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NicolasB

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Tout ce qui a été posté par NicolasB

  1. NicolasB

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    Ouah elles sont géniales… Je les ferai tourner sur mon Facebook ce soir!
  2. Bonjour, ça fait quelques jours que je sévis sur le forum et je n'avais pas vu cette section. Je me présente avec un peu de retard. Je m'appelle Nicolas, j'ai 32 ans et je vis en Ardèche et travaille dans la région lyonnaise. Je suis libéral depuis très longtemps (merci Papa) et je me suis jeté sur le site pour donner un petit coup de mains à Contrepoints sur les traductions car j'ai envie de voir les idées libérales se diffuser à travers les francophones et Dieu sait qu'il y a du boulot. Que dire de plus? Eh bien, si vous avez des questions, n'hésitez pas à me les poser! Nicolas
  3. Merci Gesrad… Article effectivement très intéressant!
  4. Bonsoir à tous, Traduction terminée et mail envoyé…. Europe’s Tobin Tax Distraction Barry Eichengreen 2012-02-09 CAPE TOWN – Enfin, les dirigeants européens ont révélé leurs plans top secret pour résoudre la crise de l’Euro. Et il s’agit – roulement de tambour – d’une nouvelle version de la « taxe Tobin ». Le prix Nobel d’économie James Tobin a proposé en 1972 un prélèvement sur les transactions financières. Aujourd’hui, 40 ans plus tard, la Commission Européenne a proposé une taxe sur toutes les transactions financières, allant de 0,1 % sur les actions à 0,01 % sur les produits dérivés comme les ‘futures’ et les ‘credit default swaps’. Le Président Français Nicolas Sarkozy et la Chancelière Allemande Angela Merkel l’ont approuvée. Si le monde entier ou bien l’Union européenne ne mettent pas la taxe en place, la France et l’Allemagne le feront seuls. Au vu de l’enthousiasme de Nicolas Sarkozy pour cette taxe, il est même question que la France l’adopte unilatéralement. Mais, il est assez flou de comprendre comment exactement une taxe sur les transactions financières aiderait l’Europe à soigner ses maladies. Selon les propres estimations de la Commission, elle rapporterait 50 milliards d’euros (65,7 milliards de dollars) par an dans le cas d’une mise en place sur l’ensemble de l’Union Européenne. C’est une somme dérisoire, comparée aux dettes et déficits de la zone Euro. De plus, cette somme est très en-deçà des besoins du financement du Mécanisme de Stabilité Européen (MES), estimé à hauteur de 500 milliards d’Euros de capital. En outre, l’estimation de la Commission exagère certainement les recettes attendues. Si la France impose la taxe unilatéralement, le commerce des produits dérivés et des actions ira à Francfort. Si la taxe est limitée à la zone Euro, les transactions se déplaceront à Londres. Si tous les membres de l’Union Européenne l’adopte – un scénario fantaisiste, au vue de la résistance britannique – le marché émigrera simplement à New York et Singapour. Les dirigeants européens déclarent qu’ils peuvent créer des mécanismes pour s’assurer que leurs concitoyens paient la taxe, peu importe l’endroit d’enregistrement des ordres. Mais les banquiers élaboreront de nouveaux instruments permettant à leurs clients d’éviter la taxe. Sur qui parieriez-vous – les services fiscaux ou l’ingénierie financière ? Si le but est l’augmentation des produits fiscaux, la taxe Tobin est un mauvais outil. En effet, Tobin l’avait conçue pour résoudre un problème complètement différent : la très grande volatilité sur le marché des changes. En décourageant les transactions sur ce marché, la proposition de Tobin cherchait à promouvoir la stabilité des taux de change en protégeant les monnaies nationales des attaques des spéculateurs. L’ironie, bien sûr, est que les membres de la zone Euro n’ont pas de monnaies nationales à défendre. En tant que membres d’une union monétaire, ils profitent d’un niveau très élevée de stabilité – beaucoup trop de stabilité en fait. Dans les circonstances actuelles, avec une grande partie de l’Europe en manque de compétitivité, le continent a précisément besoin d’un taux de change plus bas. Les leaders européens déploient la logique de Tobin depuis le marché des changes vers les marchés financiers. Ils soutiennent qu’une taxe sur les transactions aux frontières étoufferait la volatilité financière. Mais la logique manque à cette conclusion. Nous savons qu’une taxe sur les transactions diminuera le nombre de transactions. Quelques investisseurs quitteront les marchés. Mais lesquels – les spéculateurs