Vincent Posté 18 mars 2008 Signaler Posté 18 mars 2008 Tout est là. Pourquoi a-t-elle besoin que la maitresse d'école lui dise que c'est bien ? Parce que, de même que les gens demandent l'aide de l'état pour vivre, il lui réclament son aide pour mourir. L'état est bien le pansement, la baguette magique qui guérit les chagrins, éclaire les abîmes et suicide à la place du suicidé… La folie est d'une cohérence diabolique.
Roniberal Posté 18 mars 2008 Signaler Posté 18 mars 2008 depuis quand les médias diffusent ils des informations objectives? Harald a-t-il dit le contraire?
Balko Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Tu joues aux connaisseurs mais tu ne connais absolument rien à la situation de l'euthanasie en Belgique et aux Pays-Bas. Et ne me demande pas de sourcer, ça me saoule de le faire. Je vais t'en donner une puisque tu daignes me donner les tiennes. Source
Roniberal Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Je vais t'en donner une puisque tu daignes me donner les tiennes.Source Tiens, lis ce fil (à partir de la page 20 plus ou moins): http://www.liberaux.org/index.php?showtopic=28712
LaFéeC Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Pourquoi elle se suicide pas avec des médocs, ça revient au même.
Saucer Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Pourquoi elle se suicide pas avec des médocs, ça revient au même. Parce qu'elle veut une médiatisation, et pouvoir en finir avec panache et pathos. Je lui conseille donc la guillotine, pour un petit effet retro très apprécié de nos jours.
LaFéeC Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Parce qu'elle veut une médiatisation, et pouvoir en finir avec panache et pathos. C'est surtout qu'il lui manque une bonne paire de c******* pour se suicider elle-même. Si son médecin veut l'aider, il peut lui prescrire des médicaments pour une semaine, elle n'a plus qu'à les avaler d'un coup. Il ne serait du coup pas responsable de sa mort.
Taishar Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Houlà, rien n'est sûr dans ce pays… Quant à ce cas, il n'y a pas de question à se poser : je ne vois pas en quoi la question de l'euthanasie revient sur le tapis puisqu'elle a les moyens de se suicider.
Saucer Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 C'est surtout qu'il lui manque une bonne paire de c******* pour se suicider elle-même. Euh, c'est un poil réducteur et peu dur s'agissant du suicide en général, ou des tentatives de suicide. Maintenant, c'est sûr qu'ici, il ne s'agit pas de tendance suicidaire classique.
LaFéeC Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Houlà, rien n'est sûr dans ce pays…Quant à ce cas, il n'y a pas de question à se poser : je ne vois pas en quoi la question de l'euthanasie revient sur le tapis puisqu'elle a les moyens de se suicider. Disons qu'elle a les moyens de tenter de se suicider. Ce qu'elle demande, et je n'ai rien contre, c'est que son médecin puisse lui faire une ordonnance d'un produit létal qu'elle pourrait absorber pour mourir selon ses voeux. Mais la loi ne l'empêche pas de mourir, ni de se suicider. La loi empêche le médecin de lui fournir le produit. Par contre, elle a le droit de se suicider, et vu les souffrances physiques qu'elle endure, je suis certaine que son médecin lui prescrit déjà des anti-douleur de toutes sortes. Elle peut donc, légalement, les bouffer tous d'un coup et tenter de se suicider (et sans doute ne pas se louper). Maintenant, je pense que la discussion porte sur le suicide assisté et non sur l'euthanasie. Euh, c'est un poil réducteur et peu dur s'agissant du suicide en général, ou des tentatives de suicide. Maintenant, c'est sûr qu'ici, il ne s'agit pas de tendance suicidaire classique. Dans certains cas effectivement, celui qui choisi finalement de vivre a plus de c***** que celui qui veut mourir. Mais m'est avis qu'il faut être quelque part couillu pour se suicider (vraiment, pas faire une TS).
