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L'enfer Chrétien


Invité jabial

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Je ne comprends pas tes questions.

Ah bon ? Je dois pas être clair.

Qu'est-ce qui différencie un concept spirituel des autres catégories de concept ? Et quelles sont ces autres catégories ?

Je cherche à comprendre la différence entre ce que j'appelle un concept et ce qu'est un "concept spirituel". L'utilisation de l'adjectif "spirituel" me fait penser qu'on peut classer les concepts en plusieurs catégories que je souhaite comprendre. J'imagine que c'est à la base de la théologie ?

Et en condamnant que fais tu ?

J'ai toujours pensé qu'il n'était pas de la responsabilité d'un chrétien lambda de condamner un autre pêcheur.

Donc si l'enfer est un concept, au moins les enfers sont un lieu pour les âmes, de quelle nature ?

Dans le premier extrait souligné je comprends bien que l'enfer puisse être un concept. Dans le second on parle des "enfers", au pluriel, où les âmes souffrent ce concept (l'enfer). Donc je cherche à savoir ce que sont les enfers.

  • 6 months later...
Posté

Bonjour à tous !

(présentations rapides, je suis un catho libéral, je participe à un forum catho où parfois je me sens seul…)

Pour répondre à la question sur l'enfer :

1° ce n'est pas un lieu, semble-t-il, mais une situation. Donc, sauf erreur de ma part, pas de bouilloire, pas de démons poilus qui tirent les coucougnettes dans tous les sens, etc. L'enfer est l'état dans lequel e trouve celui qui se refuse à l'amour de Dieu

2° pourquoi ça ? Dans la théologie contemporaine, Dieu se propose à l'homme, il ne s'impose pas à lui : "je te laisse libre d'accepter mon amour, tu as le droit de refuser, mais tu peux changer d'avis quand tu veux". Si je le refuse, Dieu ne me forcera pas à le suivre : donc il me laissera seul. L'enfer, c'est ça.

3° Pourquoi, dans ce cas, cet état est-il si pénible ? après tout, on est bien entre soi… plusieurs raisons expliquent cela : a/ on est éloigné pour toujours de Dieu. Or Dieu est le bien, et le bonheur infini. On est éloigné à jamais du bonheur infini : donc on est plongé dans le malheur infini. C'est ce qu'on appelle, dans le langage traditionnel, la "peine de ban" : la souffrance née de l'éloignement de Dieu. b/ dans certaines conceptions, comme on ressuscite aussi dans la chair (pas seulement l'âme), ce malheur infini s'étendrait aussi au corps, ce qui équivaudrait à une souffrance physique infinie. Mais le risque de ces conceptions est qu'on revient à l'enfer comme lieu, puisqu'un corps doit bien se trouver quelque part.

4° et surtout : on est livré à soi-même, c'est-à-dire à son propre péché. Or qu'est-ce ? Le péché est le refus de l'amour, qu'il vienne de Dieu ou du prochain ; c'est la croyance excessive en sa propre capacité à se suffire à soi-même, sans accepter humblement qu'on dépend d'autre que soi (Dieu ou son prochain là encore). L'homme qui se complaît dans son péché vit dans le malheur, mais par orgueil, il refuse d'en sortir, et pour ainsi dire, il jouit de son malheur. Bref, le damné souffre de n'être pas avec Dieu, mais quelque chose en lui le retient à jamais de sortir de là, car il lui faudrait, pour cela, s'ouvrir humblement à la divinité et à l'amour qu'elle demande : or il se sent trop orgueilleux pour pouvoir sortir de son péché. Il est donc le responsable de son malheur éternel. Ce n'est pas Dieu qui l'empêche de s'en sortir : c'est l'homme lui-même qui le refuse, en permanence, pour toujours ; il veut rester dans son malheur, peut-être au fond aime-t-il ça.

J'espère vous avoir renseignés.

MB

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L'enfer, c'est un endroit où il fait très très chaud, avec plein de meufs à poil prête à s'adonner à tous les plaisirs de la chair, où l'alcool coule à flot. Bref, l'enfer, c'est le paradis.

Posté
L'enfer, c'est un endroit où il fait très très chaud, avec plein de meufs à poil prête à s'adonner à tous les plaisirs de la chair, où l'alcool coule à flot. Bref, l'enfer, c'est le paradis.

