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chercheur de sens

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Tout ce qui a été posté par chercheur de sens

  1. Ah ok merci ! Je comprends mieux et ça rejoint sur ce que je lis actuellement dans "La Grève" d'Ayn Rand. La volonté de ne pas nuire mène à des tas d'abus qui finissent par tuer l'idée même de liberté. Mais du coup la définition de la liberté dans la déclaration des droits de l'homme n'est pas tout à fait juste !
  2. J'ai pas compris !
  3. Julien Leclercq, jeune entrepreneur du Lot-et-Garonne, a écrit sa chronique d'un salaud de patron. Il y décrit son quotidien, ses problèmes de patron de PME pris entre les contraintes syndicales, sociales, normatives... et ne désespère pas d'arriver à améliorer la société. Sa première édition est sortie en 2013, et il sort en poche le 1er juin. Il a l'air super sympa et très authentique. Vous l'avez lu ? Ici quelques bonnes feuilles : http://lentreprise.lexpress.fr/creation-entreprise/une-semaine-avec-un-salaud-de-patron_1902230.html Merci pour vos réactions !
  4. Puisses tu avoir raison ! :-) Envoyé de mon SM-G900F en utilisant Tapatalk
  5. Mais qu'est ce que la concurrence ? C'est la conscience qu'un autre fait la même chose que soi. Est ce pour autant une nuisance ? Je verrai plutôt une formidable opportunité pour s'améliorer! Et d'ailleurs, la concurrence devrait non seulement être encouragée, mais aussi préservée ! Car parfois la concurrence débouche sur un monopole ou un cartel et sonne la fin du processus d'amélioration. Reste à trouver comment préserver cette situation de concurrence "pure et parfaite" qui permet à chacun de se lancer, de s'améliorer et de se faire une place au soleil...
  6. Bienvenue@cara "La liberté consiste à faire tout ce qui ne nuit pas à autrui." DDHC 1789 art.4. Et si on se remettait à méditer là-dessus? A l'écrire, à le diffuser, à en recouvrir les murs de nos villes et les routes de nos campagnes ? Ce serait retrouver nos sources...et remettre le libéralisme philosophique, politique et économique à l'ordre du jour... J'aime bien cette définition : est autorisé tout ce qui ne nuit pas à autrui. Ainsi, nos choix de consommation ou de vie n'auraient plus à faire l'objet d'un contrôle d'un jugement d'une surveillance ou d'une taxation quelconque...
  7. Plus ça va et plus Mélenchon me fait penser à un "Jean Marie Le Pen de gauche" : - il prend des positions tranchées qui font parler de lui - ses positions et postures séduisent une partie de l'électorat qui trouve que "lui au moins il dit les choses" - il fait suffisamment de voix pour être élu et assurer sa carrière et sa retraite - il fait ce qu'il faut pour ne pas en avoir assez pour exercer le pouvoir, ça lui évite donc de prendre des responsabilités et de faire face à ses contradictions. Et ça continue, élection après élection... Sur le plan personnel il me semble qu'il est à vomir : - voir la manière dont il est allé chercher le ralliement de Hamon dans un resto chilien à Paris (article du Monde je crois) - comment il a snobé l'interview qu'il avait promis sur Thinkerview, provoquant l'ire fondée de ses admins - comment il a viré le candidat de la France Insoumise ou il s'est parachuté lui même à Marseille, sans un mot ni une explication pour l'intéressé qui militait pour lui depuis des mois. Je dois en oublier des exemples... Le mépris en politique continue de faire recette... hélas.
  8. Intéressant l'idée d'un parti, mais pour avoir eu quelques expériences politiques je préfère vous mettre en garde. Ceux qui font tout le boulot au début de manière dévouée quand personne ne s'intéresse à eux sont les fondateurs idéalistes. Quand les idées prennent et que le groupe s'agrandit, arrivent deux autres types de personnes : ceux qui aiment et recherchent le pouvoir; ils ne créent rien mais savent séduire, je les appelle les philocrates ou les cratophiles. En général ces personnes finissent tôt ou tard par récupérer les postes à responsabilité et refoulent les fondateurs au rang de figurants. Ceux qui viennent par intérêt personnel, pour de l'argent ou leur carrière. Je les appelle les matérialistes. Ils font le pari de la réussite du parti et entendent en vivre une fois celui ci développé, comme permanents ou élus. Loyaux en général, mais incapables de construire une stratégie ou un débat d'idées. Perso je suis vacciné contre ces formes d'engagement (et ces personnalités) mais autant en faire profiter les copains pour qu'ils soient attentifs!
