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Retourner ou ne pas retourner à l'UMP


deniserp

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Une chose est claire, il est hors de question que je sois franc mac. Je me suis inscrit à l'UMP, on va bien voir se qui se passera. Et puis, oui, des fois je rêve quand je dis que je serai capable d'avoir une grande influence au sein du parti, mais ne sait-on jamais.

Une bonne idée consisterait à foutre des claques aux militants. Je veux dire, physiquement. Ok, tu ne resterais pas très longtemps à l'UMP, mais je pense que tu influencerais au moins chimiquement, sur la surface, quelques militants.

Les coups de pieds au couilles, ça marche, aussi.

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Une chose est claire, il est hors de question que je sois franc mac. Je me suis inscrit à l'UMP, on va bien voir se qui se passera. Et puis, oui, des fois je rêve quand je dis que je serai capable d'avoir une grande influence au sein du parti, mais ne sait-on jamais.

C'est ambitieux… Vu la dérive bonapartiste de la droite, je pense que l'expérience peut être douloureux (si elle est prise trop à coeur) ou instructive voire franchement drôle (si elle est prise avec dégagement).

Invité Forty
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Et vingt ans plus tard Denis devient notre Thatcher a nous !

  • 1 month later...
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Oula bienvenue au club. Après avoir hésité j'ai renouvelé mon adhésion même si dans (du moins chez moi)la culture eco des jeunes pop est plus que limité. C'est vrai que le parachutage de Lancar est rageant surtout quand ont voit sa médiocrité lors d'interventions télévisées.

Mais bon il semblerai que les libéraux existent encore (la droite libre?) à l'UMP. En plus je voit pas quel autre parti peut faire opposition aux socialistes. Vaut mieux sarko que mémé Aubry….

Invité jabial
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Je ne vois franchement pas la différence, à l'heure actuelle, entre entrer à l'UMP et au PS.

Sérieux.

Qui a fait le DALO? L'UMP.

Qui a fait la HALDE? L'UMP.

Qui est en train de nous aggraver la participation salariale obligatoire? L'UMP.

Réformer ce genre de truc de l'intérieur n'est pas possible pour un nouveau venu. Il faut rentrer jeune, s'attacher à quelqu'un qui est assez près du pouvoir mais pas assez pour être en danger, pour espérer avoir un peu de poids 10 ans après - et c'est aléatoire.

C'est beaucoup plus simple et moins aléatoire de fonder un nouveau parti, même si pour le faire exister c'est du boulot.

Tu veux rejoindre un parti va au PLD.

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Je ne vois franchement pas la différence, à l'heure actuelle, entre entrer à l'UMP et au PS.

:icon_up:

Réformer ce genre de truc de l'intérieur n'est pas possible pour un nouveau venu. Il faut rentrer jeune, s'attacher à quelqu'un qui est assez près du pouvoir mais pas assez pour être en danger, pour espérer avoir un peu de poids 10 ans après - et c'est aléatoire.

C'est beaucoup plus simple et moins aléatoire de fonder un nouveau parti, même si pour le faire exister c'est du boulot.

Puis c'est surtout faire le grand écart en allant là-bas.

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Je ne vois franchement pas la différence, à l'heure actuelle, entre entrer à l'UMP et au PS.

L'UMP est plutot socilaiste alors que le PS est plutôt Social Démocrate.

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Les coups de pieds au couilles, ça marche, aussi.

Tu ne pourras appliquer cette techinique que sur les militants de base. Tout élu est castré d'office au début de son mandat, c'est une sorte de rituel de passage, et ça assure qu'ils ne vont pas avoir l'idée de mettre en place une réforme jusqu'au bout.

Posté
Je ne vois franchement pas la différence, à l'heure actuelle, entre entrer à l'UMP et au PS.

Sérieux.

Qui a fait le DALO? L'UMP.

Qui a fait la HALDE? L'UMP.

Qui est en train de nous aggraver la participation salariale obligatoire? L'UMP.

Réformer ce genre de truc de l'intérieur n'est pas possible pour un nouveau venu. Il faut rentrer jeune, s'attacher à quelqu'un qui est assez près du pouvoir mais pas assez pour être en danger, pour espérer avoir un peu de poids 10 ans après - et c'est aléatoire.

C'est beaucoup plus simple et moins aléatoire de fonder un nouveau parti, même si pour le faire exister c'est du boulot.

Tu veux rejoindre un parti va au PLD.

mouai à l'ump il y a des libéraux ex UDF! Puis c'est pas l'ump qui a pratiqué les nationalisations massives et pondu les 35H

je connais pas trop mais je vais jeter un coup d'oeil au site. Et puis je suis libéral conservateur pas démocrate :icon_up: quoique en réfléchissant au Japon le PDL est en réalité un parti libéral conservateur. Si vous pouvez m'éclairer sur ce qu'est vraiment ce PDL car AL m'a l'air pas mal aussi même si tout le monde tape sur la direction et tout..

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ok ok :icon_up: je m'avoue vaincu de toute façon sans rentrer dans le détail les prélèvements obligatoires et la dette réelle n'ont fait qu'augmenter depuis 25ans à droite comme à gauche… passons. Néanmoins personne ne peut me répondre concernant le PDL??

PS: concernant les taxes les collectivités locales y sont pour quelques choses aussi notamment les régions détenus par la gauche.

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Les perspectives semblent meilleures à AL, si vous voulez mon avis.

