phantom_opera Posté 12 décembre 2007 Signaler Posté 12 décembre 2007 Bon alors, est-ce que notre ami a rejoint le côté obscure de la force?
batkat Posté 12 décembre 2007 Signaler Posté 12 décembre 2007 Bon alors, est-ce que notre ami a rejoint le côté obscure de la force? c'est celui des faibles le coté obscur de la force…
h16 Posté 12 décembre 2007 Signaler Posté 12 décembre 2007 c'est celui des faibles le coté obscur de la force… Oui, celui des opprimés, tout ça. Toi, tu préfères celui des forts, des méchants, des opprimeurs ?
Saucer Posté 12 décembre 2007 Signaler Posté 12 décembre 2007 Oui, celui des opprimés, tout ça.Toi, tu préfères celui des forts, des méchants, des opprimeurs ? Tu vas acheter tes fruits au presseur ?
batkat Posté 12 décembre 2007 Signaler Posté 12 décembre 2007 Oui, celui des opprimés, tout ça.Toi, tu préfères celui des forts, des méchants, des opprimeurs ? bah si vous partez sur star wars, c'est la peur et la jalousie qui menent au coté obscur… je dis ça je dis rien…
Brock Posté 12 décembre 2007 Signaler Posté 12 décembre 2007 c'est pour rire, on dit ca car les liberaux sont depeints comme des etres diaboliques par les medias francais… c'est d'ailleurs amusant car tu continues a faire le malin alors que tu ne sais rien et tu te rends ridicule en ces lieux
batkat Posté 12 décembre 2007 Signaler Posté 12 décembre 2007 Oh, je sais surtout que vous connaissez votre sujet, c'est tout à votre honneur et que je n'aurais jamais raison sur ce forum ce qui est normal puisqu'on est tous aussi convaincu de ce que l'on dit, chacun droit dans ses bottes. je suis surtout venu pour faire chier hein… vu vos réactions, j'ai au moins réussi cela. je vois aussi qu'il a parmi vous une belle bande de connards qui attribuent un titre de "yabon nonosse" à celui qui ose, avec le peu qu'il à a dire, à venir ouvrir sa gueule sur votre forum débordant de suffisance et tout aussi empli de personnes aussi incultes que moi qui elles aussi récitent des poncifs, qui vont dans votre sens et qui ne seront donc jamais contestés ici ("fais ce que tu veux mais que je n'ai rien à payer pour toi", très très facile…) Et non, je ne passerais pas du coté obscur de la force, je défenderai toujours un enseignement public, subventionné par l'Etat. Je ne pense pas que qui que ce soit se retrouve spolié par des gens qui étudient, un Etat qui donne l'accès au savoir n'est pas un Etat de voleurs. Je n'ai certainement pas votre éloquence mais je n'ai certainement rien non plus à apprendre de vous qui vous considérez votre doctrine comme parole d'evangile
Boz Posté 12 décembre 2007 Signaler Posté 12 décembre 2007 Oh, je sais surtout que vous connaissez votre sujet, c'est tout à votre honneur et que je n'aurais jamais raison sur ce forum ce qui est normal puisqu'on est tous aussi convaincu de ce que l'on dit, chacun droit dans ses bottes. je suis surtout venu pour faire chier hein… vu vos réactions, j'ai au moins réussi cela. je vois aussi qu'il a parmi vous une belle bande de connards qui attribuent un titre de "yabon nonosse" à celui qui ose, avec le peu qu'il à a dire, à venir ouvrir sa gueule sur votre forum débordant de suffisance et tout aussi empli de personnes aussi incultes que moi qui elles aussi récitent des poncifs, qui vont dans votre sens et qui ne seront donc jamais contestés ici ("fais ce que tu veux mais que je n'ai rien à payer pour toi", très très facile…) Et non, je ne passerais pas du coté obscur de la force, je défenderai toujours un enseignement public, subventionné par l'Etat. Je ne pense pas que qui que ce soit se retrouve spolié par des gens qui étudient, un Etat qui donne l'accès au savoir n'est pas un Etat de voleurs. Je n'ai certainement pas votre éloquence mais je n'ai certainement rien non plus à apprendre de vous qui vous considérez votre doctrine comme parole d'evangile Le fait que tu perdes patience prouve simplement qu'étant strictement incapable d'opposer des arguments à tes opposants, n'ayant aucun recours intellectuel, tu t'agites de manière pathétique (mais humainement compréhensible). Ceci dit rassure-toi, tu ne nous fais pas chier, mais beaucoup rigoler. Mais si tu n'as rien d'autre à dire, le moment où tu vas être remercié s'approche à grand pas…
Saucer Posté 12 décembre 2007 Signaler Posté 12 décembre 2007 [dailymotion]2DpDCoUgBstsm5m1s[/dailymotion]
Ash Posté 12 décembre 2007 Signaler Posté 12 décembre 2007 A quoi ça sert de payer pour des études où on sait pertinemment qu'il n'y a pas de boulot pour tous à la fin ? C'est foutre l'argent en l'air. Encore un beau déni de réalité. Mais l'essentiel c'est la posture, on a compris. Je n'ai certainement pas votre éloquence mais je n'ai certainement rien non plus à apprendre de vous qui vous considérez votre doctrine comme parole d'evangile Belle inversion des rôles.
