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Albedo

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Tout ce qui a été posté par Albedo

  1. Exactement, j'ai immédiatement pensé à ça aussi. Je m'apprête à aller au commissariat de police. Souhaitez-moi bonne chance...
  2. Ca a au moins le mérite de me faire sourire Je viens d'apprendre qu'un voisin c'est fait volé sa voiture, complètement.
  3. Bon début de semaine, 4 jantes alliages de ma voiture volée cette nuit avec le bris de glace qui va avec pour sortir la roue de secours et servir de calle. La voiture est dans un parking fermé, un mercedes classe A s'est aussi fait tirer ses jantes. Des conseils à part porter plainte à la police? J'ai pris des photos au cas où... Assez énervé d'autant que ma femme est enceinte...
  4. Le virage libéral de la gauche française? http://www.lemonde.fr/politique/article/2014/04/02/pascal-lamy-evoque-des-boulots-pas-forcement-payes-au-smic_4394559_823448.html Les réactions sont, pour la plupart, assez épidermiques et la pente glissante revient très souvent dans la contre-offensive.
  5. J'avais relevé également cet article, relayé par mon entourage. Un concentré de n'importe quoi entre nostalgie du protectionisme, politique de l'offre et de la demande de gauche et il y a beaucoup de trop de "guillements" pour que ça soit précis et sérieux. La loi de Say n'est pas comprise, c'est son interprétation keynésienne qui est retenue, toujours le même angle d'attaque. http://www.institutcoppet.org/2012/04/11/mises-sur-la-pseudo-refutation-keynesienne-de-la-loi-de-say/
  6. 39 leçons d'économie contemporaine est dans ma bibliothèque aussi, c'est assez bien segmenté par thématique (mais avec un fil conducteur) et accessible à tous également. Le fond est très bien, à titre personnel la forme principale en dialogue Candide / Archibald m'a un peu freiné parfois mais apporter aussi une approche intéressante sur l'assimilation/argumentation.
  7. Tout à fait d'accord, c'est de la sensibilisation avec beaucoup d'exemples concrets et des explications avec les mains. Généralement, ça peut donner envie d'aller plus loin dans du plus conceptuel.
  8. Je plussoie pour Rothbard er Friedman, c'est accessible à tous avec un peu d'abnégation. Sinon le site de mises.org est effectivement très riche en ressources économiques à tendance autrichienne. Sinon : Economics in One lesson de Hazlitt qui est aussi en pdf-ebook sur mises.org, tu as 160-170 pages de contenu pur, le bouquin fait vers les 190 pages et est très accessible.
  9. Entre autres, celle-ci m'a bien fait rigoler : le droit à la sieste!
  10. Albedo

    Armageddon économique ?

    Le dernier est de 2013, c'est plus récent et je suis bien entendu d'accord sur le fait qu'une sortie grecque n'ait rien à voir avec une sortie allemande. Je ne m'attend pas à trouver toutes les réponses dans le même papier.
  11. Albedo

    Armageddon économique ?

    Effectivement, je l'ai relu avec cette idée et c'est bien possible. -- Concernant la sortie de l'Euro, j'ai trouvé 2 autres ressources intéressantes, la 2ème commentant des scénarios de sortie grecque de la zone Euro. http://citeseerx.ist.psu.edu/viewdoc/download?doi=10.1.1.119.3116&rep=rep1&type=pdf http://scholarship.law.upenn.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1051&context=jil
  12. Albedo

    Armageddon économique ?

    Je ne sais pas si Guillaume Nicoulaud est si anti-euro que cela finalement. Le premier article est anti-BCE/Banque centrale et le second avertit sur les méfaits de confier la monnaie à un état, en l'occurence pour faire de l'inflation (dettes publiques) et de la dévaluation (clientélisme à l'export et perte de pouvoir d'achat de la monnaie) Je ne sais pas vraiment si je suis, pour ma part, anti ou pro-euro, mais je partage l'analyse sur les banques centrales et le danger de l'émission de la monnaie par un gouvernement. -- Par rapport à mon interrogation sur les dettes en cas de sortie de l'euro, j'ai trouvé une autre ressource http://www.jdawiseman.com/papers/finmkts/emu-breakup.html En substance, c'est très flou.
  13. Albedo

    Armageddon économique ?

