Invité rogermila Posté 4 juillet 2010 Signaler Posté 4 juillet 2010 A l'exemple de la fermeture de classes pour manque d'élèves, le Ministère de la Santé prépare des décrets pour les hopitaux. Grosso-modo on va vers une fermeture programmée pour les services de chirurgie qui sont sous la barre des 30 opérations par semaine. Je ne vois rien de scandaleux dans cette mesure d'économie pour l'hopital public, tout en sachant qu'il va falloir s'attendre à un tollé général dans les milieux médicaux et chez les élus locaux concernés par ces fermetures. Les services hospitaliers de chirurgie qui auront opéré moins de 1 500 personnes par an entre 2007 et 2009 sont menacés de fermeture, a-t-on appris dimanche auprès du ministère de la santé, qui prépare des décrets en ce sens pour fin juillet-début août. Ces décrets qui vont "réglementer les activités de médecine et de chirurgie" accorderont cependant un sursis pour les services de chirurgie ayant opéré entre 1 050 et 1 500 personnes par an (soit 70 % de l'objectif), qui disposeront de trois ans pour améliorer leur activité ou s'associer avec un autre établissement afin de pouvoir se maintenir. http://www.lemonde.fr/societe/article/2010…#ens_id=1378759
Tremendo Posté 4 juillet 2010 Signaler Posté 4 juillet 2010 A l'exemple de la fermeture de classes pour manque d'élèves, le Ministère de la Santé prépare des décrets pour les hopitaux.Grosso-modo on va vers une fermeture programmée pour les services de chirurgie qui sont sous la barre des 30 opérations par semaine. Je ne vois rien de scandaleux dans cette mesure d'économie pour l'hopital public, tout en sachant qu'il va falloir s'attendre à un tollé général dans les milieux médicaux et chez les élus locaux concernés par ces fermetures. Ca va surprendre les ignares qui croyaient que les hôpitaux publics c'était gratuit. L'argent a été jeté par les fenêtres alors on racle les fonds de tiroir, mais on ne propose aucun plan en échange comme d'habitude.
Hr77 Posté 4 juillet 2010 Signaler Posté 4 juillet 2010 Ca va surprendre les ignares qui croyaient que les hôpitaux publics c'était gratuit.L'argent a été jeté par les fenêtres alors on racle les fonds de tiroir, mais on ne propose aucun plan en échange comme d'habitude. Sur l'Immonde, les lecteurs mettent ces fermetures sur le dos du libéralisme. Je m'amuse toujours à lire les commentaires, j'ai besoin d'un peu de rire cynique de temps en temps.
Tremendo Posté 5 juillet 2010 Signaler Posté 5 juillet 2010 Sur l'Immonde, les lecteurs mettent ces fermetures sur le dos du libéralisme. Faut pas leur en vouloir, les lecteur de l'Immonde sont pas très futes futes. Je m'amuse toujours à lire les commentaires, j'ai besoin d'un peu de rire cynique de temps en temps. Rien que de lire les commentaires, j'ai des bouffées de violence, et je me mets à penser comme JIM16 sur la France.
Yul Posté 5 juillet 2010 Signaler Posté 5 juillet 2010 Sur Causeur, un type (fonctionnaire d'Etat) a déclaré que la mission du service public de la radio (france inter etc…) était de lutter contre le libéralisme. Avec les sous du contribuable (puisque c'est pour son bien). Je suis certain qu'il n'est pas le seul à le penser. Les français sont un peu cons: si les hôpitaux étaient privés, ils s'installeraient ou resteraient là où bon leur semble, sans qu'un décret ministériel décide arbitrairement (quoique, dans ce cas précis, plutôt avec raison). Et c'est valable pour tous les autres sévices publics comme la poste. Sur l'Immonde, les lecteurs mettent ces fermetures sur le dos du libéralisme. Des fermetures décidées par décrets c'est forcément le libéralisme, allons. Quand quelque chose plaît pas aux gauchistes et aux étatistes de droite, de toute manière, cé-leu-libéralisme-euh. Et j'imagine que lorsqu'on fait tinter une clochette, ils font comme le chien de Pavlov: ils bavent.
Brock Posté 5 juillet 2010 Signaler Posté 5 juillet 2010 la plupart des gauchistes et etatistes le sont par defaut; ils ne savent pas.
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