Serge Posté 22 octobre 2008 Signaler Posté 22 octobre 2008 Les belles légendes du libéralisme économique : "L’Etat Providence doit disparaître ""Le capitalisme est un pari sur le mouvement : c’est de là que vient le progrès" a déclaré il y a quelques temps Alain MINC (qui semble être aujourd’hui le dernier à croire encore que le système a de beaux jours devant lui) Alain MINC fait partie de ceux qui nous ont expliqué pendant des décennies que l’intervention de l’Etat devait se limiter strictement aux fonctions régaliennes. Il fait partie de ceux qui ont fustigé violemment l’Etat dit "Providence". La liquidation de l’Etat Providence a été parfaitement réalisée par un dénommé George BUSH : "Paradoxalement, au cours de son premier mandat, cette Administration conservatrice affiche sa volonté de réformer le système de l’éducation et la sécurité sociale. Puis, en 2005, l’échec du plan de Social Security et les terribles conséquences de l’ouragan Katrina ont conduit à changer de plan. Au cours du deuxième mandat, la non-intervention du gouvernement fédéral est conçue comme une forme d’intervention. Au final, la « non-intervention » de la Federal Emergency Management Agency véhicule une nouvelle définition des liens entre l’État et la société civile. Loin du concept d’« État associatif », promu par Herbert Hoover et ses confrères républicains, l’Administration Bush a défini une nouvelle mission et de nouveaux objectifs pour le gouvernement fédéral : en matière de politique intérieure, la non-intervention doit devenir la règle. Mais au fait, c’est quoi l’Etat-providence ? Nous vous proposons quelques extraits de la définition de La Documentation française© Au sens large, l’ensemble de interventions économiques et sociales de l’État Dans un sens plus restreint, uniquement l’intervention de l’État dans le domaine social, particulièrement à travers le système de protection sociale. Cette conception s’oppose à celle de l’État-gendarme, limitant le rôle de l’État à des fonctions régaliennes (ex : justice, police, défense nationale) … / … La mise en place, en France, d’un État-providence développé s’est concrétisée par la création de la Sécurité sociale le 4 octobre 1945. Le système français de protection sociale conjugue aujourd’hui les dimensions d’assistance et d’assurance sociale afin de garantir contre les "risques" vieillesse, maladie, chômage et famille. Les libéraux ont eux même une définition de l’Etat providence. Opinion libérale sur l’Etat providence par Wikiberal : Les libéraux considèrent qu’il chasse et remplace les solidarités, isole les individus, développe l’assistanat, exclut les gens trop mal au fait de leurs « droits sociaux » et décourage les producteurs de richesse. En réalité, la société perpétue ainsi une vieille tradition de paternalisme qui remonte au Moyen Age, où le Seigneur se devait de protéger ses serfs, et la bourgeoisie du XIXe siècle, imprégnée de cette notion de charité, a consacré la tradition. L’individu est considéré comme un assisté, incapable de se prendre en charge. Pour les libertariens, l’Etat-providence est la plus vieille escroquerie du monde, pratiquée dans le passé par tous les dominants et tous les pouvoirs. Elle consiste seulement à prendre l’argent des gens, et à le leur rendre "généreusement" un peu sous forme de protection, comme peut le faire n’importe quel parrain de la mafia. La période actuelle ayant réduit les amoureux ou contempteurs du libéralisme économique au silence, il est toujours intéressant, voir amusant de relire ou faire relire ce que ceux-ci ont pu déclarer … avant la crise financière : … (badurl) http://bellaciao.org/fr/spip.php?article73038 (badurl) de Slovar, mardi 21 octobre 2008 (16h08)
Jesrad Posté 22 octobre 2008 Signaler Posté 22 octobre 2008 Attention, ils sont en train de nous inventer un mythe des "libéraux silencieux", avec très probablement l'intention de le marteler à tout le monde jusqu'àce que que ça devienne une "vérité", façon Goebbels.
