Nick de Cusa Posté 10 janvier 2009 Signaler Posté 10 janvier 2009 Développement intéressant: l'aide de l'Etat à GM (sous forme de prêt) est liée à une interdiction de faire grêve. Enfin, s'ils font grêve le prêt prend fin. Pour être juste : le syndicat de l'automobile UAW a déjà accepté une telle règle avant l'aide étatique. Mais là c'est l'Etat qui le demande, ce qui donne une autre dimension au rapport au droit de grêve. Si les gens pouvaient avoir une certaine perspective historique, ceci pourrait servir comme première piqure de rappel qu'entre collectivisme et droit de grêve, contrairement à ce que croient beaucoup, il faut choisir. As condition of loan, UAW can't strike against GMBy Justin Hyde • Free Press Washington Staff • January 8, 2009 WASHINGTON – The UAW and its local unions are barred from striking General Motors Corp. as long as GM has loans from the federal government, according to the agreement GM signed with the Bush administration last month. Advertisement The U.S. Treasury set myriad conditions on GM as part of the plan to loan the company $13.4 billion for survival. Those terms had not been fully disclosed until GM filed the documents with the Securities and Exchange Commission. As part of the loan, the U.S. Treasury defined several conditions that would trigger a default, including that “any labor union or collective bargaining unit shall engage in a strike or other work stoppage.” If the loans are in default, the Treasury has the power to call them back immediately and force GM into bankruptcy. The deal requires the UAW to accept by Feb. 17 a plan to lower wages and benefits for workers to match those of employees at foreign-owned U.S. plants by Dec. 31. It also requires the union to take two-thirds of the money its due for a retiree health-care trust fund in company stock rather than cash or company debt. GM has until Dec. 29, 2011 to pay back the loan under the current deal. While the UAW has a no-strike clause in its contract with GM that runs through September 2011, its local unions have different timetables for negotiating their contracts. If the UAW was forced to reopen its contract to make concessions, the no-strike clause could be set aside. The union’s leaders began meeting this week to talk about ways to meet the demands in the loan agreement. But UAW President Ron Gettelfinger said the union would not reopen its labor contracts. Negotiations could begin as early as next week, but the UAW plans to ask its members to vote on any concessions that are reached. The UAW has also indicated it could press Congress and the incoming Obama administration to change the terms of the loan agreement in the coming weeks. Contact JUSTIN HYDE at 202-906-8204 or jhyde@freepress.com. http://www.freep.com/article/20090108/BUSI…8111/1014/rss13
xavdr Posté 15 janvier 2009 Signaler Posté 15 janvier 2009 L'idée est intéressante. Si nous étions au début du mandat de Georges W. BUSH, cette décision aurait un profond impact. Mais il se trouve que nous sommes à la fin du mandat de Georges W. BUSH et au début de celui de Barak OBAMA, élu issu des réseaux ripoux des démocrates de l'Illinois, mafieusement entrelacés avec les associations communautaires genre ACCORN qui ont directement et indirectement verollé le marché hypothécaire US, et avec des syndicats tels que ceux de l'automobile qui ont transofrmés en zombis les fleurons de l'industrie US qu'étaient les big 3. Il faut comprendre que les big 3 depuis des années ne sont plus que des zombis sociaux. En effet, pris en otage par les grèves, les big3 ont été amenées à accorder des conditions sociales irréalistes, telles que des gargantuesques retraites par répartition (ah ah ah, un vrai PONZI syndicaliste) qui absorbent tout ce que ces entreprises peuvent imaginer avoir comme marge d'exploitation et sont depuis des années négociées à la baisse juste assez pour éviter la faillite. Donc les big 3 resteront des zombis, sauf à permettre à leur direction de massacrer les "acquis sociaux". Plus probablement, l'ami des syndicats Barak OBAMA va soutenir ses amis et par l'un ou l'autre artifice convertir ces prêts en recapitalisation…
Apollon Posté 15 janvier 2009 Signaler Posté 15 janvier 2009 L'idée est intéressante. Si nous étions au début du mandat de Georges W. BUSH, cette décision aurait un profond impact. Mais il se trouve que nous sommes à la fin du mandat de Georges W. BUSH et au début de celui de Barak OBAMA, élu issu des réseaux ripoux des démocrates de l'Illinois, mafieusement entrelacés avec les associations communautaires genre ACCORN qui ont directement et indirectement verollé le marché hypothécaire US, et avec des syndicats tels que ceux de l'automobile qui ont transofrmés en zombis les fleurons de l'industrie US qu'étaient les big 3.Il faut comprendre que les big 3 depuis des années ne sont plus que des zombis sociaux. En effet, pris en otage par les grèves, les big3 ont été amenées à accorder des conditions sociales irréalistes, telles que des gargantuesques retraites par répartition (ah ah ah, un vrai PONZI syndicaliste) qui absorbent tout ce que ces entreprises peuvent imaginer avoir comme marge d'exploitation et sont depuis des années négociées à la baisse juste assez pour éviter la faillite. Donc les big 3 resteront des zombis, sauf à permettre à leur direction de massacrer les "acquis sociaux". Plus probablement, l'ami des syndicats Barak OBAMA va soutenir ses amis et par l'un ou l'autre artifice convertir ces prêts en recapitalisation… un peu stéréotypé non ?
Vincemobile Posté 15 janvier 2009 Signaler Posté 15 janvier 2009 L'idée est intéressante. Si nous étions au début du mandat de Georges W. BUSH, cette décision aurait un profond impact. Mais il se trouve que nous sommes à la fin du mandat de Georges W. BUSH et au début de celui de Barak OBAMA, élu issu des réseaux ripoux des démocrates de l'Illinois, mafieusement entrelacés avec les associations communautaires genre ACCORN qui ont directement et indirectement verollé le marché hypothécaire US, et avec des syndicats tels que ceux de l'automobile qui ont transofrmés en zombis les fleurons de l'industrie US qu'étaient les big 3.Il faut comprendre que les big 3 depuis des années ne sont plus que des zombis sociaux. En effet, pris en otage par les grèves, les big3 ont été amenées à accorder des conditions sociales irréalistes, telles que des gargantuesques retraites par répartition (ah ah ah, un vrai PONZI syndicaliste) qui absorbent tout ce que ces entreprises peuvent imaginer avoir comme marge d'exploitation et sont depuis des années négociées à la baisse juste assez pour éviter la faillite. Donc les big 3 resteront des zombis, sauf à permettre à leur direction de massacrer les "acquis sociaux". Plus probablement, l'ami des syndicats Barak OBAMA va soutenir ses amis et par l'un ou l'autre artifice convertir ces prêts en recapitalisation… OK pour le poids délirant des syndicats chez les big three. Et oui, les acquis sociaux consentis durant les temps de vache grasse se payent cash aujourd'hui. Maintenant, je ne suis pas certain que Obama laisse les acquis en l'Etat. Le plan de sauvetage des constructeurs va s'accompagner d'efforts importants de la part des salariés. A côté des syndicats de l'automobile US, les Cégétistes de Renault font presque figure de modérés
Ash Posté 15 janvier 2009 Signaler Posté 15 janvier 2009 un peu stéréotypé non ? Non, c'est très exactement cela.
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.