Librekom Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 J'ai visionné ce clip et je ne comprend pas tout. http://video.google.fr/videoplay?docid=544…154452228&q=gay En tout cas si j'ai bien compris c'est choquant. APparement c'est des thérapies de conversions pour "soigner" les gays ! Mais je ne sait pas si c'est ironique ou sérieux parce que ça viens de google video . Est ce que l'un de vous peut m'éclairer ?
Fredo Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 C'est malheureusement du très "sérieux". Ce genre de "thérapie" existe bel et bien. Je mets des guillemets car les critères (souffrance et désir de résoudre un problème précis de la part du patient) ne sont pas respectés. On a plutôt affaire à une définition normative. Un homo n'est pas "normal" donc il faut le soigner. Pourtant, l'association américaine de psychiatrie a retiré il y a longtemps l'homosexualité de la liste des maladies mentales lors de la révision de sa classification des psychopathologies (DSM, utilisée mondialement). Par ailleurs ces soit disant "thérapeutes" ne sont qu'un épiphénomène d'un lobby religieux extrémiste. L'idée de normalité ne s'oppose même plus à celle de pathologique, dérive simpliste et souvent tentante (voir la thèse du philosophe Canguilhem) mais a plus à voir avec celle d'une loi naturelle (divine) et la déviance à la norme est donc une faute. On pourrait presque dire un "péché". Le terme de "conversion" n'est pas anodin et bien révélateur de cet aspect moralisateur et culpabilisant. Bref, il y a des âmes à sauver. L'aspect "psy" n'est que le vernis de surface.
A.B. Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 C'est malheureusement du très "sérieux". Mais les gens qui participent a ca sont volontaires non?
Fredo Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 Je pense. On en est pas encore au traitement obligatoire et forcé. (*) Mais je ne serais pas surpris qu'on les ait manipulés ou influencés dans une certaine mesure comme savent si bien faire les mouvements sectaires. De plus je doute que les "conversions" aient vraiment eu lieu. (*) Il n'y pas si longtemps, afficher ouvertement son homosexualité était condamnable. La sanction pouvait être assortie d'obligation de soins, comme ce fut le cas en Angleterre pour le célèbre mathématicien Alan Turing, le père conceptuel de l'ordinateur. Lors du procès où il témoignait sur une simple affaire de vol/jalousie, sa liaison avec l'un des protagonistes fut mise en avant et il ne s'en cacha pas. A l'instar de Socrate, il se retrouva accusé de perversion et ses déclarations franches alourdirent la sanction. D'outrage aux moeurs et à la cour on lui adjoint un traitement chimique à base d'hormones. Il ne supporta pas de voir son corps changer… sombra dans le désespoir puis finit par se suicider comme l'on sait. Voilà comment l'on remercia l'un des plus grands génies du siècle qui contribua à l'effort de guerre en cassant le code Enigma.
Librekom Posté 7 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 7 octobre 2006 c'est vraiment des tarrés, des crétins, je n'avais plus entendu parlé de ça depuis les grandes heures du communisme chinois. (je crois que ct eux mais je n'en suis pas certain) La thérapie consistait à associer des sensations désagréables à des images et des films d'hommes nus et sensuels et des sensations agréables à l'équivalent féminin. Mais ct une dictature pas l'amérique ! Le mot liberté ne signifie vraiment plus rien là bas !
A.B. Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 c'est vraiment des tarrés, des crétins, je n'avais plus entendu parlé de ça depuis les grandes heures du communisme chinois. (je crois que ct eux mais je n'en suis pas certain) La thérapie consistait à associer des sensations désagréables à des images et des films d'hommes nus et sensuels et des sensations agréables à l'équivalent féminin. Mais ct une dictature pas l'amérique ! Le mot liberté ne signifie vraiment plus rien là bas ! Je n'ai pas acces a la video donc je peux me tromper mais il me semble que les gens choisissent volontairement de participer a ce programme non? Ce sont peut-etre des gens qui vivent tres mal leur homosexualite et qui se sentiront mieux s'ils se donnent l'impression qu'ils tentent de l'evacuer… Qualifier l'Amerique de dictature et la comparer a la Chine a ce propos est un grave amalgame, meme si les traitements sont similaires dans un cas ils sont imposes par la violence dans l'autre cas ils sont consentis. Dirais-tu d'un boxeur qu'il est constamment torture? Le mot liberte signifie que certains gays qui preferent vivre pleinement leur homosexualite le peuvent que d'autres qui preferent la refouler le peuvent aussi. Ce n'est peut-etre pas un choix judicieux de leur part, mais nous ne sommes pas la pour juger.