opportunistes, qui vendent quand tout le monde le fait, ou les spéculateurs anticonformistes, qui font l’inverse et stabilisent la volatilité des marchés ? Peut-être que le but de la taxe Tobin est de diminuer la bulle du secteur financier européen. Dans ce cas, c’est encore une fois faire fausse route. Le problème de l’Europe est ses banques, à la fois trop grandes pour faire faillite et trop grandes pour être sauvées. La taxe Tobin ne ferait rien de plus que de les rétrécir. Au contraire, en décourageant les transactions sécurisées, cela incitera les investisseurs à déplacer leurs fonds sur des comptes en banque et des certificats de dépôts. La taxe Tobin ne corrigerait pas non plus la sous-capitalisation des banques Européennes, ou que les prêts bancaires procycliques amplifient les cycles économiques (et la réglementation fait peu pour corriger ce biais). Pardonnez ma naïveté, mais j’ai commencé de penser que la politique plutôt que l’économie pouvait expliquer l’enthousiasme des leaders européens pour la taxe Tobin. Sarkozy peut couper l’herbe sous le pied des socialistes dans la course à l’élection présidentielle de ce printemps. En soutenant Sarkozy, Merkel peut avoir en retour ce qu’elle désire vraiment. : le support des Français pour des règles fiscales plus strictes. De plus, les leaders européens peuvent prétendre que le secteur financier contribue aux nettoyages des comptes de l’Europe. Pour paraphraser le fameux discours du Sénateur Dan Quayle lors d’un débat de l’élection présidentielle américaine en 1988 : ‘je connaissais James Tobin. James Tobin était un de mes amis, mon mentor, et pendant une brève période privilégiée, mon coauteur. Tobin ne serait pas content de voir sa proposition détournée ainsi’. Bien que personne ne puisse dire avec certitude ce que Tobin aurait pensé de la crise européenne, sa priorité a toujours été la recherche du plein emploi. Nous pouvons supposer qu’il aurait pressé les hommes politiques européens à abandonner leur obsession idiote sur une taxe sur les transactions financières. à la place, il leur aurait demandé de réparer leurs systèmes bancaires défaillants et d’utiliser tous les moyens fiscaux et monétaires à leurs dispositions pour faire redémarrer la croissance économique. Barry Eichengreen is Professor of Economics and Political Science at the University of California, Berkeley. Copyright: Project Syndicate, 2012.www.project-syndicate.org
  5. Bonjour Talibore… La première ligne de l'article montre que le lavage de cerveaux a bien marché : eh oui l'Etat peut et doit tout. Surtout aucune initiative privée pour aider son prochain… Des gens qui se prennent en main pour aider les autres? Mais c'est le début de l'anarchie vous n'y pensez pas!
  6. +1 et de toutes les manières, les cartes ne permettent de rien déduire de particulier! Jesrad, je serai intéressé par quelques liens et ou conseils sur des livres concernant les centrales au thorium, ce qui me semble être l'avenir de l'énergie!
  7. En Bretagne, en Auvergne, dans le Morvan, dans une partie de la Provence, il y a de la radioactivité naturelle : j'avais vu la carte sur Capital, le magazine. Quelle est la corrélation avec les taux de cancers? http://www.irsn.fr/F…sure-radon.aspx http://www.inserm.fr…-face-au-cancer http://blog.passion-…terre-de-cancer… Il est difficile en regardant les images de faire coller quoi que ce soit. Et les différences entre hommes et femmes sont plutôt flagrantes! N'est ce pas le mode de vie qui influe plus que la radioactivité naturelle? (Désolé je ne peux pas encore afficher les liens : si un administrateur peut arranger ça pour ce post, je l'en remercierai)
  8. Bonjour JATW, J'ai relu plusieurs fois la traduction de l'article sur la taxe Tobin. Je le relis à nouveau dans la journée après m'être changé les idées pour avoir les bonnes tournures de phrases et je le poste ce soir. Nicolas
  9. Ok je surveillerais les traductions de petite taille… mais je ne suis pas sûr qu'il y en ait beaucoup! Je dois avouer que je n'ai pas de spécialités flagrantes pour les sujets traités par Contrepoints (je travaille dans le domaine de la qualité dans l'industrie). Les sujets qui m'intéressent sont plutôt des hobbies et je n'ai pas de compétences diplômées en économie. Il est vrai que la qualité de mes traductions doivent être améliorées. Mais est il possible que vous assuriez la relecture pendant quelques temps encore? De mon côté je vais faire encore plus attention car je suis bien d'accord avec vous les traductions doivent être de qualité.
