xavdr Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 La médiatisation enflée d'une phrase de Nicolas SARKOZY sur une putative origine génétique des tendances pédophiles a engendré une vague de réactions enragées soupçonnant (et même présentant) son auteur de relever d'un eugénisme quasi-nazi. Pourtant, durant les années 1990, les homosexuels ont eux-même mis en avant une putative origine génétique de l'homosexualité (avancée à grand coup d'affirmations péremptopires fondées sur une étude en fait un peu trouée au regard de ses conclusions péremptoires, mais tout de même pertinente et qui fit date à juste titre), et pas du tout pour demander la pratique d'un heugénisme à leur encontre ! Je dois avouer que je suis quelque peu perplexe sur ces hystéries médiatiques, parfaitement contradictories sur le fond et sur la forme, brandies par un même camp politique : la gauche marxiste et post-marxiste-bourdieuriste, qui a joué et voudrait continuer à jouer au cartel des minorités (sachant qu'en régime socialiste, les minorités religieuses, les homosexuels, etc. n'étaient plus des victimes de la violence morale de la société capitaliste ou traditionnelle mais de dangereux dénégénérés qu'il s'agissait de sanctionner), aussi incompatibles soient-elles ensemble, braillées à tue tête par des médias partiaux et superficiels. cf. le Café Liberté de ce soir qui aborde ce sujet.
pierreyves Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 La médiatisation enflée d'une phrase de Nicolas SARKOZY sur une putative oprigine génétique des tendances pédophiles a engendré une vague de réactions enragées soupçonnant (et même présentant) son auteur de relever d'un eugénisme quasi-nazi.Pourtant, durant les années 1990, les homosexuels ont eux-même mis en avant une putative origine génétique de l'homosexualité (avancée à grand coup d'affirmations péremptopires fondées sur une étude en fait un peu trouée au regard de ses conclusions péremptoires, mais tout de même pertinente et qui fit date à juste titre), et pas du tout pour demander la pratique d'un heugénisme à leur encontre ! Si on prend un point de vue praxéologique, l'homosexualité est un choix comme toute action. A partir de là, la question prend une tournure moins polémique : peu importe que les motivations de ce choix soient innées ou acquises, il s'agit d'être responsable. Sous ce point de vue tout choix est motivé par certains élements innés, et d'autres acquis. Enfin, il est aussi bizarre de dire "je suis homosexuel" que de dire, "je suis libéral"… il s'agit de pratiques en premier lieu. Ensuite ces pratiques modifient peut-être le comportement, le physique ou que sais-je… "l'acquis" ou "l'inné" de l'individu, mais c'est dans un second temps.
Kimon Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 Si on prend un point de vue praxéologique, l'homosexualité est un choix comme toute action. C'est s'la, oui…
pierreyves Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 C'est s'la, oui… J'ai pas bien compris ta remarque : tu ne sembles pas d'accord ? Pourtant c'est par définition de la praxéologie (ou alors tu considères que la praxéologie est un gros sophisme ?) …
A.B. Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 C'est s'la, oui… ? Ce qui dit pierryves est indéniable, c'est l'axiome libéral du libre arbitre.
Kimon Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 Un vrai pédé sexuel ne vit pas son homosexualité comme un choix mais comme une donnée qui s'impose à lui, tout comme moi je suis hétéro sans avoir rien choisi. C'est comme ça.
