NoName Posté 3 novembre 2013 Signaler Posté 3 novembre 2013 "Ne changeons surtout pas de cap !", a déclaré Najat Vallaud-Belkacem dans "BFM Politique" de BFMTV/Le Point/RMC. "C'est au contraire avec la persévérance et la détermination qui sont celles du président de la République que nous arriverons à obtenir des résultats", a-t-elle assuré. "Je pense par exemple à cette obsession (de M. Hollande, ndlr) à l'égard de l'inversion de la courbe du chômage: et bien je suis persuadée que c'est la façon dont nous avons tenu et agi depuis 18 mois qui va nous permettre d'arriver à cette inversion d'ici la fin de l'année, car j'y crois et de façon durable", a insisté la porte-parole. J'aime bien la première phrase: "C'est au contraire avec la persévérance et la détermination qui sont celles du président de la République que nous arriverons à obtenir des résultats" Ouais, en continuant comme ça je vois bien des résultats comme en ce moment en Bretagne. Pleins de résultats partout en France.
Neuron Posté 3 novembre 2013 Signaler Posté 3 novembre 2013 Cette forme de discours me fait penser aux régimes totalitaires qui emploient le vocabulaire de l'affrontement en toute chose pour promouvoir l'action du gouvernement. Sans oublier que c'est le chef qui lutte. Comme les images de propagande où l'on voyait Mussolini récolter lui même le blé pour montrer son engagement au redressement du pays, au bien être des italiens. "Hollande consacre tout son énergie pour créer des emplois". On vit une époque délirante.
Tramp Posté 3 novembre 2013 Signaler Posté 3 novembre 2013 On y croit de tout notre cœur du coup ça va marcher.
PJE Posté 3 novembre 2013 Signaler Posté 3 novembre 2013 On y croit de tout notre cœur du coup ça va marcher. +1 Il a réussi à réenchanter le rêve français dans une France apaisée. Rien ne l’arrête.
poney Posté 4 novembre 2013 Signaler Posté 4 novembre 2013 Sur le fond tu as raison, l'immense majorité des Français n'a cure du sort de la divine Léonarda et de sa si charmante famille et ne souhaitent surtout pas leur retour dans l'Hexagone. Et les lycéens ne s'en soucient pas davantage. Mais en ma qualité d'enseignant, j'observe depuis plusieurs mois la montée d'un sentiment diffus, mais croissant d'exaspération chez nos jeunes qui ne demandent qu'à en découdre avec l'actuel pouvoir. Je pense donc que cette ridicule affaire peut servir de prétexte à nombre d'entre eux pour lancer un mouvement de contestation. Il y a effectivement des chances pour que cela se traduise par un flop retentissant, mais ce n'est pas certain. Les jeunes se moquent royalement de leurs pseudos "syndicats", l'UNL, la FIDL, SUD jeunes... De plus, leurs motivations sont des plus floues. Mais ils ont besoin de se défouler. Par conséquent, si la mobilisation est forte, le mouvement peut très vite devenir complètement incontrôlable, à fortiori s'il s'étend aux universités, voire à d'autres catégories... La France est aujourd'hui un bidon d'essence qui ne demande qu'à s'enflammer Mais nom de dieu, y a vraiment qu'en France qu'on peut lire, entendre et voir ça... Que ces putains de collégiens et lycéens se contentent d'apprendre à lire et à écrire.