Jesrad Posté 22 octobre 2008 Signaler Posté 22 octobre 2008 J'eûs plutôt dit "Bellaciao va pour critiquer le libéralisme, puisque celui-ci a forcément tort, puis se rappelle qu'il ne sait pas du tout quelle position pourraient bien avoir les libéraux, et va donc piocher dans le premier site que sort google."
Invité jabial Posté 22 octobre 2008 Signaler Posté 22 octobre 2008 Le problème c'est qu'à lire le dernier billet de Monsieur Caccomo, certains libéraux semblent bel et bien avoir décidé de se cacher sous la table.
Copeau Posté 23 octobre 2008 Signaler Posté 23 octobre 2008 Etonnant, en effet, son billet. Pas mauvais, mais étonnant.
Ronnie Hayek Posté 23 octobre 2008 Signaler Posté 23 octobre 2008 J'eûs plutôt dit J'eusse plutôt dit…
A.B. Posté 23 octobre 2008 Signaler Posté 23 octobre 2008 Le problème c'est qu'à lire le dernier billet de Monsieur Caccomo, certains libéraux semblent bel et bien avoir décidé de se cacher sous la table. http://www.iht.com/articles/2008/10/23/bus…24greenspan.php Voila que ne va pas aider :-/ Objectiviste en carton
Jesrad Posté 23 octobre 2008 Signaler Posté 23 octobre 2008 Referring to his free-market ideology, Greenspan added: "I have found a flaw. I don't know how significant or permanent it is. But I have been very distressed by that fact."Waxman pressed the former Fed chair to clarify his words. "In other words, you found that your view of the world, your ideology, was not right, it was not working," Waxman said. "Absolutely, precisely," Greenspan replied. "You know, that's precisely the reason I was shocked, because I have been going for 40 years or more with very considerable evidence that it was working exceptionally well." Il aurait économisé 40 ans en consultant les austro-économistes…
xara Posté 23 octobre 2008 Signaler Posté 23 octobre 2008 Il aurait économisé 40 ans en consultant les austro-économistes… T'inquiète, il n'ignore pas leur existence depuis son passage chez Rand. Le problème c'est qu'à lire le dernier billet de Monsieur Caccomo, certains libéraux semblent bel et bien avoir décidé de se cacher sous la table. Oui, malheureusement. Etonnant, en effet, son billet. Pas mauvais, mais étonnant. Pas étonnant à mon avis. Et mauvais je pense, vu qu'il s'exprime exactement dans les termes du mainstream. Pas besoin de se justifier puisque ça va de soi, il ne fait que répéter "l'évidence", c'est la crise du libéralisme.
AX-poulpe Posté 24 octobre 2008 Signaler Posté 24 octobre 2008 Attention, ils sont en train de nous inventer un mythe des "libéraux silencieux", avec très probablement l'intention de le marteler à tout le monde jusqu'àce que que ça devienne une "vérité", façon Goebbels. Pas mal la billet de Brice Couturier (pour un non-libéral, s'entend). Sauf que j'ai réalisé seulement vers la fin qu'il ne s'agissait pas de Brice Teinturier, le grand gourou des sondages de Jesaisplusquelinstitut. Quant a Bellaciao, c'est du PQ electronique. Ils meriteraient de se faire tailler un bon petit costume rouge sur wikiberal.
azerty Posté 24 octobre 2008 Signaler Posté 24 octobre 2008 Oui, malheureusement. La démence a frappé ce pauvre Caccomo, il se vautre dans le socialisme le plus abject. Il est à noter qu'en pays vraiment libéral, une horreur si indicible ne se produirait jamais : tout un chacun, regardant autour de lui, ne pourrait que reconnaître la vérité de la perfection libérale. Ainsi, le monde serait parfait, et chaque individu aurait un jugement parfait.
