frigouret

Le.texte original c'est "chacun sa.bonbonne et COURAGE " (BRASSENS)

J'ai trouvé cet autre programme se revendiquant libéral. http://lanredec.free.fr/polis/liberal.html

La capitation m'a l'air très proche de la cotisation. Pour les personnes sans ressources il reste la corvée. Je pense que quand on exige l'impôt il faut aussi offrir un moyen de le payer.

Et la piste du financement par cotisation ? La corvée peut être aussi .

Flat tax ? Tramp peux tu me fournir un bref argumentaire ?

Si Vraiment il me semble que le financement par la TVA est une mauvaise idée. Le pouvoir n'est pas fondé à se servir sur le marché pour ses besoins, comme tous pouvoirs il aura tendance à vouloir controler ses ressources.

Êtes vous mieux renseigné depuis ?

Et propagande par le fait aussi.

La méthode agoriste ressemble beaucoup aux pratiques prônées par l'anarchisme de la fin du XIX ème ,début XXème. Action directe, reprise individuelle, illegalisme, désobéissance civile, anti electoralisme.

C'est pas une tendance, c'est marqué noir sut blanc dans le programme, droit de sécession pour les communes, misère !

Comme c'est dommage.

Auriez vous des références à conseiller sur les propositions constitutionnelles de Hoppe sur ce point ?

À ma connaissance seul le Liesteinstein prévoit le droit de sécession unilatéral sur procédure référendaire ordinaire pour les communes, il serait peut être bon d'étudier leur "montage".

Une fédération de régions alors, en tous cas les communes n'ont pas les compétences nécessaires actuellement pour se dégager de la fédération, je me trompe ?

Quelques remarques en vrac à propos du programme. - La Belgique est une fédération de provinces, or le programme veut instaurer un droit de sécession pour les communes, cela ne nécessite t'il pas de transformer la structure fédérale en fédération de communes ? - Fonder le financement collectif sur la TVA me pose problème, la ressource du collectif ne devrait pas être fondée sur le travail mais sur la rente des biens communs, dans une optique georgiste par exemple. - Il me semble que le collectif est légitime à s'opposer à l'exercisse de certaines activités comme la prostitution ou la vente de drogues. Je pense qu'en subsidiarisant au niveau communal ce type de choix nous pourrions trouver un bon compromis, un afficionados des drogues par exemple devrait déménager dans une commune acceptant la vente de drogues, ce qui est mieux que de devoir s'expatrier. -

Je place à 1000% sur 8 mois.

Il y a une "histoire de l'État en France" sur le Wikipedia, elle commence avec Richelieu.

C'est un nom pour le gouvernement représentatif, j'ai l'impression que la nation joue le rôle de transcendance comme dieu pour les rois. Le gouvernement peut n'être considéré que comme une "chancellerie" dans l'autre hypothèse.

Si c'est la permanence qui valide le pouvoir, l'histoire de la résistance au pouvoir est elle aussi continue . De révoltes en jacqueries , de frondes en révolution, d'heresies en insurrections l'idée de liberté survit.

J'ai lu avec intérêt et surprise "Pour en finir avec le moyen âge " de Régine Pernoud. Petit livre bon marché mais qui décoiffe quand on a que la vision "scolaire" de la période.

Que se passe t-il au XIII, XIV, pour voir apparaître l'Etat moderne ? La redécouverte du droit romain peut être ?

Pouvez vous développer votre mise en garde en ce qui concerne l'expression "État français", merci.

En fait ce que l'on nomme histoire de France, c'est l'histoire de l'État français mis en perspective dans un roman national. Il faudrait trouver l'histoire du français, et voir à travers les ages ce qu'il est advenu de cet être que l'on a estampillé français. En fait je conseille le "voyage au bout de la nuit" pour l'histoire du français au XX ème siècle.

Ça commence quand l'histoire de France ? C'est fini ?

À mon avis si l'on est menacé par la force publique à l'execution d'un contrat, il faudrait pouvoir faire appel devant un jury populaire, car la légitimité de la force publique tient du peuple, c'est donc au peuple de juger si dans ce cas particulier il soutient l'action de l'exécutif.