Chitah Posté 4 novembre 2013 Signaler Posté 4 novembre 2013 Sur le fond tu as raison, l'immense majorité des Français n'a cure du sort de la divine Léonarda et de sa si charmante famille et ne souhaitent surtout pas leur retour dans l'Hexagone. Et les lycéens ne s'en soucient pas davantage. Mais en ma qualité d'enseignant, j'observe depuis plusieurs mois la montée d'un sentiment diffus, mais croissant d'exaspération chez nos jeunes qui ne demandent qu'à en découdre avec l'actuel pouvoir. Je pense donc que cette ridicule affaire peut servir de prétexte à nombre d'entre eux pour lancer un mouvement de contestation. Il y a effectivement des chances pour que cela se traduise par un flop retentissant, mais ce n'est pas certain. Les jeunes se moquent royalement de leurs pseudos "syndicats", l'UNL, la FIDL, SUD jeunes... De plus, leurs motivations sont des plus floues. Mais ils ont besoin de se défouler. Par conséquent, si la mobilisation est forte, le mouvement peut très vite devenir complètement incontrôlable, à fortiori s'il s'étend aux universités, voire à d'autres catégories... La France est aujourd'hui un bidon d'essence qui ne demande qu'à s'enflammer Concernant les lycéens : ce que font ou ne font pas les "syndicats" étudiants est déterminant dans la mobilisation. Je dirais même que c'est capital. Donc sois assuré qu'en coulisse, ça négocie sévère pour que ces syndicats ne jettent pas de l'huile sur le feu. Et à propos de négociations en coulisse avec le milieu étudiant, comme par hasard, c'est qui qui a donné hier sa première interview depuis des mois? http://www.leparisien.fr/politique/julien-dray-soyons-plus-collectifs-03-11-2013-3282181.php La colère des lycéens autour de l’affaire Leonarda est-elle, selon vous, retombée ?Attention, il faut dialoguer. Il y a encore des cas qui peuvent susciter de l’émotion. Il faut faire vivre la règle de la protection de l’institution scolaire.
Hayek's plosive Posté 4 novembre 2013 Signaler Posté 4 novembre 2013 Mais nom de dieu, y a vraiment qu'en France qu'on peut lire, entendre et voir ça... Que ces putains de collégiens et lycéens se contentent d'apprendre à lire et à écrire. Je me rappelle avoir vu une manif etudiante a Londres avec des gamins qui se prenaient en photo avec des iPhones et des banderoles "socialist revolution". Meme si je pense que c'est beaucoup moins fréquent qu'en France...
poney Posté 4 novembre 2013 Signaler Posté 4 novembre 2013 Oui, ça a du arriver aussi en Belgique, sans doute un peu partout. Mais en France, c'est un vrai business, une sorte de truc qu'on agite "attention, les collégiens vont manifester !", une sorte de marronnier bi-annuel (encore que depuis que les demi-socialistes sont là, on attends encore une vraie grosse manif).
JulesVil Posté 4 novembre 2013 Signaler Posté 4 novembre 2013 90% des collégiens/lycéens ne savent pas pourquoi ils manifestent. C'est juste l'occasion de louper des cours.
Chitah Posté 4 novembre 2013 Signaler Posté 4 novembre 2013 https://twitter.com/DepartHollande http://www.departhollande.fr/
Calvin Posté 4 novembre 2013 Signaler Posté 4 novembre 2013 En même temps, 90% des collégiens/lycéens ne savent pas pourquoi ils font cours...
Vengeusemasquée Posté 4 novembre 2013 Signaler Posté 4 novembre 2013 En même temps, 90% des collégiens/lycéens ne devraient pas être là où ils sont... C'est une sorte de masse que les syndicats ont à leur disposition et qu'ils peuvent lâcher quand bon leur semble. Les possibilités de manipulation de la jeunesse sont terrifiantes.
Chitah Posté 4 novembre 2013 Signaler Posté 4 novembre 2013 N'oublions pas qu'au plus fort des manifestations pour le retour de Léonarda Dibrani, il y avait 4000 élèves dans la rue, sachant qu'il y a plus d'une centaine de lycées à Paris. Donc épiphénomène négligeable, c'est la nostalgie de l'adolescence gauchiste des journalistes qui leur fait donner une telle importance à ce non-événement...
Vengeusemasquée Posté 4 novembre 2013 Signaler Posté 4 novembre 2013 Oui puis pas vraiment issus des bahuts qui sont franchement concernés par ce type de situation, si je ne m'abuse. La surmédiatisation de l'affaire permet d'enfumer aimablement la populace qui y voit une révolte massive alors qu'il ne s'agit de rien de plus que de l'agitprop habituelle.