A.B. Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 Un vrai pédé sexuel ne vit pas son homosexualité comme un choix mais comme une donnée qui s'impose à lui, tout comme moi je suis hétéro sans avoir rien choisi. C'est comme ça. Pierryves ne parle pas de l'homosexualité, sentiment intérieur, qui ne peut être connu que par introspection mais de l'homosexualité comme action, qui peut-être observée.
pierreyves Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 Un vrai pédé sexuel ne vit pas son homosexualité comme un choix mais comme une donnée qui s'impose à lui, tout comme moi je suis hétéro sans avoir rien choisi. C'est comme ça. Je sais que le sujet du fil ne fait pas de distinction précise entre pédéraste et homosexuel, mais de fait il existe deux mots… pour deux pratiques. Pour que ton argument ait du poids il faudrait donc que tu prouves : 1. que les deux pratiques viennent de la même motivation 2. que cette motivation est toujours innée (car le cadre que je donne à mon analyse permet de sortir de l'impasse "inné/acquis", alors que le tien l'y replonge, à mon avis. Up to you ! Pierryves ne parle pas de l'homosexualité, sentiment intérieur, qui ne peut être connu que par introspection mais de l'homosexualité comme action, qui peut-être observée. Kimon se situe au niveau des motivations, et donc des valeurs. Donc, si on prend comme hypothèse que l'analyse praxéologique est pertinente, le problème devient celui de ci-dessus (à moins que je me trompe…).
Kimon Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 Pierryves ne parle pas de l'homosexualité, sentiment intérieur, qui ne peut être connu que par introspection mais de l'homosexualité comme action, qui peut-être observée. Au temps pour moi. Je sais que le sujet du fil ne fait pas de distinction précise entre pédéraste et homosexuel, mais de fait il existe deux mots… pour deux pratiques. Et il y a aussi ceux que l'on appelle les pédants !
A.B. Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 Au temps pour moi.Et il y a aussi ceux que l'on appelle les pédants ! et aussi (surtout) les fameux pédalophiles
pierreyves Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 Et il y a aussi ceux que l'on appelle les pédants ! …
xavdr Posté 14 avril 2007 Auteur Signaler Posté 14 avril 2007 A.B., pierreyves : entièrement d'accord avec vous. Kimon : cf. l'école autrichienne. La praxéologie est la science de l'action humaine. Pour tout libéral, et pour tout chrétien (J.C. s'est fait crucifier, supplice ultime, tout en conservant ostensiblement sa liberté de pensée et de parole, ce qui fut le prémice à l'effondrement de la violence en tant que mode ultime de gouvernement et un renversement de la symbolique du pouvoir par la puissance de l'esprit), la liberté humaine est au est au coeur de l'action humaine. Pour revenir au sujet : il y a un gouffre entre l'homosexualité en tant qu'inclinaison 1- non vécue, 2- vécue de façon épisodique, (distingo souligné par pierreyves et A.B.) … et aussi : 3- vécue de façon exclusive, 4- vécue de façon compulsive, 5- vécue de façon morbide (suicides, toxiconmaine, sadomasochisme très hard, mutilations…). L'inné vs. l'acquis n'est qu'une petite partie de la question. Du fait que nombre de nos caractères innés sont au delà de notre capacité de choix certains de nos contemporains utilisent l'argument de l'inné pour revendiquer une absence de choix. D'autres, les marxistes et post-marxistes bourdieusiens défendent le déterminisme social. Dans les deux cas, j'y vois un appel indigne à l'irresponsabilité et à la négation du libre arbitre. Plus que le débat entre inné vs. avcquis, ce qui est beaucoup plus fondamental de mon point de vue c'est d'étudier les rapports entre le libre arbitre que crée (ou complète) la conscience, et les inclinaisons dont des variantes extrêmes sont des déterminismes, certaines de ces inclinaisons pouvant être fertiles, d'autres stériles, d'autres encore morbides. Entre le libre arbitre et l'action se trouve une courroie de transmission qui est la volonté, et parfois des inclinaisons puissante, par exemple compulsives dépassent la capacité de volonté d'une personne. dans les cas morbides et parfois même dans les cas stériles, on parle de pathologie. Des amis homosexuels m'ont signalé qu'il y aait une résurgence de bare-backing en b(l)ackroom depuis le milieu des années 1990. Alors qu'auparavant la généralisation des préservatifs avait calmé les angoisses épidémiologiques, une résurgence de séropositifs au HIV est craindre. Le débat existe pour savoir si la compulsivité voire la morbidité, beaucoup plus fréquentes chez les homosexuels vient d'une causalité consubstantiellement mélée ou bien d'un désamour de la personne pour elle même face à l'hostilité extérieure. Mais de mon point de vue, il n'y a pas de limite au libre arbitre et à la volonté dans la mesure où il n'y a a pas de limite à la conscience. Celle-ci se nourrit d'elle même et de tout ce qu'elle rencontre d'intelligible. En d'autres termes, n'eut été la limite voire la déterioration de son support (apporche matérialiste) ou de son relais (approche spiritualiste) qu'est le corps et plus particulièrement le cerveau, toute inclinaison pré-existante, par nature statique ou limitée, serait dépassée par un stade de la conscience par nature croissante et conceptuellement illimitée.