Oui sauf, que, 1° c'est pas un endroit, 2°, pour reprendre une vieille blague grivoise et pas bien jolie, les bouteilles ont deux trous et les filles, aucun.

Posté
L'enfer, c'est un endroit où il fait très très chaud, avec plein de meufs à poil prête à s'adonner à tous les plaisirs de la chair, où l'alcool coule à flot. Bref, l'enfer, c'est le paradis.

En fait l'enfer c'est une boite de nuit. Tout le monde connaît le DJ :icon_up:

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Bonjour à tous !

(présentations rapides, je suis un catho libéral, je participe à un forum catho où parfois je me sens seul…)

Pour répondre à la question sur l'enfer :

1° ce n'est pas un lieu, semble-t-il, mais une situation. Donc, sauf erreur de ma part, pas de bouilloire, pas de démons poilus qui tirent les coucougnettes dans tous les sens, etc. L'enfer est l'état dans lequel e trouve celui qui se refuse à l'amour de Dieu

2° pourquoi ça ? Dans la théologie contemporaine, Dieu se propose à l'homme, il ne s'impose pas à lui : "je te laisse libre d'accepter mon amour, tu as le droit de refuser, mais tu peux changer d'avis quand tu veux". Si je le refuse, Dieu ne me forcera pas à le suivre : donc il me laissera seul. L'enfer, c'est ça.

3° Pourquoi, dans ce cas, cet état est-il si pénible ? après tout, on est bien entre soi… plusieurs raisons expliquent cela : a/ on est éloigné pour toujours de Dieu. Or Dieu est le bien, et le bonheur infini. On est éloigné à jamais du bonheur infini : donc on est plongé dans le malheur infini. C'est ce qu'on appelle, dans le langage traditionnel, la "peine de ban" : la souffrance née de l'éloignement de Dieu. b/ dans certaines conceptions, comme on ressuscite aussi dans la chair (pas seulement l'âme), ce malheur infini s'étendrait aussi au corps, ce qui équivaudrait à une souffrance physique infinie. Mais le risque de ces conceptions est qu'on revient à l'enfer comme lieu, puisqu'un corps doit bien se trouver quelque part.

4° et surtout : on est livré à soi-même, c'est-à-dire à son propre péché. Or qu'est-ce ? Le péché est le refus de l'amour, qu'il vienne de Dieu ou du prochain ; c'est la croyance excessive en sa propre capacité à se suffire à soi-même, sans accepter humblement qu'on dépend d'autre que soi (Dieu ou son prochain là encore). L'homme qui se complaît dans son péché vit dans le malheur, mais par orgueil, il refuse d'en sortir, et pour ainsi dire, il jouit de son malheur. Bref, le damné souffre de n'être pas avec Dieu, mais quelque chose en lui le retient à jamais de sortir de là, car il lui faudrait, pour cela, s'ouvrir humblement à la divinité et à l'amour qu'elle demande : or il se sent trop orgueilleux pour pouvoir sortir de son péché. Il est donc le responsable de son malheur éternel. Ce n'est pas Dieu qui l'empêche de s'en sortir : c'est l'homme lui-même qui le refuse, en permanence, pour toujours ; il veut rester dans son malheur, peut-être au fond aime-t-il ça.

J'espère vous avoir renseignés.

MB

Bienvenue à toi, MB, j'apprécie tout particulièrement tes contributions sur le forum catho en question. Je partage ton analyse. Pour ma part, j'ai tendance à considérer le mal comme un manque d'être, une absence de bien. Satan comme tel n'existe pas, mais le mécanisme satanique sabote nombre de relations humaines.

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Bonjour à tous !

(présentations rapides, je suis un catho libéral, je participe à un forum catho où parfois je me sens seul…)

Pour répondre à la question sur l'enfer :

1° ce n'est pas un lieu, semble-t-il, mais une situation. Donc, sauf erreur de ma part, pas de bouilloire, pas de démons poilus qui tirent les coucougnettes dans tous les sens, etc. L'enfer est l'état dans lequel e trouve celui qui se refuse à l'amour de Dieu

2° pourquoi ça ? Dans la théologie contemporaine, Dieu se propose à l'homme, il ne s'impose pas à lui : "je te laisse libre d'accepter mon amour, tu as le droit de refuser, mais tu peux changer d'avis quand tu veux". Si je le refuse, Dieu ne me forcera pas à le suivre : donc il me laissera seul. L'enfer, c'est ça.