calypso Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Chantal Sébire est à l'évidence manipulée par cette secte qu'est l'ADMD, dont font partie et son médecin et son avocat. Ces gens sont très bien placés pour savoir comment lui procurer tout ce qu'il faut sans risquer la moindre poursuite! Ils s'en vantent assez… Mais répondre à sa demande est bien le dernier de leurs soucis ( j'ose espérer qu'elle est sincère et que ce ne sont pas ces fous dangereux qui lui ont collé cette idée en tête sans s'être assurés d'ailleurs que toutes les possibilités de prise en charge même palliative, avaient été explorées) Mais non ce qu'ils veulent c'est qu'on ne parle que de cela dans les chaumières…Et il faut les voir, les réactions dans les chaumières , çà marche très fort pour leur "noble cause"! On voit même réclamer …un référendum ( Libéraux.org est décidément un havre de bon sens ) La loi Léonetti va déjà très (trop?) loin, surtout destinée à légaliser une situation de fait comme je l'expliquais dans un autre post il ya 2 jours ( euthanasie déjà bien "active" depuis des années dans nos hôpitaux) Etendre cette possibilité à des maladies chroniques incurables mais non mortelles ( et qu'en sait-on?) c'est monstrueux. Il semble incroyable qu'une équipe médicale accepte de donner "satisfaction" à la demande d'un malade atteint d'Alzheimer en tout début d'évolution, simplement parce qu'il n'accepte pas l'idée d'une détérioration. Mais il aurait pu vivre des années, et pas forcément très mal. Eh bien cà a eu lieu en Suisse, un écrivain connu . D'abord les cancéreux en phase terminale , puis les Alzheimer, et bientôt les petits dépressifs, ou la femme qui perdant sa beauté, trouve que la vie ne vaut la peine d'être vécue.
Skit Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Exact mais le fait est que ces personnes peuvent se suicider par eux-mêmes. La seule peur possible est "la main de l'état" qui rendra alors plus "acceptable" le suicide et plus commun. On risque donc de passer plus facilement des idées suicidaires à l'acte.
Skit Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 RIP http://tf1.lci.fr/infos/france/societe/0,,…ait-morte-.html
0100011 Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Ah non, elle ira en enfer c'est certain ! Elle peut pas, elle a déjà fait…
Wallace Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Ah non, elle ira en enfer c'est certain ! Oui. En plus on voit bien qu'elle pouvait partir toute seule, pas besoins d'une loi sur l'euthanasie. Je suis vraiment un salaud de blaguer sur ça.
Saucer Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Pourquoi RIP ? Ben c'est la moindre des choses, la pauvre avait certainement bon fond. Cette volonté de médiatiser sa souffrance est regrettable, mais enfin, elle n'a fait de mal à personne.
Hobbart Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Et devinez quoi ? Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner a plaidé mercredi pour que Chantal Sébire, atteinte d'une tumeur incurable, ait droit, comme elle le demande, à mourir par euthanasie."Je trouve très difficile de ne pas lui offrir une porte de sortie qui serait une porte d'amour avec les siens", a déclaré M. Kouchner. Médecin de formation, ancien responsable de Médecins sans Frontières et Médecins du Monde, le ministre a ajouté qu'il fallait "lui permettre de ne pas avoir besoin de se suicider dans une espèce de clandestinité dont tout le monde souffrirait, surtout ses proches". M. Kouchner, qui fut aussi ministre de la Santé, a ajouté qu'il s'était "battu pour qu'on ait le droit de mourir dans la dignité". "J'ai beaucoup d'admiration et d'amour pour Chantal Sébire", a-t-il déclaré, en souhaitant que l'on fasse "une exception à la loi" qui l'empêche d'accéder à l'euthanasie. "Ce serait humain, nécessaire", a-t-il affirmé. Lundi, la justice a rejeté la demande d'euthanasie active de Chantal Sébire, une mère de famille de 52 ans atteinte d'une tumeur incurable, qui réclame le droit de "mourir dans la dignité, entourée des siens". http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/arti…uthanasie.dhtml
Ash Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Ben c'est la moindre des choses, la pauvre avait certainement bon fond. Cette volonté de médiatiser sa souffrance est regrettable, mais enfin, elle n'a fait de mal à personne. C'était par rapport aux RIP qui s'enchainaient sans info sur sa mort.
Skit Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Je me doutais de quelque chose, c'est pour ça que j'ai mis le lien
roubachov Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Toute cette histoire me met très mal à l'aise. Pour ma part, je ne suis certainement pas un adversaire inconditionnel de l'euthanasie.
Skit Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Donc tu admets que se suicider est illégal? C'est une liberté point barre. Ce contre quoi tu t'insurges si l'assistanat au suicide qui, selon les lois actuelles en France, est un meurtre. La Belgique fait la distinction entre un meurtre et un meurtre avec consentement de la victime mais c'est pas souvent évident de trancher s'il n'y a pas de dossier clair où la personne est jugé dans un état grave et que le meurtre n'est pas réalisé par un médecin.
