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Le socialisme serait-il un trouble psychologique ?


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Bonjour,

Je viens de lire un manifeste de 35 000 mots sur les problemes sociaux, ecologiques, psychologiques….etc. qui ont accompagne la transition vers une societe techno-industrielle.

Serait-il possible de classer le "Socialisme" (extreme-gauche + extreme-droite) comme trouble psychologique?

Je ne vois pas le socialisme comme vecteur de progres social (pourtant c'est le but, la raison de vivre du socialiste), bien au contraire, le socialisme a plutot l'air de ralentir les progres de la science et de la democratie, deux facteurs qui eux contribuent vraiment au progres social et a un meilleur niveau de vie.

Voila un lien vers cet essai publie en 1995 aux Etats-Unis: http://www.mondepolitique.com/theodore_kaczynski/index.html

Connaissiez-vous cet essai de Theodore Kaczynski?

Cordialement. :icon_up:

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Connaissiez-vous cet essai de Theodore Kaczynski?

Ca a l'air d'un empilement d'approximations non démontrées.

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Ca a l'air d'un empilement d'approximations non démontrées.

Cet essai a ete mentionne comme texte potentiellement visionnaire dans un documentaire de la television publique britannique sur les progres de la science dans le domaine de l'intelligence artificielle.

A noter que si l'auteur est bien un eco-terroriste, c'est aussi un mathematicien d'Harvard qui a travaille pour un programme gouvernemental top-secret sur la manipulation de l'esprit humain, et cela contribue a credibiliser son expertise en psychologie humaine.

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Oui, il s'agit du "manifeste d'Unabomber". C'est une lecture intéressante ; en tous cas, la première partie dans laquelle il analyse le gauchisme et le constructivisme de façon un peu brouillonne mais assez juste. En revanche, il associe le progrès social au progrès technique et, à partir de là, ça devient un peu la fête du slip puisqu'il propose d'anéantir tout progrès technique et de vivre de façon sauvage. C'est un "anarcho-luddite", une sorte de quaker libéral (et accessoirement, un terroriste).

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Cet essai a ete mentionne comme texte potentiellement visionnaire dans un documentaire de la television publique britannique sur les progres de la science dans le domaine de l'intelligence artificielle.

A noter que si l'auteur est bien un eco-terroriste, c'est aussi un mathematicien d'Harvard qui a travaille pour un programme gouvernemental top-secret sur la manipulation de l'esprit humain, et cela contribue a credibiliser son expertise en psychologie humaine.

La révolution industrielle et ses conséquences ont été un désastre pour la race humaine…

Pratiquement tout le monde s’accorde à reconnaître que nous vivons dans un monde chaotique… (source : le bistrot?)

Quand nous parlons de « gauchistes » dans ce texte, nous pensons principalement aux socialistes, collectivistes, adeptes du « politiquement correct », féministes, homosexuels, défenseurs des droits des animaux et ainsi de suite. Mais tous ceux qui sont affiliés à ces mouvements ne sont pas nécessairement des « gauchistes »…

Les féministes sont obsédées par l’idée de prouver que les femmes sont aussi fortes et aussi capables que les hommes. Il est évident qu’elles sont angoissées par le fait qu’une femme puisse ne PAS être aussi forte et aussi capable qu’un homme…

Remarquons les tendances masochistes des tactiques « gauchistes ». Les « gauchistes » protestent en s’allongeant devant des véhicules, ils provoquent intentionnellement la police ou les racistes pour qu’ils les agressent, etc. Ces tactiques peuvent parfois obtenir des résultats, mais beaucoup de « gauchistes » ne les utilisent pas comme des moyens correspondant à une fin, mais parce qu’ils PRÉFÈRENT les tactiques masochistes… (arrêter la violence en prenons sur soi = infériorité, haine de soi)…

Tout n'est pas mauvais mais parfois les généralités…

Posté
Oui, il s'agit du "manifeste d'Unabomber". C'est une lecture intéressante ; en tous cas, la première partie dans laquelle il analyse le gauchisme et le constructivisme de façon un peu brouillonne mais assez juste. En revanche, il associe le progrès social au progrès technique et, à partir de là, ça devient un peu la fête du slip puisqu'il propose d'anéantir tout progrès technique et de vivre de façon sauvage. C'est un "anarcho-luddite", une sorte de quaker libéral (et accessoirement, un terroriste).

