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Strauss-Kahn a des ennuis


Coldstar

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:online2long: Je n'ai jamais dit que les brouilleurs sont des appareils hi-tech, c'est utilisé dans les salles de spectacles depuis des années, je pose juste la question : pourquoi diable y aurait-il un brouilleur près de l'aéroport JFK? Pourquoi là? Et si il y en a là, il y en a nécessairement sur beaucoup de sites aux USA.

Le plus vraisemblable, c'est tout simplement de couper les communications mobiles.

Un brouilleur de haut niveau permet surtout de bloquer les engins explosifs télécommandés. Si je ne m'abuse, les terroristes se servent fréquemment de téléphones portables comme détonateurs à distance. Il me parrait assez peu surprenant qu'un aéroport de cette importance aux USA dont on connait les préoccupations sécuritaires soit rempli jusqu'à la gueule d'instruments susceptibles d'empêcher un attentat.

Et puis il y a les accidents d'interférences. J'ai lu et entendu je ne sais combien de fois que les téléphones portables peuvent créer des dysfonctionnement dans les appareils du cockpit au décollage et à l’atterrissage de l'avion. Même si le risque est faible, je suis sur qu'il est suffisant pour justifier des montagnes de procédures de sécurité.

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Un brouilleur de haut niveau permet surtout de bloquer les engins explosifs télécommandés. Si je ne m'abuse, les terroristes se servent fréquemment de téléphones portables comme détonateurs à distance. Il me parrait assez peu surprenant qu'un aéroport de cette importance aux USA dont on connait les préoccupations sécuritaires soit rempli jusqu'à la gueule d'instruments susceptibles d'empêcher un attentat.

Bah, c'est bizarre mais c'est ce que j'ai dit aussi :

Ensuite, je dirais que cela ne m'étonne pas du tout que les flics puissent faire cela, surtout quand on sait que les explosifs utilisés par les terroristes se divisent en deux catégories et deux seulement je crois, celles actionnés par un kamikaze, et celles actionnées à distance par un téléphone GSM. D'où l'intérêt d'avoir ce genre de leviers, si on a une menace en cours, mieux vaut couper tous les téléphones.

:online2long:

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Ok, bon, j'avais…loupé cette phrase. :blushing: :blushing:

Hop hop hop, attention, si j'ai réagit c'est parce que, par un pur hasard, tu dois être le troisième qui dit un truc en me répondant… alors que moi-même j'étais de son avis ou avais dit la même chose!

T'as pris pour tout le monde mon pauvre garçon! :lol:

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Allez, parce qu'un brin d'humour ne fait jamais de mal, voici l'analyse de l'affaire par Thierry Meyssan :

http://www.voltairenet.org/article170056.html

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Bonheur, joie continue :

Cependant les Français étant un peuple politisé, nourri des leçons de Machiavel sans jamais l’avoir lu, n’ont pas tardé à s’interroger sur le bien-fondé de l’accusation portée contre leur concitoyen, DSK. À 57 %, selon des sondages d’opinion, ils n’ont pas cru cette histoire de rut que les médias états-uniens se délectent à raconter. Les uns se sont mis à imaginer les scenari possibles de manipulation, tandis que les autres se demandaient « Cui bono ? » (À qui profite le crime ?).

À ce jeu là, le premier nom qui vient à l’esprit est celui de Nicolas Sarkozy. Comment ne pas y penser lorsque l’on se souvient qu’il est devenu président en portant plainte contre son principal rival, Dominique de Villepin, et en l’empêtrant dans une affaire tout aussi rocambolesque de faux documents. Alors, pourquoi pas un nouveau complot pour écarter un nouveau concurrent ?

Une petite citation (qui date un peu) de DSK que je viens d'entendre : Ce cas de Corée me turlupine:sorcerer:

Excellente mais elle était inscrite au registre avant qu'il ne la prononce.

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Un défenseur des droits civiques face au progressiste DSK…

Norman Siegel, une star du barreau, spécialiste de la lutte contre les discriminations, va défendre la victime d'origine guinéenne.