3° Pourquoi, dans ce cas, cet état est-il si pénible ? après tout, on est bien entre soi… plusieurs raisons expliquent cela : a/ on est éloigné pour toujours de Dieu. Or Dieu est le bien, et le bonheur infini. On est éloigné à jamais du bonheur infini : donc on est plongé dans le malheur infini. C'est ce qu'on appelle, dans le langage traditionnel, la "peine de ban" : la souffrance née de l'éloignement de Dieu. b/ dans certaines conceptions, comme on ressuscite aussi dans la chair (pas seulement l'âme), ce malheur infini s'étendrait aussi au corps, ce qui équivaudrait à une souffrance physique infinie. Mais le risque de ces conceptions est qu'on revient à l'enfer comme lieu, puisqu'un corps doit bien se trouver quelque part.

4° et surtout : on est livré à soi-même, c'est-à-dire à son propre péché. Or qu'est-ce ? Le péché est le refus de l'amour, qu'il vienne de Dieu ou du prochain ; c'est la croyance excessive en sa propre capacité à se suffire à soi-même, sans accepter humblement qu'on dépend d'autre que soi (Dieu ou son prochain là encore). L'homme qui se complaît dans son péché vit dans le malheur, mais par orgueil, il refuse d'en sortir, et pour ainsi dire, il jouit de son malheur. Bref, le damné souffre de n'être pas avec Dieu, mais quelque chose en lui le retient à jamais de sortir de là, car il lui faudrait, pour cela, s'ouvrir humblement à la divinité et à l'amour qu'elle demande : or il se sent trop orgueilleux pour pouvoir sortir de son péché. Il est donc le responsable de son malheur éternel. Ce n'est pas Dieu qui l'empêche de s'en sortir : c'est l'homme lui-même qui le refuse, en permanence, pour toujours ; il veut rester dans son malheur, peut-être au fond aime-t-il ça.

J'espère vous avoir renseignés.

MB

Bienvenue à toi MB :icon_up:

Sans flagornerie, je suis avec beaucoup d'intérêt tes interventions sur l'autre forum, auquel j'ai un peu participé par le passé (G…).

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Bonjour à tous !

(présentations rapides, je suis un catho libéral, je participe à un forum catho où parfois je me sens seul…)

Pour répondre à la question sur l'enfer :

1° ce n'est pas un lieu, semble-t-il, mais une situation. Donc, sauf erreur de ma part, pas de bouilloire, pas de démons poilus qui tirent les coucougnettes dans tous les sens, etc. L'enfer est l'état dans lequel e trouve celui qui se refuse à l'amour de Dieu

2° pourquoi ça ? Dans la théologie contemporaine, Dieu se propose à l'homme, il ne s'impose pas à lui : "je te laisse libre d'accepter mon amour, tu as le droit de refuser, mais tu peux changer d'avis quand tu veux". Si je le refuse, Dieu ne me forcera pas à le suivre : donc il me laissera seul. L'enfer, c'est ça.

3° Pourquoi, dans ce cas, cet état est-il si pénible ? après tout, on est bien entre soi… plusieurs raisons expliquent cela : a/ on est éloigné pour toujours de Dieu. Or Dieu est le bien, et le bonheur infini. On est éloigné à jamais du bonheur infini : donc on est plongé dans le malheur infini. C'est ce qu'on appelle, dans le langage traditionnel, la "peine de ban" : la souffrance née de l'éloignement de Dieu. b/ dans certaines conceptions, comme on ressuscite aussi dans la chair (pas seulement l'âme), ce malheur infini s'étendrait aussi au corps, ce qui équivaudrait à une souffrance physique infinie. Mais le risque de ces conceptions est qu'on revient à l'enfer comme lieu, puisqu'un corps doit bien se trouver quelque part.