Lexington Posté 24 octobre 2008 Signaler Posté 24 octobre 2008 Quant a Bellaciao, c'est du PQ electronique. Ils meriteraient de se faire tailler un bon petit costume rouge sur wikiberal. Pas la peine, ils se ridiculisent tout seul. C'est amusant de tailler en pièces les extrémistes mais c'est le moins utile. C'est Alter Eco qu'il faut attaquer, pas Bellaciao. La démence a frappé ce pauvre Caccomo, il se vautre dans le socialisme le plus abject. Il est à noter qu'en pays vraiment libéral, une horreur si indicible ne se produirait jamais : tout un chacun, regardant autour de lui, ne pourrait que reconnaître la vérité de la perfection libérale. Ainsi, le monde serait parfait, et chaque individu aurait un jugement parfait. Au contraire, c'est très fin ce qu'il fait. Il dit renoncer à toute posture idéologique pour appater le chaland non libéral ("Ces événements que nous venons de vivre doivent nous rendre plus modestes, nous incitant à abandonner toute posture par trop idéologique"). Derrière, il pose la question qui va être celle des prochains mois et sur laquelle on n'entend pas les libéraux: "quelles sont les bonnes régulations ?". Il a parfaitement raison de ramener sa réflexion sur ce point, c'est là qu'est le débat actuel et à occulter cette question, on passe pour des extrémistes en n'ayant strictement aucune influence sur le cours des choses
Ronnie Hayek Posté 24 octobre 2008 Signaler Posté 24 octobre 2008 Au contraire, c'est très fin ce qu'il fait. Il dit renoncer à toute posture idéologique pour appater le chaland non libéral ("Ces événements que nous venons de vivre doivent nous rendre plus modestes, nous incitant à abandonner toute posture par trop idéologique"). Derrière, il pose la question qui va être celle des prochains mois et sur laquelle on n'entend pas les libéraux: "quelles sont les bonnes régulations ?". Il a parfaitement raison de ramener sa réflexion sur ce point, c'est là qu'est le débat actuel et à occulter cette question, on passe pour des extrémistes en n'ayant strictement aucune influence sur le cours des choses Le message d'azerty se voulait ironique…
Lexington Posté 24 octobre 2008 Signaler Posté 24 octobre 2008 Le message d'azerty se voulait ironique… Pas suffisament exagéré alors pour l'être, au regard de certains messages trouvés sur liborg
Ash Posté 24 octobre 2008 Signaler Posté 24 octobre 2008 Etonnant, en effet, son billet. Pas mauvais, mais étonnant. Pourquoi étonnant ? Ce n'est pas un libertarien. Les leçons d'une crisePersonne ne peut dire si le plus dur est désormais derrière nous. Il est difficile d’avoir une vision exacte des événements à chaud, surtout quand les plus grands experts sont eux-mêmes pris en défaut. Il est cependant un fait remarquable : les Etats européens, mobilisés par le président français, vont venir en aide aux banques en leur prêtant de l’argent qu’ils auront eux-mêmes empruntés…aux banques. Ces événements que nous venons de vivre doivent nous rendre plus modestes, nous incitant à abandonner toute posture par trop idéologique. L’effondrement de l’Union Soviétique a montré au monde entier que l’Etat ne pouvait pas et ne savait pas tout faire. La grande majorité des économistes ne conteste pas ce fait. L’omniprésence de l’Etat entraîne son incompétence conformément au principe « trop d’Etat tue l’Etat » parce que trop d'impôt tue l'impôt et l'Etat tire ses ressources de l'impôt. Mais la crise financière mondiale montre de la même manière les limites du marché, le marché ne pouvant pas tout faire tout seul. « Trop de liberté tue la liberté ». Et ce sont précisément les marchés qui en appellent à l’intervention étatique, l’action coordonnée des Etats européens étant saluée par les bourses mondiales. Ce sont également les banques qui sont disposées à prêter de l’argent à l’Etat alors qu’elles ne se prêtent plus entre elles dans ces périodes d’irrationalité collective. Il convient de prendre en considération ces éléments pour considérer que le sempiternel débat entre plus ou moins de régulation, plus ou moins d’Etat, est largement dépassé. La question n’est pas : faut-il plus réguler ou faut-il moins de régulation dans l’économie ? Mais plutôt : quelles sont les bonnes régulations ? Et comment faire évoluer les régulations alors que l’économie elle-même est en constante mutation, les crises provoquant généralement l’accélération des changements. On doit pouvoir se débarrasser des réglementations qui étouffent le développement économique tout en trouvant les régulations qui empêchent le marché de se nuire à lui-même. Tel est le défi d'aujourd'hui. http://caccomo.blogspot.com/ Rien de désastreux.
