Le sage Posté 13 avril 2009 Signaler Posté 13 avril 2009 Vous avez de l'ampleur, vous, dans votre réflexion. a/ il ne vous passe pas par l'esprit la tête que cette expression veut tout simplement dire que le meurtre d'un patron ou d'un cadre est la simple conséquence logique ? Et que j'attends donc simplement (du verbe attendre, pas espérer) la conclusion logique des prémices qu'on met en place actuellement ? Si j’ai mal interprété vos propos je m’en excuse, une clarification vaut mieux qu’un mal entendu. De fait, comment ne pas suivre un mec aux burnes aussi couillues que celles d'Épicure. Pour paraphraser H16, on en dit beaucoup sur soi quand on fait de tel sous entendu
José Posté 13 avril 2009 Signaler Posté 13 avril 2009 Pour paraphraser H16, on en dit beaucoup sur soi quand on fait de tel sous entendu C'est ce qu'il me semblait : la culture, c'est bien ce qui reste quand on a tout oublié.
Invité jabial Posté 13 avril 2009 Signaler Posté 13 avril 2009 C'est complètement absurde : on parle là d'une infraction dont le préjudice peut-être compensé a postériori, dont les auteurs sont identifiés et qui ne représentent pas de danger pour l'intégrité physique des victimes. Mais bon même en rejetant la proportionnalité il reste toujours la nécessité à respecter (je doute que les salariés résistent violemment à de simples policiers déployés en force). Mais je n'ai jamias dit qu'il fallait les tuer. Seulement qu'à l'extrémité où c'était seule façon, alors c'était légitime. Ce n'est pas la seule façon, je l'ai même écrit plus haut : des matraques suffisent. Elles sont où? Bizarre comme question, la source c'est le code pénal tout simplement : OK, j'ai été victime du fait que je croyais connaître l'article par coeur - et de fait, incomplètement. Le but évident c'est d'éviter que la séquestration ne dérape en encourageant la libération volontaire. Notons que dans le droit rothbardien la punition maximum serait de quelques jours de prison en plus du dédommagement sans compter qu'en l'absence de poursuite par les victimes les coupables ne risqueraient rien. La punition, oui, mais on n'en est pas là mais à la légitime défense. En plus de ça le droit rothbardien n'exclut certainement pas les dommaines et intérêts. Tu es peut-être un héros mais heureusement on ne te demandera pas ton avis : les policiers risque aussi leurs vies et engagent leur responsabilité, ils ne se lanceront pas dans un assaut si ils n'y sont pas contraint. Ca va amener des gens à prendre leurs propres précautions. Je te le dis, ça finira mal.
Apollon Posté 14 avril 2009 Signaler Posté 14 avril 2009 C'est ce qu'il me semblait : la culture, c'est bien ce qui reste quand on a tout oublié. +1. Et rien de tel que le cocktail de trop pour se cultiver.
jubal Posté 14 avril 2009 Signaler Posté 14 avril 2009 Ca va amener des gens à prendre leurs propres précautions. Je te le dis, ça finira mal. Bof. Tant qu'il s'attaqueront a ce type de patron, pour qui la liberte n'est pas si importante, apparement il n'y aura aucun probleme.
jubal Posté 14 avril 2009 Signaler Posté 14 avril 2009 Comment ça ? Si les victimes des agressions le prennent aussi bien, je vois pas pourquoi ils iraient prendre leur precautions. Vu de l'exterieur, j'ai l'impressions que les patrons en question se moque bien d'etre sequestre, tant qu'il garde leur job. Les employes sequestrent un patron, ils obtiennent ce qu'ils veulent, la patron garde son job: tout le monde est content, aucune raison que ca finisse mal.
Invité Arn0 Posté 14 avril 2009 Signaler Posté 14 avril 2009 Il est tout à fait possible que ça finisse mal (non pas que ça se passe très bien aujourd'hui) mais le problème ce n'est pas que les patrons prennent ou pas leurs responsabilités* : encore une fois ce n'est pas eux les garants de l'ordre public. Le problème ce n'est pas les victimes même si leur passivité est blâmable. *prendre ses responsabilités ce n'est d'ailleurs pas résister par la force ou espérer une action policière au détriment de sa propre sécurité mais simplement porter plainte et dénoncer les accords obtenus sous la contrainte.