Fredo Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 Je viens d'éditer mon post au-dessus : nous n'avons rien à envier aux pays communistes (voir comment on a traité Turing).
Librekom Posté 8 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2006 AB, ne confond pas New York ou la californie avec "Les Etats-Unis" l'homosexualité restait un délit (parfois même un crime) dans 25 états jusqu' au 26 juin 2003. Date à laquelle la décision "Lawrence v. Texas", rendue par la Cour Suprême des USA rendait inconstitutionnelles la criminalisation des interactions sexuelles entre adultes consentants dans l’espace privé et donc les "sodomy laws”. Au Massachusetts c'est tout à fait interressant, jusqu'en 2003 la sodomie était un crime contrenature condanable de 20 ans de prison. La fellation était un "Unnatural and Lascivious Acts" condanable de 5 ans de prison et 1000$ d'amende ! Cette lois ne concernait indifférement lesz couples homos et hétéros. En 2003, 106 membres de l'armé américaine ont été récusé pour homosexualité jusqu'au fameux 26 juin ce qui nous fait donc à peine 6 mois ! En Alabama, une loi interdit, toujours aujourd'hui, la vente des gadgets "sex toys" habituellement présents dans les “sex shops”. La peine encourrue est de 10.000$ d'amende et 1 an d'emprisonnement. Depuis 1998, une action en justice tente de faire reconnaître l’inconstitutionnalité de cette loi. Au début de cette année, la Cour Suprème des Etats-Unis a refusé d’examiner l’appel de la plaignante (Sherri Williams), sans donner de raisons ; et plus récemment (le 4 août), son avocat a demandé un ré-examen du dossier par une cour de justice fédérale de l’Alabama, en arguant que la décision Lawrence v. Texas rend de facto une telle loi inconstitutionnelle.
A.B. Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 Oui c'est sur qu'ici c'est different… moi j'habite a Greenwich Village au coin de Gay Street, le quartier est … joyeux Tres bonne ambiance en tout cas.
Librekom Posté 8 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2006 et t'a fait la fêtes toute la nuit ou je me trompe de sens dans le décalage horaire ? il est 4h 30 du mat là chez toi, non ?
Librekom Posté 8 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2006 si je vivais à greenwich village, je n'aurais pas sommeil non plus !
A.B. Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 si je vivait à greenwich village, je n'aurais pas sommeil non plus ! Peut-etre pour des raisons differentes ceci-dit
Librekom Posté 8 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2006 la vie est chère dans le quartier ? ou un pommé comme moi peut se trouver un job correct et vivre dignement ?
h16 Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 la vie est chère dans le quartier ? ou un pommé comme moi peut se trouver un job correct et vivre dignement ? Franchement, Greenwich village est cher et assez surfait. On y trouve quelques troquets sympa, ceci dit. Mais pour y habiter, bof bof bof.
A.B. Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 la vie est chère dans le quartier ? ou un pommé comme moi peut se trouver un job correct et vivre dignement ? C'est un des quartiers les plus chers mais c'est tres sympa. N'importe qui peut trouver un job en 2 jours a NYC… apres il faut voir le salaire, ils sont plutot hauts quand tu as un bon boulot.
Librekom Posté 8 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2006 C'est un des quartiers les plus chers mais c'est tres sympa. N'importe qui peut trouver un job en 2 jours a NYC… apres il faut voir le salaire, ils sont plutot hauts quand tu as un bon boulot. Et pour avoir un bon boulot faut avoir un gros diplome ou 10 d'xp ou faut juste être blanc, beau et motivé ?
A.B. Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 Et pour avoir un bon boulot faut avoir un gros diplome ou 10 d'xp ou faut juste être blanc, beau et motivé ? Je ne pense pas qu'il y ait de la discrimination, maintenant pour le diplome ou l'xp tout depend de ce que tu brigues. Un serveur de restaurant gagne dans les $3000 par mois net.
Librekom Posté 8 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2006 Je ne pense pas qu'il y ait de la discrimination, maintenant pour le diplome ou l'xp tout depend de ce que tu brigues. Un serveur de restaurant gagne dans les $3000 par mois net. oui, mais je suppose qu'avec 3000 net moins les assurances et le loyer c pas gg, non ? je suppose qu'il ne faut pas rêver c comme partout !
A.B. Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 oui, mais je suppose qu'avec 3000 net moins les assurances et le loyer c pas gg, non ? Faut enlever les impots aussi Sur $3000 il devrait te rester $2500, compte minimum $400 pour te loger en colloc a Manhattan, monte dans les $900 pour Greenwich Village. Sinon la vie est pas tres chere. h16: avoir 7 lignes de metro a moins de 30m de chez soit: priceless.