Taranne Posté 24 octobre 2008 Signaler Posté 24 octobre 2008 La démence a frappé ce pauvre Caccomo, il se vautre dans le socialisme le plus abject. Il est à noter qu'en pays vraiment libéral, une horreur si indicible ne se produirait jamais : tout un chacun, regardant autour de lui, ne pourrait que reconnaître la vérité de la perfection libérale. Ainsi, le monde serait parfait, et chaque individu aurait un jugement parfait. Tu n'as pas honte de plagier Pascal Salin?
AX-poulpe Posté 27 octobre 2008 Signaler Posté 27 octobre 2008 Pas la peine, ils se ridiculisent tout seul. C'est amusant de tailler en pièces les extrémistes mais c'est le moins utile. C'est Alter Eco qu'il faut attaquer, pas Bellaciao. Quand tu veux
Lexington Posté 27 octobre 2008 Signaler Posté 27 octobre 2008 Quand tu veux Un train de retard mon cher
Invité jabial Posté 27 octobre 2008 Signaler Posté 27 octobre 2008 Au contraire, c'est très fin ce qu'il fait. Il dit renoncer à toute posture idéologique pour appater le chaland non libéral ("Ces événements que nous venons de vivre doivent nous rendre plus modestes, nous incitant à abandonner toute posture par trop idéologique"). Derrière, il pose la question qui va être celle des prochains mois et sur laquelle on n'entend pas les libéraux: "quelles sont les bonnes régulations ?". Il a parfaitement raison de ramener sa réflexion sur ce point, c'est là qu'est le débat actuel et à occulter cette question, on passe pour des extrémistes en n'ayant strictement aucune influence sur le cours des choses C'est avec des raisonnements comme ça qu'on n'a aucune influence à long terme. Les trotskos, eux, extrémistes ou pas, diffusent leurs idées. L'incohérence n'est pas seulement source d'injustices, elle brouille le message.
Harald Posté 27 octobre 2008 Signaler Posté 27 octobre 2008 C'est avec des raisonnements comme ça qu'on n'a aucune influence à long terme. Les trotskos, eux, extrémistes ou pas, diffusent leurs idées. L'incohérence n'est pas seulement source d'injustices, elle brouille le message. A ceci près qu'il y a une différence de taille. La gauche même extrême jouit d'un certain crédit auprès de l'opinion publique alors que le libéralisme est décrié aussi bien à gauche qu'à droite. A partir de là le jeu est faussé. Jouer sur le même mode que la gauche extrême ne peut que réduire encore plus l'audience. A moins bien sûr qu'il s'agisse de jouer au roi de la montagne, tout seul sur son pic, fier d'avoir raison contre l'humanité entière.
Invité jabial Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 La gauche extrême n'est pas devenue populaire du jour au lendemain. Il n'y a pas si longtemps que ça, une paille au regard de l'histoire, les socialistes (qui aujourd'hui seraient à droite de l'UMP) étaient considérés comme de dangereux extrémistes au couteau entre les dents. Ce n'est pas en faisant comme tout le monde qu'on réussit.