Galaad Posté 14 avril 2009 Signaler Posté 14 avril 2009 Je dois avouer que ce qui se passe en ce moment n'est pas pour me déplaire. J'ai honte, mais je le dis quand même : je commence à devenir raciste anti-patrons. Essentiellement à cause des mauvaises expériences que j'ai eues au cours de ma (néanmoins courte) vis professionnelle depuis quatre ans. Que ce soit dans les entreprises où j'ai séjourné, ou en entretien d'embauche, je retrouve chaque fois le clivage très désagréable entre le "nous" et le "eux". Nous, les jeunes salariés qui, abreuvés par des décennies de propagandes défaitiste concernant le chômage et la chaaaaance que ça représente d'avoir un emploi, sommes devenus soumis comme des moutons. De l'autre côté : eux, qui, profitant du rapport de forces, se croient autorisés à nous considérer comme des paillassons et à s'essuyer les pieds sur notre gueule. J'aime l'idée que le rapport de force s'inverse.
José Posté 14 avril 2009 Signaler Posté 14 avril 2009 Nous, les jeunes salariés qui, abreuvés par des décennies de propagandes défaitiste concernant le chômage et la chaaaaance que ça représente d'avoir un emploi, sommes devenus soumis comme des moutons. De l'autre côté : eux, qui, profitant du rapport de forces, se croient autorisés à nous considérer comme des paillassons et à s'essuyer les pieds sur notre gueule. Putain, le mauvais roman de gare. Évidemment, il ne te vient pas à l'esprit que les premiers responsables de la difficulté des jeunes à se faire embaucher, ce sont justement ces fumiers de syndicalistes qui séquestrent des responsables d'entreprises pour conserver leurs privilèges et un système entièrement construit en faveur de "in" au détriment de tous les "out".
Apollon Posté 14 avril 2009 Signaler Posté 14 avril 2009 Je dois avouer que ce qui se passe en ce moment n'est pas pour me déplaire. J'ai honte, mais je le dis quand même : je commence à devenir raciste anti-patrons. Essentiellement à cause des mauvaises expériences que j'ai eues au cours de ma (néanmoins courte) vis professionnelle depuis quatre ans. Que ce soit dans les entreprises où j'ai séjourné, ou en entretien d'embauche, je retrouve chaque fois le clivage très désagréable entre le "nous" et le "eux". Nous, les jeunes salariés qui, abreuvés par des décennies de propagandes défaitiste concernant le chômage et la chaaaaance que ça représente d'avoir un emploi, sommes devenus soumis comme des moutons. De l'autre côté : eux, qui, profitant du rapport de forces, se croient autorisés à nous considérer comme des paillassons et à s'essuyer les pieds sur notre gueule.J'aime l'idée que le rapport de force s'inverse. Mais bien sur
Jesrad Posté 14 avril 2009 Signaler Posté 14 avril 2009 Je dois avouer que ce qui se passe en ce moment n'est pas pour me déplaire. J'ai honte, mais je le dis quand même : je commence à devenir raciste anti-patrons. Essentiellement à cause des mauvaises expériences que j'ai eues au cours de ma (néanmoins courte) vis professionnelle depuis quatre ans. Que ce soit dans les entreprises où j'ai séjourné, ou en entretien d'embauche, je retrouve chaque fois le clivage très désagréable entre le "nous" et le "eux". Nous, les jeunes salariés qui, abreuvés par des décennies de propagandes défaitiste concernant le chômage et la chaaaaance que ça représente d'avoir un emploi, sommes devenus soumis comme des moutons. De l'autre côté : eux, qui, profitant du rapport de forces, se croient autorisés à nous considérer comme des paillassons et à s'essuyer les pieds sur notre gueule.J'aime l'idée que le rapport de force s'inverse. Mwarf, j'ai exactement l'impression inverse. À chaque réunion de bilan annuel avec mon employeur je joue l'air et c'est l'autre qui danse. Tiens, d'ailleurs je négocie mon licenciement ce jeudi.