Brock Posté 12 décembre 2007 Signaler Posté 12 décembre 2007 et que je n'aurais jamais raison sur ce forum je vois aussi qu'il a parmi vous une belle bande de connards qui attribuent un titre de "yabon nonosse" je ne passerais pas du coté obscur de la force, je défenderai toujours un enseignement public,
Wallace Posté 12 décembre 2007 Signaler Posté 12 décembre 2007 Je n'ai certainement pas votre éloquence mais je n'ai certainement rien non plus à apprendre de vous qui vous considérez votre doctrine comme parole d'evangile On considère cette doctrine comme parole d'évangile certes, mais en attendant on t'oblige pas à payer pour nous. Alors que toi si. Le Tyran c'est toi (nananèreuuuu !). Et non, je ne passerais pas du coté obscur de la force, je défenderai toujours un enseignement public Je pense que beaucoup ici défendent un enseignement public, mais financé par le privé un Etat qui donne l'accès au savoir n'est pas un Etat de voleurs. Tu pense que l'Etat donne accès au savoir en France ?
Ash Posté 12 décembre 2007 Signaler Posté 12 décembre 2007 Pour refuser une doctrine il convient de la réfuter. Autrement on est dans la posture.
Aurel Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 Serait-il possible d'ajouter une petite icône bien visible de nonosse à côté de l'avatar nonossé, c'est trop petit pour que je le remarque actuellement.
Aurel Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 Autrement on est dans la posture. …voire dans l'imposture.
pankkake Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 Serait-il possible d'ajouter une petite icône bien visible de nonosse à côté de l'avatar nonossé, c'est trop petit pour que je le remarque actuellement. Haha oui j'avais pas vu le "Yabon Nonosse"
h16 Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 Ce qu'il y a d'incroyable, c'est qu'il croit qu'il nous a fait chier, alors qu'en fait, à chaque fois et notamment dans le cas des Yabons, c'est plutôt rire qui s'impose naturellement. Tu vas acheter tes fruits au presseur ? Bien vu.
Matthieu_LC Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 voici un article paru dans le monde d'aujourd'hui, assez éloquent.. La filière droit rejette plus de la moitié des étudiants en première annéeAvec le recul, Valentin Riglet-Brucy les appelle en plaisantant "mes deux années sabbatiques… après le bac". Mais sur le coup, elles ont eu le goût amer de l'échec. Comme les 33 000 jeunes bacheliers qui se pressent chaque année en première année de droit, Valentin pensait qu'il avait sa chance. Bon élève, titulaire d'un bac S, il voyait dans la chose juridique une discipline intéressante et aux débouchés professionnels variés. Dès le premier contact avec la fac, il a déchanté. "Nous étions près de 1000, répartis en trois groupes, à assister à des cours plus magistraux que magistraux", se rappelle l'ancien étudiant de Paris-II (Panthéon-Assas). L'anonymat, le manque de communication avec les enseignants, l'attitude des étudiants "qui refusent de prêter leurs cours" l'ont dégoûté. "En gros, c'est démerde-toi et chacun pour soi", déplore le jeune homme, qui s'est orienté vers un BTS audiovisuel en alternance, après s'être acharné pendant deux ans. "Motivation négative" Des débuts difficiles, Laetitia Mattei en a elle aussi connu. Après avoir redoublé sa première année, elle est aujourd'hui en deuxième année de licence de droit. Bachelière à 17 ans, elle s'est sentie "lâchée sans filet" dans un univers dont elle ne maîtrisait pas les codes. Malgré ses efforts, les notes ne suivaient pas. Il lui a fallu un an d'acclimatation avant de trouver son rythme. "La première année de droit, c'est du par cœur assez rebutant, après on commence à comprendre ce qu'il y a derrière. Le problème c'est que personne ne nous prévient de ce qui nous attend." Beaucoup d'étudiants ne s'accrochent pas aussi longtemps. Plus de la moitié des inscrits en droit jettent l'éponge avant la fin de la première année et ne se présentent même pas aux examens. "Le bachelier, sauf exception familiale, n'a aucune vue générale sur le droit, matière qu'il n'a jamais abordée au cours de sa scolarité", explique Didier Truchet, professeur de droit public à Paris-II et auteur d'un rapport sur l'enseignement juridique. En outre, poursuit M. Truchet "les jeunes ont en tête la représentation faussée des professions judiciaires donnée par de nombreuses séries télévisées. Or la réalité est souvent moins glamour". Le taux d'échec important s'explique aussi par ce que M.Truchet appelle "la motivation négative" : "Un certain