Race, sexe, pouvoir, argent, la réalité de l'affaire Strauss-Kahn dépasse la fiction, mais l'entrée en scène d'un nouveau personnage, Norman Siegel, est un signe supplémentaire qu'elle ira bien au-delà de sa dimension judiciaire. Quelle que soit la vérité sur ce qui s'est passé le 14 mai dans la suite 2806 du Sofitel, le célèbre défenseur des droits civiques ne laissera probablement aucun répit à Ben Brafman, l'avocat de l'ex-ministre français qui semble vouloir s'orienter vers une stratégie de dénigrement de la femme de chambre du Bronx. Siegel a rejoint aux côtés de l'ancien procureur Kenneth Thompson, Jeffrey Shapiro, l'avocat civil de la Guinéenne qui accuse DSK de tentative de viol. «L'arrivée de Norman Siegel n'est pas une bonne nouvelle pour DSK», confie le juriste Ron Kuby, «il est très connu et très respecté à New York, c'est un avocat extrêmement agressif, qui défend les causes auxquelles il tient avec brio».

Pour l'instant, Norman Siegel n'a pas dévoilé ses intentions et a tout juste confirmé au Figaro vouloir «défendre» la plaignante. Il ne jouera aucun rôle au procès pénal de DSK, mais personne ne doute à New York qu'il se comportera en «chien de garde» impitoyable auprès de l'immigrée. Lorsqu'il s'était présenté en 2009 pour la troisième fois sans succès à l'élection du «public advocate» de la ville de New York, sorte d'ombudsman dont le rôle est de jouer les médiateurs entre l'administration et les électeurs, il avait placé au premier rang de ses priorités la lutte contre «les formes subtiles et sophistiquées de racisme institutionnel qui existent à New York».

L'une des raisons pour lesquelles il pourrait avoir choisi de représenter la victime est que Norman Siegel est proche de la communauté guinéenne de New York. Il a manifesté à ses côtés pour réclamer la punition des auteurs des massacres perpétrés par la junte au pouvoir contre les opposants à Conakry en septembre 2009 et est membre de la Fondation Amadou Diallo, du nom de ce jeune Guinéen abattu de 17 balles par quatre policiers blancs à New York en 1999.

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La tête de noeud du mois : Luc Ferry est un crétin qui aurait pu vivre une vieillesse heureuse Il n’est pas dans la dreum là-cui, comme le diraient les jeunes qu’on ferait bien d’envoyer en camp de redressement. Il s’est cru où Luc Ferry ?! Il pensait sérieusement qu’en balançant les cachotteries et les noubas libidinales d’un oligarque, il serait protégé par le bouclier sacré de la liberté d’expression ? En plus d’être tout aussi mauvais philosophe que ma voisine portugaise, Luc Ferry est carrément nunuche sur les bords et, supposons-le, au centre.

Il m’a toujours énervé, ce chevelu. De toute façon, dès qu’un philosophe est fourni copieusement en poil de tête, je sais d’instinct qu’on est dans la pose de l’être assagi. BHL m’a tellement traumatisé qu’un intellectuel à la crinière généreuse me parait à la pensée ce que Mélanie Laurent est à la chanson et Léa Seydoux au métier d’actrice. Et pis, ne dit-on pas que les chauves sont intelligents ? Alors que penser du contraire ? Avec-vous déjà vu un noir fute-fute avec une coupe afro, vous ? Non, n’est-ce pas ? Regardez Thuram, il a le crane lisse comme un vagin d’une production de Marc Dorcel, et ben, tout le monde s’accorde à dire que c’est une tête… de con, d’accord ! Mais une tête quand même.