  10. Oubliez le réchauffement climatique – Nous devons nous préoccuper du Cycle 25 (et si les scientifiques de la NASA ont raison la Tamise devrait geler à nouveau Le Met Office a dévoilé de nouveaux chiffres qui ne montrent aucun réchauffement depuis 15 ans. Par David Rose Dernière mise à jour à 17:38 le 29 Janvier 2012 Le ‘consensus’ supposé autour de la question du réchauffement climatique d’origine humaine fait l'objet de plus en plus de contestation. De nouvelles données montrent que la planète ne s’est pas réchauffée au cours des15 dernières années. Les chiffres montrent même que nous pourrions faire face à une mini période glaciaire. Ce qui pourrait être comparer á la baisse des températures durant une période de 70 ans qui a vu des blocs de glaces flottés sur la Tamise au 17ème siècle. Etablies à partir d'une analyse de plus de 30.000 stations météorologiques, le Met Office (NdT le météo France britannique)et le département de Recherche Climatique de l’université d'East Anglia ont publié sans fanfareles données la semaine dernière . Ils confirment que la tendance á l’élévation de la température mondiale a cessé en 1997. Une peinture de 1684 de Abraham Hondius peignant un des nombreux blocs de glace sur la Tamise pendant le petit âge glaciaire Pendant ce temps, des climatologues ont expliqué au “Mail on Sunday” qu’après avoir émis un niveau particulièrement élevé d’énergie tout au long du 20ème siècle, le Soleil se dirige dorénavant vers un ‘grand minimum’ de son activité. Il nous menaçe d’étés froids, d’hivers rigoureux et un raccourcissement des saisons pour faire pousser notre nourriture. L’activité solaire passe par un cycle de 11 ans, avec un grand nombre de tâche solaire lors de l’apogée. Nous sommes aujourd’hui à ce qui serait l’apogée du ‘Cycle 24’ – ce qui explique pourquoi la tempête solaire a permis de voir des aurores boréales beaucoup plus au Sud que d’habitude. Mais les tâche solaires sont moitié moins nombreuses aujourd’hui que lors de l’observation des apogées des cycles solaires du 20ème siècle. Les analyses des experts de la NASA et de l’université de l’Arizona – à partir de la mesure des champs magnétiques à 120,000 miles (190.000 kms) de profondeur sous la surface du soleil – montrent que le Cycle 25, dont l’apogée est prévu en 2022, sera toutefois nettement plus faible que les précédents. Plus… Hotter summers 'may kill 5,900 every year', warns first national risk assessment of climate change Winter bites back: Britain braced for first cold snap of year as ice and snow transform countryside in scenes of breathtaking beauty What are the mysterious blue balls that fell from the sky over Bournemouth? Selon un rapport du Met Office paru la semaine dernière, il y a 92 pourcent de chance qu’à la fois le Cycle 25 et ceux des prochaines décennies soient faibles, ou plus faible que le ‘minimum de Dalton’ de 1790 à 1830. Dans cette période, du nom du météorologiste John Dalton, les températures moyennes à travers l’Europe ont baissé de 2°C. Cependant, il est également possible que l’effondrement d’émission d’énergie solaire soit aussi profond que le ‘minimum de Maunder’ (d’après l’astronome Edward Maunder). Entre 1645 et 1715, au moment les plus froids du ‘Petit Age Glaciaire’, il y avait présence de blocs de glace sur la Tamise, et en même temps les canaux de Hollande étaient aussi gelés. Dans son rapport, le Met Office affirme encore que les conséquences seraient dorénavant négligeables – car l’impact du Soleil sur le climat est bien plus faible que le dioxyde de carbone d’origine humaine. Bien qu’il soit probable que l’activité solaire baisse jusqu’en 2100, ‘cela ne causerait qu’une réduction dans les températures globales de 0,08°C.’ selon Peter Stott, un des auteurs. Il a également ajouté : ‘nos découvertes suggèrent qu’une réduction de l’activité solaire à des niveaux jamais atteints depuis des centaines d’années serait insuffisante pour contrer l’influence prépondérante des gaz à effets de serre.’ D’autres experts du Soleil contestent férocement ces découvertes. ‘Les températures globales pourraient finir par être beaucoup plus froides qu’actuellement pour les 50 prochaines années ou plus,’explique Henrik Svensmark, directeur du Centre de Recherche Soleil et Climat à l’Institut National de l’Espace du Danemark. ‘Ce sera une longue bataille pour convaincre quelques climatologues que le soleil est important. Il est possible que le Soleil va le démontrer par lui-même, sans avoir besoin d’aides.’ Il a souligné qu’en annonçant que l’effet du minimum solaire serait faible, le Met Office faisait confiance à leurs modèles informatiques. Ces derniers sont disqualifiés car incapables de voir la pause dans le réchauffement global. Les niveaux de CO2 ont continué à s’élever sans interruption. En 2007, le Met Office annonçait que le réchauffement climatique allait bientôt faire un retour fracassant. Il précisait qu’entre 2004 et 2014 il y aurait une élévation globale de 0,3 °C. En 2009, il avait prévu qu’au moins 3 années entre 2009 et 2014 allaient battre le record précèdent établi en 1998 Jusqu’ici rien de tel ne se passe. Mais hier un porte-parole du Met Office a insisté pour dire que ses modèles étaient encore valides. ‘Les projections à dix ans restent une science révolutionnaire. La période pour la projection originale n’est pas terminée’ dit-il. Dr Nicola Scafetta, de l’Université de Duke de Caroline du Nord, est l’auteur de plusieurs articles soutenant que les modèles climatiques du Met Office montrent qu’il y aurait dû y avoir ‘une augmentation continue des températures depuis l’an 2000 jusqu’à aujourd’hui’. ‘Si les températures continuent de rester stables ou commencent à se refroidir, la divergence entre les modèles et les données réellement enregistrées va devenir très grande. à la longue, toute la communauté scientifique va mettre en question les théories actuelles,’dit-il. Il croit que le modèle du Met Office donne beaucoup trop d’importance au CO2 par rapport au Soleil. Scafetta est obligé de conclure qu’il n’y aura pas de refroidissement. ‘Le véritable problème est de savoir si le modèle en lui-même est fiable (précis),’ Dr Scafetta ajoute : ‘en attendant, un des plus éminents climatologues des Etats-Unis, le Professeur Judith Curry du Georgia Institute of Technology, a dit qu’elle trouvait que la confiance dans la prédiction d’un impact ‘négligeable’ [du Soleil] assez difficile à comprendre. ‘Accepter que le modèle a des lacunes en ce qui concerne l’influence du Soleil serait la chose responsable à faire,’ dit le Professeur Curry. En ce qui concerne la pause dans le réchauffement, elle dit que beaucoup de scientifiques ‘ne sont pas surpris’. Elle soutient qu’il devient évident que d’autres facteurs que le CO2 jouent un rôle important dans l’augmentation ou la baisse de la chaleur, comme les cycles de 60 ans sur la température de l’eau dans les océans Pacifique et Atlantique. ‘Elles ont été très largement sous-estimées en termes de climat global,’ dit le Professeur Curry. Quand les deux océans étaient froids dans le passé, comme par exemple entre 1940 et 1970, le climat s’est refroidi. Le cycle du Pacifique s’est retourné du chaud au froid en 2008 et la même chose va arriver pour l’Atlantique dans les toutes prochaines années. Pal Brekke, conseiller principal du Centre Spatial Norvégien, a dit que certains scientifiques acceptent difficilement l’importance des cycles sur les températures océaniques. En effet, ils reconnaitraient que les océans – et pas le CO2 – ont énormément influencé le réchauffement global entre 1970 et 1997. Il arrive la même chose pour l’impact du Soleil. Celui-ci a été très actif pendant presque tout le 20ème siècle. ‘La nature va bientôt effectuer une expérience très intéressante,’ a-t-il dit. ‘D’ici 10 à 15 ans, nous serons beaucoup plus aptes à déterminer si le réchauffement de la fin du 20ème siècle était vraiment causé par le CO2 d’origine humaine ou par des variations naturelles.’ En attendant, depuis la fin de l’année dernière, les températures mondiales ont baissé de plus d’un demi-degré, puisque l’effet froid de ‘La Nina’ se fait à nouveau sentir dans le Sud Pacifique. ‘Nous sommes bien dans la seconde décennie de pause,’ explique Benny Peiser, directeur de la Fondation Politique du Réchauffement Climatique. ‘Si nous n’avons pas de preuve évidente du réchauffement global d’ici à 2015, il sera évident que les modèles informatiques sont mauvais. Et, si ils le sont, les conséquences pourraient être très sérieuses pour certains scientifiques.’ Lisez plus: http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-2093264/Forget-global-warming--Cycle-25-need-worry-NASA-scientists-right-Thames-freezing-again.html#ixzz1luyAGt1N Dans son rapport, le Met Office affirme encore que les conséquences seraient dorénavant négligeables – car l’impact du Soleil sur le climat est bien plus faible que le dioxyde de carbone d’origine humaine. Bien qu’il soit probable que l’activité solaire baisse jusqu’en 2100, ‘cela ne causerait qu’une réduction dans les températures globales de 0,08°C.’ selon Peter Stott, un des auteurs. Il a également ajouté : ‘nos découvertes suggèrent qu’une réduction de l’activité solaire à des niveaux jamais atteints depuis des centaines d’années serait insuffisante pour contrer l’influence prépondérante des gaz à effets de serre.’ D’autres experts du Soleil contestent férocement ces découvertes. ‘Les températures globales pourraient finir par être beaucoup plus froides qu’actuellement pour les 50 prochaines années ou plus,’explique Henrik Svensmark, directeur du Centre de Recherche Soleil et Climat à l’Institut National de l’Espace du Danemark. ‘Ce sera une longue bataille pour convaincre quelques climatologues que le soleil est important. Il est possible que le Soleil va le démontrer par lui-même, sans avoir besoin d’aides.’ Il a souligné qu’en annonçant que l’effet du minimum solaire serait faible, le Met Office faisait confiance à leurs modèles informatiques. Ces derniers sont disqualifiés car incapables de voir la pause dans le réchauffement global. Les niveaux de CO2 ont continué à s’élever sans interruption. En 2007, le Met Office annonçait que le réchauffement climatique allait bientôt faire un retour fracassant. Il précisait qu’entre 2004 et 2014 il y aurait une élévation globale de 0,3 °C. En 2009, il avait prévu qu’au moins 3 années entre 2009 et 2014 allaient battre le record précèdent établi en 1998 Jusqu’ici rien de tel ne se passe. Mais hier un porte-parole du Met Office a insisté pour dire que ses modèles étaient encore valides. ‘Les projections à dix ans restent une science révolutionnaire. La période pour la projection originale n’est pas terminée’ dit-il. Dr Nicola Scafetta, de l’Université de Duke de Caroline du Nord, est l’auteur de plusieurs articles soutenant que les modèles climatiques du Met Office montrent qu’il y aurait dû y avoir ‘une augmentation continue des températures depuis l’an 2000 jusqu’à aujourd’hui’. ‘Si les températures continuent de rester stables ou commencent à se refroidir, la divergence entre les modèles et les données réellement enregistrées va devenir très grande. à la longue, toute la communauté scientifique va mettre en question les théories actuelles,’dit-il. Il croit que le modèle du Met Office donne beaucoup trop d’importance au CO2 par rapport au Soleil. Scafetta est obligé de conclure qu’il n’y aura pas de refroidissement. ‘Le véritable problème est de savoir si le modèle en lui-même est fiable (précis),’ Dr Scafetta ajoute : ‘en attendant, un des plus éminents climatologues des Etats-Unis, le Professeur Judith Curry du Georgia Institute of Technology, a dit qu’elle trouvait que la confiance dans la prédiction d’un impact ‘négligeable’ [du Soleil] assez difficile à comprendre. ‘Accepter que le modèle a des lacunes en ce qui concerne l’influence du Soleil serait la chose responsable à faire,’ dit le Professeur Curry. En ce qui concerne la pause dans le réchauffement, elle dit que beaucoup de scientifiques ‘ne sont pas surpris’. Elle soutient qu’il devient évident que d’autres facteurs que le CO2 jouent un rôle important dans l’augmentation ou la baisse de la chaleur, comme les cycles de 60 ans sur la température de l’eau dans les océans Pacifique et Atlantique. ‘Elles ont été très largement sous-estimées en termes de climat global,’ dit le Professeur Curry. Quand les deux océans étaient froids dans le passé, comme par exemple entre 1940 et 1970, le climat s’est refroidi. Le cycle du Pacifique s’est retourné du chaud au froid en 2008 et la même chose va arriver pour l’Atlantique dans les toutes prochaines années. Pal Brekke, conseiller principal du Centre Spatial Norvégien, a dit que certains scientifiques acceptent difficilement l’importance des cycles sur les températures océaniques. En effet, ils reconnaitraient que les océans – et pas le CO2 – ont énormément influencé le réchauffement global entre 1970 et 1997. Il arrive la même chose pour l’impact du Soleil. Celui-ci a été très actif pendant presque tout le 20ème siècle. ‘La nature va bientôt effectuer une expérience très intéressante,’ a-t-il dit. ‘D’ici 10 à 15 ans, nous serons beaucoup plus aptes à déterminer si le réchauffement de la fin du 20ème siècle était vraiment causé par le CO2 d’origine humaine ou par des variations naturelles.’ En attendant, depuis la fin de l’année dernière, les températures mondiales ont baissé de plus d’un demi-degré, puisque l’effet froid de ‘La Nina’ se fait à nouveau sentir dans le Sud Pacifique. ‘Nous sommes bien dans la seconde décennie de pause,’ explique Benny Peiser, directeur de la Fondation Politique du Réchauffement Climatique. ‘Si nous n’avons pas de preuve évidente du réchauffement global d’ici à 2015, il sera évident que les modèles informatiques sont mauvais. Et, si ils le sont, les conséquences pourraient être très sérieuses pour certains scientifiques.’ Lisez plus: http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-2093264/Forget-global-warming--Cycle-25-need-worry-NASA-scientists-right-Thames-freezing-again.html#ixzz1luyAGt1N
  11. Ok mais en fait je dois avouer que j'ai toujours un peu de mal à voir les fautes que je faisais dans mes devoirs scolaires… Avant de me lancer dans la nouvelle traduction, je vais donc relire une nouvelle fois ma traduction pour la reposter!
  12. Bonjour JATW, Merci pour les petites corrections qui rendent l'intro plus incisive… Je vais donc essayer de faire en sorte de mieux relire mes premières lignes, car il semblerait que ce soit là où se trouvent les plus grandes fautes… Pour ce faire, je propose de traduire ce texte… Je vais tenter de le rendre pour demain. Je prendrai également un cliché du socialisme dans la semaine (je choisirai celui qui me paraît le plus intéressant, à moins qu'il yait une priorité).
  13. Oui, en attendant ça ne change rien au fait que plutôt de jouer par quel endroit on se fait ponctionner, ils n'ont pas eu l'idée de voter une baisse des dépenses!
