes entre chaque mot pour au final ne rien lâcher de bien exceptionnel. Même Chirac va plus vite dans ses discours…
younglib Posté 9 septembre 2006 Auteur Signaler Posté 9 septembre 2006 Moi je trouve que c'est une autre approche du combat libéral. On avait déjà discuté de la production possible de ta première chanson, mais malheureusment je n'ai vraiment personne dans mon réseau qui soit libéral et qui sache rapper, ce qui est dommage maintenant que j'aurais les moyens de le produire. Ouai je suis pas contre produire certaines de mes chanson. Mais celle-ci me paraît tout de même hardcore et risque d'être mal interpréter. Il faudrait que je l'adoucisse. C'est ma chanson la plus hard, je me suis un peu défoulé là . Les autres sont plus raisonnables. Que ceux qui veulent que je leur envoie mes textes n'hésitent pas, ce serai avec grand plaisir. Mais attention !!! Ce sont MES textes Chiche ? Ouai si quelqu'un veut bien s'en chargé à ma place. il faudrait envoyer le texte à doc gynecoson coming out "libéral": http://www.labanlieuesexprime.org/article….id_article=1018 Q:quelle serait ta politique? doc: sortir de l'idée de vivre sous différentes formes d'aides sociales (…) on va se dire que notre destin est où il est, où nous avons grandi et on ne peut rien éspérer d'autre, j'en ai marre de cette manière de penser qui nous lie les uns les autres par la misère (…) on doit aimer l'idée de pouvoir s'en sortir (…) je vais faire du social de droite et tous les gauchistes sont déja en train de crier derriere la caméra que le social ne leur appartient qu'à eux et que les gens qui souffrent de la misère il n'y qu'eux qui les comprennent… Je l'ai vu cette vidéo que tu avais déjà mis en lien. S'est vrai que je le voyais pas comme ça, il monte dans mon estime.
ricotrutt Posté 9 septembre 2006 Signaler Posté 9 septembre 2006 tu peux m'envoyer tes textes (ainsi que ton nom) par mail ?
KaptN Posté 9 septembre 2006 Signaler Posté 9 septembre 2006 J'aime bien ces paroles, c'est violent, et ça correspond à ma vision de la société (comme tout le monde ici, je suppose ). Un effort sur les rimes et la longueurs des vers, et ce sera encore mieux.
younglib Posté 9 septembre 2006 Auteur Signaler Posté 9 septembre 2006 tu peux m'envoyer tes textes (ainsi que ton nom) par mail ? Oki je fais ça. Un effort sur les rimes et la longueurs des vers, et ce sera encore mieux. De toute façon tout dépend du rythme de la musique que tu mets derrière et de la vitesse à laquelle tu chantes un vers (quand c'est plus long, tu chantes plus vite). Selon la musique il faudra adapter le texte. Ricotrutt, je ne peux pas accéder à ton adresse mail, car la seule chose que je puisse faire sur libéraux.org c'est lire des messages et en envoyer. Toute les autres fonctionnalités ou presque je ne peux pas les utiliser. C'est bizarre, ça fait longtemps que j'ai ce problème. Donc envoie un message à mon adresse mail comme ça j'aurai l'adresse où je pourrai t'envoyer les textes. Mon adresse mail : dearjulien at hotmail point com — J'ai édité ton message, laisser son adresse sur un forum en arobase et .com n'est pas très prudent. Etienne
Nico Posté 10 septembre 2006 Signaler Posté 10 septembre 2006 Je pense que tu ferais un excellent ministre de la culture younglib
Ash Posté 11 septembre 2006 Signaler Posté 11 septembre 2006 La vidéo avec Doc est effectivement pas mal du tout. A écouter à partir de la 10ème minute. Puis la 26 et 35ème
Timur Posté 11 septembre 2006 Signaler Posté 11 septembre 2006 Bach c'est pas mal aussi Sacrilège! Vous devriez avoir honte d’utiliser cette litote à l’égard du Cantor de Leipzig. Bach est le Dieu de la musique. Le plus grand des compositeurs. Jamais égalé et qui ne le sera jamais.
younglib Posté 12 septembre 2006 Auteur Signaler Posté 12 septembre 2006 Merci Etienne. Je pense que tu ferais un excellent ministre de la culture younglib C'est gentil, mais si on me proposai la fonction je la refuserai. Un ministre de la culture c'est fait pour controler la culture, non ?
Coldstar Posté 12 septembre 2006 Signaler Posté 12 septembre 2006 Franchement j'aime pas. Pas très bien écrit, franchement. Vulgaire sans être percutant. Trop long, message dilué. BEAUCOUP TROP LONG. La cible est mal choisie. Tu tapes sur les fonctionnaires, sans discernement aucun, c'est plus caricatural qu'autre chose. C'est pas pour te faire chier, je dis ce que je pense. Ca manque trop de méthode. Pour écrire un bon pamphlet, il ne suffit pas de se défouler.
ricotrutt Posté 12 septembre 2006 Signaler Posté 12 septembre 2006 attention ça n'est pas un pamphlet mais un rap. Il suit donc les rêgles du rap : pas de discernenement, que de la violence
Coldstar Posté 12 septembre 2006 Signaler Posté 12 septembre 2006 Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah Alors je dois me déclarer incompétent.
younglib Posté 12 septembre 2006 Auteur Signaler Posté 12 septembre 2006 Dis moi ricotrutt, t'as reçus mon mail avec mes chansons ? Franchement j'aime pas.Pas très bien écrit, franchement. Vulgaire sans être percutant. Trop long, message dilué. BEAUCOUP TROP LONG. La cible est mal choisie. Tu tapes sur les fonctionnaires, sans discernement aucun, c'est plus caricatural qu'autre chose. C'est pas pour te faire chier, je dis ce que je pense. Ca manque trop de méthode. Pour écrire un bon pamphlet, il ne suffit pas de se défouler. D'habitude mes chansons ne ressemblent pas à celle-ci. Elles sont plus construites. Ceci dit, je trouve que cette chanson est l'une des meilleures. Sa force selon moi, c'est justement l'accumulation des reproches fait aux fonctionnaires. C'est une avanlanche continue, de façon à assommer, sans temps morts. Mais peut-être que justement certains trouveront ça assomant (ça les endort) mais ça n'est pas mon cas. Comme le fais justement remarquer Ricottrut, ce n'est pas un pamphlet. Si c'était de cela qu'il s'agissait je m'y prendrais autrement.
Nico Posté 15 septembre 2006 Posté 15 septembre 2006 · Masqué Masqué C'est gentil, mais si on me proposai la fonction je la refuserai. Un ministre de la culture c'est fait pour controler la culture, non ? Si tu avais dit oui, tu aurais donc reconnu l'utilité d'un tel ministère qui en effet, a exactement les effets que tu décris sur la création artistique. C'était juste pour tester mais à l'évidence, je préférerais que tout ce qui attrait à la culture soit géré par des fonds privés.
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