Parce que Luc Ferry s’est cru malin, il s’est piégé tout seul. Comme le souhaite Rachida Daté et Alain Jupette, Luc Ferry est sommé d’en dire plus. Son cas est maintenant confié à la brigade de protection des mineurs de la police judiciaire parisienne, qui devra procéder à son audition. Luc Ferry sera obligé de balancer un blaze, de se la jouer Huggy les bons tuyaux, ce qui le foutra dans la mouise avec toute une classe politique dont la conscience de caste passe au-dessus des joutes multipartistes. Et ça va lui retomber sur le coin de la trogne quand sa source " ministérielle " se défaussera. On peut en être certain.L’association marocaine « Touche pas à mon enfant ou lave-toi les mains » à l’intention d’empoigner la justice et de tirer cette impubère affaire au clerc. Et eux, ils ne rigolent pas. C’est pas d’joyeux drilles, dansants dans les rues de Marrakech accompagné d’un joueur de saxo en buvant du coca-cola. C’est pas des cools, eux. C’est plutôt des vietcongs de la protection de l’enfance, et il en faut, capable de pourrir la vie d’un juge tant que la justice n’a pas été rendue. Cette association a même réussi le tour de force de contraindre les autorités religieuses à condamner le Cheikh Maghraoui qui a permis le mariage des petites filles par une fatwa, dans un pays où normalement seule la justice d’Alain Acquebarre et de ses représentants compte et ne se discute point. Ils ne vont ni lâcher le philosophe, ni la justice française. Luc Ferry, qui aurait dû tourner sept fois sa lavette dans sa bouche et mille fois ses neurones sur eux-mêmes, a déclenché un boxon qui le dépasse déjà et qui va mettre une pagaille pas possible en polpolitique française.

Après DSK, Tronc, c’est l’affaire de l’inconnu X, qui ne serait pas Jack d’après Khann, mais Douste-Blazy selon Thierry Desjardins, ponte du Figaro :Luc Ferry, très mauvais et éphémère ministre de l’Éducation Nationale, a joué hier les malins en affirmant à la télévision qu’un ministre de la République –dont il a refusé de donner le nom- s’était fait « poisser » il y a quelques années pour avoir organisé des « partouzes » avec des garçons mineurs au Maroc.

Alain Juppé a tout à fait raison, ce matin, de dire que, quand on est au courant d’un crime, il faut saisir la justice et ne pas se contenter de faire de telles allusions. Mais alors pourquoi notre ministre des Affaires Etrangères n’a-t-il pas lui-même saisi la justice et dénoncé Philippe Douste-Blazy ?

Tout le monde sait, Juppé, Ferry et quelques centaines de parlementaires et de diplomates, que, quand il était ministre des Affaires Etrangères lui-même, Douste-Blazy avait organisé une soirée un peu particulière dans sa suite de l’hôtel de La Mamounia à Marrakech, que ça avait dégénéré, que les participants à la soirée avaient tout cassé dans la suite et arraché les rideaux, que la police marocaine avait dû intervenir, que la direction de l’hôtel avait envoyé la note au Quai d’Orsay et que, finalement, c’était le roi du Maroc en personne qui avait réglé la facture.

Pendant quelques semaines, Douste avait été accueilli dans l’hémicycle de l’Assemblée aux cris de « La Mamounia ! La Mamounia ! »

Chacun connaissait d’ailleurs les goûts du ministre des Affaires Etrangères, ancien maire de Lourdes ( !) et de Toulouse, qui ne parlait pas un mot d’anglais et qui confondait Taïwan et la Thaïlande. (…)

Pouvait on lire sur son blog, avant que le billet s'évapore comme par enchantement.Le site d’information indépendant marocain Demain accrédite les dires de Desjardins, en enfonçant un peu plus le clou :En tout cas, et pas seulement à Marrakech, tout le monde sait qui est cet ex-ministre. Mais, soyons justes, il n’est pas le seul. Un mécène, un directeur de théâtre et d’autres, tous Français, ont été épinglés pour des histoires de « h’chouma ».

Et, à part le directeur de théâtre, Jack-Henri Soumère qui a tourné l’affaire en sa faveur en défendant une relation homosexuelle alors que son partenaire était mineur, il n’y a jamais eu de suite (s) judiciaire (s).

Quant à un ex ministre français des affaires étrangères, du centre cette fois-ci, n’en déplaise à Luc Ferry et à Jean-Pierre Raffarin (ben oui, c’est le seul premier ministre avec lequel Ferry a travaillé), sa compagne a cassé toute la suite de l’hôtel Mamounia après l’avoir trouvé en mauvaise compagnie et posture. Selon Le Canard enchaîné, c’est le palais royal qui a payé les frais de l’ire de l’amie du ministre.Au même moment, Marine ramasse les voix à la pelle et danse la gigue d’une gaieté folâtre… chose dont j’me fous, mais j’ai envie de me marrer en avril 2012 comme en 2002.