  14. Chers correcteurs, A vos stylos : en espérant que je ne finirai pas par être disqualifié à cause de mes trop nombreuses fautes de style et d'orthographe… J'envoie une copie par mail à la rédaction du document Word… Oubliez le réchauffement climatique – Nous devons nous préoccuper du Cycle 25 (et si les scientifiques de la NASA ont raison la Tamise devrait geler à nouveau Le Met Office a dévoilé de nouveaux chiffres qui ne montrent aucun réchauffement depuis 15 ans. Par David Rose Dernière mise à jour à 17:38 le 29 Janvier 2012 Le ‘consensus’ supposé sur le réchauffement climatique d’origine humaine rencontre un challenge énorme et difficile après la révélation de nouvelles données sur la température montrant que la planète ne s’est pas réchauffée sur les 15 dernières années. Les chiffres montrent même que nous pourrions faire face à une mini période glaciaire qui pourrait rivaliser avec la baisse des températures pendant 70 ans qui a permis de voir des blocs de glace sur la Tamise dans le 17ème siècle. Basé sur les analyse de plus de 30.000 stations météorologiques, les données ont été publiées la semaine dernière sans fanfare par le Met Office (NdT le météo France britannique) et le département de Recherche Climatique de l’université de East Anglia. Cela confirme que la tendance de l’élévation de la température mondiale a cessé en 1997. Une peinture de 1684 de Abraham Hondius peignant un des nombreux blocs de glace sur la Tamise pendant le petit âge glaciaire Pendant ce temps, des chercheurs en pointe dans la climatologie ont expliqué au “Mail on Sunday” qu’après avoir émis un niveau particulièrement élevé d’énergie tout au long du 20ème siècle, le Soleil se dirige dorénavant vers un ‘grand minimum’ de son activité, nous menaçant d’étés froids, d’hivers rigoureux et un raccourcissement des saisons pour faire pousser notre nourriture. L’activité solaire passe par un cycle de 11 ans, avec un grand nombre de tâche solaire lors de l’apogée. Nous sommes aujourd’hui à ce qui serait l’apogée du ‘Cycle 24’ – ce qui explique pourquoi la tempête (je ne suis pas sûr du terme en Français) solaire a permis de voir des aurores boréales beaucoup plus au Sud que d’habitude. Mais les tâche solaires sont moitié moins nombreuses aujourd’hui que celles observées à l’apogée des cycles solaires du 20ème siècle. Les analyses des experts de la NASA et de l’université de l’Arizona – à partir de la mesure des champs magnétiques à 120,000 miles (190.000 kms) de profondeur sous la surface du soleil – montre que le Cycle 25, dont l’apogée est prévu en 2022, sera toutefois nettement plus faible. Plus… Hotter summers 'may kill 5,900 every year', warns first national risk assessment of climate change Winter bites back: Britain braced for first cold snap of year as ice and snow transform countryside in scenes of breathtaking beauty What are the mysterious blue balls that fell from the sky over Bournemouth? Selon un rapport du Met Office paru la semaine dernière, il y a 92 pourcent de chance qu’à la fois le Cycle 25 et ceux des prochaines décennies soient faibles, ou plus faible que le ‘minimum de Dalton’ de 1790 à 1830. Dans cette période, appelé ainsi en rapport avec le météorologiste John Dalton, les températures moyennes à travers l’Europe ont baissé de 2°C. Cependant, il est également possible que l’effondrement de l’énergie solaire soit aussi profond que le ‘minimum de Maunder’ (d’après l’astronome Edward Maunder), entre 1645 et 1715 au moment les plus froids du ‘Petit Age Glaciaire’ quand, dans le même temps de la présence de blocs de glace sur la Tamise, les canaux de Hollande étaient aussi pris sous les glaces. Dans son rapport, le Met Office affirme encore que les conséquences seraient dorénavant négligeables – car l’impact du Soleil sur le climat est bien plus faible que le dioxyde de carbone d’origine humaine. Bien qu’il soit probable que l’activité solaire baisse jusqu’en 2100, ‘cela ne causerait qu’une réduction dans les températures globales de 0,08°C.’ Peter Stott, un des auteurs, a dit : ‘nos découvertes suggèrent qu’une réduction de l’activité solaire à des niveaux jamais atteints depuis des centaines d’années serait insuffisante pour contrer l’influence prépondérante des gaz à effets de serre.’ Ces découvertes sont férocement contestées par d’autres experts du soleil. ‘Les températures du monde pourraient finir par être beaucoup plus froides qu’actuellement pour les 50 prochaines années ou plus,’explique Henrik Svensmark, directeur du Centre de Recherche Soleil et Climat à l’Institut National de l’Espace du Danemark. ‘Ce sera une longue bataille pour convaincre quelques climatologues que le soleil est important. Il est possible que le Soleil va le démontrer par lui-même, sans avoir besoin d’aides.’ Il a souligné qu’en annonçant que l’effet du minimum solaire serait faible, le Met Office faisait confiance au même modèles informatiques, disqualifiés car incapables de voir la pause dans le réchauffement global. Les niveaux de CO2 ont continué à s’élever sans interruption et, en 2007, le Met Office annonçait que le réchauffement climatique allait bientôt faire un retour fracassant. Il a dit qu’entre 2004 et 2014 il y aurait une élévation globale de 0,3 °C. En 2009, il a prévu qu’au moins 3 années entre 2009 et 2014 va casser le record précèdent établi en 1998 Jusqu’ici rien de tel ne se passe. Mais hier un porte-parole du Met Office a insisté pour dire que ses modèles étaient encore valides. ‘Les projections à dix ans restent une science révolutionnaire. La période pour la projection originale n’est pas terminée’ dit-il. Dr Nicola Scafetta, de l’Université de Duke de Caroline du Nord, est l’auteur de plusieurs articles soutenant que les modèles climatiques du Met Office montre qu’il y aurait dû y avoir ‘une augmentation continue des températures depuis l’an 2000 jusqu’à aujourd’hui’. ‘Si les températures continuent de rester stables ou commencent à se refroidir, la divergence entre les modèles et les données réellement enregistrées va devenir si grande à la longue que toute la communauté scientifique va mettre en question les théories actuelles,’dit-il. Il croit que le modèle du Met Office donne beaucoup trop d’importance au CO2 par rapport au Soleil, et il est obligé de conclure qu’il n’y aura pas de refroidissement. ‘Le véritable problème est de savoir si le modèle en lui-même est fiable (précis),’ Dr Scafetta dit : ‘en attendant, un des plus éminents climatologues des Etats-Unis, le Professeur Judith Curry du Georgia Institute of Technology, a dit qu’elle trouvait que la confiance dans la prédiction d’un impact ‘négligeable’ [du Soleil] assez difficile à comprendre. ‘La chose responsable à faire serait d’accepter que le modèle a des lacunes en ce qui concerne l’influence du Soleil,’ dit le Professeur Curry. En ce qui concerne la pause dans le réchauffement, elle dit que beaucoup de scientifiques ‘ne sont pas surpris’. Elle soutient qu’il devient évident que d’autres facteurs que le CO2 jouent un rôle important dans l’augmentation ou la baisse de la chaleur, comme les cycles de 60 ans sur la température de l’eau dans les océans Pacifique et Atlantique. ‘Elles ont été très largement sous-estimées en termes de climat global,’ dit le Professeur Curry. Quand les deux océans étaient froids dans le passé, comme par exemple entre 1940 et 1970, le climat s’est refroidi. Le cycle du Pacifique s’est retourné du chaud au froid en 2008 et la même chose va arriver pour l’Atlantique dans les toutes prochaines années. Pal Brekke, conseiller principal du Centre Spatial Norvégien, a dit que certains scientifiques acceptent difficilement l’importance des cycles sur les températures océaniques, car il reconnaitrait que les océans – et pas le CO2 – ont énormément influencé le réchauffement global entre 1970 et 1997. Il arrive la même chose pour l’impact du Soleil – qui était très actif pendant presque tout le 20ème siècle. ‘La nature va bientôt effectuer une expérience très intéressante,’ a-t-il dit. ‘D’ici 10 à 15 ans, nous serons beaucoup plus apte à déterminer si le réchauffement de la fin du 20ème siècle était vraiment causé par le CO2 d’origine humaine ou par des variations naturelles.’ En attendant, depuis la fin de l’année dernière, les températures mondiales ont baissé de plus d’un demi-degré, puisque l’effet froid de ‘La Nina’ se fait à nouveau sentir dans le Sud Pacifique. ‘Nous sommes bien dans la seconde décennie de pause,’ explique Benny Peiser, directeur de la Fondation Politique du Réchauffement Climatique. ‘Si nous n’avons pas de preuve évidente du réchauffement global d’ici à 2015, il sera évident que les modèles informatiques sont mauvais. Et, si ils le sont, les conséquences pourraient être très sérieuses pour certains scientifiques.’ Lisez plus: http://www.dailymail…l#ixzz1luyAGt1N Merci à tous pour votre retour!
  15. Nullement souhaitable je suis bien d'accord… Peut etre que le choc de devenir adulte et responsable permettra d'éviter le chaos… Maintenant, évitable, je ne vois pas trop comment! Mais j'espère que vous ayez raison !
  16. Eh bien pour paraphraser H16, il faudra posséder du plomb et de l'or dans cet ordre! Après une période de cahos, le calme reviendra bien de gré ou de force… Et les gens raisonnables sont la majorité… du moins je l'espère.
  17. Tant pis pour ceux qui n'ont pas su grandir… Je suis peut-être dur dans mes termes mais tant pis pour ceux qui ne sont pas assez murs pour supporter la liberté… Ils pourront toujours partir vers des endroits plus dirigistes!
  18. Gil, ça te fait peur pour toi : donc tu n'y toucheras pas… Et tu inciteras les personnes que tu connais à éviter d'en consommer! Le but est de mettre en avant le corrollaire de la liberté qu'est la responsabilité individuelle… Après tout, si des gens se droguent, qu'ils le fassent en responsables et qu'ils ne viennent pas pleurer sur les conséquences malheureuses de leurs actes!
  19. Merci pour votre aide… Les corrections permettent effectivement une lecture plus fluide et je suis navré pour les trop nombreuses fautes…. Je vais essayer de faire plus attention!
  20. Je veux bien prendre en charge la traduction de cet article : Oubliez le réchauffement global. Date de sortie prévue de la traduction vendredi matin. Bonjour JATW, pourrais tu me dire ou me donner quelques liens sur la série les "clichés du socialisme"? Je ne l'ai pas trouvé dans le tableur Google Docs. J'ai encore de longues soirées prévues sous la couette jusqu'a mi mars, je peux donc tenter d'épurer une partie du stock!