Nick de Cusa Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 Je dois avouer que ce qui se passe en ce moment n'est pas pour me déplaire. J'ai honte, mais je le dis quand même : je commence à devenir raciste anti-patrons. Essentiellement à cause des mauvaises expériences que j'ai eues au cours de ma (néanmoins courte) vis professionnelle depuis quatre ans. Que ce soit dans les entreprises où j'ai séjourné, ou en entretien d'embauche, je retrouve chaque fois le clivage très désagréable entre le "nous" et le "eux". Nous, les jeunes salariés qui, abreuvés par des décennies de propagandes défaitiste concernant le chômage et la chaaaaance que ça représente d'avoir un emploi, sommes devenus soumis comme des moutons. De l'autre côté : eux, qui, profitant du rapport de forces, se croient autorisés à nous considérer comme des paillassons et à s'essuyer les pieds sur notre gueule.J'aime l'idée que le rapport de force s'inverse. N'oublie pas quand même que cette situation de rareté du travail, qui contribue grandement à une très forte tension dans les relations employés / employeurs et met une pression sur les employés, est créée de toute pièce par la taxation (y compris les "charges" "sociales") et dans certains cas par le salaire minimum, et par un droit social énorme, incohérent et très contraignant. Ce dit droit social pourrit aussi la vie des entrepreneurs et peut même dans certains cas donner l'occasion à des salariés d'en abuser. Bref, comme d'hab : l'Etat crée de toute pièce un situation lamentable, puis rapplique en armure brillante sur son beau destrier blanc : "ne vous inquiétez pas, pauvres petits citoyens sans défenses, je suis là pour vous protéger".
ouk Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 55% comprennent les séquestrationsUne majorité de Français estime "justifiées" les séquestrations de cadres et de patrons, qui ne doivent pas selon eux être sanctionnées par la justice, apprend-on dans le baromètre BVA-BPI-Les Echos-France Info. D'après cette enquête publiée ce matin , 55% des sondés considèrent comme justifiées, c'est-à-dire justes et efficaces, ces séquestrations. Les cadres et les professions libérales les approuvent autant que les ouvriers. Dans leur ensemble, les personnes interrogées estiment à 64% que ces actions ne doivent pas être sanctionnées par la justice car elles sont "souvent le seul moyen dont disposaient des salariés pour se faire entendre". Elles sont 30% à penser le contraire. Un point de vue que partage même les sympathisants de droite (50ù pour, 45% contre). "Ces résultats confirment la montée du mécontentement social, voire d'une certaine forme de radicalisation en France", décrypte Gaël Sliman, directeur adjoint de BVA. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/04/…uestrations.php ils font leurs sondages à la sortie des meetings du NPA ou quoi ? et en plus ya une belle faute de grammaire ils sont fous ces gaulois
Le sage Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 N'oublie pas quand même que cette situation de rareté du travail, qui contribue grandement à une très forte tension dans les relations employés / employeurs et met une pression sur les employés, est créée de toute pièce par la taxation (y compris les "charges" "sociales") et dans certains cas par le salaire minimum, et par un droit social énorme, incohérent et très contraignant. C’est vrai que les 8,10 % de chômeurs américains le sont devenu parque leur ex-employeur était écrasé par les "taxes", par un "droit social énorme", "incohérent" et "très contraignant" ainsi que par un "salaire minimum" ayant atteint un niveau extravagant.
José Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 C’est vrai que les 8,10 % de chômeurs américains le sont devenu parque leur ex-employeur était écrasé par les "taxes", par un "droit social énorme", "incohérent" et "très contraignant" ainsi que par un "salaire minimum" ayant atteint un niveau extravagant. Ton sarcasme tombe à plat, puisque jusqu'avant la crise, le chômage aux States était bien frictionnel. Et malgré la crise, le chômage US reste inférieur à celui de la l'UE et de la France.
