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Philippe Hermkens

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Tout ce qui a été posté par Philippe Hermkens

  1. Une réflexion profonde sur le sujet En 2016, Trump était une marionnette de Poutine Il a été mis indirectement sous écoute Des proches son fils aîné son avocat personnel son conseiller à la sécurité nationale ont été en prison ou sont menacés d’aller en prison. Après 3 ans d’enquête à charge par l’ancien Directeur du FBI, rien. La presse extrêmement hostile pas de mea culpa sur un dossier bidon payé par Hilary Clinton Le fils BIden reçoit indirectement 3,5 millions de dollars de la femme du maire de Moscou, milliardaire en dollars, corrompue jusqu’à la moelle La presse il n’y a rien à voir C’est une opération de désinformation du FSB du gouvernement russe Si j’étais Trump ou un de ses électeurs ou tout simplement un américain paisible je serais terrifié On trouve cela en Turquie ou en Argentine Aux USA ? Une dernière pour la route Trump est un milliardaire Président des EU qui n’est pas entré dans une nouvelle guerre (Une première depuis 1932) qui dépense comme un malade (6 trillions de dollars dont 3 trillions d’emprunts) qui est protectionniste comme le gauchiste moyen et qui veut la fin de l’immigration illégale Un Hitler au petit pied ? Ou le révélateur d’un système politique particulièrement corrompu et agressif vis-à-vis de ceux qui ne font pas partie de la mafia en place ? Merci de me dire en quoi j’ai tort..
  2. Si la France sort de l'Euro et en plus de l'Union européenne, il n'y a plus de projet européen digne de ce nom dans le cadre de la vision de Monet, de Gasperi, Spaak etc.. Je ne comprends cette haine de l'Union européenne que comme une haine de type nationaliste. C'est-à-dire essentiellement de nature étatiste, car en 2017, en Occident, l'Etat, c'est l'Etat-nation. Mais, une libre circulation des marchandises, des services, des travailleurs et des capitaux est nécessairement pour quelqu'un qui n'est pas un étatiste mono maniaque une bonne chose.
  3. Un francophone étranger a évidemment toutes les références culturelles d'un français. Par contre, il n'a probablement pas l'idolatrie de l'Etat du français de base. Il essaie aussi probablement plus de ne pas massacrer la langue française en disant tous les trois mots : en fait ou en prononçant les e muets. Je f
  4. Mà discussion ne porte pas sur des points de droit technique, mais sur des politiques fondamentales. Concretement, quand je parle du juge, je parle des juges d'une Cour supreme ou d'un tribunal international comme la Cour de justice de l'Union Européenne ou la Cour des Droits de l'Homme à Strasbourg..
  5. 1. Si vous le souhaitez vraiment , je prendrai un avatar .. Mais je préfèrerais conserver mon vrai nom et mon vrai prénom Je n'aurai jamais honte de ce que j'ecrirais ici 2. Mon libéralisme est essentiellement celui de Ludwig von Mises 3. Je suis un petit vieux de 62 ans, libéral depuis 35 ans et ma lecture de la Route de la servitude, conseiller juridique dans un service public. 4. Mon expérience désespérante est le refus quasi total de voir quelqu'un modifier fondamentalement sa position politique philosophique suite à un échange d'arguments reconnus comme vrais par l'intéressé
  6. C'est tout à fait exact que le raisonnement de la Cour suprême se base sur la Constitution américaine et non pas sur le Bill of Rights Cela ne change rien à la pertinence de mon raisonnement Il est quasiment impossible de modifier la Constitution ou le Bill of rights quand on n'est pas d'accord avec une décision jurisprudentielle D'ou la nécessité pour un juge de n'utiliser ce pouvoir qu'avec une extrême modération... Sinon, on aura une révolte et une mise à l'écart des normes fondamentales telles les libertés d'expression et d'opinion... Et cela sera une catastrophe
  7. "Contorsionner une règle pour l'appliquer à un nouveau cas , ce n'est pas créer une règle" À supposer que cette affirmation soit vraie, ma réflexion est surtout une appréciation du mode de raisonnement d'un juge qui crée de manière quasiment définitive une règle juridique que l'on ne peut plus modifier. Dans des domaines où c'est à la population de décider Exemple, l'avortement aux États-Unis. Le prochain juge de la Cour Suprême va être choisi principalement sur sa position en matière d'avortement qui devrait être exclusivement de la compétence du législateur. Un juge qui fait le droit, et non pas qui dit le droit, c'est-à-dire qui applique une règle juridique préexistante, est non pas un dictateur (erreur de ma part) mais bien un tyran. Cela me semble être une conséquence logique de mon raisonnement Et donc pas un non sequitur Enfin, les membres d'un gouvernement et les parlementaires sont des élus directs ou indirects en France ou ailleurs. Un juge n'est pas élu dans un système français. Et concrètement il a de plus en plus des opinions politiques extrêmement minoritaires. Exemple type, le Syndicat de la Magistrature..
  8. Un juge qui crée la règle juridique n'est pas un démocrate. Il estime appartenir à une élite qui peut imposer ses normes de valeur à toute la société. Au nom de quoi ? Parce qu'il est un théologien? Parce qu'il fait partie d'une élite progressiste ? A nouveau, je suis démocrate.
  9. Est ce que la Constitution américaine impose la possibilité pour les homosexuels de se marier ou pour une femme de se faire avorter, je ne le pense pas. Pour qu'il n'y ait pas d'ambiguïté , je pense qu 'il y a bien lieu d'autoriser le mariage de deux personnes de même sexe et l'avortement. Mais, pas par un juge interprétant de manière délirante le "Bill of Rights" Le système dit de Common Law fait semblant de croire que c'est le juge qui crée la règle juridique. C'est faux. Et un auteur qui permet de le comprendre est un historien du droit anglais, par ailleurs belge de langue néerlandaise, Van Caeneghem. Mais, bien entendu, c'est le juge qui dit le droit, à condition que le policier execute son jugement. Un gouvernement des juges est tout aussi arbitraire qu'une dictature.
  10. Une réflexion d'un ami avocat d'affaires civiliste, mais aussi docteur en droit de Harvard: Quand on lui soumettait un cas, il était prié à Harvard de trouver une solution qui lui apparaissait juste. Un juriste "continental", c'est-à-dire romano-germanique, doit lui plutôt trouver une solution qui soit conforme avec une règle juridique préexistante qu'il convient d'appliquer ou de modifier légèrement, le cas échéant, pour l'adapter au monde moderne. Ce qui me semble intolérable, c'est un juge qui crée la règle juridique dans un domaine fondamental: droit d'asile, immigration, mariage pour les homosexuels, avortement. Il n'a en effet aucune légitimité pour ce faire. Je suis en effet démocrate, ce qui constitue de plus en plus une insulte.
  11. C'est ridicule de voir des nazis partout.Mais, si les Républicains n'ont que ce type d'arguments à opposer à Emmanuel Macron, il serait bien qu'ils perdent ces élections..
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