4° et surtout : on est livré à soi-même, c'est-à-dire à son propre péché. Or qu'est-ce ? Le péché est le refus de l'amour, qu'il vienne de Dieu ou du prochain ; c'est la croyance excessive en sa propre capacité à se suffire à soi-même, sans accepter humblement qu'on dépend d'autre que soi (Dieu ou son prochain là encore). L'homme qui se complaît dans son péché vit dans le malheur, mais par orgueil, il refuse d'en sortir, et pour ainsi dire, il jouit de son malheur. Bref, le damné souffre de n'être pas avec Dieu, mais quelque chose en lui le retient à jamais de sortir de là, car il lui faudrait, pour cela, s'ouvrir humblement à la divinité et à l'amour qu'elle demande : or il se sent trop orgueilleux pour pouvoir sortir de son péché. Il est donc le responsable de son malheur éternel. Ce n'est pas Dieu qui l'empêche de s'en sortir : c'est l'homme lui-même qui le refuse, en permanence, pour toujours ; il veut rester dans son malheur, peut-être au fond aime-t-il ça.

J'espère vous avoir renseignés.

MB

Salut MB,

sais-tu si etre agnostique c' est aussi un 'peche' ?

merci.

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Bonjour à tous !

(présentations rapides, je suis un catho libéral, je participe à un forum catho où parfois je me sens seul…)

Pour répondre à la question sur l'enfer :

1° ce n'est pas un lieu, semble-t-il, mais une situation. Donc, sauf erreur de ma part, pas de bouilloire, pas de démons poilus qui tirent les coucougnettes dans tous les sens, etc. L'enfer est l'état dans lequel e trouve celui qui se refuse à l'amour de Dieu

2° pourquoi ça ? Dans la théologie contemporaine, Dieu se propose à l'homme, il ne s'impose pas à lui : "je te laisse libre d'accepter mon amour, tu as le droit de refuser, mais tu peux changer d'avis quand tu veux". Si je le refuse, Dieu ne me forcera pas à le suivre : donc il me laissera seul. L'enfer, c'est ça.

3° Pourquoi, dans ce cas, cet état est-il si pénible ? après tout, on est bien entre soi… plusieurs raisons expliquent cela : a/ on est éloigné pour toujours de Dieu. Or Dieu est le bien, et le bonheur infini. On est éloigné à jamais du bonheur infini : donc on est plongé dans le malheur infini. C'est ce qu'on appelle, dans le langage traditionnel, la "peine de ban" : la souffrance née de l'éloignement de Dieu. b/ dans certaines conceptions, comme on ressuscite aussi dans la chair (pas seulement l'âme), ce malheur infini s'étendrait aussi au corps, ce qui équivaudrait à une souffrance physique infinie. Mais le risque de ces conceptions est qu'on revient à l'enfer comme lieu, puisqu'un corps doit bien se trouver quelque part.

4° et surtout : on est livré à soi-même, c'est-à-dire à son propre péché. Or qu'est-ce ? Le péché est le refus de l'amour, qu'il vienne de Dieu ou du prochain ; c'est la croyance excessive en sa propre capacité à se suffire à soi-même, sans accepter humblement qu'on dépend d'autre que soi (Dieu ou son prochain là encore). L'homme qui se complaît dans son péché vit dans le malheur, mais par orgueil, il refuse d'en sortir, et pour ainsi dire, il jouit de son malheur. Bref, le damné souffre de n'être pas avec Dieu, mais quelque chose en lui le retient à jamais de sortir de là, car il lui faudrait, pour cela, s'ouvrir humblement à la divinité et à l'amour qu'elle demande : or il se sent trop orgueilleux pour pouvoir sortir de son péché. Il est donc le responsable de son malheur éternel. Ce n'est pas Dieu qui l'empêche de s'en sortir : c'est l'homme lui-même qui le refuse, en permanence, pour toujours ; il veut rester dans son malheur, peut-être au fond aime-t-il ça.

J'espère vous avoir renseignés.

MB

Aujourd'hui, je "refuse l'amour de Dieu" si c'est la façon correcte de dire qu'on est athée. Et je n'en éprouve pas un douleur ou un souffrance psychologique particulière.

Pourquoi est-ce que ca changerait après ma mort ? Est-ce que Dieu va venir me faire "Coucou, j'existe. Tu t'es planté bien fait pour ta gueule maintenant tu va soufrir de t'être trompé !"