Plus on se rapproche des échéances électorales, plus la campagne prend des tournures pugilistiques, comme d’habitude, mais cette fois jusqu’à la mise à mort. C’est toute la classe dirigeante française qui est sur le point de s’étriper, avec l’opinion publique en spectateur de ces arènes romaines. Si vous n’êtes pas trop militant et que vous prenez ces élections pour de la merde en barre, restez donc connecté au CGB dans les mois qui viennent, on vous promet des fous rires à foison, des épisodes politiques et judiciaires dignes du staff de David Edward Kelley, du steak tartare d’élus, des démembrements médiatiques et des géhennes publiques. On va s’éclater, les mecs ! C’est le retour des jeux du cirque !

http://www.culturalgangbang.com/2011/06/la-tete-de-noeud-du-mois-luc-ferry-est.html

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Je ne comprend rien à cette affaire, qu'est ce que la brigade des mineurs vient foutre là dedans ? L'histoire s'est passée au Maroc. Ça me fait penser à l'affaire Elf, que la justice française condamne les rétrocomissions est souhaitable mais pourquoi la justice française a t elle cherché à poursuivre des français pour corruption de dirigeants étrangers ?

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Je ne comprend rien à cette affaire, qu'est ce que la brigade des mineurs vient foutre là dedans ? L'histoire s'est passée au Maroc. Ça me fait penser à l'affaire Elf, que la justice française condamne les rétrocomissions est souhaitable mais pourquoi la justice française a t elle cherché à poursuivre des français pour corruption de dirigeants étrangers ?

La justice française est compétente pour juger des viols de mineurs commis à l'étranger par ses ressortissants.

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La justice française est compétente

Cela dit, presque autant que la justice marocaine. :icon_ptdr:

Cette affaire jette sur le devant de la scène le rôle des Renseignements Généraux aux ordres du pouvoir judiciaire exécutif et sans qui rien de tout cela n'aurait émergé.

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Apres les theories du complot, la theorie de l'harcelement

Taubmann n’hésite pas à citer son attachée parlementaire, Véronique Bensaïd, qui considère que DSK n’était pas l’auteur, mais la victime d’un véritable harcèlement sexuel de la part des femmes qui l’entouraient[3].

http://www.atlantico.fr/decryptage/dsk-tristane-banon-mnef-ps-113141.html

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  • 4 weeks later...

Retournement de situation ?

Strauss-Kahn Case Seen as in Jeopardy

Dominique Strauss-Kahn could be released on his own recognizance, and freed from house arrest.

The sexual assault case against Dominique Strauss-Kahn is on the verge of collapse as investigators have uncovered major holes in the credibility of the housekeeper who charged that he attacked her in his Manhattan hotel suite in May, according to two well-placed law enforcement officials.

Although forensic tests found unambiguous evidence of a sexual encounter between Mr. Strauss-Kahn, a French politician, and the woman, prosecutors do not believe much of what the accuser has told them about the circumstances or about herself.

Since her initial allegation on May 14, the accuser has repeatedly lied, one of the law enforcement officials said.

Senior prosecutors met with lawyers for Mr. Strauss-Kahn on Thursday and provided details about their findings, and the parties are discussing whether to dismiss the felony charges. Among the discoveries, one of the officials said, are issues involving the asylum application of the 32-year-old housekeeper, who is Guinean, and possible links to criminal activities, including drug dealing and money laundering.

Prosecutors and defense lawyers will return to State Supreme Court in Manhattan on Friday morning, when Justice Michael J. Obus is expected to consider easing the extraordinary bail conditions that he imposed on Mr. Strauss-Kahn in the days after he was charged.

Indeed, Mr. Strauss-Kahn could be released on his own recognizance, and freed from house arrest, reflecting the likelihood that the serious charges against him will not be sustained. The district attorney’s office may try to require Mr. Strauss-Kahn to plead guilty to a misdemeanor, but his lawyers are likely to contest such a move.

The revelations are a stunning change of fortune for Mr. Strauss-Kahn, 62, who was considered a strong contender for the French presidency before being accused of sexually assaulting the woman who went to clean his luxury suite at the Sofitel New York.

Prosecutors from the office of the Manhattan district attorney, Cyrus R. Vance Jr., who initially were emphatic about the strength of the case and the account of the victim, plan to tell the judge on Friday that they “have problems with the case” based on what their investigators have discovered, and will disclose more of their findings to the defense. The woman still maintains that she was attacked, the officials said.

