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T'as pas 100 balles?


Chitah

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En difficulté budgétaire, l'Etat exige d'EDF une avance de 1 milliard

Le déficit général de l'Etat fin septembre atteint 51,71 milliards d'euros contre 42 milliards un an auparavant.

En parlant, vendredi 21 septembre, d'un Etat en « faillite », le Premier ministre, François Fillon, avait fait sensation. Mais il avait vu juste. Un mois et demi plus tard, les faits lui donnent en partie raison. En difficulté pour assurer l'exécution du budget 2007, le gouvernement vient d'exiger d'EDF, entreprise contrôlée à 87 % par l'Etat, qu'elle verse à ses actionnaires un acompte de 0,58 euro par action, à valoir sur les dividendes de l'exercice en cours (1,84 milliard d'euros attendus, après 1,25 milliard d'euros cette année au titre de 2006). Au total, cela représente un montant de 1 milliard d'euros, dont le versement devra intervenir le 30 novembre, avec six mois d'avance sur la date normale. Et cette pratique sera renouvelée tous les ans.

A Bercy, on ne cache pas l'objectif : « Aider à l'exécution du budget », par un apport providentiel de recettes non fiscales. Avec un argument de circonstance : « EDF ne fait pas partie des entreprises publiques qui ont des difficultés de trésorerie. »

« Sans vergogne »

L'électricien génère un flux de trésorerie important : 11,8 milliards d'euros en fin d'exercice 2006. Par contraste, la situation budgétaire de l'Etat continue de se dégrader. Selon les chiffres publiés hier par le ministère des Comptes publics, le déficit du budget général (hors comptes spéciaux) s'est encore creusé en septembre, atteignant 27,84 milliards d'euros, contre 25,19 milliards d'euros l'an passé à la même date. En incluant les comptes spéciaux, donc, notamment, des recettes de privatisation en attente d'utilisation, la détérioration est plus nette. Le déficit général de l'Etat fin septembre atteint 51,71 milliards d'euros contre 42 milliards un an auparavant. Bercy continue d'expliquer ces écarts par des questions calendaires, mais les rentrées fiscales sur neuf mois sont un peu au-dessous des prévisions. D'où la recherche frénétique de recettes non fiscales.

Présentée mercredi au conseil d'administration d'EDF par les représentants de Bercy - dont le directeur du Budget, Philippe Josse, et celui de l'Agence des participations de l'Etat, Bruno Bézard -, la mesure a fait bondir les syndicats. Seules six entreprises du CAC 40 versent des acomptes sur dividendes. La CFDT d'EDF dénonce « le scandale d'un Etat sans vergogne » qui « n'hésite pas à se servir dans la caisse ». FO fustige une « provocation ». Les représentants d'EDF font un parallèle entre les libéralités que s'accorde, selon eux, l'Etat, et la politique salariale de l'entreprise. La CFDT par exemple parle de « disette ». Et FO rappelle que les tarifs d'électricité ont été récemment augmentés.

JEAN-FRANCIS PÉCRESSE

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Ils sont drôles ces syndicaleux, sur le fait que seuls 6 entreprises du CAC40 versent des avances de dividendes, quel rapport avec EDF ?

Une entreprise fait ce que ses actionnaires lui demandent, et pour le coup, l'actionnaire principal d'EDF, c'est l'Etat.

en tous cas, c'est une excellente nouvelle, c'est dans le moment de faillite que les réformes sont plus possibles … ou la révolution bolchévique.

c'est quitte ou double, là :icon_up:

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Financièrement l'état suffoque. Il cherche désespérément de l'air. Ses masses adipeuses l'empêchent de respirer.

La solution: se mettre au régime. Mais de ce côté là aucune volonté.

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L'état semble par trop exigeant dans la réclamation des dividendes de sa réussite en tant que constructeur de service public.

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Financièrement l'état suffoque. Il cherche désespérément de l'air. Ses masses adipeuses l'empêchent de respirer.

La solution: se mettre au régime. Mais de ce côté là aucune volonté.

À quand un mangerbouger.fr pour l'État ?

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Financièrement l'état suffoque. Il cherche désespérément de l'air. Ses masses adipeuses l'empêchent de respirer.

La solution: se mettre au régime. Mais de ce côté là aucune volonté.

Autre solution : nationaliser les entreprises françaises les plus rentables….