C'est tout à fait ça.

La partie sur le gauchisme est savoureuse et je l'ai gardée précieusement dans mes archives.

Posté

Revenir aux fondamentaux sur la généalogie de la morale socialiste, celle des ratés haineux:

Volonté de Puissance, II, 227

La haine de l'égoïsme, que ce soit celui qui vous est propre (chez le chrétien) ou celui des autres (chez le socialiste) apparaît ainsi comme une évaluation où prédomine la vengeance; et d'autre part, comme une ruse de l'esprit de conservation chez ceux qui souffrent par l'augmentation de leurs sentiments de mutualité et de réciprocité… En fin de compte, comme je l'ai déjà indiqué, cette décharge du ressentiment qui consiste à juger, à rejeter et à punir l'égoïsme (celui qui vous est propre ou l'étranger) est encore l'instinct de conservation chez les déshérités. En somme, le culte de l'altruisme est une forme spécifique de l'égoïsme qui se présente régulièrement dans des conditions physiologiques particulières.

Lorsque le socialiste exige, avec une belle indignation, la " justice ", le " droit ", les " droits égaux ", il se trouve seulement sous l'empire de sa culture insuffisante qui ne sait pas comprendre le pourquoi de sa souffrance. D'autre part c'est un plaisir pour lui, s'il se trouvait en de meilleures conditions il se garderait bien de crier ainsi: il trouverait alors son plaisir ailleurs. Il en est de même du chrétien, celui-ci condamne, calomnie et maudit le " monde ", il ne s'excepte pas lui-même. Mais ce n'est pas là une raison pour prendre au sérieux ses criailleries. Dans les deux cas, nous sommes encore parmi des malades à qui cela fait du bien de crier, à qui la calomnie procure un soulagement.

Car c'est de cela qu'il s'agit, on a besoin de coupables. Les déshérités, les décadents de toute espèce sont en révolte contre leur condition et ont besoin de victimes pour ne pas éteindre, sur eux-mêmes, leur soif de destruction ( ce qui en soi, pourrait paraître raisonnable). Mais il leur faut une apparence de droit, c'est-à-dire une théorie qui leur permette de se décharger du poids de leur existence, du fait qu'ils sont conformés de telle sorte, sur un bouc émissaire quelconque. Ce bouc émissaire peut être Dieu - il ne manque pas en Russie de pareils athées par ressentiment -, ou l'ordre social, ou l'éducation et l'instruction, ou les juifs, ou les gens nobles, ou bien, en général, tous ceux qui ont réussi de quelque façon que ce soit.

" C'est un crime d'être né sous des conditions favorables: car de la sorte on a déshérité les autres, on les a mis à l'écart, condamnés au vice et même au travail "… " Qu'y puis-je, si je suis misérable ! Mais il faut que quelqu'un y puisse quelque chose, autrement ce ne serait pas tolérable ! "… Bref, le pessimisme par indignation invente des responsabilités, pour se créer un sentiment agréable - la vengeance… " Plus douce que le miel " l'appelait déjà le vieil Homère.

Posté
Revenir aux fondamentaux sur la généalogie de la morale socialiste, celle des ratés haineux:

Absolument excellent.

  • 2 years later...
Posté

Des extraits un peu plus longs disponibles ici :