“It is a mess, a mess on both sides,” one official said.

According to the two officials, the woman had a phone conversation with an incarcerated man within a day of her encounter with Mr. Strauss-Kahn in which she discussed the possible benefits of pursuing the charges against him. The conversation was recorded.

That man, the investigators learned, had been arrested on charges of possessing 400 pounds of marijuana. He is among a number of individuals who made multiple cash deposits, totaling around $100,000, into the woman’s bank account over the last two years. The deposits were made in Arizona, Georgia, New York and Pennsylvania.

The investigators also learned that she was paying hundreds of dollars every month in phone charges to five companies. The woman had insisted she had only one phone and said she knew nothing about the deposits except that they were made by a man she described as her fiancé and his friends.

In addition, one of the officials said, she told investigators that her application for asylum included mention of a previous rape, but there was no such account in the application. She also told them that she had been subjected to genital mutilation, but her account to the investigators differed from what was contained in the asylum application.

A lawyer for the woman, Kenneth Thompson, could not be immediately reached for comment on Thursday evening.

In recent weeks, Mr. Strauss-Kahn’s lawyers, Benjamin Brafman and William W. Taylor III, have made it clear that they would make the credibility of the woman a focus of their case. In a May 25 letter, they said they had uncovered information that would “gravely undermine the credibility” of the accuser.

Still, it was the prosecutor’s investigators who found the information about the woman.

The case involving Mr. Strauss-Kahn has made international headlines and renewed attention on accusations that he had inappropriate behavior toward women in the past, while, more broadly, prompting soul-searching among the French about the treatment of women.

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The revelations about the investigators’ findings are likely to buttress the view of Mr. Strauss-Kahn’s supporters, who complained that the American authorities had rushed to judgment in the case.

Some of Mr. Strauss-Kahn’s allies even contended that he had been set up by his political rivals, an assertion that law enforcement authorities said there was no evidence to support.

Mr. Strauss-Kahn resigned from his post as managing director of the International Monetary Fund in the wake of the housekeeper’s accusations and was required to post $1 million bail and a $5 million bond.

He also agreed to remain under 24-hour home confinement while wearing an ankle monitor and providing a security team and an armed guard at the entrance and exit of the building where he was living. The conditions are costing Mr. Strauss-Kahn $250,000 a month.

Prosecutors had sought the restrictive conditions in part by arguing that the case against Mr. Strauss-Kahn was a strong one, citing a number of factors, including the credibility of his accuser, with one prosecutor saying her story was “compelling and unwavering.”

In the weeks after making her accusations, the woman, who arrived in the United States from Guinea in 2002, was described by relatives and friends as an unassuming and hard-working immigrant with a teenage daughter. She had no criminal record, and had been a housekeeper at the Sofitel for a few years, they said.

Mr. Strauss-Kahn was such a pariah in the initial days after the arrest that neighbors of an Upper East Side apartment building objected when he and his wife tried to rent a unit there. He eventually rented a three-story town house on Franklin Street in TriBeCa.

Under the relaxed conditions of bail to be requested on Friday, the district attorney’s office would retain Mr. Strauss-Kahn’s passport but he would be permitted to travel within the United States.

The woman told the authorities that she had gone to Mr. Strauss-Kahn’s suite to clean it and that he emerged naked from the bathroom and attacked her. The formal charges accused him of ripping her pantyhose, trying to rape her and forcing her to perform oral sex; his lawyers say there is no evidence of force and have suggested that any sex was consensual.

After the indictment was filed, Mr. Vance spoke briefly on the courthouse steps addressing hundreds of local and foreign reporters who had been camped out in front of the imposing stone edifice. He characterized the charges as “extremely serious” and said the “evidence supports the commission of nonconsensual forced sexual acts.”

Mr. Strauss-Kahn’s lawyers, Mr. Brafman and Mr. Taylor, declined to comment on Thursday evening.

The case was not scheduled to return to court until July 18.

http://www.nytimes.com/2011/07/01/nyregion/strauss-kahn-case-seen-as-in-jeopardy.htm?_r=1

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Les accusations contre DSK pourraient s'effondrer

Dominique Strauss-Kahn comparaît vendredi matin devant la justice américaine dans le cadre de l'enquête pour crimes sexuels dont il fait l'objet, a annoncé jeudi 30 juin le bureau du procureur de New York.

