Brock Posté 21 février 2009 Signaler Posté 21 février 2009 fascinant Chantage sur Libération Avec stuppeur, la direction de «Libération» constate qu'une petite minorité syndicale extérieure à l'entreprise a bloqué par la force la parution du journal pour imposer la réintégration d'une salariée, alors même qu'un accord sur avait été signé par la direction à l'issue de négociations avec la fédération CGT du Livre. http://www.liberation.fr/medias/0101320877…-sur-liberation Le journal a été obligé de se séparer d’une salariée, dans le strict respect de la loi. Après de multiples discussions et tentatives de compromis avec elle, la direction a finalement négocié un accord transactionnel avec son syndicat de branche, Info’Com CGT et avec la direction nationale du syndicat, la Filpac CGT. Cet accord comprend un triplement des indemnités légales (à 70 000 euros), une formation longue entièrement financée et un processus de reclassement qui se poursuivrait jusqu’à ce qu’elle trouve effectivement un autre poste.Cet accord a été refusé par la salariée. Elle a bien raison! nos vies valent plus que vos profits! cessez l'equesseploitation des honnetes travailleurs journalisss! Pendant ces événements, la salariée a entamé une grève de la faim dans les locaux du journal.
Nick de Cusa Posté 21 février 2009 Signaler Posté 21 février 2009 Ah que ca fait du bien de les voir gouter leur propre médecine. Mais ne nous réjouissons pas trop, Libé est subventioné, non? Si oui, cette idemnité est payée en partie avec les sous d´ honnètes gens.
Alxandr Posté 21 février 2009 Signaler Posté 21 février 2009 Si oui, cette idemnité est payée en partie avec les sous d´ honnètes gens. Joffrin était ce matin en Europe1 (dans l'émission "mediapolis"). J'ai apprécié la remarque d'un intervenant : - Joffrin qualifie dans un de ses bouquins de "prédateurs" les grands groupes privés (moult exemples cités)… Mais pas son sauveur Rotschild (qui doit donc faire partie de ces "honnêtes gens" portant son torchon à bouts de bras). - De même, il se désole que les manigances des politiques et des grands patrons représentent des risques pour la liberté d'expression des médias… Mais pas en ce qui concerne le sien. Souhaitons donc que cette situation si exceptionnelle dont bénéficie Libération lui permette de sortir par le haut de cette crise sociale (grève de la faim de cette résistante à l'ultra-capitalisme).
Mike Posté 21 février 2009 Signaler Posté 21 février 2009 70'000€ et elle se barre pas? Quelle conne. Moi c'est pas pour en partir qu'il faudrait me filer 70'000€, c'est pour y aller.
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