Et si je constate vraiment après ma mort que je me suis trompé et qu'il y a d'une part une vie au paradis à coté de Dieu et de l'autre, ma lamentable petite éternité non festive, pourquoi serait-ce trop tard pour changer d'avis ? S'il suffit de se convertir et d'accepter l'amour de Dieu, pourquoi ne puis-je pas le faire après ma mort physique ?

(Il va de soi que Je n'ai jamais tué, jamais violé non plus et qu'y a déjà quelque temps que je ne vole plus. Si l'Eternel existe, en fin de compte, il voit qu'je m'conduis guèr' plus mal que si j'avais la foi)

pour reprendre une vieille blague grivoise et pas bien jolie, les bouteilles ont deux trous et les filles, aucun.

:icon_up:

Ca, c'est vraiment l'enfer !

Posté
Pourquoi est-ce que ca changerait après ma mort ? Est-ce que Dieu va venir me faire "Coucou, j'existe. Tu t'es planté bien fait pour ta gueule maintenant tu va soufrir de t'être trompé !"

Et si je constate vraiment après ma mort que je me suis trompé et qu'il y a d'une part une vie au paradis à coté de Dieu et de l'autre, ma lamentable petite éternité non festive, pourquoi serait-ce trop tard pour changer d'avis ? S'il suffit de se convertir et d'accepter l'amour de Dieu, pourquoi ne puis-je pas le faire après ma mort physique ?

Parce qu'après la mort physique, tu sais, il est inutile de croire. Or ce sont ceux qui ont cru (=qui ont posé l'acte de confiance que suppose la foi) qui seront sauvés. Ca c'est la réponse logique.

Maintenant sur le fond, bien sûr, personne n'en sait rien.

(Il va de soi que Je n'ai jamais tué, jamais violé non plus et qu'y a déjà quelque temps que je ne vole plus. Si l'Eternel existe, en fin de compte, il voit qu'je m'conduis guèr' plus mal que si j'avais la foi)

Pas dit. Il y a d'autres péchés que ceux que tu as énumérés.

Posté
Pas tant que ça. Elle ne peuvent plus parler.

lol :icon_up:

EDIT : re lol en pensant à ce que ça implique. On a eu chaud !

Posté
Parce qu'après la mort physique, tu sais, il est inutile de croire. Or ce sont ceux qui ont cru (=qui ont posé l'acte de confiance que suppose la foi) qui seront sauvés. Ca c'est la réponse logique.

C'est étrange tout de même, car si l'on pense aux paroles de Jésus sur la croix, pourquoi n'y aurait-il pas de pardon pour ceux qui se sont trompés ?

Posté
C'est étrange tout de même, car si l'on pense aux paroles de Jésus sur la croix, pourquoi n'y aurait-il pas de pardon pour ceux qui se sont trompés ?

Ben oui, que dit-Il sur la croix ?

Posté
C'est étrange tout de même, car si l'on pense aux paroles de Jésus sur la croix, pourquoi n'y aurait-il pas de pardon pour ceux qui se sont trompés ?

Quelles paroles "Eli, Eli, lama sabachthani" ou (moins connu) "Bon ça va les gars on s'est bien marré, maintenant vous pouvez arréter vos c.nneries"?

Posté

Pour discuter pas mal avec des croyants (cathos, évangélistes et même témoins de jéhovah), l'amour reste la clé, l'amour, la compassion et le pardon.

Dieu aime, et contrairement à certains ici, sera sans doute prêt à pardonner à ceux qui ont abandonné le chemin.. Ne sommes nous pas ses enfants ?

Je répète : l'amour, la compassion, le pardon.

Posté
De pardonner ("car ils ne savent ce qu'ils font").

Ah, mais c'est juste ce péché-là, on ne parle pas du reste.

Je pensais que tu songeais aux deux larrons.

Pour discuter pas mal avec des croyants (cathos, évangélistes et même témoins de jéhovah), l'amour reste la clé, l'amour, la compassion et le pardon.

Dieu aime, et contrairement à certains ici, sera sans doute prêt à pardonner à ceux qui ont abandonné le chemin.. Ne sommes nous pas ses enfants ?

Je répète : l'amour, la compassion, le pardon.

Ca c'est ce que disent tous les chrétiensde la tendance youkaïdi youkaïda Jésus est ton copain, lalalalère.