Les accusations de crimes sexuels à l'encontre de Dominique Strauss-Kahn sont sur le point de s'effondrer, affirme le New York Times. Citant deux enquêteurs non identifiés, le quotidien américain écrit que le bureau du procureur ne croit plus guère en la version de Nafissatou Diallo, la femme de chambre guinéenne de l'hôtel Sofitel, âgée de 32 ans. Celle-ci aurait menti à plusieurs reprises depuis son agression présumée le 14 mai.

"Les enquêteurs ont découvert des failles importantes dans la crédibilité de la femme de chambre", écrit le journal. "C'est un bazar, un bazar des deux côtés", ajoute l'un deux. Selon le quotidien, les procureurs ont fourni des précisions sur leurs découvertes, jeudi.

Ils ont, selon l'un des responsables, évoqué de possibles liens de Mme Diallo avec des activités criminelles, dont celles de trafic de drogue et de blanchiment d'argent. La plaignante aurait également évoqué le profit qu'il y aurait à maintenir ses accusations contre DSK, selon une conversation téléphonique enregistrée.

POSSIBLE ABANDON DES ACCUSATIONS

Dans une lettre datée du 25 mai, les avocats de M. Strauss-Kahn avaient déclaré avoir découvert des éléments qui "entameraient gravement la crédibilité" de la femme de chambre. "De fait, M. Strauss-Kahn pourrait voir son assignation à résidence levée, signe qu'il est probable que les accusations criminelles graves portées contre lui ne seront pas maintenues", ajoute le New York Times.

Toujours selon le New York Times, plusieurs individus ont fait des dépots en liquide – d'un montant total d'environ 100 000 dollars – sur le compte en banque de Mme Diallo ces deux dernières années.

Lors d'une audience surprise qui doit se tenir vendredi devant le tribunal pénal de Manhattan, le bureau du procureur va probablement dire qu'il "a des problèmes" avec le dossier. Les procureurs ont rencontré, jeudi, les avocats de M. Strauss-Kahn et les parties discutent de l'opportunité d'abandonner les accusations.

http://www.lemonde.fr/dsk/article/2011/07/01/les-accusations-contre-dsk-sur-le-point-de-s-effondrer_1543269_1522571.html

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J'avoue ne pas bien comprendre, en quoi le fait qu'elle ait eu des liens avec le trafic de drogue a un rapport avec cette affaire? Et en quoi le fait de parler de l'indemnisation 24 heures après les faits est-il suspect? Ca me semble normal d'en parler a un moment donné non?

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J'avoue ne pas bien comprendre, en quoi le fait qu'elle ait eu des liens avec le trafic de drogue a un rapport avec cette affaire? Et en quoi le fait de parler de l'indemnisation 24 heures après les faits est-il suspect? Ca me semble normal d'en parler a un moment donné non?

Bien que les analyses ADN confirment (il me semble) qu'il y ait eu rapport sexuel, l'accusation de viol et d'agression sexuelle (et donc l'issue du procès) ne repose que sur la crédibilité de la plaignante. Si elle a déjà dénoncé un viol imaginaire dans le passé, ça rend son témoignage moins crédible. Quant au trafic de drogue, ça montrerait qu'elle n'est pas "exemplaire" comme l'aurait dit ses avocats ou ses employeurs.

Aussi, la défense avait annoncé que la plaignante était effondrée, avait passé des semaines à pleurer, et craignait surtout de perdre son emploi. Je ne sais pas, vous, mais si j'étais dans un tel état, je penserais à autre chose qu'à discuter d'indemnisations.

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Bien que les analyses ADN confirment (il me semble) qu'il y ait eu rapport sexuel, l'accusation de viol et d'agression sexuelle (et donc l'issue du procès) ne repose que sur la crédibilité de la plaignante. Si elle a déjà dénoncé un viol imaginaire dans le passé, ça rend son témoignage moins crédible. Quant au trafic de drogue, ça montrerait qu'elle n'est pas "exemplaire" comme l'aurait dit ses avocats ou ses employeurs.