Mais de ce côté là, aucune volonté non plus

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Autre solution : nationaliser les entreprises françaises les plus rentables….

Mais de ce côté là, aucune volonté non plus

T'es balèse en économie et en business toi. Comment on trouve les 150 milliards pour racheter Total par exemple?

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T'es balèse en économie et en business toi. Comment on trouve les 150 milliards pour racheter Total par exemple?

On fait appel aux petits porteurs, of course.

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T'es balèse en économie et en business toi. Comment on trouve les 150 milliards pour racheter Total par exemple?

:icon_up: On rachète pas, on exproprie ! :doigt::warez:

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Autre solution : nationaliser les entreprises françaises les plus rentables….

Mais de ce côté là, aucune volonté non plus

Ça croit en la nation les anarchistes ?

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Autre solution : nationaliser les entreprises françaises les plus rentables….

Mais de ce côté là, aucune volonté non plus

Je vois à ton avatar que tu es anarchiste. C'est bien.

Je lis à ta saillie que tu semblerais pencher pour des thèses collectivites. C'est mal.

Un petit effort de cohérence, et tu pourras faire un anarcho-capitaliste décent.

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Je vois à ton avatar que tu es anarchiste. C'est bien.

Je lis à ta saillie que tu semblerais pencher pour des thèses collectivites. C'est mal.

Un petit effort de cohérence, et tu pourras faire un anarcho-capitaliste décent.

Vous recrutez vraiment n'importe qui !

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Genre les nationalisations effectuées sous François Mitterrand ont été positives pour l'économie.

Effectivement elle ont étaient positive, et l'Etat vie encore des ventes de ces privatisation.

On privatise uniquement les actions appartenant à des grands groupes financiers, pour ne pas pénaliser les petits porteurs.

Ça croit en la nation les anarchistes ?

ce ne croit surtout plus en l'Homme un anarchiste.

Sinon il n'y a pas un topic où on se présente ici? :icon_up:

Posté
Effectivement elle ont étaient positive, et l'Etat vie encore des ventes de ces privatisation.

On privatise uniquement les actions appartenant à des grands groupes financiers, pour ne pas pénaliser les petits porteurs.

Oui c'est clair que le cours de bourse "des grands groupes financiers" ne sera pas du tout impacté par cette mesure et que ça n'aura donc pas d'influence sur les petits porteurs en fin de compte… Et c'est juste le degré 0 de contre analyse que je te sors là en regardant un milli poil plus loin que le bout du nez.

Sinon il n'y a pas un topic où on se présente ici? :icon_up:

Ce que tu cherches est

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C'est donc pour ça que vous vous comportez comme des chiens.

Eh, oh. Je veux bien croire certains nanarchistes se comparent très défavorablement à la plupart des chiens, soit, mais faudrait éviter de dégainer le tromblon au moindre signe de collectivisme.

En l'occurence cette personne croit que l'état s'est enrichi par la nationalisation puis la privatisation de certaines industries. Moi, je ferai juste remarquer que ces opérations marquent le début de la dette publique massive de l'état: c'est donc un appauvrissement monumental et non un enrichissement, qui sera au final épongé par… toujours les mêmes, les contribuables qu'on peut racketter sans crainte, en priorité les plus pauvres.

Posté
Effectivement elle ont étaient positive, et l'Etat vie encore des ventes de ces privatisation.

On privatise uniquement les actions appartenant à des grands groupes financiers, pour ne pas pénaliser les petits porteurs.

ce ne croit surtout plus en l'Homme un anarchiste.

Does not compute. Anarchiste jusque dans ses phrases. Grandiose.

Sinon il n'y a pas un topic où on se présente ici? :icon_up:

Je détecte, au vu de la parfaite syntaxe de cette tirade là, qu'il y a de l'ironie. Mais je n'en suis pas sûr. Peut-être s'agit-il de simples fautes de frappe ?

Le topic en question se trouve dans le forum Taverne.

Posté

que je ne la france, j'en n'est pas le collectivisme national!

fond du des l'anarchie des phrases jusqu'au.

moutons bande de.

Posté
Eh, oh. Je veux bien croire certains nanarchistes se comparent très défavorablement à la plupart des chiens, soit, mais faudrait éviter de dégainer le tromblon au moindre signe de collectivisme.

Quelqu'un qui aboit à la moindre occasion (et la bave aux lèvres), pour moi c'est un chien.

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