Tu t'engages sur un terrain glissant :icon_up:

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Oula bienvenue au club. Après avoir hésité j'ai renouvelé mon adhésion même si dans (du moins chez moi)la culture eco des jeunes pop est plus que limité. C'est vrai que le parachutage de Lancar est rageant surtout quand ont voit sa médiocrité lors d'interventions télévisées.

umpanonymes.jpg

Posté
Oula bienvenue au club. Après avoir hésité j'ai renouvelé mon adhésion même si dans (du moins chez moi)la culture eco des jeunes pop est plus que limité. C'est vrai que le parachutage de Lancar est rageant surtout quand ont voit sa médiocrité lors d'interventions télévisées.

Mais bon il semblerai que les libéraux existent encore (la droite libre?) à l'UMP. En plus je voit pas quel autre parti peut faire opposition aux socialistes. Vaut mieux sarko que mémé Aubry….

Artemis, sérieuseument, quel est ton intérêt à être chez les Jeunes UMP ? Coller des affiches la nuit ?

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Tu t'engages sur un terrain glissant :icon_up:

Mouais… Je suis "AL follower"… Je suis pas particulièrement fan de Sabine & Co. mais je pense que AL reste la meilleur espoir de voir un jour émerger un parti vraiment libéral.

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Mouais… Je suis "AL follower"… Je suis pas particulièrement fan de Sabine & Co. mais je pense que AL reste la meilleur espoir de voir un jour émerger un parti vraiment libéral.

Enfin Sabine est au moins prise de temps à autre sur les plateaux télé, Aurel, pas encore. Ça limite grandement la visibilité.

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Et vingt ans plus tard Denis devient notre Thatcher a nous !

Puisque Deniserp a longtemps conservé comme avatar le portrait de Maggie, j'en profite pour signaler un geste du sévice public, qui diffusera ce soir un doc sur les derniers jours au pouvoir de Iron Lady. Le biais altercomprenant et citoyen semble inévitable, mais cela peut néanmoins être intéressant, pour la description de l'ambiance fin de règne sur fond de coups de couteaux dans le dos et de trahisons entre amis lors de son éviction programmée. Voilà qui remettra peut-être les idées en place quant aux interrogations de ce fil.

Mais qui a tué Maggie?

Durée : 1 heure 30 minutes

Le sujet

Retour circonstancié sur la fin du parcours politique de Margaret Thatcher, qui a été Premier ministre du Royaume-Uni, du 4 mai 1979 au 28 novembre 1990.

Première et unique femme Premier ministre du Royaume-Uni, réélue à trois reprises, Margaret Thatcher est restée plus de onze ans au pouvoir, du 4 mai 1979 au 28 novembre 1990. C'est l'une des figures politiques britanniques les plus importantes de l'histoire récente, l'une des plus admirées mais aussi l'une des plus détestées. Pour certains, elle a fait figure d'épouvantail, qui a traité la société anglaise avec brutalité. Pour d'autre, son inflexibilité suscitait l'admiration. William Karel se penche sur les derniers jours de Margaret Thatcher au pouvoir. Sa mise à mort politique s'est jouée du 20 au 22 novembre 1990.

La critique

«Elle a les yeux de Caligula et les lèvres de Marilyn Monroe», disait d'elle François Mitterrand. Assise sur un banc de la chambre des Communes, Margaret Thatcher a bien ce jour-là quelque chose du tyran assassiné et de la midinette suicidée : un sourire artificiel sous un brushing blond, mais des prunelles froides comme l'hiver anglais. A la tribu ne, un homme aux cheveux gris déroule nerveusement un discours implacable : Geoffrey Howe, vice-Premier ministre, un fidèle des fidèles pourtant, justifie sa démission et incite les parlementaires à reprendre la tête du parti conservateur. Pendant dix-huit inter minables minutes, ses balles perceront la cuirasse de la Dame de fer stupéfaite. Elle n'y survivra pas longtemps : trois semaines plus tard, le 22 novembre 1990, Maggie devra préparer ses valises.

C'est cette incroyable histoire de la chute de l'inflexible Margaret Thatcher, Premier ministre britannique, que William Karel («le Monde selon Bush», «Poison d'avril») se régale à raconter dans son documentaire mené tambour battant, une tragédie dans laquelle César a les traits d'une quinquagénaire et les conjurés des têtes d'innocents. Ils sont seize (anciens ministres, conseillers et observateurs) à parler aujourd'hui avec une appréciable liber té de ton, il est vrai vingt ans après leur forfaiture.

«Vous aussi, mes fils !», aurait pu s'écrier Margaret Thatcher. Il est entendu, en cette année 1990, que le peuple est mécontent : par millions, les Britanniques défilent dans les rues, ulcérés par un impôt très inégalitaire, la «Poll Tax» - la goutte d'eau après un tsunami de mesures économiques qui ont fait tripler le nombre de pauvres. Mais Maggie ne s'attend pas à être lâchée par son camp ! Les parlementaires conservateurs, las de son autoritarisme et craignant de perdre les prochaines élections, vont fomenter un coup d'Etat feutré. Les seuls suffrages qu'elle ne va pas remporter seront ceux des Tories.

Un processus propre au parti permet la conjuration : si deux députés conservateurs s'opposent au renouvellement automatique du mandat de leur président, des élections internes ont lieu. Quand la machine est mise en branle, l'ancien ministre de la Défense Michael Heseltine se présente. Le «Daily Express» crie alors à l'inconscience : quelle idée d'affronter un si grand leader que Maggie Thatcher ! Cette dernière est sûre d'elle : ses conseillers lui prévoient une confortable avance. A tort. Il lui manquera quatre voix pour éviter le ballottage. La Dame de fer veut encore se battre. Elle reçoit un à un ses ministres, qui lui conseillent de lâcher la barre pour éviter un naufrage pitoyable au second tour. Des sanglots plein la voix, elle accepte de démissionner. Elle aura quand même la peau de Michael Heseltine et imposera son poulain, John Major.

http://teleobs.nouvelobs.com/tv_programs/2…ui-a-tue-maggie

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