Librekom Posté 8 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2006 ok ça a l'air cool, mais s'il faut elever 500$ d'impot à 3000$ net, c'est quoi la dif entre le net et le brut ?
A.B. Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 ok ça a l'air cool, mais s'il faut elever 500$ d'impot à 3000$ net, c'est quoi la dif entre le net et le brut ? je disais net au sens net de charges.
h16 Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 Faut enlever les impots aussi Sur $3000 il devrait te rester $2500, compte minimum $400 pour te loger en colloc a Manhattan, monte dans les $900 pour Greenwich Village. Sinon la vie est pas tres chere.h16: avoir 7 lignes de metro a moins de 30m de chez soit: priceless. Il y a d'autres endroits à NYC pour ça. Et puis le métro, quand on peut payer le taxi (pas cher et compétitif), franchement … ok ça a l'air cool, mais s'il faut elever 500$ d'impot à 3000$ net, c'est quoi la dif entre le net et le brut ? Et puis pour 3000$, ça veut dire que tu te débrouilles bien pour les tips et que tu ne comptes pas tes heures. En clair, tu travailles à temps plein et dans un établissement qui a du succès - c'est d'ailleurs partout (sur toute la planète) pareil. Et puis, n'est pas Tom Cruche dans Cocktail qui veut
Mobius Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 pour en revenir à la vidéo, je pense que c'est effectivement débile, mais moins que ce que sorte nos amis nippons Harudooo gaaiiiiiii helps a ramen shop
Librekom Posté 8 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2006 A la limite c encore marrant, mais pour l'image des gays c pas génial effectivement. On passe vraiment pour des crétins allumés. Mais la gay pride avait le même effet ici dans les années 80-90
Fredo Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 Tiens, "inversons" le point de vue : Je me demande à quoi pourrait bien ressembler une hetero-pride ?
h16 Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 Tiens, "inversons" le point de vue : Je me demande à quoi pourrait bien ressembler une hetero-pride ? Des gens qui défilent habillés normalement sur fond de Lorie ?
WALDGANGER Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 je crois que ça existe. j'ai entendu ça sur radio courtoisie.
A.B. Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 je crois que ça existe. j'ai entendu ça sur radio courtoisie. A quand la geek-pride ? La libertarian-pride ? La gay-pride passe juste sous ma fenetre c'est assez special J'en retiens par exemple le char "jewish-gay" dansant en habit traditionnel sur havah nagillah version disco dans un decor rose. Perturbant…
Librekom Posté 9 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 9 octobre 2006 Le sens de la gay pride, c'est fêter les évènements du 28 juin 1969, qui à eu lieu au "Stonewall In" un bar gay situé au 53 de la Christopher Street, au cœur du Greenwich Village. A New York, dans les années 60, il était interdit de servir des boissons alcoolisées aux homosexuels, de danser entre hommes ou de se travestir. Les descentes de police dans les bars suspectés de réunir des gays étaient monnaie courante aux États-Unis. Il était banal pour la police, avant 1965, de relever les identités des personnes présentes dans ces bars Après l'élection en 1965 de John Lindsay comme maire de New York, un Républicain qui présentait un programme de réformes, la police évita de multiplier ses descentes. Cependant, le ton se durcit en 1969 durant les élections municipales. John Lindsay venant de perdre les primaires de son parti et souhaitant "faire le ménage" dans les bars illégaux. Tenu par la mafia (ciblant volontairement la clientèle gay, car elle rapportait gros), le Stonewall Inn était l'un des seuls bars où les gays pouvaient se retrouver, malgré les fréquentes descentes de police. Le bar, qui accueillait plusieurs centaines de personnes les week-ends, ne possédait aucune licence, mis "Fat Tony" graissait la patte des officiers de police du 6e district. Bien que plusieurs descentes avaient déjà eu lieu auparavant, le bar accueillait toujours des homosexuels le soir des émeutes. Le raid qui eut lieu le 28 juin était différent des interventions précédentes. Habituellement, "Fat Tony" était prévenu par une taupe, et les descentes avaient souvent lieu assez tôt pour permettre une réouverture rapide du bar. Aux alentours de 1 heure 30 du matin, plus tard que d’habitude, huit policiers en civil pénétrèrent dans le bar. La plupart des clients purent partir sans être inquiétés, puisque les seules personnes interpellées étaient celles sans carte d’identité ou portant des vêtements habituellement réservés aux personnes du sexe opposé, ainsi que