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Cortalus

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  1. Le ridicule de la proclamation a contribué à son caractère mémorable. Je me rappelle toujours mon daron en train de commenter "tiens, encore un aigle de la route" quand il croisait un chauffard. Et tout le monde savait à l'époque à quoi il faisait référence.
  2. Mad Max, j'étais pas né, mais d'après les commentaires de mes parents, à l'époque c'était un choc, avec un fort effet mémétique ("je suis l'aigle de la route !").
  3. Il est grand, mince, porte correctement le costume, a des cheveux argentés. Pour beaucoup de gens, surtout chez l'électrice médiane, cela correspond au modèle-type du DAF BCBG et cela signifie donc qu'il est fiable et compétent, notamment en finances.
  4. A noter qu'avec l'effondrement des transactions immobilières, qui alimentaient les recettes des collectivités locales via les "frais de notaires", la pression pour augmenter les taxes foncières s'accentue fortement en ce moment.
  5. Peut-être un des meilleurs films de Guy Ritchie, dans un style plus sobre que d'habitude. Alors que Opération Fortune, présenté lui aussi il y a peu de temps sur la même plate-forme, est très décevant.
  6. Selon Zoé Sagan (l'auteur qui a dévoilé l'affaire Griveaux), BLM était à la soirée chez Palmade qui a mal tourné.
  7. Je crois que je ne vais pas échapper à un diversity training obligatoire dans ma boîte. Ils veulent même aller vers les labels égalité et diversité, donc je crois qu'on va en chier dans les années qui viennent. Évidemment il y aura un objectif de 50 % de femmes mini dans le codir. Mais promis, pas de discrimination à l'embauche, ce qui me semble totalement contradictoire. Mais j'ai l'opportunité d'infléchir peut-être un peu les choses car j'ai un certain poids dans la négo du protocole d'accord sur l'égalité H/F. Les RH ne sont cependant pas mon domaine d'expertise à la base et je me demande sous quel angle attaquer ça... Vous avez eu des expériences dans ce genre ? @Lancelotcertainement ! Je serais preneur de vos retours et des ressources éventuelles que vous connaissez à ce sujet...
  8. Je fais pareil, mais avec un critère supplémentaire : je ne mélange pas les vieux livres aux belles reliures avec les éditions récentes, pour des raisons esthétiques. Ensuite, j'essaye de garder une logique dans les thèmes. L'occultisme n'est pas très loin de la religion, la philosophie de l'économie, etc.
  9. J'ai vu dans la grande scène d'action finale de Glass Onions une apologie esthétique et morale de l'émeute raciale, manifestement inspirée par les débordements du mouvement BLM. Et la destruction de la Joconde des mains d'une femme noire révoltée me semble évidemment une allégorie de l'effacement de la culture occidentale réclamé par les militants intersectionnels. Les intentions sont claires et l'exécution dépourvue de toute subtilité.
  10. Vu Glass Onion. Dans l'ensemble, je dirais que c'est un film supérieur à Knives Out. Son principal défaut formellement est un déluge d'exposition d'une vingtaine de minutes qui casse le rythme dans l'acte 2. Évidemment, il y a tous les clichés possibles d'écriture woke. C'est très pénalisant pour le scénario d'un thriller/whodunnit. En effet, difficile d'induire le spectateur en erreur quand il est évident dès le début que la race, le sexe et la classe sociale de personnages déterminent qui est coupable/innocent/complice... La réalisation de Rian Johnson en rajoute sur ces clichés en cherchant un peu trop lourdement à iconiser certains personnages et certains moments toujours dans l'intention de la parabole politique et sociale. Rian, on a compris que tu es un des "gentils", on sait que tu soutiens BLM et que tu te repens d'être blanc et héritier d'une culture universaliste problématique qu'il faut effacer. Le plus triste, c'est que ces clichés gâchent la performance des acteurs. Notamment celles de Janelle Monaé et Edward Norton. Mais il y a quand même de belles scènes, des moments très amusants qui m'ont arraché des rires très sincères.
  11. Vu A couteaux tirés de Rian Johnson. Je peux pas dire que je suis déçu, vu que le réalisateur ne m'inspire pas la plus grande confiance depuis son opus Star Wars chez Disney. Mais disons que j'espérais être agréablement surpris. Cela n'a malheureusement pas été totalement le cas. Le film n'est pas vraiment mauvais, mais cumule pas mal de défauts. La parabole politique est aussi grossière que cliché. L'insistance du film à vouloir nous faire accroire que la résolution de l'intrigue est morale est des plus lourdes. Daniel Craig en fait trop. L'actrice principale n'en fait pas assez. Il y a tellement de foreshadowing sur le rebondissement final que c'en est gênant. Dommage, parce qu'il y avait de bonnes idées (dont un jeu de mot intraduisible en français, ce qui gâche un monologue de Craig). Je retiens une course-poursuite étonnante et une intrigue plutôt intéressante dans son squelette. La réalisation est efficace. Les codes du whodunnit sont globalement respectés, avec une véritable possibilité pour le spectateur attentif de faire certaines déductions en même temps que le détective. Je n'échapperai probablement pas à Glass Onion, la suite, car ma femme et ma fille ont bien aimé.
  12. Moi j'avais bien aimé Avatar. Alors oui, le héros meurt à la fin, mais tous les films ne peuvent pas avoir un happy ending.
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