Aussi, la défense avait annoncé que la plaignante était effondrée, avait passé des semaines à pleurer, et craignait surtout de perdre son emploi. Je ne sais pas, vous, mais si

j'étais dans un tel état, je penserais à autre chose qu'à discuter d'indemnisations.

Je n'ai pas vu qu'elle avait menti sur des crimes imaginaires, juste qu'on lui trouvait des liens avec les trafics de drogue, ce qui -vu le salaire qu'elle se tape et le monde dans lequel elle vit n'est pas impossible- mais quel rapport avec une affaire de viol? Admettons que sa version des faits ait des zones d'ombre, désole je suis dans une affaire telle que celle-ci je ne vois pas pourquoi je n'aborderais pas a un moment donne la question des indemnités dans une conversation, au contraire ca me semble logique, en conclure donc qu'elle a fait ca pour l'argent est un procès d'intention, il faut des preuves bien plus solides que cela.

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Je n'ai pas vu qu'elle avait menti sur des crimes imaginaires, juste qu'on lui trouvait des liens avec les trafics de drogue, ce qui -vu le salaire qu'elle se tape et le monde dans lequel elle vit n'est pas impossible- mais quel rapport avec une affaire de viol? Admettons que sa version des faits ait des zones d'ombre, désole je suis dans une affaire telle que celle-ci je ne vois pas pourquoi je n'aborderais pas a un moment donne la question des indemnités dans une conversation, au contraire ca me semble logique

On a accusé DSK d'avoir commis un viol d'autant plus facilement qu'il a une réputation de chaud lapin et a déjà été accusé d'agressions sexuelles. De même, une personne complice de trafic de drogue et qui a menti sur sa déposition peut probablement inventer un viol. Ca ne prouve pas l'agression, mais sa prouve que la plaignante n'a pas de scrupules à mentir. Le nier, c'est faire preuve (sans jeu de mot) de fausse naïveté.

en conclure donc qu'elle a fait ca pour l'argent est un procès d'intention, il faut des preuves bien plus solides que cela.

Il n'y a pas de preuves de l'agression, et c'est à l'accusation de prouver la culpabilité. Comme vient de le dire Olivier Mazerolle sur BFM TV, c'est parole contre parole, et le doute bénéficie à la personne qui est accusée, pas l'inverse.

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Je n'ai pas vu qu'elle avait menti sur des crimes imaginaires, juste qu'on lui trouvait des liens avec les trafics de drogue, ce qui -vu le salaire qu'elle se tape et le monde dans lequel elle vit n'est pas impossible- mais quel rapport avec une affaire de viol?

Relis le premier article, tu as manqué des bouts.

Admettons que sa version des faits ait des zones d'ombre, désole je suis dans une affaire telle que celle-ci je ne vois pas pourquoi je n'aborderais pas a un moment donne la question des indemnités dans une conversation, au contraire ca me semble logique, en conclure donc qu'elle a fait ca pour l'argent est un procès d'intention, il faut des preuves bien plus solides que cela.

Le petit soucis, c'est avec qui elle l'a abordé. Pour la vente de drogue, on ne l'accuse pas seulement d'avoir vendu quelques sachets de shit dans un coin de rue, c'est un peu plus gros que ça.

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Aussi, la défense avait annoncé que la plaignante était effondrée, avait passé des semaines à pleurer, et craignait surtout de perdre son emploi. Je ne sais pas, vous, mais si j'étais dans un tel état, je penserais à autre chose qu'à discuter d'indemnisations.

Je ne sais pas toi, mais si j'ai au téléphone quelqu'un qui est effondrée suite à un viol, j'essayerais de la réconforté en lui parlant entre autre des indemnisations, surtout si elle me dit que "non, c'est trop dur à gérer et qu'elle va retirer sa plainte".

Bon, on va bien voir ce que donnera la suite. Mais c'est plutôt rigolo ce retournement de situation. Retournement pour le moment que virtuel, on a juste le dossier construit par la défense qui peut être fragile.

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Je ne sais pas toi, mais si j'ai au téléphone quelqu'un qui est effondrée suite à un viol, j'essayerais de la réconforté en lui parlant entre autre des indemnisations, surtout si elle me dit que "non, c'est trop dur à gérer et qu'elle va retirer sa plainte".