Kimon Posté 15 avril 2007 Signaler Posté 15 avril 2007 Kimon : cf. l'école autrichienne. La praxéologie est la science de l'action humaine. Pour tout libéral, et pour tout chrétien (J.C. s'est fait crucifier, supplice ultime, tout en conservant ostensiblement sa liberté de pensée et de parole, ce qui fut le prémice à l'effondrement de la violence en tant que mode ultime de gouvernement et un renversement de la symbolique du pouvoir par la puissance de l'esprit), la liberté humaine est au est au coeur de l'action humaine. Ce n'est pas si simple.
dimitri Posté 17 avril 2007 Signaler Posté 17 avril 2007 Je dois avouer que je suis quelque peu perplexe sur ces hystéries médiatiques, parfaitement contradictories sur le fond et sur la forme, brandies par un même camp politique : la gauche marxiste et post-marxiste-bourdieuriste, qui a joué et voudrait continuer à jouer au cartel des minorités (sachant qu'en régime socialiste, les minorités religieuses, les homosexuels, etc. n'étaient plus des victimes de la violence morale de la société capitaliste ou traditionnelle mais de dangereux dénégénérés qu'il s'agissait de sanctionner), aussi incompatibles soient-elles ensemble, braillées à tue tête par des médias partiaux et superficiels. Il ne faut pas oublier que nombre de « théoriciens » de gauche ont épousé les thèses du déterminisme génétique. D’ailleurs, ce grand héros Salvador Allende, dans sa thèse de doctorat Hygiène mentale et délinquance, défendait l’idée que la race détermine la conduite de l’individu. Quant à la description qu’il fait des caractéristiques propres aux juifs, Hitler n'a rien à lui envier. Ce n’est pas parce que la gauche fait aujourd’hui le jeu de quelques minorités qu’il en a toujours été ainsi par le passé, bien au contraire…
Libéralissime Posté 17 avril 2007 Signaler Posté 17 avril 2007 Il ne faut pas oublier que nombre de « théoriciens » de gauche ont épousé les thèses du déterminisme génétique. D'ailleurs, ce grand héros Salvador Allende, dans sa thèse de doctorat Hygiène mentale et délinquance, défendait l'idée que la race détermine la conduite de l'individu. Quant à la description qu'il fait des caractéristiques propres aux juifs, Hitler n'a rien à lui envier.Ce n'est pas parce que la gauche fait aujourd'hui le jeu de quelques minorités qu'il en a toujours été ainsi par le passé, bien au contraire… Je vous rappelle qu'Hitler était National-Socialiste. Et pour ce qui ne verrait pas lien avec le socialisme, "La Route de la Servitude" finira de vous éclairer. Sans compter que l'eugénisme a aussi été très pratiqué par les sociales démocraties du nord de l'Europe, la Suède principalement, voire avant l'Allemagne.