    Je me pose pas mal de questions sur un axe de défense utilisé par les personnes soutenant la sortie de l'euro contre l'explosion de la dette libellée en euros. Le but avoué est de dévaluer la monnaie pour des questions de compétitivité. La manœuvre concrète est alors de faire une transition (plusieurs jours, semaines, mois?) à taux de change fixe à 1€ = 1NF ("nouveau franc"). Sur le cas particulier de la dette, elle serait alors libellée en NF dans le taux de change fixe. Une fois le taux change flottant, la monnaie se dévalue (a priori) et alors il suffit de rembourser cette dette en NF. En d'autres termes, les 1900M € de dettes = 1900M NF de dettes. L'argument phare est exprimé ici par Jacques Sapir (http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EFAEpFZylEbrTjsNex.shtml) Ou encore, sur son blog dans un article en réponse au PCF http://russeurope.hypotheses.org/1381 J'ai l'impression que c'est la pierre philosophale cette lex monetae, car dans le cas d'un changement de monnaie accompagné de dévaluation plus ou moins massive, la dette est automatiquement libellée dans la nouvelle monnaie qui sur un panier de devises étrangère voit sa valeur baisser. Je me mets à la place d'un créancier sur la Grèce à hauteur de 1000€ et qui après une période transition se retrouve avec un titre de créance de 1000 drachme (1 euros = 5 drachmes par exemple), je me fais sévèrement entuber. A l'opposé, un créancier sur l'Allemagne peut se retrouver avec un titre de 1000 DMark au lieux de 1000€ et y gagner "au change". Je distingue 2 cas. Cas 1 : Pas d'explosion de la zone euro (sortie d'un pays mineur, type Grèce) - Est ce que les titres de créances restent libellés en euros comme cette monnaie existe encore? Cas 2 : Explosion de la zone euro (sortie d'un pays majeur comme la France ou l'Allemagne) - La monnaie euro n'existant plus, sur quelle base rembourser les titres de créances si ce n'est dans la nouvelle monnaie avec avantage (dévaluation) ou désavantage (cas du DMark j'imagine)? - Comme se passe la conversion des dettes et à quelle moment? Pendant la période de 1€ = 1NF? - Existe-t-il des clauses en cas de sortie de l'euro dans les titres de créances? SI oui lesquelles? - Quels angles d'attaque (dans le cadre du droit) ont les créanciers contre cette manipulation? Subissent-ils entièrement? -- Pour la France, je ne vois pas trop comme notre pays pourrais sortir de l'euro sans entrainer une explosion globale de l'union monétaire. Est-ce que le scénario proposé par Sapir et repris par M. Le Pen est possible d'un point de vue strictement législatif? Expérience de pensée : MLP est présidente et Sapir ministres des finances, ils exécutent la sortie de l'euro suivant le plan, quelles sont les conséquences sur le marché? - Taux de la dette explose? - Impossibilité de se financer sur le marché, un peu comme l'Argentine récemment?
  14. Tout à fait. Garder son sang-froid face à ce fameux collègue aux aspirations totalitaires ou collectivistes, ce n'est pas toujours évident. Spécialement quand on baigne dans un environnement acquis à leur cause (université pour ma part). Je préfère éviter la discussion et faire low-profile la plupart du temps en attendant de terminer mon job. Pas de discussion rationnelle possible avec des croyants qui pointent la moindre imperfection dans des propositions sans voir celles du système actuel.
  15. Je ne mange pas avec mon multitool victorinox, mais on se foutait de ma gueule aussi avec ça au quotidien. Vachement pratique dans mon boulot où je dois dénuder des câbles, visser, couper, plier, prendre des trucs chauds, faire des trous dans le plastique, etc...Il ne me quitte plus Puis, vu l'utilité et ne pas faire des aller-retour vers la caisse à outils à chaque petite tâche, tout le monde me le demande! Je préfère avoir une vraie lame + un multitool pince, le couteau suisse est trop limité et la pince c'est quand même top. @JIM16 Aucun problème pour m'asseoir sur mes talons.
  16. Bon couteau pour la vie de tout les jours. J'ai subis une fois un contrôle de police vers minuit alors que j'avais ce couteau en poche à la sortie d'un métro "Qu'est ce que vous avez dans vos poches? " L'agent de police semblait parti pour me le confisquer, il l'avait en main pendant qu'il me demandait ce que je faisais avec, pourquoi, etc...Il commence à partir avec son collègue, puis finalement me le rend. Sympa, étant donné que j'ai un cran d'arrêt fixe (platine mobile) contrairement à un cran d'arrêt forcé (type opinel) qui permet donc de transformer en "poignard à lame fixe", c'est illégal et il aurait pu donc le confisquer sans problème. Mais bon, je prends le risque malgré tout. Autre histoire de vigile à l'entrée d'un hypermarché cette fois, j'étais avec un sac à dos avec quelques conneries (écharpe, un k-way, ma gamelle du midi) et la route de la servitude de Hayek (ma lecture transport en commun de l'époque) qui se remarque bien avec sa couverture rouge. Le vigile prend le bouquin, le met dans un sac plastique transparent, scelle le sac puis me dit. "Si on le vend ici, vous aurez des soucis à repasser par la caisse" Intérieurement, j'ai bien rigolé.
  17. Exactement! Surtout quand, comme moi, tu manges au quotidien avec un petit couteau pliant. Eh oui, c'est pointu et c'est en métal mais bon on ouvre pas des cartons, découpe de la viande sérieuse, coupe un bout de corde ou même du plastique avec un truc à tartiner. C'est avant tout un truc pas trop gros (7cm de lame), compact, costaud et aiguisable longtemps (épaisseur de lame et hauteur de coupe), pratique (trou d'ouverture à une main + clips + trou à lanière), pour petits travaux aussi (appui-pouce cranté sur le dessus de la lame) et sécurisé avec le cran d'arrêt à platine mobile. Mais non, tu es surement un faciste d'extrême droite. Ou survivaliste paranoiaque, au choix.