http://www.ecotheurgie.com/article-la-sur-…l-55091746.html

22. Si notre société n'avait pas le moindre problème, les « gauchistes » INVENTERAIENT des problèmes pour justifier leur agitation.
26. La sur-socialisation conduit à une piètre estime de soi, un sentiment de faiblesse, de défaitisme, de culpabilité, etc. Un des moyens les plus importants par lequel notre société socialise les enfants est de leur faire honte lorsque leurs comportements ou discours est contraire à ce que cette société attend d'eux. S'il y a exagération dans ce sens, ou si un enfant est particulièrement réceptif à ce genre de sentiments, il finit par être honteux de LUI-MÊME. La pensée et le comportement d'une personne sur-socialisée sont bien plus aliénées que celles d'une autre modérément socialisée.
219. Le « gauchisme » est une force totalitaire. Pour peu qu'il soit en position de force, il a tendance à s'immiscer dans chaque recoin de la vie privée et à contraindre tout le monde à passer au moule « gauchiste ». Ceci est du en partie au caractère quasi-religieux du « gauchisme » ; tout ce qui s'oppose aux « gauchistes » est assimilé au Péché. Plus fondamentalement, c'est une force totalitaire à cause de la méthode de recherche de pouvoir du « gauchiste ».
229. Le « gauchiste » est attiré par le collectivisme sur une large échelle. Il insiste sur le devoir qu'a l'individu de servir la société et le devoir qu'a la société de prendre soin de l'individu. Il se méfie de l'individualisme. Il prend souvent un ton moralisateur. Il a tendance à être pour le contrôle des armes, pour l'éducation sexuelle et pour toutes les autres méthodes d'épanouissement psychologique, pour la planification, pour le multiculturalisme, pour l'affirmative action. Il s'identifie aux victimes. Il s'oppose à la compétition et à la violence, mais trouve souvent des excuses pour les « gauchistes » qui en usent.

Il y a vraiment du vrai, là-dedans. :icon_up:

Posté
Revenir aux fondamentaux sur la généalogie de la morale socialiste, celle des ratés haineux:

oui mais ça serait davantage le fascisme surtout lorsqu'on connaît le passé raté et haineux d'Hitler ou de Mussolini.Après on rapproche le fascisme du socialisme mais c'est fortement discutable quand on sait que même si les dirigeants fascistes sont d'anciens socialistes,il n'en reste pas moins qu'ils s'en démarquent par leur nationalisme exacerbé.

Invité jabial
Posté

Ça n'a pas de sens de parler d'un "trouble psychologique" qui atteindrait la majorité de la population. C'est comme ceux qui parlent de "psychose collective" en Allemagne de 1933 à 1944. Niet. Le socialisme n'est pas un trouble, c'est du mal ordinaire et normal. Le fond de ma pensée, c'est que tout ce que la culture démocrato-républicaine reproche aux fachos, on peut le reprocher non pas à eux seuls, mais aux socialistes en général - au sens hayekien. La servitude ce n'est pas une petite affaire, c'est la pire chose qui puisse arriver avec la mort.

Posté

je plussoie, même si à mon avis chez certains gauchistes parmi les plus enragés il y a des troubles psychologiques bien réels. Mais je ne suis pas compétent pour en juger. J'ai beaucoup aimé ces citations. Cependant je n'y ai pas trouvé de remarques sur la nature soupçonneuse, paranoïaque, obsédée par le trucage de la réalité, du gauchiste, notamment altermondialiste, et qui fonctionne de la même manière que l'antisémitisme conspirationniste.

Naomi Klein, brillante journaliste d'investigation, vient enfin de prouver dans un livre ce dont tout le monde se doutait sans oser le dire, à savoir que les libéraux sontdes profiteurs qui se remplissent les poches grâce aux catastrophes et se servent de ces dernières comme prétextes pour imposer encore plus d'ultralibéralisme criminel et antidémocratique: Pinochet, l'apartheid, la pratique de la torture, mais aussi les tsunamis, l'ouragan Katrina… Ca me rappelle Borat, le personnage de Sacha Baron Cohen, qui affirmait dans une vidéo sur Youtube qu'il avait des preuves de l'implication des Juifs dans l'ouragan Katrina. Avec les dingues, on ne peut même pas décompresser en faisant de l'humour, ils croient sincèrement aux trucs les plus absurdes, pas moyen de les parodier en allant plus loin qu'eux, ils sont déjà sur une autre planète.

Qu’y a-t-il de commun entre le coup d’Etat de Pinochet au Chili en 1973, le massacre de la place Tiananmen en 1989, l’effondrement de l’Union soviétique, le naufrage de l’épopée Solidarnosc en Pologne, les difficultés rencontrées par Mandela dans l’Afrique du Sud post-apartheid, les attentats du 11 septembre, la guerre en Irak, le tsunami qui dévasta les côtes du Sri Lanka en 2004, le cyclone Katrina, l’année suivante, la pratique de la torture partout et en tous lieux - Abou Ghraïb ou Guantánamo - aujourd’hui ?