Ronnie Hayek Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 et bientôt les petits dépressifs C'est déjà le cas en Belgique : http://www.lalibre.be/index.php?view=article&art_id=329793 EuthanasieQuatre cas pour dépression majeure irréductible Belga Mis en ligne le 02/02/2007 Quatre cas d'euthanasie de patients souffrant de dépression majeure irréductible ont été déclarés en 2004-2005, ce qui constitue un "dangereux précédent", a relevé vendredi une asbl flamande active dans le soutien aux dépressifs. Dans son dernier rapport transmis au parlement, la Commission fédérale de contrôle et d'évaluation de l'euthanasie note que, parmi les neuf euthanasies déclarées sur la période 2004-2005 pour affection neuro-psychiatrique, quatre cas concernaient des malades de dépression majeure irréductible. La loi a été respectée, indique la Commission. La loi prescrit que toute personne souffrant d'une affection incurable résultant d'un accident ou d'une pathologique, et qui fait état d'une souffrance constante inapaisable et insupportable, peut demander l'euthanasie. Les quatre cas de malades de dépression majeure irréductible constituent, selon Netwerk Depressie Vlaanderen, un "dangereux précédent". "La porte de l'euthanasie est ouverte à des milliers de personnes dépressives et suicidaires pour qu'elles se donnent la mort en toute légalité", affirme l'asbl. Le président de la Commission euthanasie, le professeur Wim Distelmans, souligne que ces quatre cas ont été extrêmement documentés. "Nous en avons discuté minutieusement. Cela reste une situation exceptionnelle, mais on peut en effet parler d'un précédent en ce sens que c'est la première fois que de tels cas sont déclarés", indique-t-il. Pour l'asbl flamande, la dépression ne peut être considérée comme une maladie incurable. "On peut parler de souffrance psychique insupportable, mais souvent, c'est la thérapie de la dépression qui connaît de graves manquements", affirme-t-elle. Le professeur Distelmans souligne la loi sur l'euthanasie ne spécifie nulle part qu'une "affection incurable due à une maladie" ne peut être une affection psychiatrique. "Il est cependant très difficile dans ces cas de déterminer si le patient a été guéri, s'il est capable et donc en état de demander lui-même l'euthanasie. Mais selon le rapport, il apparaît que ce peut bien être le cas", affirme Wim Distelmans. De même, il y a deux ans, il fut question d'une dame âgée atteinte de démence ayant été euthanasiée par son médecin : http://www.lalibre.be/index.php?view=article&art_id=267905 EuthanasieLe suicide assisté d'une vieille dame An.H. Mis en ligne le 10/02/2006 Le parquet de Gand a ouvert une enquête sur la mort d'une femme de 87 ans. Le docteur Marc Cosyns ne s'en cache pas: il a aidé sa patiente sénile à mourir. Le professeur de la Rug souhaite ainsi relancer le débat sur l'euthanasie. Le parquet de Gand a ouvert une enquête, jeudi, sur le rôle joué par un médecin généraliste dans le décès d'une femme âgée de 87 ans atteinte de démence, le 20 janvier dernier. Le parquet veut enquêter sur les circonstances de cette euthanasie. L'affaire a été révélée par le médecin lui-même: Marc Cosyns, généraliste à Gand, s'est en effet confié à l'hebdomadaire médical «De Huisarts» - paru hier - qu'il avait aidé une patiente sénile à mourir à un moment où elle était «lucide». Il lui a donné une boisson contenant des barbituriques; la vieille dame est décédée quelques minutes plus tard. Si le praticien, qui enseigne notamment les méthodes d'accompagnement des personnes en fin de vie à l'Université de Gand, évoque publiquement cette euthanasie (qui n'entre pas dans les cas prévus par la loi de 2002 dépénalisant l'euthanasie sous conditions), c'est pour relancer le débat. La loi de 2002 organise une exception légale si le médecin qui pratique une euthanasie respecte une série de conditions prévues par la loi. Il doit ainsi s'assurer que le patient majeur, capable et conscient, formule sa demande de manière volontaire, réfléchie et répétée, et que celle-ci ne résulte pas d'une pression extérieure. Le patient doit encore se trouver dans une situation médicale sans issue et faire état d'une souffrance physique ou psychique constante et insupportable. Les personnes souffrant de démence n'entrent pas dans ce cadre. Avis d'un second médecin Le docteur Cosyns suivait sa patiente depuis de longues années; elle avait toujours indiqué qu'en cas de démence éventuelle, elle opterait pour l'euthanasie. On lui a diagnostiqué une démence vasculaire. Elle a dû être plusieurs fois hospitalisée. Elle avait peur de devoir rester à l'hôpital et refusait d'aller en maison de repos. «Après sa dernière prise en charge, elle ne pouvait plus marcher. La première semaine après sa sortie de l'hôpital, nous avons encore tout tenté et mis en place un service de soins à domicile», a expliqué Marc Cosyns à l'agence Belga. «Au moment où elle était lucide, elle a indiqué qu'elle voulait mourir», répète