  18. Oui, eux ne se privent pas de laisser trainer leurs tracts et d'avoir des discussions "engagées" (comme ils disent) alors que tout le monde profite d'un moment de repos pour discuter tranquillement. C'est du prosélytisme insupportable. Bref, je le saurais pour la prochaine fois! Pas trop l'habitude de me retrouver dans ce genre d'échanges un peu "brut de décoffrage". Ou alors j'amènerais - La mentalité anti-capitaliste - de Von Mises pour les assomer avec
  19. J'essayerais de m'en rappeler, merci! Avec le recul, j'aurais peut-être du laisser couler, mais je me suis un peu laissé emporter. Surtout que la plupart du temps, je ne fais qu'écouter et subir un peu ces discussions. J'avais un Casus Beli donc bon.
  20. Pour continuer sur le modèle de VM [ma vie en université] Ce midi, pause repas habituel dans la salle commune. Je mange silencieusement ma gamelle, n'étant pas vraiment intéressé par les discussions de "l'affaire Gayet" ni les problèmes de bureaucratie du CNRS ou de la fac qui se tiennent autour de moi. Même si je n'écoute pas, j'entends malgré tout le nom de "Besancenot" ce qui, honteusement, éveilla ma curiosité. Sans grande surprise, c'est un militant de l'UNEF, qui discute avec un syndicaliste FSU avec en arrière garde un syndicaliste SNEPSUP et un autre CGT. La crème de ce que le labo compte en défenseurs du peuple. J'ai déjà eu affaire aux bonhommes de FSU et CGT parce qu'ils spammaient tout le monde avec leur tract syndicaux numériques et appels à grève ou réunions publiques. Même s'ils sont dans leur "droit" (on peut en effet poster des informations syndicales), je jugeais que la fréquence était vraiment agressive, moyenne de 2,6 mails par semaine sur 3 mois, et que même si je m'étais fait un filtre direction poubelle, je trouvais logique d'aller en toucher un mot aux intéressés sur ce qui ressemblait à du matraque abusif. Autant dire qu'après cette explication de texte, que je ne suis pas très haut dans leur estimes. Bref. Leur discussion se poursuit sur la performance de leur poulain hier soir dans l'émission politique diffusée sur France 2, de cet ultra-libéral de Michel Sapin ou de cette turbo-capitaliste et exploitante qui a osé développé sa boite de 10 à 800 salariés. Forcément, mon intérêt redescend vite. Mais alors que j'ai fini, que je m'apprête à partir et que je leur tourne le dos en me dirigeant vers la porte, le gugusse de la CGT m'interpelle franchement à voix haute (devant les 3-4 autres personnes non impliquées dans leur discussion) d'à peu près cette manière "Tout ça (en parlant des arguments de Besancenot) c'est du bon sens, faut vraiment être con (sic) ou malhonnête pour penser le contraire, n'est ce pas monsieur l'anti-syndicaliste?" Dans ces cas là, j'aimerais avoir un mix du sens de la formule de h16 et l'argumentation percutante de Lucilio. Je je suis ouvertement pris à parti et en face j'ai 4 bonhommes lourdingues marxistes affirmés et il y a du public qui m'est familier...mais je décide de répondre quand même. Rapidement, mon avis est que ma meilleure stratégie est de les trainer dans la boue aussi (sans rentrer dans l'ad hominen), leur laisser l'initiative du propos pour mieux m'engouffrer dans les failles (et me poser en agressé aussi) et essayer de tourner tout ça en ridiculo-marxisme. Idéalement, j'arrive aussi à convaincre l'auditoire qui est le seul influençable, les 4 mousquetaires de l'égalité sont perdus depuis bien longtemps. Pas facile de rester calme mais je garde le sourire. Le cheminent de la "discussion" me conduit à exploiter assez tôt la faille du marxisme théorique dont il parle, après m'être rendu compte qu'il ne savait pas grand chose de la doctrine. Je la présente pour le public afin de bien faire apparaître les traits idéologiques tout en étant complet et clair, j'ai même poussé le vice jusqu'à les questionner sur Marx pour ironiser ensuite sur l'incapacité à répondre. Ils réorientent le débat sur du concret assez rapidement, appel à la solidarité, à la taxation et tout le reste. Je saisis l'opportunité du "cadeau aux entreprises par remise d'impôts" en argumentant qu'on ne peut donner ce qui ne nous appartient pas. Le public approuve, j'ajoute même que c'est du "bon sens". Je consolide en faisant la distinction entre le peuple et le "parti du peuple" pour troller un peu sur les élites de gauche se réclamant du "peuple" et vivant de nos impôts. La réaction attendue arrive avec le fameux "Mais ils sont pas de gauche, Hollande est social libéral, et encore!" Je précise qu'avec 57% de dépenses publique on est très loin d'un système libéral et que la dette de 1900M€ prises par les dirigeants au nom du peuple seront des impôts ou spoliation futures sur notre travail, notre épargne ou nos biens. Je termine la discussion par l'intérêt évident qu'il y a a avoir des entreprises compétitives (à Toulouse, Airbus est un exemple évident d'embauche) qui créent de la richesse ainsi que la nécessité de diminuer les dépenses publiques. Mon dernier exemple va en visuel sur "l'oeuvre d'art nécessaire à tout nouveau bâtiment public" qui trône dans le patio et qui a couté la modique somme de 30k€ au laboratoire alors la plupart des gens réclamants des équipements scientifiques qu'ils n'ont pas, faute de moyens. Je me fais traiter de "limite-fasciste" (?!) parce qu'ils aiment bien avoir le dernier mot et faire peur. Tout simplement affligeant. J'espère ne pas avoir été trop ridicule devant des collègues et d'autres personnes qui sont passés pendant "l'échange". [/ma vie en université]
  21. FH : "Je comprends votre question et je suis sûr que vous comprendrez ma réponse. Chacun dans sa vie peut traverser des épreuves. C'est notre cas. Mais j'ai un principe : les affaires privées se traitent en privé, dans une intimité respectueuse de chacun. Ce n'est donc ni le lieu ni le moment de la faire" En précisant qu'il y répondrait avant sa rencontre avec Obama. Partie remise donc.
  22. Albedo

