maurice b. Posté 18 mai 2007 Signaler Posté 18 mai 2007 PARIS (Reuters) - Hubert Védrine a expliqué qu'il avait refusé les avances de Nicolas Sarkozy parce que le nouveau président de la République ne voulait pas d'un ministère des Affaires étrangères fort. Sarkozy veut mettre un terme à (14+12) 26 années d'illusionnisme Mitterandien et Chiraquien. La France ,que ça plaise ou non, est devenue quantité négligeable dans le monde. Donc un Ministère des Affaires Etrangères fort ne sert plus à rien.
Cochon Posté 18 mai 2007 Signaler Posté 18 mai 2007 Sarkozy veut mettre un terme à (14+12) 26 années d'illusionnisme Mitterandien et Chiraquien.La France ,que ça plaise ou non, est devenue quantité négligeable dans le monde. Donc un Ministère des Affaires Etrangères fort ne sert plus à rien. Hubert Védrine, défenseur bien connu de la "politique arabe de la France" (qui protège ce beau pays paraît il), critique tout aussi connu de l'hyperpuissance américaine, et homme du sérail (ou du Quai) a surtout dû avoir les sueurs froides de devoir travailler sous la férule d'un pro-américain-ultralibéral-sioniste-communautariste-anti-républicain-atlantiste. Alias Sarkozy
Mike Posté 18 mai 2007 Signaler Posté 18 mai 2007 Donc un Ministère des Affaires Etrangères fort ne sert plus à rien. Un ministère fort ne signifie pas une politique étrangère particulière, mais une politique indépendante de l'Elysée ou de Matignon. Védrine voulait avoir les mains libres. Faut pas rêver.
observateur Posté 19 mai 2007 Signaler Posté 19 mai 2007 C'est clair. Le boss, c'est Sarkozy. Védrine aurait ch… dans les bottes de Fillon et Sarko. A terme ce n'était pas tenable…Quand on lit, comme dit cochonhallal, les écrits de Védrine contre les EUA, on a compris En plus Kouchner est un des rares à avoir soutenu l'intervention en Irak… Tiens, au moins, ça lui fait un côté positif pour moi
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