Librekom Posté 16 mai 2007 Signaler Posté 16 mai 2007 Les associations ont d'une manière énéral toujours souhaiter qu'on ne répone jamais a cette question car : - si c'est inné : menace d'eugénisme et de disparitions des homos - si aqucis : il y a moyen d'y remédier ou de modifier qqch dans l'education ou de suivre une thérapie de converssion, … perso je m'en contrefou. Vous demandez vous pourquoi vous êtes hétéros ? Pourquoi vous préférez les blondes, les grosses, ou les unijambistes ? Moi pas, je cherche plutôt à prendre le maximum de plaisir et de vivre dans un maximum de bonheur. Et ça me suffit.
Librekom Posté 16 mai 2007 Signaler Posté 16 mai 2007 A.B., pierreyves : entièrement d'accord avec vous.Kimon : cf. l'école autrichienne. La praxéologie est la science de l'action humaine. Pour tout libéral, et pour tout chrétien (J.C. s'est fait crucifier, supplice ultime, tout en conservant ostensiblement sa liberté de pensée et de parole, ce qui fut le prémice à l'effondrement de la violence en tant que mode ultime de gouvernement et un renversement de la symbolique du pouvoir par la puissance de l'esprit), la liberté humaine est au est au coeur de l'action humaine. Pour revenir au sujet : il y a un gouffre entre l'homosexualité en tant qu'inclinaison 1- non vécue, 2- vécue de façon épisodique, (distingo souligné par pierreyves et A.B.) … et aussi : 3- vécue de façon exclusive, 4- vécue de façon compulsive, 5- vécue de façon morbide (suicides, toxiconmaine, sadomasochisme très hard, mutilations…). L'inné vs. l'acquis n'est qu'une petite partie de la question. Du fait que nombre de nos caractères innés sont au delà de notre capacité de choix certains de nos contemporains utilisent l'argument de l'inné pour revendiquer une absence de choix. D'autres, les marxistes et post-marxistes bourdieusiens défendent le déterminisme social. Dans les deux cas, j'y vois un appel indigne à l'irresponsabilité et à la négation du libre arbitre. Plus que le débat entre inné vs. avcquis, ce qui est beaucoup plus fondamental de mon point de vue c'est d'étudier les rapports entre le libre arbitre que crée (ou complète) la conscience, et les inclinaisons dont des variantes extrêmes sont des déterminismes, certaines de ces inclinaisons pouvant être fertiles, d'autres stériles, d'autres encore morbides. Entre le libre arbitre et l'action se trouve une courroie de transmission qui est la volonté, et parfois des inclinaisons puissante, par exemple compulsives dépassent la capacité de volonté d'une personne. dans les cas morbides et parfois même dans les cas stériles, on parle de pathologie. Des amis homosexuels m'ont signalé qu'il y aait une résurgence de bare-backing en b(l)ackroom depuis le milieu des années 1990. Alors qu'auparavant la généralisation des préservatifs avait calmé les angoisses épidémiologiques, une résurgence de séropositifs au HIV est craindre. Le débat existe pour savoir si la compulsivité voire la morbidité, beaucoup plus fréquentes chez les homosexuels vient d'une causalité consubstantiellement mélée ou bien d'un désamour de la personne pour elle même face à l'hostilité extérieure. Mais de mon point de vue, il n'y a pas de limite au libre arbitre et à la volonté dans la mesure où il n'y a a pas de limite à la conscience. Celle-ci se nourrit d'elle même et de tout ce qu'elle rencontre d'intelligible. En d'autres termes, n'eut été la limite voire la déterioration de son support (apporche matérialiste) ou de son relais (approche spiritualiste) qu'est le corps et plus particulièrement le cerveau, toute inclinaison pré-existante, par nature statique ou limitée, serait dépassée par un stade de la conscience par nature croissante et conceptuellement illimitée. Est il vraiment nécessaire d'utiliser un language aussi imperméable ? Je déteste devoir relire trois fois une phrase pour la comprendre et ici même après cinq, je ne suis toujours pas sûr d'avoir tout compris. Or, ça m'interesse beaucoup, c'est vraiment dommage. Quelqu'un peut traduire ????