nombre d'étudiants se disent : Je ne vais pas aller en lettres car il n'y a pas de débouchés, les mathématiques ne m'intéressent pas alors pourquoi pas le droit? " Les universités ont leur part de responsabilité, même si elles proposent de plus en plus de modules d'information ou de réorientation à leurs étudiants. Ainsi à Aix-Marseille-III, la filière développe depuis plusieurs années un accompagnement pour l'étudiant en difficulté afin de réduire l'échec "sec". Mais comme en convient Louis Vogel, président de Paris-II, le soutien reste "une de nos lacunes". "Il faut être honnête, si les choses ne bougent pas depuis des années, c'est aussi parce que les filières de droit avec leurs amphithéâtres bondés ne cherchent pas le client", poursuit l'universitaire. Catherine Rollot http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-…6-989083,0.html petite comparaison: je ne suis pas à assas, je n'étais pas bon élève au lycée. pourtant je suis rentré en 1ère année de Droit parce que c'est ce que je voulais faire. et je suis passé de la 1ère année en 3ème actuellement en travaillant un minimum, les commentaires en gros font vraiment rire jaune. assistanat quant tu nous tiens. car dans la fac où je suis(Paris X Nanterre), je préfère 100 fois cette ambiance de taf (où chacun construit ses cours comme il l'entend, complète ses notes avec des ouvrages, article sur le net, etc. ) plutôt que le lycée.. effectivement entre la 1ère année et la 3ème, ça écrème…. d'ailleurs les commentaires de l'article sur le site du monde sont pour certains sympathiques.
h16 Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 Etrangement, dans les filières mathématiques, il n'y a pas bousculade, et l'ambiance petit comité aide énormément.
Wallace Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 Motivation négative" Des débuts difficiles, Laetitia Mattei en a elle aussi connu. Après avoir redoublé sa première année, elle est aujourd'hui en deuxième année de licence de droit. Bachelière à 17 ans, elle s'est sentie "lâchée sans filet" dans un univers dont elle ne maîtrisait pas les codes. Malgré ses efforts, les notes ne suivaient pas. Il lui a fallu un an d'acclimatation avant de trouver son rythme. "La première année de droit, c'est du par cœur assez rebutant, après on commence à comprendre ce qu'il y a derrière. Le problème c'est que personne ne nous prévient de ce qui nous attend." Beaucoup d'étudiants ne s'accrochent pas aussi longtemps. Plus de la moitié des inscrits en droit jettent l'éponge avant la fin de la première année et ne se présentent même pas aux examens. "Le bachelier, sauf exception familiale, n'a aucune vue générale sur le droit, matière qu'il n'a jamais abordée au cours de sa scolarité", explique Didier Truchet, professeur de droit public à Paris-II et auteur d'un rapport sur l'enseignement juridique. Qu'elle grosse gourde cette Laetitia, moi aussi je me suis retrouvé à 17 ans dans une fac de droit sans filet avec du par coeur, sans connaitre les codes mais pire encore sans connaitre la société française métropolitaine, mais c'est justement le but du jeux. Et de toute façon si elle a besoins d'aide pour valider sa pauvre première année elle n'ira pas loin. Bref ce qu'il faut c'est pas des mesures débiles et débordantes de bons sentiments, ce qu'il faudrait déjà c'est arrêter de donner le Bac, donc réduire le nombre de bachelier d'au moins 60%, et arrêter de mentir aux gens, qui deviendront tous des frustrés (dont je reconnais faire un peu partie) si on continue à leur faire croire que valider une première année de droit et avoir le bac c'est faire des études.
ShoTo Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 Pardon pour cette question d'ignare mais pourquoi étudier le droit quant on est libéral ? c'est un peu comme étudier la gestion d'entreprise quant on est communiste …
Saucer Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 Pardon pour cette question d'ignare mais pourquoi étudier le droit quant on est libéral ?c'est un peu comme étudier la gestion d'entreprise quant on est communiste … Parce qu'il vaut mieux être des loups que des moutons, même noirs. Mouhahahahah.
José Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 Pardon pour cette question d'ignare mais pourquoi étudier le droit quant on est libéral ? Déjà à savoir exactement ce que veux dire rendre justice et éviter de parler pour ne rien dire lorsqu'on aborde des sujets juridiques. Et en plus, si t'as de la chance, peut-être même auras-tu un bon prof de Droit naturel. Et ça, ça vaut tout.