Tous ces moments de notre histoire récente, répond Naomi Klein, ont partie liée avec l’avènement d’un "capitalisme du désastre". Approfondissant la réflexion militante entamée avec son bestseller No Logo, Naomi Klein dénonce, dans La stratégie du choc, l’existence d’opérations concertées dans le but d’assurer la prise de contrôle de la planète par les tenants d’un ultralibéralisme tout puissant. Ce dernier met sciemment à contribution crises et désastres pour substituer aux valeurs démocratiques, auxquelles les sociétés aspirent, la seule loi du marché et la barbarie de la spéculation.

La servitude ce n'est pas une petite affaire, c'est la pire chose qui puisse arriver avec la mort.

je mets cette phrase dans ma signature.

Posté

17. Les formes d'art qui séduisent les intellectuels « gauchistes » modernes se polarisent sur le sordide, l'échec et le désespoir, ou bien se complaisent dans un mode orgiaque, rejetant le rationalisme comme s'il n'y avait aucun espoir d'accomplir quelque chose grâce à la pensée rationnelle, et que tout ce qui restait était de se plonger dans les sensations du moment.

quelque chose que j'avais remarqué, même s'il y aurait d'autres choses à dire sur certains pans de l'art contemporain particulièrement prisés dans les FRACS. Incroyable ce manifeste. Et dire que pourtant c'est un terroriste complètement allumé. Bon, si je me mets à connecter des fils avec des pains de plastic sans m'en rendre compte, vous me le dites, hein ? hein ?

Le « gauchiste » sur-socialisé essaie de se débarrasser de sa laisse mentale et affirme son autonomie en se rebellant. Mais il n'est pas généralement assez fort pour se rebeller contre les plus élémentaires valeurs de la société. En fait, les buts des « gauchistes » actuels n'entrent PAS en conflit avec la morale courante. Au contraire, la gauche s'approprie un principe moral reconnu, l'adopte comme étant le sien, puis accuse le gros de la société de violer le dit principe.

putain !!!

Mais peu importe le degré de réussite du mouvement car le « gauchiste » ne sera jamais satisfait ; son activisme étant une activité compensatrice (voir paragraphe 41). Ce qui fait que la motivation réelle du « gauchisme » n'est pas d'accomplir les buts annoncés du « gauchisme » ; en réalité, il est poussé par la sensation de pouvoir que lui confèrent le combat pour un but social et son accomplissement. En conséquence, le « gauchiste » n'est jamais satisfait par ce qu'il a déjà obtenu ; son besoin de processus de pouvoir lui fait sans cesse chercher de nouveaux buts. Le « gauchiste » veut des chances égales pour les minorités. Une fois ceci fait, il insiste sur une répartition sociale statistique par minorité. Et aussi longtemps que quiconque abrite dans un recoin de son esprit un quelconque ressentiment envers une minorité, le « gauchiste » se doit de le rééduquer. Et les minorités ethniques ne sont pas suffisantes ; personne ne peut avoir quelque chose à reprocher aux homosexuels, aux handicapés, aux obèses, aux vieux, aux moches, et ainsi de suite. Ce n'est pas suffisant que les gens soient prévenus des dangers du tabac ; un avis doit être imprimé sur chaque paquet de cigarettes. Puis la publicité pour le tabac doit être limitée sinon interdite. Les activistes ne seront jamais satisfaits avant que le tabac ne soit mis hors la loi, et ensuite ce sera le tour de l'alcool, de la junk food, etc. Ils se sont battus contre les mauvais traitements infligés aux enfants, ce qui raisonnable. Mais maintenant, ils veulent prohiber jusqu'à la

fessée. Ils ne seront satisfaits que lorsqu'ils auront un contrôle complet sur la façon dont sont éduqués les enfants. Puis ils passeront à une autre cause.

220. Supposons que vous demandiez à un « gauchiste » de faire une liste de TOUT ce qui ne va pas dans la société, et supposons que vous appliquiez TOUS les changements sociaux requis. Il est sûr et certain que d'ici quelques années, la majorité des « gauchistes » trouveront quelque chose de nouveau à combattre, quelque nouveau « tort » social à redresser, car, une fois de plus, le « gauchiste » est moins motivé par la détresse du monde que par son besoin de satisfaire son désir de pouvoir en imposant ses solutions à la société.