Elle en a parlé à un type incarcéré pour trafic de drogue et qui a déposé 100 000 dollars dans son compte en banque, pas à son avocat ou à sa famille. Pour le côté "musulmane pieuse et exemplaire", on repassera. Au mieux, ça bousille la valeur de son témoignage, au pire elle pourrait être coupable de recel et de blanchiment d'argent.

Retournement pour le moment que virtuel, on a juste le dossier construit par la défense qui peut être fragile.

Les informations proviendraient du bureau du procureur.

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DSK peut être candidat s'il le souhaite (Borloo)

Dominique Strauss-Kahn peut être candidat à l'élection présidentielle s'il est innocenté, a déclaré vendredi Jean-Louis Borloo, possible candidat centriste. "Si ça se déroule comme on le suppose, un retrait de l'accusation (…) qu'est-ce qui l'empêche de revenir s'il en a la force et l'envie ?", s'est interrogé Jean-Louis Borloo sur I>Télé et Radio Classique.

http://lci.tf1.fr/filnews/politique/dsk-peut-etre-candidat-s-il-le-souhaite-borloo-6560071.html

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On a accusé DSK d'avoir commis un viol d'autant plus facilement qu'il a une réputation de chaud lapin et a déjà été accusé d'agressions sexuelles. De même, une personne complice de trafic de drogue et qui a menti sur sa déposition peut probablement inventer un viol. Ca ne prouve pas l'agression, mais sa prouve que la plaignante n'a pas de scrupules à mentir. Le nier, c'est faire preuve (sans jeu de mot) de fausse naïveté.

De quelles mensonges on parle, de ses relations avec des traficants de drogue? je répète, quelle rapport avec la tentative de viol?

Il n'y a pas de preuves de l'agression, et c'est à l'accusation de prouver la culpabilité. Comme vient de le dire Olivier Mazerolle sur BFM TV, c'est parole contre parole, et le doute bénéficie à la personne qui est accusée, pas l'inverse.

Je rappelle que c'est DSK qui a menti en premier lieu niant tout rapport sexuel, alors que les traces ADN sont formelles, et ça c'est une preuve

Elle en a parlé à un type incarcéré pour trafic de drogue et qui a déposé 100 000 dollars dans son compte en banque, pas à son avocat ou à sa famille. Pour le côté "musulmane pieuse et exemplaire", on repassera. Au mieux, ça bousille la valeur de son témoignage, au pire elle pourrait être coupable de recel et de blanchiment d'argent.

Qui te dit que les 100.000 dollars ont un rapport avec cette affaire? C'est peut-être une somme qu'elle a reçu bien avant les faits. Et qui te dit que ce type incarcéré n'est pas un pote à elle non plus? On peut faire toute sorte d'hypothèses aussi.

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De quelles mensonges on parle, de ses relations avec des traficants de drogue? je répète, quelle rapport avec la tentative de viol?

Aucune preuve matérielle qu'il y ait eu agression de DSK -> La culpabilité ne repose que sur la crédibilité de la plaignante (parole contre parole) -> La crédibilité de la plaignante dépend de son passé, de soupçons et de choses qui n'ont rien à voir avec ce qui s'est passé à l'hôtel Sofitel de New York.

Quels mensonges ? On pourrait commencer par celui d'un viol qu'elle aurait subi avant d'immigrer aux Etats-Unis. Tout est dans l'article du New York Times.

Je rappelle que c'est DSK qui a menti en premier lieu niant tout rapport sexuel, alors que les traces ADN sont formelles, et ça c'est une preuve

Il reste à prouver que ce rapport sexuel n'était pas consenti.

Qui te dit que les 100.000 dollars ont un rapport avec cette affaire? C'est peut-être une somme qu'elle a reçu bien avant les faits. Et qui te dit que ce type incarcéré n'est pas un pote à elle non plus? On peut faire toute sorte d'hypothèses aussi.

On n'en sait rien, mais ça n'a pas d'importance. Quand rien ne peut être prouvé, il suffit d'un faisceau de soupçons pour détruire la valeur d'un témoignage. En ce qui concerne la date du ou des versements, c'est dans l'article : "He is among a number of individuals who made multiple cash deposits, totaling around $100,000, into the woman’s bank account over the last two years."

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