Astha Posté 4 novembre 2013 Signaler Posté 4 novembre 2013 N'oublions pas qu'au plus fort des manifestations pour le retour de Léonarda Dibrani, il y avait 4000 élèves dans la rue, sachant qu'il y a plus d'une centaine de lycées à Paris. Donc épiphénomène négligeable, c'est la nostalgie de l'adolescence gauchiste des journalistes qui leur fait donner une telle importance à ce non-événement... 4.000 dans la rue mais combien d'absents ?
Bisounours Posté 4 novembre 2013 Signaler Posté 4 novembre 2013 J'aimerais bien que ces ..... de journalistes disent "ces lycéens" ou "les lycéens qui manifestent", ça mettrait en perspective la lutte de ceux qui aimeraient bien aller en cours... et relativiserait l'importance du mouvement de ces pauvres gamins qui perroquetent. Rien qui m'agace plus que ces facilités de langage, de la part de personnes qui sont sensées transmettre l'info. Mais bon, rien de nouveau, n'est ce pas
poney Posté 4 novembre 2013 Signaler Posté 4 novembre 2013 Tiens, et je vois dans le Nouvel Obs que la meuf de l'unef qui avait dit s’être fait agressée en se faisant traité de "sale arabe, sale gauchiste" à en fait inventé l'histoire. Enfin, pas totalement, elle a juste "déplacé" l'histoire pour faire mousser le truc.
Nirvana Posté 4 novembre 2013 Signaler Posté 4 novembre 2013 J'aimerais bien que ces ..... de journalistes disent "ces lycéens" ou "les lycéens qui manifestent", ça mettrait en perspective la lutte de ceux qui aimeraient bien aller en cours... et relativiserait l'importance du mouvement de ces pauvres gamins qui perroquetent. Rien qui m'agace plus que ces facilités de langage, de la part de personnes qui sont sensées transmettre l'info. Mais bon, rien de nouveau, n'est ce pas Attendre des journalistes qu'ils manient la langue avec délicatesse est un combat perdu d'avance.
Vengeusemasquée Posté 4 novembre 2013 Signaler Posté 4 novembre 2013 Attendre des journalistes qu'ils manient la langue avec délicatesse est un combat perdu d'avance. rectification : Attendre des scribouillards français subventionnés qu'ils manient la langue avec délicatesse est un combat perdu d'avance.
Astha Posté 7 novembre 2013 Signaler Posté 7 novembre 2013 Le pauvre petit Dassault dans la tourmente: Suspecté de tentative d'assassinat, un proche de Dassault mis en examen et écroué Il était en fuite depuis neuf mois. Suspecté d'être l'auteur d'une tentative d'assassinat à Corbeil-Essonnes sur fond de soupçons d'achat de vote, Younès Bounouara, un chef d'entreprise proche de Serge Dassault, a été mis en examen et écroué dans la nuit du mercredi 6 au jeudi 7 novembre, après avoir été interpellé à l'aéroport de Roissy. M. Bounouara, 41 ans, a été appréhendé par la police à sa descente de l'avion. Il est soupçonné d'avoir tiré à trois reprises le 19 février sur un homme en plein Corbeil-Essonnes. A l'issue de plus de cinq heures d'audition devant le trio de magistrats en charge du dossier, son avocat Me Kaminski a indiqué son intention de contester la mise en examen et le mandat de dépôt de son client. [...] Dans ce dossier criminel, Serge Dassault, maire de Corbeil-Essonnes de 1995 à 2009, qui nie toujours tout système de clientélisme électoral, a été placé sous le statut de témoin assisté pour complicité de tentative d'assassinat. Selon Me Kaminski, son client a été interrogé sur ses liens avec l'industriel et aurait indiqué aux juges que M. Dassault "n'a aucun lien direct ou indirect avec cette affaire". [...] Les magistrats veulent savoir si la tentative de meurtre perpétrée à Corbeil-Essonnes est liée à un système d'achat de votes que l'avionneur est soupçonné d'avoir cautionné lors de la dernière élection municipale dans la ville, en 2010, remportée par son bras droit Jean-Pierre Bechter. Les juges du pôle financier de Paris conduisent ainsi parallèlement une instruction visant Serge Dassault pour "achat de votes", "corruption", "blanchiment" et "abus de biens sociaux". http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/11/06/tentative-d-assassinat-a-corbeil-essonnes-un-proche-de-dassault-interpelle_3509386_3224.html