  21. ci joint la traduction de Obama réveille un géant endormi l’Obamacare réveille un géant endormi Mike Brownfield February 7, 2012 at 10:06 am (69) En effet, il s’agit d’un rare moment où les gens de toutes confessions font cause communes. C’est encore plus rare quand la cause est politique, avec comme cible principale un seul et unique projet de loi. Mais quand la loi détruit la fondation même de la liberté religieuse aux Etats-Unis protégée par le premier Amendement, il n’est pas surprenant que les Catholiques et les Juifs, les Evangélistes et les Protestants fassent cause commune dans la défense de leurs libertés. Ainsi en est-il de l’opposition grandissante à l’”Obamacare” et de l'attaque de l'administration Obama sur la liberté religieuse. Suite au nouvel amendement propose par le Département de la Santé et des Services Sociaux (HHS), la Maison Blanche impose que tous les employeurs religieux, à l’exception des Eglises, fournisse à leurs employés une assurance couvrant la contraception – y compris des médicaments entraînant l’avortement – piétinant ainsi la garantie constitutionnelle du libre exercice de la religion. Cet amendement a donc causé une réponse passionnée dans les églises et les synagogues de tout le pays. Hier, le responsable de la Ligue Catholique, Bill Donohue, a prévenu que les 70 millions de catholiques américains sont prêts à faire la guerre aux dictats de l’administration, expliquant : “Jamais auparavant, et c’est sans précédent dans l’histoire des Etats-Unis, le gouvernement fédéral ne s’était dressé ainsi contre l’Eglise Catholique Romaine. Nous allons nous battre avec des poursuites aux tribunaux, avec des décisions de justice, et, j’ose le dire, peut-être même jusque dans les rues.” L’appel de Donohue suit celui de la conférence des Evêques Catholiques Américains et celui d'au moins 153 evêques catholiques à travers tout le pays qui pèsent de tous leurs poids dans l’opposition à ce amendement. “Nous, Catholiques, sommes contraints soit à violer nos consciences, soit à abandonner la couverture santé de nos employés, et être punis pour cela,” a écrit l’évêque Alexander Sample de Marquette, Michigan. Ces pénalités, y compris financières, imposées par la gouvernement fédéral, pourraient coûter plusieurs millions de dollar par an aux organisations les plus grandes. L’église catholique n’est pas la seule dans son opposition à la charge de l’Obamacare contre la liberté religieuse. David Addington, le vice-président de la Foundation Heritage sur les questions intérieures et la politique économique, détaille le nombre de plus en plus importants de fidèles qui disent que l’Administration Obama a franchi la ligne blanche. L’ Association Nationale des Evangélistes a commenté que “les lois du HHS bafoue l’une de nos libertés les plus appréciés et inscrit un dangereux précédent” et la Congrégation de l'Union des Juifs Orthodoxes des Etats Unis “En refusant d’étendre la dérogation religieuse sur la loi sur les assurances santé, l’administration Obama a dramatiquement échoué à respecter les besoins des organisations religieuses comme les hôpitaux, les associations caritatives et bien plus” La « Agudath Israel of America » a expliqué son opposition, comme l’a fait la Synode de l'Eglise Luthérienne du Missouri et l’ Assemblée des Evêques Canoniques Orthodoxes d'Amérique du Nord et d'Amérique Centrale. L’Administration Obama commence à ressentir la pression. Dimanche, Kathleen Sebelius, secrétaire du HHS, a écrit un op-ed (NdT un éditorial d’opinion) dans USA Today défendant les actions de l’Administration Obama, prétendant qu’une toute petite exception à cet amendement est une preuve que la Maison Blanche “travaille à trouver le juste équilibre entre les croyances religieuses et l’amélioration des accès aux femmes à des services critiques de prévention de la santé.” Pourtant, cette dispense ne concerne pas des institutions comme des écoles religieuses et des hôpitaux. Sebelius peut prétendre que l’Administration fait une fleur aux croyants, mais en fait ce n’en est pas une. Dans un éditorial écrit le même jour que celui de Sebelius,’ USA Today était d'accord avec ceux qui se battent pour la liberté de culte, écrivant ”qu’en élaborant les règles ayant entrainé la modification de la réforme sur la santé, ” l’Administration Obama ”avait franchi la ligne et avait transgressé la règle simple que le gouvernement devrait se tenir éloigné le plus que possible des affaires des églises.” Les actions de l’Administration Obama, bien qu’entièrement contraire à la liberté de cultes, ne devrait pas être une surprise connaissant la nature de la réforme de la santé. Obamacare a donné au gouvernement fédéral la toute-puissance sur un sixième de l’économie américaine et ainsi prétend accorder à Washington le pouvoir de forcer les institutions religieuses à faire des choses contraires à leur foi. Addington écrit que ce genre de concentration des pouvoirs “s’est avéré être une expérience radicale et dangereuse.” Les leaders religieux américains et les croyants se sont éveillés au danger et se battent pour la défense de leurs libertés. Le Congrès devrait lui aussi réagir maintenant en abrogeant l’Obamacare et en restaurant la liberté de culte, tellement centrale dans notre style de vie. Je n'ai pas traduit les liens en bas d'article vers d'autres posts sur le sujet. J'ai envoyé également le document Word par mail à la rédaction.
  22. Merci à V. Bénard pour le lien sur Twitter : Téléchargez le rapport Perruchot avant que la censure ne frappe http://bit.ly/AktXq8 ça montre des aides aux syndicats : voila le genre de subventions à supprimer immédiatement!
  23. Je suis bien d'accord avec vous… Encore une fois qu'on laisse la liberté de choisir de cotiser ou non à des assurances chômages… Mais le but de mon premier post était de montrer que les allocs chomages telles que définies en France apportait leurs lots d'effets indésirables qui n'avait pas été (pré)vus par celui qui a mis en place les Assedics… J'aurais pu ajouter toutes les magouilles derrière la gestion paritaire de l'Unedic qui doivent être légions mais bien cachées!
  24. Oui j'ai vu apparaitre la requête Bastiat 2012 assez rapidement dans Google…
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