Aller au contenu

Au pays du libéralisme, la Banque d’Angleterre au chevet des profits


Maximus

Messages recommandés

Posté

Source : Libé

Hier, la Banque d’Angleterre a offert aux établissements bancaires de troquer leurs crédits immobiliers à risque contre des titres d’Etat, pour une valeur de 50 milliards de livres (62 milliards d’euros). Un échange d’actifs ouvert pour un an, avec un renouvellement possible pendant trois années
Que ces 50 milliards généreusement prêtés finissent par échouer sur l’ardoise du contribuable. «Nous ne pouvons pas avoir une situation dans laquelle les banques peuvent privatiser leurs profits mais nationaliser leurs pertes, soulignait hier Vincent Cable, en charge des affaires économiques chez les Libéraux démocrates. Les crédits des banques sont de qualité inférieure et bien plus risqués que les titres d’Etat qui les remplacent.»
Posté

En 1857, la Banque de France (société "indépendante" cotée) a fait exactement la même chose en reprenant les obligations des compagnies de chemins de fer qui ne trouvaient plus preneur.

Trois après, elle a pu les revendre avec large profit.

  • 2 weeks later...
Posté

Moui… Je demande un complément d'infos!!

L'échange de titres est il temporaire ou permanent? Ca change pas mal de choses.

J'ai bien peur que la question soit assez complexe et qu'on en fasse un résumé hasardeux et orienté, en profitant lachement de l'absence de culture économico-financière qui sévit dans le pays et ailleurs.

D'autre part, on peut etre libéral sans etre un gros con et assister a des faillites bancaires en chaine les bras croisés.

Et le risque de faillite bancaire reste un risque bien particulier, rien a voir avec les autres secteurs d'activité.

Posté
D'autre part, on peut etre libéral sans etre un gros con et assister a des faillites bancaires en chaine les bras croisés.

autrement dit "… D'autre part, on peut être libéral et voler son voisin, tout en violant sa femme, et en tuant ses enfants …"

Posté
autrement dit "… D'autre part, on peut être libéral et voler son voisin, tout en violant sa femme, et en tuant ses enfants …"

Faillite bancaire d'un côté, vol, viol, meurtre de l'autre.

Mmmouhi. Crédible.

Posté
autrement dit "… D'autre part, on peut être libéral et voler son voisin, tout en violant sa femme, et en tuant ses enfants …"

Au lieu de straw man, je crois que, pour changer, je vais désormais dire point vincponcet

Posté
Au pays du libéralisme, les gens ne valent bien sur pas mieux que d'autres

sur le fond.

Et tu en sais quelque chose, parce que le fond, tu y es souvent. Tu y as pris tes quartiers d'hiver. Et d'été.

Posté
Et le risque de faillite bancaire reste un risque bien particulier, rien a voir avec les autres secteurs d'activité.

Et que dire du risque de faillite des boulangers. On risquerait de ne plus manger ! Nationalisons !

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...