free jazz Posté 8 novembre 2013 Signaler Posté 8 novembre 2013 Et comme les élections approchent, que le matraquage fiscal des socialistes continue, pourquoi ne pas filer plusieurs milliards d'euros au système mafieux et clientéliste marseillais? Allez c'est cadeau. Jean-Marc Ayrault vient à Marseille vendredi pour annoncer un plan d'aide de plusieurs milliards d'euros en faveur des transports, de l'emploi ou de la sécurité, avec pour "priorité" de "désenclaver les quartiers Nord", à cinq mois des municipales. Pour le député Patrick Mennucci, candidat socialiste pour les municipales de mars, ce plan représente "le plus grand effort jamais effectué pour une ville française", avec un financement qui ne se chiffre pas en millions mais "en milliards", a-t-il dit à l'AFP. Le plan vise une "solidarité territoriale", qui "passe par la rénovation urbaine, l'école, la politique de l'emploi des jeunes, la sécurité pour tous, la propreté, les transports, avec une priorité majeure : le désenclavement des quartiers Nord par les transports en commun", déclare Jean-Marc Ayrault dans un entretien à La Provence. Une ville que le PS aimerait ravir à l'UMP Pour l'emploi, "36 agents supplémentaires de Pôle emploi vont être affectés dans les quartiers Nord", selon cette source. Des aides à la rénovation urbaine et à l'action sociale sont aussi attendues dans certaines cités, ou encore dans le centre-ville populaire de Noailles. Quelque 300 millions d'euros sont déjà prévus dans le cadre du programme national de rénovation urbaine (PNRU). Le Premier ministre veut aussi rassurer sur le futur projet de métropole Aix-Marseille, qui prévoit la création d'une nouvelle entité se substituant aux six intercommunalités existantes. Alors que les maires craignent de "fortes hausses de la fiscalité locale", le Premier ministre, dans La Provence, "prend l'engagement", sur la taxe habitation et la taxe foncière, que "l'harmonisation étalée sur 12 ans pour les ménages soit insensible". Cette future métropole "bénéficiera d'une dotation d'intercommunalité de la part de l'État d'un montant de 50 millions d'euros par an", ajoute-t-il. Par sa visite, le Premier ministre vient aussi adouber Patrick Mennucci. Le PS veut ravir la deuxième ville de France à l'UMP, et l'organisation d'une primaire, en octobre, pour désigner le candidat, a permis de "créer une dynamique" préalable, espère le parti, à la "conquête". http://www.lepoint.fr/politique/jean-marc-ayrault-au-chevet-de-marseille-08-11-2013-1753441_20.php#xtor=EPR-6-[Newsletter-Matinale]-20131108
Astha Posté 8 novembre 2013 Signaler Posté 8 novembre 2013 Les hommes politiques et les petits pains au chocolat, une grande histoire d'amour: C'est l'histoire d'un conseiller du président François Hollande qui a réclamé la viennoiserie de trop. Surnommé "l'Homme à tout faire" du président, Faouzi Lamdaoui, le conseiller à l'égalité et à la diversité, aurait abusé du service de protection des hautes personnalités (SPHP) dont il bénéficiait, révèle une enquête de Charlie Hebdo. Et c'est son péché de pain au chocolat qui l'aura puni. [...] Tous les matins, ce sont donc deux policiers qui attendent le conseiller menacé à 7 heures du matin sur le pas de sa porte pour le conduire à son bureau, à ses déjeuners ou à tout autre rendez-vous. La protection policière dure, d'autant