les employés du bar. On ne sait pas très bien comment l’émeute débuta, mais la foule présente sur les lieux commença à lutter contre les forces de police. L'histoire veut qu'un travesti, Sylvia Rivera, ait jeté la première bouteille sur les policiers. Etonnés et en sous-effectif, ceux-ci se réfugièrent dans le bar. Un chanteur de folk hétérosexuel Dave Van Ronk, qui passait par là, fut emmené de force par les policiers dans le bar et battu. La foule continuait ses attaques. Certains essayèrent, sans succès, de mettre le feu au bar. D’autres se saisirent d’un parc-mètre et bloquèrent les policiers à l’intérieur. Les résidents du quartier et les clients des bars alentour commencèrent à affluer. Pendant la nuit, des hommes efféminés furent souvent pris à parti par les forces de police et battus. La première nuit, treize personnes furent arrêtées, et quatre policiers ainsi qu’un nombre inconnu de manifestants blessés. La foule, estimée à 2.000 personnes par les forces de l'ordre, lançait des bouteilles et des pierres aux 400 policiers arrivés sur place. La police finit par envoyer la Tactical Patrol Force, une unité de police anti-émeute, alors habituée à lutter contre les opposants à la guerre du Viêt Nam. Cependant, ces hommes ne parvinrent à disperser la foule qui continuait à leur jeter des pierres et toutes sortes de projectiles. Craig Rodwell, qui avait créé en 1967 dans la Christopher Street la première librairie d'auteurs Gay au monde, la Oscar Wilde Memorial Bookshop, ameuta la presse. Les journalistes assisteront à plusieurs jours de combats, qui se poursuivront dans la rue. En effet, le 28 juin, l’émeute se calma, mais la foule revint les jours suivants. Les échauffourées durèrent cinq jours, toutes les brimades dont les homosexuels avaient été victimes précédemment refaisant surface. Le 4 juillet, après une nuit très agitée, Craid Rodwel participa devant le Capitole à Washington au traditionnel défilé de l’Independance Day organisé depuis quelques années par la Mattachine Society (l'une des première associations gays au monde). Constatant qu’au cours de cette manifestation les leaders du Mattachine séparent les couples de femmes ou d’homosexuels trop voyants, Craid Rodwel décida d'organiser dès l’année suivante une manifestation en l’honneur des événements de la Christopher Street. Il participa à New York à la création du Gay Liberation Front (GLF), puis en décembre 1969 de la Gay Activist Alliance (GAA), et fonde le comité d'organisation du Christopher Street Liberation Day: la première Gay Pride. Après une bataille juridique pour obtenir le droit de manifester, la première manifestation de quelques centaines de gays et de lesbiennes aura lieu sous les slogans "Come Out", "Gay Pride", "Gay is Good" et en chantant le "Gay Power". Les émeutes de Stonewall et la manifestation déclenchée par Craig Rodwel marquent l'étape la plus importante de l'émancipation GAY. C’est en hommage à cette émeute de Stonewall que les marches de la fierté GAY ont lieu dans le monde entier le dernier dimanche de juin. Au fur et à mesure, ces marches servirent de plus en plus à la revendication et de moins en moins à la commémoration des évènements de la Cristopher Street. Et là où il n'y plus rien ou presque à revendiquer, c'est devenu des véritables carnavals gays qui perdent tous leur sens, où l'on peut voir des charres caravanes publicitaires pour discothèques et sauna gays. Le message qui à l'origine était "soyons fier de ce que nous sommes", "Souvenez vous", "stop à la répression, oui à la liberté", "laissez nous vivre en paix" est devenu "regarder j'ai un beau cul, je suis une vrai chaudasse", "Sortez à la Démence", "venez vous envoyer en l'air au Macho", et parfois "criminalisons l'homophobie" … (sans oublié les "votez pour moi, je suis un gentil" de début de cortège.) Les seules Gay Pride utiles sont celles qui ont lieu dans les pays où la répression existe encore comme en Russie par exemple où la première Gy Pride à eu lieu cette année dans une ambiance plus que très hostile ! Une bonne moitié d’États de la planète interdit les relations sexuelles entre personnes de même sexe ou les réprime systématiquement. L'Homosexualité est un délit voir un crime dans plus de 90 pays. Elle sanctionnée par la peine de mort en Arabie Saoudite et en Iran. et par la prison à perpétuité au Pakistan (+ 100 coups de bâton!), à Singapour et au Tonga. (En Iran, deux adolescents âgés de 16 et 18 ans ont été pendus le 19 juillet 2005, selon le code pénal iranien, les filles dès 9 ans et les garçons dès 15 ans peuvent être exécutés) http://www.iran-resist.org/article115
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