Librekom Posté 16 mai 2007 Signaler Posté 16 mai 2007 Je vous rappelle qu'Hitler était National-Socialiste. Et pour ce qui ne verrait pas lien avec le socialisme, "La Route de la Servitude" finira de vous éclairer. Sans compter que l'eugénisme a aussi été très pratiqué par les sociales démocraties du nord de l'Europe, la Suède principalement, voire avant l'Allemagne. il l' a aussi beaucoup été par les américain, l'état américain certe, mais américain tout de même. Je ne crois pas que l'eugénisme ait une couleur politique. Je crois également que l'eugénisme qui consisterait a écarter les ovules et spermatozoides porteurs de gênes responssables de maladies incurrables, pourrait séduire beaucoup d'individus. C'est par exemple ce pourquoi l'association contre la mucovicidose vient de recevoir 6 500 000 euros des téléspetctateurs de TF1 (comment éradiquer une maladie génétique autrement que par l'eugénisme ??). Alors pourquoi ne pas tenter d'écarter le gêne responssable des déviances sexuelles s'il existe ou celui qui diminiue ou augmente les performances physiques et mentale d'un enfant. Je ne pense pas qu'on parviendra un jour a créer un chromosome entièrmement artificiel, et puis ça changerais violement notre mode de reproduction ainsi que la transmition de notre patrimoine génétique, mais ça me fais tout de même froid dans le dos. Il ne faut pas s'appeler Hitler ou Alliende pour être tenté par l'eugénisme. Tout le monde souhaite le meilleur pour son enfant et beaucoup seraient facilement convaincus que l'eugenisme serait ce meilleur. Un vrai pédé sexuel ne vit pas son homosexualité comme un choix mais comme une donnée qui s'impose à lui, tout comme moi je suis hétéro sans avoir rien choisi. C'est comme ça. C'est clair, que ce soit inné ou acqui, on le vis clairement comme quelquechose qui ne dépend pas de notre volonté. Personne ne souhaite être homo, vraiment personne !
alex6 Posté 16 mai 2007 Signaler Posté 16 mai 2007 Or, ça m'interesse beaucoup, c'est vraiment dommage. Quelqu'un peut traduire ???? C'est du Xavier, faut prendre le coup de main au debut mais ensuite ca va mieux (je charge en smiley, comme prevenu auparavant histoire de m'eviter des problemes)
Ronnie Hayek Posté 16 mai 2007 Signaler Posté 16 mai 2007 Les associations ont d'une manière énéral toujours souhaiter qu'on ne répone jamais a cette question car : - si c'est inné : menace d'eugénisme et de disparitions des homos - si aqucis : il y a moyen d'y remédier ou de modifier qqch dans l'education ou de suivre une thérapie de converssion, … J'ai l'impression du contraire, à savoir que les assoc' vont tantôt dire que c'est l'un (inné: "nous n'avons pas choisi, donc c'est naturel"); tantôt que c'est l'autre (acquis: "c'est notre choix et notre liberté") en fonction des interlocuteurs.
Nick de Cusa Posté 16 mai 2007 Signaler Posté 16 mai 2007 C'est dépassé. C'est l'interaction de l'inné et de l'acquis qui est désormais soumise à étude sérieuse.
Ronnie Hayek Posté 16 mai 2007 Signaler Posté 16 mai 2007 C'est dépassé. C'est l'interaction de l'inné et de l'acquis qui est désormais soumise à étude sérieuse. Ce n'était pas de cela que je parlais, mais du discours idéologique adepte du jeu de bonneteau en fonction des circonstances.
Librekom Posté 20 mai 2007 Signaler Posté 20 mai 2007 C'est possible, ça dépend des associations parce que l'air de rien, il y a aussi de sérieux conflits entre les différentes associations. Par exemple, Act up est très contesté au Tel Quel. Il y a aussi l'associations des gay cathos qui sont assez folkloriques. Les associations ne parlent pas toujours d'une seule voix.
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.