224. Les gens qui atteignent des positions de pouvoir dans les mouvements « gauchistes » sont les plus avides de pouvoir (ce qui est normal puisqu'il s'agit de satisfaire leur appétit de pouvoir). Une fois que ces derniers ont pris les rênes du mouvement, beaucoup de « gauchistes » plus modérés désapprouvent en leur for intérieur les décisions des leaders, mais sont incapables de s'y opposer. Ils ont BESOIN de leur foi dans le mouvement, et ainsi, ne peuvent retirer aux leaders la foi qu'ils leurs ont confiée. Il est vrai que QUELQUES « gauchistes » ont le courage de s'opposer aux tendances totalitaires qui émergent, mais ils perdent généralement, car leurs adversaires sont plus organisés, plus impitoyables et machiavéliques et ont pris soin de se constituer de solides

fondations.

225. Ces phénomènes sont apparus clairement en URSS et dans les autres pays « conquis » par les

« gauchistes ». De la même façon, avant l'effondrement du communisme en URSS, peu de « gauchistes » ont critiqué ce pays à l'ouest. Le cas échéant, ils admettaient que tout n'allait pas pour le mieux en URSS, mais trouvaient des excuses aux communistes, et finissaient par parler des tares de l'Occident. Ils ont toujours excusé les agressions communistes par les actions militaires occidentales. Les « gauchistes » du monde entier ont protesté contre l'intervention américaine au Vietnam, mais personne n'a rien dit lors de l'invasion de l'Afghanistan. Ce n'est pas qu'ils approuvaient les actions soviétiques ; mais du fait de leur foi « gauchiste », ils ne pouvaient s'opposer formellement au communisme.

Il adore utiliser les phrases-clichés de la gauche comme « racisme », « sexisme », « homophobie », « capitalisme », « impérialisme », « néocolonialisme », « génocide », « changement social », « justice sociale », « responsabilité sociale », etc.

sa révolution contre la technologie c'est du pipeau symphonique, mais alors son analyse des gauchistes c'est quelque chose. La vache. Bon j'arrête avec les citations massives.

Posté

Mine de rien, je trouve ce flux d'activistes dits "gauchistes" plus qu'utiles au développement d'une société équilibrée.

Le problème principal n'est pas qu'il existe des associations pour lutter contre la pauvreté, faire savoir que le tabac et l'alcool sont dangereux, humaniser la société,… Le problème est qu'ils se constituent sous forme de lobbies qui cherchent à prohiber et réglementer car ils en ont la capacité.

Dans un système purement minarchiste encadré par une solide constitution, ces gens sont nécessaires au développement moral de la société et à la mise en oeuvre d'actions issues de la générosité privée. Ils se retrouvent évidemment dans le système privé et sont concurrencés par des mouvements antagonistes ou différents idéologiquement. Le gros point positif étant qu'ils ne sont plus parasités par des lobbyistes qui cherchent à coercer et se retrouvent donc en mutation idéologique constante.

Invité jabial
Posté

Sans vouloir être méchant, tu as tout faux. Ces gens-là n'ont strictement rien à voir avec la générosité privée. La plupart d'entre eux ne donnent rien à l'humanitaire, même si quelque fois ils vont jouer les bénévoles quelques temps histoire de pouvoir dire qu'ils l'ont fait. Regardez par exemple Act Up. Beaucoup de leurs membres accusent les labos de ne pas vraiment chercher un traitement. Est-ce qu'ils essaieraient de créer une coopérative pour faire de la recherche contre le SIDA indépendante et non commerciale ? Que dalle. Ce qui les intéresse c'est de promouvoir le préservatif, parce que c'est un combat de société contre les méchants cathos. À 12 ans n'importe quel gamin sait que b….r sans préservatif c'est dangereux, mais personne ne lui a dit que les rapports anaux sont incomparablement plus dangereux que les rapports vaginaux (osera-t-on écrire "normaux" ?) ou bucco-génitaux, il ne l'apprendra que plus tard dans sa vie, ou même jamais.

Posté

Tiens, tiens, tiens, et en passant là, puisqu'on est dans le procès psychologique, les délires sur cette page (dans l'introduction) à propos d'une Europe sans blancs en 2050, on peut les mettre sur le compte d'une psychose liée à une petite bite ou pas ?

Il est tout à fait envisageable que d'ici 2050, si la tendance se poursuit, les Blancs seront très minoritaires en Europe, mettant fin à un chapitre de 40 000 ans de l'histoire de ce continent.

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