Pour ma part je doute que ce soit aussi bénêt.

Posté
Parce qu'après la mort physique, tu sais, il est inutile de croire. Or ce sont ceux qui ont cru (=qui ont posé l'acte de confiance que suppose la foi) qui seront sauvés. Ca c'est la réponse logique.

C'est surtout sadique. Je donne aucune preuve de mon existence, je vous place dans un monde ou vous apprenez à compter sur votre raison et vos sens pour survivre mais il faut deviner que j'existe. Si vous êtes né en Chine ou en Arabie Saoudite, tant pis pour votre gueule.

Bref sont sauvés ceux qui sont un peu crédules et dont les parents ont la bonne religion ?

http://video.google.com/videoplay?docid=37…h&plindex=0

Posté
C'est surtout sadique. Je donne aucune preuve de mon existence, je vous place dans un monde ou vous apprenez à compter sur votre raison et vos sens pour survivre mais il faut deviner que j'existe. Si vous êtes né en Chine ou en Arabie Saoudite, tant pis pour votre gueule.

Bref sont sauvés ceux qui sont un peu crédules et dont les parents ont la bonne religion ?

http://video.google.com/videoplay?docid=37…h&plindex=0

Pfff. Tu deviens prévisible. Je savais que tu allais poster ce lien, ce n'est même plus drôle.

Figure-toi que d'autres ont pensé à ce problème avant toi et qu'ils ont trouvé des réponses un peu moins con-con.

Posté
Pfff. Tu deviens prévisible. Je savais que tu allais poster ce lien, ce n'est même plus drôle.

A la 10ieme lecture c'est toujours aussi poilant :icon_up:

Posté
A la 10ieme lecture c'est toujours aussi poilant :doigt:

Voilà la différence entre un geek et un être humain. Il ne faut pas 10 lectures à un être humain pour capter la feinte. :icon_up:

Posté
Ah, mais c'est juste ce péché-là, on ne parle pas du reste.

Je pensais que tu songeais aux deux larrons.

Ce que je veux dire, c'est qu'il demande à son père de pardonner ceux qui l'ont crucifié, c-à-d qui ont commis le péché le plus effroyable (et qui ont également montré par là qu'ils ne croyaient pas en lui), mais que de l'autre côté, un acte aussi véniel que l'incroyance serait punie ad infinitum ? Cette parole de Jésus montre l'immensité de l'amour divin, puisque Dieu accepte de donner Son fils pour le salut des hommes et que ce dernier accepte de se donner pour des coupables, et pourtant, une simple question de conviction entraîne une punition éternelle.

Posté
Ce que je veux dire, c'est qu'il demande à son père de pardonner ceux qui l'ont crucifié, c-à-d qui ont commis le péché le plus effroyable (et qui ont également montré par là qu'ils ne croyaient pas en lui), mais que de l'autre côté, un acte aussi véniel que l'incroyance serait punie ad infinitum ? Cette parole de Jésus montre l'immensité de l'amour divin, puisque Dieu accepte de donner Son fils pour le salut des hommes et que ce dernier accepte de se donner pour des coupables, et pourtant, une simple question de conviction entraîne une punition éternelle.

Une punition ? Je n'en suis pas du tout certain. L'enfer, comme le disait très justement notre nouvel ami, c'est d'être privé de l'amour divin, chose qui ne dépend que de la personne concernée. En ce sens, ce n'est que la conséquence de choix personnels, l'expression de la liberté de l'individu.

Posté
Ce que je veux dire, c'est qu'il demande à son père de pardonner ceux qui l'ont crucifié, c-à-d qui ont commis le péché le plus effroyable (et qui ont également montré par là qu'ils ne croyaient pas en lui), mais que de l'autre côté, un acte aussi véniel que l'incroyance serait punie ad infinitum ? Cette parole de Jésus montre l'immensité de l'amour divin, puisque Dieu accepte de donner Son fils pour le salut des hommes et que ce dernier accepte de se donner pour des coupables, et pourtant, une simple question de conviction entraîne une punition éternelle.

Peut-être en fait lui dit-il d'accepter leurs (éventuelles) excuses et pas vraiment de les pardonner. Ca serait plus cohérent.

Je ne comprends pas trop pourquoi il demande ceci dit… il intercède auprès de lui même ??

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