que Faouizi Lamdaoui reçoit de nouvelles menaces. L’enquête du parquet, pourtant, ne mène nulle part. La brigade criminelle est venue interroger le conseiller à l’Elysée, mais impossible de remonter la piste des auteurs des courriers. Nouveau rebondissement. Au matin du 30 juillet une équipe de relève attend Faouzi Lamdaoui dans sa voiture. Une fois à bord, le conseiller élyséen s'offusque que la "consigne" n’ait pas été respectée. "Quelle consigne ? demande l’un des deux officiers de sécurité. – On ne vous a pas dit qu’il faut m’acheter un pain au chocolat le matin ?" rétorque le conseiller. [...] http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/11/01/trop-gourmand-le-pain-au-chocolat-du-conseiller-de-hollande-qui-ne-passe-pas/
Loi Posté 9 novembre 2013 Signaler Posté 9 novembre 2013 http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/11/09/perte-du-aa-le-prix-nobel-d-economie-paul-krugman-defend-la-france_3511260_3234.html Un soutien de poids
Cthulhu Posté 9 novembre 2013 Signaler Posté 9 novembre 2013 Le prix Nobel d'économie, l'Américain Paul Krugman, prend la défense de la France, dans une chronique sur son blog "La conscience d'un libéral" sur le site du quotidien américain New York Times, Facepalm.
tout38 Posté 9 novembre 2013 Signaler Posté 9 novembre 2013 Facepalm. En sa qualité de maître à penser (dépenser?) d'une école de pensée dont les idées folles conjuguées aux délires d'un monétarisme dévoyé ont amené le système financier international et l'économie mondiale dans la situation catastrophique où ils se trouvent actuellement, il est logique que l'infâme Krugman, taliban du keynésianisme et ultra-étatiste devant l'éternel, soutienne les pires gouvernements. Son soutien à la France doit ainsi être interprété comme il se doit, la France s'achemine vers une faillite retentissante. Quant au courrier des lecteurs, il me donne juste honte d'être français CPEF comme dirait le grand H16...
Lugaxker Posté 9 novembre 2013 Signaler Posté 9 novembre 2013 Je crois que le facepalm c'était pour la traduction du mot liberal, qui aux US, veut dire "de gauche".
tout38 Posté 9 novembre 2013 Signaler Posté 9 novembre 2013 Je crois que le facepalm c'était pour la traduction du mot liberal, qui aux US, veut dire "de gauche". Mon message répondait à celui de Loi
Cthulhu Posté 9 novembre 2013 Signaler Posté 9 novembre 2013 Je crois que le facepalm c'était pour la traduction du mot liberal, qui aux US, veut dire "de gauche". Oui, c'est bien ça.
Melkion Posté 12 novembre 2013 Signaler Posté 12 novembre 2013 Vive la Suisse http://www.lepoint.fr/insolite/video-je-taxe-la-video-qui-fait-un-malheur-en-suisse-12-11-2013-1755171_48.php#xtor=CS1-31 La France est au bord de la crise de nerfs, mais la Suisse est en pleine crise de rire ! Cette animation-vidéo fait un malheur outre-Léman. Sur l'air de Je chante, le célébrissime tube de Charles Trenet, des petits malins - qui se sont surnommés The Singing Pigeon - ont écrit Je taxe ! Ils reprennent la litanie des impôts, prélèvements, TVA, taxes qui assaillent les citoyens français depuis dix-huit mois. En Suisse, on se passe cette parodie en boucle... Un François Hollande à vélo et portant fièrement le canotier parcourt les montagnes alpines avant de débarquer dans un Paris à feu et à sang. Il clame son insouciance devant les difficultés qui s'amoncellent et les mécontentements qui se multiplient. Bien vu, non ? Parmi les paroles les plus savoureuses, on appréciera ce couplet, plus vrai que nature : "Les riches et ceux qui se lèvent le matin, j'm'en fiche, ils servent à rien. De toute façon, pour faire des emplois, en France, nous on a l'ENA."
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