    Champignons

    Ou alors un tout nouveau site? Je propose champignon-gentil.fr avec un peu de matériel pédagogique à utiliser lors des sorties au primaire avec des enseignants formés sur le terrain.
  23. Incroyable, littéralement. C'est un festival d'intolérance sur l'irrespect anti-écologique et anti "dame nature". http://www.automobile-propre.com/2013/10/18/mobilite-durable-dabord-question-comportements/ Le plus drôle étant la réaction de vierge effarouchée d'un des premiers commentateurs lorsqu'il réalise qu'on le confond avec un liberticide...Nous? Liberticides? Meuh non. Un autre commentaire qui vaut son pesant de cacahuètes. Polluer utilement c'est quoi? Qui décide?
  24. Incroyable. On bat des sommets d'enfumage et d'incohérence d'éléments de langage, sauf que la fréquence des spasmes augmente. Le mode panique semble en effet réellement activé.
  25. Tout à fait, s'auto-citer est avant tout un moyen dans un travail à multiple publications de rappeler ce qui a été fait précédemment sans répéter. Souvent, dans les proceedings de conférences (et ailleurs) on est limité à 4 pages (dans mon domaine en tout cas) ce qui oblige à citer ses travaux précédents pour resituer le contexte. Le texte de Faré est bien oui, je vais le relire pour assimiler et lancer quelques discussions dans entourage de la recherche publique.
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