Ronnie Hayek Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 Pardon pour cette question d'ignare mais pourquoi étudier le droit quant on est libéral ?c'est un peu comme étudier la gestion d'entreprise quant on est communiste … Depuis quand l'ignorance vaut-elle comme source d'orgueil ? Et je plussoie évidemment Lucilio.
Brock Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 le droit c'est ce qui reste une fois qu'on a retiré l'état.
Matthieu_LC Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 Déjà à savoir exactement ce que veux dire rendre justice et éviter de parler pour ne rien dire lorsqu'on aborde des sujets juridiques. Et en plus, si t'as de la chance, peut-être même auras-tu un bon prof de Droit naturel. Et ça, ça vaut tout. au premier semestre, en première année, j'avais pris l'option Théorie Générale du Droit ou autrement dit la philosophie du Droit mon prof était un positiviste avoué (fan de Kelsen) mais pour autant, il présentait les choses de manière neutre et c'est d'ailleurs à l'occasion de ce cours que j'ai découvert les différences entre jus naturaliste et positivisme juridique.
WALDGANGER Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 les commentaires en gros font vraiment rire jaune. Le passage le plus révélateur c'est sans doute : "elle s'est sentie "lâchée sans filet" dans un univers dont elle ne maîtrisait pas les codes". C'est l'analyse sociologique bourdieusienne, si tu échoues à pénétrer un champ c'est parce que tu ne maitrises pas le code partagé par les "dominants".
Wallace Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 Le passage le plus révélateur c'est sans doute : "elle s'est sentie "lâchée sans filet" dans un univers dont elle ne maîtrisait pas les codes".C'est l'analyse sociologique bourdieusienne, si tu échoues à pénétrer un champ c'est parce que tu ne maitrises pas le code partagé par les "dominants". Pour le coup cette analyse a une grande part de vérité (en ce qui concerne la fac de droit). Mais je pense que maîtriser les codes fait partie intégrante du cursus, c'est une part de l'évaluation, qu'il est déterminant de réussir pour réussir les autres (les exams). Bref ces codes, pour avoir les cours, et connaître les rumeurs et ainsi disposer de toutes les informations nécessaires pour réussir, ce n'est pas en organisant des "tutorats amméliorés" que les plus faibles réussiront à les acquérir, et ça ne constitura qu'une sorte de filet illusoire qui enfoncera encore plus les étudiants perdus, dans l'erreur.
Matthieu_LC Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 quelques commentaires à l'article 13.12.07 | 12h54En France, les étudiants poussent des cris d'orfraie quand on évoque la sélection à l'entrée de l'université: au nom de la liberté d'étudier dans n'i, il y a visiblement un droit imprescriptible à se fourvoyer et à échouer à l'université. Plutôt que d'accepter une sélection en fonction de leur potentiel et de leurs capacités, les étudiants préfèrent être sélectionnés par l'échec répété aux examens, ce qui est bien sûr excellent pour leur moral, et pour les finances de leurs parents ou de l'Etat 13.12.07 | 12h291981 : Première année de droit, à Assas (Paris II). Le premier jour, l'un des profs d'un amphi bondé nous dit : "regardez l'étudiant à côté de vous, celui de devant et celui de derrière… ils ne seront pas là l'année prochaine." Rien n'a changé… d'ailleurs franchement il n'y a pas grand chose qui change dans ce pays. Toujours les mêmes problèmes, rarement de solutions. Depuis je suis quand même devenu avocat, et gratuitement ou presque, le système a néanmoins ses bons côtés 13.12.07 | 11h50L'université (en général) est un monde difficile pour ceux qui ne savent pas se prendre en main eux-mêmes : il n'y a personne pour prendre les étudiants par la main et leur dire ce qu'il faut faire, comme au lycée. Il y a par conséquent un taux d'échec important en 1ère année (ceux qui sont là pour faire la fête, ceux qui ne savent pas se prendre en main et ceux qui seraient mieux dans une autre filière). Alors il faut une sélection. Par l'orientation, bien entendu, pas par l'argent. en gros, une certaine partie des commentateurs du monde s'entend pour une sélection à l'entrée des universités…
Citronne Posté 13 décembre 2007 Signaler Posté 13 décembre 2007 quelques commentaires à l'article en gros, une certaine partie des commentateurs du monde s'entend pour une sélection à l'entrée des universités… Quand on voit que sur une classe de 100, seuls 15 arrivent en deuxième année, j'avoue les comprendre. C'est ce qui est arrivé à la section japonais de U1. Cette année, ils sont 200 et c'est carrément… démoralisant. De toutes façons, il suffit de voir les listes de résultats aux examens. La moitié ne se présentent pas.
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