le médecin. Le généraliste a alors pris contact avec un collègue, qui ne pouvait pas se rendre le soir même au domicile de la vieille dame. Le lendemain, la patiente était tout à fait confuse, ne se souvenant plus de ce qu'elle avait réclamé le soir précédent. Le mercredi 18 janvier, la patiente a eu un autre moment de lucidité: un second médecin a émis, par écrit, un avis favorable pour une euthanasie. La patiente est décédée deux jours plus tard. Pour le docteur Cosyns, tout était en ordre d'un point de vue légal; il a pris l'avis d'un second confrère. D'un point de vue théorique, il s'agit d'un suicide, la patiente ayant bu elle-même le verre, ce qui n'est pas punissable, ajoute-t-il. Le président de la commission fédérale d'évaluation de l'euthanasie, Wim Distelmans, a déjà plaidé pour un élargissement de la loi aux personnes dont les fonctions cérébrales sont diminuées et qui en ont fait la demande préalable. Actuellement, ce «testament de vie» est uniquement valable pour les patients qui se trouvent plongés dans un coma irréversible. De leur côté, les sénatrices Jeannine Leduc (VLD) et Jacinta De Roeck (SP.A) ont chacune introduit une proposition afin d'élargir le bénéfice de la loi sur l'euthanasie aux personnes qui n'ont plus conscience de leur propre personne. Mais la loi dépénalisant l'euthanasie sous conditions est en vigueur depuis un peu plus de 3 ans: il est peu probable que le Parlement se risque à déjà la modifier. © La Libre Belgique 2006 Certains politiciens sont d'ailleurs partisans de reconnaître légalement l'euthanasie des déments et des mineurs : http://www.lalibre.be/index.php?view=article&art_id=275593 Le SP.A prône l'euthanasie pour les déments(An.H.) Mis en ligne le 21/03/2006 AU NORD DU PAYS, les propositions de loi se multiplient pour élargir le droit à l'euthanasie. En début de législature déjà, les libéraux flamands indiquaient leur souhait d'étendre cette possibilité aux mineurs, avant d'évoquer les personnes atteintes de démence. Les sénateurs VLD Paul Wille et Jeannine Leduc ont été les premiers à déposer des textes en ce sens. Le SP.A embraie pour les personnes démentes, avec une proposition de loi cosignée par les sénatrices Christel Geerts, Jacinta De Roeck (ex-Agalev) et Myriam Vanlerberghe. Mme Geerts indiquait lundi, dans les colonnes du «Standaard», que l'euthanasie devait être un des thèmes principaux à débattre lors des prochains congrès idéologiques du parti socialiste flamand (fin 2006). Elle réclame aussi plus d'attention politique pour le problème de la démence en général, dont souffrent 500000 personnes en Belgique. Rappelons que du côté francophone, les partis sont très réticents face à une modification de la (récente) loi dépénalisant l'euthanasie à de strictes conditions. Fin février, les chefs de groupe de tous les partis de la majorité s'étaient réunis pour évoquer les diverses propositions en matière d'euthanasie. Avec une confirmation à la clé: les francophones ne sont guère enthousiastes. Les chefs de file de la majorité sénatoriale devraient se revoir à un rythme régulier pour déterminer les points sur lesquels un consensus pourrait être atteint (comme un aménagement de la déclaration anticipée, aussi appelée testament de vie). © La Libre Belgique 2006 Et devinez quoi ?http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/arti…uthanasie.dhtml Le sentimentalisme mis au service de la rupture des derniers tabous.
AX-poulpe Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Je pense que l'affaire est terminée : elle a été retrouvée morte ce soir. http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20080319/thl…oi-b2e59e8.html
Roniberal Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Et devinez quoi ?http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/arti…uthanasie.dhtml Je ne supporte pas Kouchner, l'idole des libéraux filliasiens. Donc tu admets que se suicider est illégal?C'est une liberté point barre. Se suicider, oui car cela ne peut concerner le droit (du fait qu'une seule personne est impliquée) mais l'euthanasie est un cas différent mettant en scène deux ou plusieurs personnes. La Belgique fait la distinction entre un meurtre et un meurtre avec consentement de la victime mais c'est pas souvent évident de trancher s'il n'y a pas de dossier clair où la personne est jugé dans un état grave et que le meurtre n'est pas réalisé par un médecin. Plus clairement, la Belgique autorise, presque inconditionnellement dans les faits (quoiqu'en dise la loi), l'euthanasie active. Je pense que l'affaire est terminée : elle a été retrouvée morte ce soir.http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20080319/thl…oi-b2e59e8.html Déjà posté: http://www.liberaux.org/index.php?s=&s…st&p=417594
Skit Posté 19 mars 2008 Signaler Posté 19 mars 2008 Ronniliberal> Tue ta grand-mère qui était en phase terminale d'un cancer pour l'aider et tu verras
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