Nick de Cusa Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 C’est vrai que les 8,10 % de chômeurs américains le sont devenu parque leur ex-employeur était écrasé par les "taxes", par un "droit social énorme", "incohérent" et "très contraignant" ainsi que par un "salaire minimum" ayant atteint un niveau extravagant. Il y en a moins aux Etats Unis donc il y a moins de chômage là bas. Mais il y en a quand même, donc il y a quand même du chômage. Pour faire un post court et parce qu'un autre intervenant les avait déjà mentionés en réponse à Galaad, je n'ai pas abordé le problème des syndicats, mais aux USA c'est plus de ce côté là qu'il faut regarder. Sinon, si on veut comparer, comparons : au sommet du cycle économique, un chômage normal, qui n'est qu'un chômage de friction (des gens entre deux jobs) de courte durée, est de l'ordre de 4 - 4.5%, comme on l'a vu aux USA, Royaume Uni, Danemark, Suisse, bref de nombreux pays ou la taxation + règlementation ne sont pas aussi dommageables qu'en France. Enfin, comme mentioné très récemment dans un autre fil que tu as certainement lu, le taux de chômage n'est pas un bon indicateur de la possibilité de travailler, le taux d'emploi général est beaucoup plus parlant, et il est de l'ordre de 62% en France et 71% aux USA*. Il est tout à fait incontestable que le problème est beaucoup plus grave en france qu'aux USA (et, en fait, qu'à peu près deans tout autre pays. Logique : nous sommes à peu près les pires en taxation et en règlementation). *: Et même ça, ça ne décrit pas la totalité de la chose, puisque les américians qui travaillent travaillent aussi beaucoup plus : plus d'heures par semaine et plus de semaines par an. Bref il y a vraiment BEAUCOUP plus de travail aux USA qu'en France, même aujourd'hui où ils traversent une crise terrible. Conclusion : tu est sur ce forum depuis un certain temps déjà, il serait temps d'envisager d'avancer d'un cran, de ne plus te contenter d'arguments si partiels qu'ils en deviennent crétins. Sinon, on pourrait arriver à croire que tu ne cherches pas sincèrement à faire avancer ta connaissance.
Le sage Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 Ton sarcasme tombe à plat, puisque jusqu'avant la crise, le chômage aux States était bien frictionnel. Et malgré la crise, le chômage US reste inférieur à celui de la l'UE et de la France. Donc il y a d’autres raisons que le niveau des taxes ou le niveau du salaire minimum qui peut être source de chômage et provoquer un déséquilibre dans les rapports de force employeurs employés. Ce que soulignai Galaad c’est que, quelque soit la raison provoquant ces déséquilibres, les patrons qu’il a rencontré les exploitent sans vergogne.
Nick de Cusa Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 Donc il y a d’autres raisons que le niveau des taxes ou le niveau du salaire minimum qui peut être source de chômage et provoquer un déséquilibre dans les rapports de force employeurs employés. Ce que soulignai Galaad c’est que, quelque soit la raison provoquant ces déséquilibres, les patrons qu’il a rencontré les exploitent sans vergogne. Si l'Etat ne créait pas de toute pièce une rareté artificielle du travail, il claquerait la porte et irait voir ailleurs. Les patrons affreux devraient payer plus pour trouver des employés et leur entreprise se porterait moins bien.
José Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 Donc il y a d’autres raisons que le niveau des taxes ou le niveau du salaire minimum qui peut être source de chômage et provoquer un déséquilibre dans les rapports de force employeurs employés. Il y a crise, il y a du chômage. C'est dans la logique économique. Pas besoin d'y voir un quelconque fantasmatique changement du "rapport de force". …quelque soit la raison provoquant ces déséquilibres, les patrons qu’il a rencontré les exploitent sans vergogne. On va croire ce mauvais roman de gare.
Invité jabial Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 Je dois avouer que ce qui se passe en ce moment n'est pas pour me déplaire. J'ai honte, mais je le dis quand même : je commence à devenir raciste anti-patrons. Essentiellement à cause des mauvaises expériences que j'ai eues au cours de ma (néanmoins courte) vis professionnelle depuis quatre ans. Que ce soit dans les entreprises où j'ai séjourné, ou en entretien d'embauche, je retrouve chaque fois le clivage très désagréable entre le "nous" et le "eux". Nous, les jeunes salariés qui, abreuvés par des décennies de propagandes défaitiste concernant le chômage et la chaaaaance que ça représente d'avoir un emploi, sommes devenus soumis comme des moutons. De l'autre côté : eux, qui, profitant du rapport de forces, se croient autorisés à nous considérer comme des paillassons et à s'essuyer les pieds sur notre gueule.J'aime l'idée que le rapport de force s'inverse. Foin de manières : si tu soutiens des socialistes aux méthodes de bandits, qu'est-ce que tu fous ici? Il y a plein d'endroits sur le net pour tenir ce genre de discours sous les applaudissements.
José Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 Foin de manières : si tu soutiens des socialistes aux méthodes de bandits, qu'est-ce que tu fous ici? Bon, il dit qu'il a honte. Il sait que c'est mal. Le début de la rédemption et toussa.
Le sage Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 Foin de manières : si tu soutiens des socialistes aux méthodes de bandits, qu'est-ce que tu fous ici? Il y a plein d'endroits sur le net pour tenir ce genre de discours sous les applaudissements. Jabial, il est simplement victime d’un rapport de force qui joue en sa défaveur et il se réjoui que celui-ci se re-équilibre, comme il l'écrit il en a plus ou moins honte, ce qui signifie donc qu’il n’approuve pas la « manière » dont ce re-équilibrage est en train de se faire. Comme tous ici il préférerait certainement que la mise en place d’une forme de libéralisme conduise « naturellement » à ce re-équilibrage.
José Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 …il est simplement victime d’un rapport de force qui joue en sa défaveur et il se réjoui que celui-ci se re-équilibre… La séquestration de dirigeants d'entreprises ne rééquilibre rien du tout. Comme le vol ne rééquilibre rien du tout. Seule une mentalité criminelle et/ou trisomique peut arriver à ce genre de conclusion.
Invité jabial Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 Jabial, il est simplement victime d’un rapport de force qui joue en sa défaveur et il se réjoui que celui-ci se re-équilibre, comme il l'écrit il en a plus ou moins honte, ce qui signifie donc qu’il n’approuve pas la « manière » dont ce re-équilibrage est en train de se faire. Comme tous ici il préférerait certainement que la mise en place d’une forme de libéralisme conduise « naturellement » à ce re-équilibrage. Moi je propose de rééquilibrer le rapport de force aux syndicats à la façon de Pinochet. Mais à part ça j'ai honte alors tout va bien
john_ross Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 Ce que soulignai Galaad c’est que, quelque soit la raison provoquant ces déséquilibres, les patrons qu’il a rencontré les exploitent sans vergogne. Et quelque soit le pays ou j'ai vécu j'ai toujours vu l'état exploiter sans vergogne les patrons et aussi les salariés, mais plus les patrons.
Invité jabial Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 L'exploitation par le travail est une invention des seigneurs de notre temps pour faire croire aux manants que c'est le bourgeois bénéficiant d'une franchise royale qui les opprime, et non pas eux. Marx, qui n'a jamais travaillé de sa vie, était le parfait parasite, l'inutile de choc, l'intello dégénéré à la vision adolescente du monde et souhaitant changer les règles de la réalité afin que le monde lui semble plus symmétrique. La vie c'est un foisonnement, les règles sont émergentes, c'est pas beau et bien rangé alors crac, on casse tout.
José Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 Moi je propose de rééquilibrer le rapport de force aux syndicats à la façon de Pinochet. Petit joueur, va. Moi je dirais, façon soviétique, les syndicats. Là, ils le sentaient bien profond, le rapport de force, les travailleurs.
free jazz Posté 15 avril 2009 Auteur Signaler Posté 15 avril 2009 Donc il y a d’autres raisons que le niveau des taxes ou le niveau du salaire minimum qui peut être source de chômage et provoquer un déséquilibre dans les rapports de force employeurs employés.Ce que soulignai Galaad c’est que, quelque soit la raison provoquant ces déséquilibres, les patrons qu’il a rencontré les exploitent sans vergogne. Mais, bordel, le but de ces syndicats voyous et militarisés n'est nullement la défense des salariés, mais celle d'une minorité au détriment des autres, en empêchant que le reste de la population ne vienne partager leurs privilèges, en exigeant des rançons, en créant mille entraves et barrières contre le développement de leur industrie, afin de créer la rareté, de sorte qu'il ne peut y avoir de travail que pour un petit nombre d'ouvriers soumis aux commandements syndicaux. Ils éloignent par la force les concurrents, ils menacent, frappent, détruisent et blessent même les travailleurs assez courageux pour accepter de travailler lorsque ces messieurs du syndicat ont décrété la grève.
Jiplasse Posté 15 avril 2009 Signaler Posté 15 avril 2009 Marx, qui n'a jamais travaillé de sa vie, était le parfait parasite On ne peut pas dire ça, Marx a écrit beaucoup d'articles pour des journaux comme le New York Tribune. Il était payé pour ça et c'est donc un travail.
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