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Topic du cinoche d'avant


phantom_opera

Messages recommandés

  • 4 weeks later...
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Un film intéressant, même s'il comporte trop de passages à vide et compte quelques mauvais troisièmes rôles (par contre les premiers et seconds sont tous excellents). Il raconte l'ascension d'un politicien "pur" qui refuse la corruption, etc., et qui termine… différemment. Intelligent et sans la naïveté des films des années 70.

Un film extrêmement intelligent, tout en finesse et en sous-entendus. Rarement vu une telle maîtrise de l'understatement et de la pudeur. Pas génial, mais vraiment bon.

Court et simple, mais très efficace. Des fermiers décident de partir à la poursuite des tueurs d'un éleveur. Ils tombent sur trois types possédant les vaches du fermier tué, et décident alors de les juger eux-mêmes.

  • 2 weeks later...
  • 5 weeks later...
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J'ai récemment vu ce film, qui n'est pas un chef-d'oeuvre mais est plus que convenable, avec comme d'habitude une superbe prestation de James Mason.

Le véritable intérêt du film, ou plutôt du DVD, c'est un des bonus, la version intégrale d'un téléfilm tourné 4 ans plus tard dans les mêmes décors et avec presque les mêmes dialogues, mais par un autre réalisateur (Hubert Cornfield) et avec d'autres acteurs (dont l'infect Peter Lorre). C'est passionnant car on se rend compte de l'importance de la direction d'acteurs et de l'endroit où se place la caméra. Les acteurs du téléfilm sont tous à côté de la plaque, non pas parce qu'ils sont mauvais, mais parce qu'ils n'ont pas compris l'histoire, qu'ils n'ont pas compris leurs personnages et qu'ils jouent au pif (notamment les relations entre classes sociales à l'époque, l'état d'esprit qui déteint sur le comportement, etc.). Idem avec la caméra, que je qualifierais de "clinique" dans sa description et sa mise en image du monde présenté, c-à-d sans originalité, totalement plate et premier degré. Bref, une leçon de cinéma.

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Un film très décevant, malgré les acteurs.

J'ai d'abord cru que c'était un post de Gadrel !

Sérieusement, le film vaut surtout pour Ladd et Donleavy. En revanche, je n'ai pas été impressionné par Veronica Lake.

Et que vaut la première version au fond ?

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J'ai d'abord cru que c'était un post de Gadrel !

Non non, si ç'avait été Gadrel, le jugement aurait été encore plus expéditif, genre "un film vraiment mauvais" et sans la moindre circonstance atténuante.

Sérieusement, le film vaut surtout pour Ladd et Donleavy. En revanche, je n'ai pas été impressionné par Veronica Lake.

Ladd et Lake formaient un couple très cinégénique, mais ils ont fait leurs meilleurs films en solo. Un meilleur film pour se faire une idée de la demoiselle (qui a tout de même été l'épouse d'André De Toth, ne l'oublions pas) est celui-ci:

Et que vaut la première version au fond ?

Il y en a eu une autre? Première nouvelle.

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De bons acteurs, mais un scénario bancal et une mise en scène pâlichonne de Max Ophuls que l'on a connu mieux inspiré (sinon plus emballant)

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De bons acteurs, mais un scénario bancal et une mise en scène pâlichonne de Max Ophuls que l'on a connu mieux inspiré (sinon plus emballant)

Il n'y a pas de "caractère objectivement valable" d'une oeuvre.

:icon_up:

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:icon_up:

Je ne vois pas où est la contradiction; je n'énonce pas un dogme, seulement une opinion - assez minoritaire si j'en juge par ce que j'ai pu lire sur Internet.

  • 2 weeks later...
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Phantom Lady, le premier film noir américain de R. Siodmak (tiré d'un roman de William Irish) - un sujet plus personnel que son précédent film (Son of Dracula…). La lumière y sculpte l'image avec maestria. Ce film montre aussi qu'avec très peu de moyens, il est possible de créer une ambiance saisissante.

Conseillé dans ce très beau coffret comprenant The Killers et le très kitsch Cobra Woman.