neuneu2k Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 La gauche extrême n'est pas devenue populaire du jour au lendemain. Il n'y a pas si longtemps que ça, une paille au regard de l'histoire, les socialistes (qui aujourd'hui seraient à droite de l'UMP) étaient considérés comme de dangereux extrémistes au couteau entre les dents.Ce n'est pas en faisant comme tout le monde qu'on réussit. Mouais, autant s’inspirer des techniques de propagande de la gauche est globalement une bonne idée, autant considérer que c’est son intégrité intellectuelle qui a fait son succès me semble un raccourci un peu rapide, combien de militants de gauche sont réellement des marxistes cohérents (il y en a, et ce sont les plus/seuls intéressent d’ailleurs) et pas juste des gauchos rebelles sans véritable idéologie structurée. Au contraire, j’ai la nette impression que plus la gauche avance, plus sa base idéologique disparaît au profit d’une gauche ‘émotionnelle’, d’une culture gauchiste plutôt que d’une idéologie a proprement parler (y compris aux extrêmes, pas uniquement au PS)
Invité jabial Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 Encore une fois, c'est viable maintenant mais ce n'est pas ça qui a remué les foules il fut un temps.
neuneu2k Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 Encore une fois, c'est viable maintenant mais ce n'est pas ça qui a remué les foules il fut un temps. Ce n’est pas ça qui a remué les élites, les foules acquises a la doctrine marxiste, c’est une illusion, les foules sont sensibles a l’envie et a la promesse de pain gratuit, je doute que la cohérence conceptuelle du marxisme les touchent beaucoup. Or si la ‘corruption’ des élites et l’entrisme par un libéralisme pur est aussi concevable que par le trotskisme, il nous manque le cynisme et l’utilitarisme fondamental qui permet de cumuler cette idéologie avec la démagogie la plus crasse, et c’est très bien ainsi !
free jazz Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 Ce n’est pas ça qui a remué les élites, les foules acquises a la doctrine marxiste, c’est une illusion, les foules sont sensibles a l’envie et a la promesse de pain gratuit, je doute que la cohérence conceptuelle du marxisme les touchent beaucoup. Tu oublies que ce sont précisément les intellectuels qui moulent l'opinion des masses. Lénine a tiré toutes les conclusions de la nécessité d'une élite de révolutionnaires professionnels et en a exposé les techniques. Marx dès le départ avait compris son rôle d'intellectuel dans le processus de conscientisation des mases : expliquer au prolétariat sa mission historique. En jargon marxiste : aucune action révolutionnaire n'est possible sans conscience de classe, sans unité de classe etc. Or si la ‘corruption’ des élites et l’entrisme par un libéralisme pur est aussi concevable que par le trotskisme, il nous manque le cynisme et l’utilitarisme fondamental qui permet de cumuler cette idéologie avec la démagogie la plus crasse, et c’est très bien ainsi ! S'il nous faut écarter la démagogie, cela n'implique pas pour autant d'écarter le populisme. Quant au cynisme et à l'utilitarisme, les liberaux ont une tradition à faire valoir de ce côté.
Invité jabial Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 Ce n’est pas ça qui a remué les élites, les foules acquises a la doctrine marxiste, c’est une illusion, les foules sont sensibles a l’envie et a la promesse de pain gratuit, je doute que la cohérence conceptuelle du marxisme les touchent beaucoup. Les foules sont sensibles à l'émotion. Ce qu'il faut, c'est des coupables et des victimes. On en a. Il ne reste plus qu'à faire monter la rage
free jazz Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 Aujourd'hui on voit d'ailleurs que c'est l'aile intellectuelle du communisme c'est-à-dire le trotskysme, qui a le mieux réussi à s'implanter dans la durée en France. Et ce succès n'est pas étranger à leurs méthodes d'entrisme, notamment parmi la petite bourgeoisie, les intellectuels, les sciences humaines, les profs, etc : http://www.canalacademie.com/Trotsky-les-T…cherche=Trotsky Je crois que les libéraux doivent choisir des méthodes similaires et pourquoi pas changer de nom, comme le font les trotskystes, car le mot libéral est grillé électoralement. Personnellement je verrais bien un PA : Parti Anti-socialiste, avec des slogans du type " Travailleurs, l'Etat vous ment, l'Etat vous spolie ".
E.T. bleu Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 Les foules sont sensibles à l'émotion. Ce qu'il faut, c'est des coupables et des victimes. On en a. Il ne reste plus qu'à faire monter la rage Toi aussi tu as lu Mein Kamphf
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