Par

le trailer :

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Un film que je n'avais pas vu depuis presque vingt ans : Carambolages (1963), de M. Bluwal, scénario de P. Tchernia d'après un roman de Fred Kassak (un auteur de polar tombé dans un oubli relatif). Avec un Brialy cauteleux à souhait, un Fufu annonciateur de ses futurs rôles en vedette, une Sophie Daumier pétillante, et un Serrault déchaîné en inspecteur nostalgique de la rue de Lauriston… Quelques excellents seconds rôles : Virlojeux, Ozenne, Alfred Adam. On y retrouve aussi la bouille sympathique de Jacques Dynam (futur comparse de Fufu dans les trois Fantômas, et voix française de Jerry Lewis accessoirement). Plus une vedette surprise à la toute fin du film.

Réalisation peu inspirée, mais rythme soutenu.

… Et des dialogues croquignolets signés Audiard !

J.-Cl. Brialy - On ne peut pas tout avoir!

L. de Funès - Pourquoi ? Il y en a bien qui n'ont rien ! Ca rétablirait la balance, le juste équilibre, l'harmonie universelle.

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Trente ans d'bagne !… Et peut-être même quarante si vous tenez l'coup !… Le mariage, mon cher, c'est le Biribi des amours !… Moi, ça fait vingt ans que j'déguste… J'me suis marié en '42 parce que ça donnait droit à un costume pure laine et une paire de chaussures en cuir. Voilà où ça mène, l'élégance…

Du même :

- Quand il s'agit de faire tomber une tête, rien n'est prématuré. Ce qui prouve la solidité de la peine de mort, ce sont les erreurs auxquelles elle a survécu…
  • 5 months later...
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Je ne sais pas si c'est la plus grande. Mais je te remercie, je viens de fondre en larmes. Sincèrement, ça fait du bien de voir une telle scène, de - (manque de qualificatifs) - et d'en être ému.

Dieu que c'est beau, que c'est du grand art !

La fin de Ghost And Mrs. Muir, très pudique, est magistrale.

Pur chef-d'oeuvre - mélancolique, mais sans amertume.

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La fin de Ghost And Mrs. Muir, très pudique, est magistrale.

Mouais. Mais par rapport à celle que j'avais postée, tu admettras que c'est très faible. :icon_up: C'est un bon film, la fin est bonne, mais il y a d'innombrables fin de films qui la surpassent aisément. Comme celle-ci par exemple:

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Mouais. Mais par rapport à celle que j'avais postée, tu admettras que c'est très faible. :icon_up: C'est un bon film, la fin est bonne, mais il y a d'innombrables fin de films qui la surpassent aisément. Comme celle-ci par exemple:

Grande fin, bien entendu, mais c'est un autre registre.

Posté
Phantom Lady, le premier film noir américain de R. Siodmak (tiré d'un roman de William Irish) - un sujet plus personnel que son précédent film (Son of Dracula…). La lumière y sculpte l'image avec maestria. Ce film montre aussi qu'avec très peu de moyens, il est possible de créer une ambiance saisissante.

Conseillé dans ce très beau coffret comprenant The Killers et le très kitsch Cobra Woman.

Par

le trailer :

C'est effectivement un très très bon film !

L'influence de l'expresionnisme y est frappante et le jeu des acteurs remarquable.

A cet égard, Franchot Tone est excellent en artiste assassin … notons que le film pourrait préfigurer Frenzy (1971), les deux films évoquant une amitié brisée et un tueur … amateur de cravates :icon_up:

  • 2 months later...
Invité rogermila
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Le Cinéma de Minuit de Patrick Brion diffusera vers 01h un mythique polar signé Jean Negulesco : The Mask of Dimitrios, d'après Eric Ambler. Je le signale aux admirateurs du couple Greenstreet/Lorre. À vos magnétoscopes !

La scéne dans le métro parisien, reconstituée en studio à Hollywood, comporte une belle bourde. Les panneaux indicateurs pour la direction Balard mentionnent Ballard ! :icon_up:

  • 11 months later...

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