  9. Peut on considérer que le Parti pirate est libéral aussi ? Envoyé de mon SM-G900F en utilisant Tapatalk
  10. Qui sont les vrais candidats libéraux en France ? J'ai entendu Calmels hier parler de son mouvement Droite Lib' Il y a aussi le PLD mais je ne sais pas s'ils présentent beaucoup de candidats Il y a enfin Fromentin le maire de Neuilly sur Seine qui a lancé son initiative 577-les Indépendants. Et Macron qui récupère un peu à gauche et à droite (mais ca me laisse sceptique) D'après vous qui peut incarner une vraie politique libérale (un peu au sens de Frédéric Bastiat que je découvre) ? Envoyé de mon SM-G900F en utilisant Tapatalk
  11. Merci pour ta réponse que je partage. Chacun cherche à tirer la couverture à soi, les gros cherchent à grossir, les petits à ne pas rapetisser, et au milieu l'Etat, ses élus et leurs clients/obligés/partisans citoyens prospèrent. C'est super malsain. On dirait que tout est verrouillé et sans espoir...
  12. Merci! Je ne connaissais pas Je trouve que le capitalisme de connivence correspond particulièrement bien à la situation actuelle. Ça nous tue...
  13. Bainville avait tendance à maximiser le rôle de l'individu, parfois au détriment de la compréhension du contexte dans lequel il s'inscrivait. C'est l'éternel débat entre historiens entre intentionnalistes et fonctionnalistes si je me souviens bien (le cas s'est présenté récemment pour expliquer le 3ème Reich) Pour revenir à aujourd’hui, quand Alexandre Jardin publie un livre intitulé "Laissez nous faire", il est bien d'inspiration libérale ? Non ?
  14. Je vois que mon sujet a du succès et ouvre des développements inattendus. Poser une question sur les tendances du libéralisme et la place du capitalisme de connivence et se retrouver avec la logique westphalienne des États, ça ne manque pas de sel! [emoji38] Envoyé de mon SM-G900F en utilisant Tapatalk
  15. Merci l'article fait référence a un autre article, de Jean-Philippe Delsol, président de l'IREF, au titre encore plus explicite : http://fr.irefeurope.org/Emmanuel-Macron-est-toujours-socialiste-pas-liberal,a4286 J'ignorais cette nuance. Merci beaucoup pour cette précision. J'aurai tendance à penser que être pro-Etat et pro-business donc est un peu synonyme en France, tant le capitalisme de connivence s'appuie sur ces deux piliers. Le côté "pro free enterprise" me semble aujourd'hui marginal dans le débat politique.
  16. Merci pour vos nombreuses réponses. A ce que je comprends, le libéralisme se définit par sa grande pluralité de variations et d'interprétations. A vous lire, on pourrait penser qu'il y a des personnes s'affirmant "libérales" qui ne le sont pas vraiment, et d'autres qui seraient libérales sans le savoir. Pour reprendre un lieu commun fréquemment entendu, est-ce qu'Emmanuel Macron est libéral par exemple ? Selon certains, il est libéral (à 60% selon Génération Libre); selon d'autres, sa formation de haut-fonctionnaire le rend plus pro-Etat que pro-business. Gattaz (libéral ou pas ?) a déclaré voire son élection "avec bienveillance mais non sans vigilance" et selon Jean-Marc Proust (Slate.fr), "Emmanuel Macron n'est pas libéral"; Qui croire ? Alors, qu'en penser ? [son essai Révolution ! sort aujourd'hui en poche, je vais l'acheter pour me faire moi-même une idée.]
  17. J'ai trouvé ce schéma ici : http://www.gaucheliberale.org/public/ppf-02-14.jpg Ça vient d'un mouvement qui s'appelle "Gauche libérale" (jamais entendu parler) et ça date de 2014. J'ai l'impression que l'on pourrait identifier 3 axes pour cibler les tendances. - un axe économique, selon la place donné à l'Etat dans la vie économique : (Etat-providence, Etat régalien, Etat minimal, pas d'Etat) - un axe politique, selon le type de régime politique souhaité : (démocratie pluraliste, démocratie limitée, autocratie assumée) - un axe culturel enfin, selon les dispositions législatives adoptées sur des questions non directement économiques : (mariage/divorce, égalité entre les sexes et les genres, religion/laïcité, drogue, prostitution, armement de la population, etc.) Du coup, cela produirait un "cube" (ou une sphère si l'on tient compte des zones d'exclusion théorique du schéma ci-dessus) dans lequel on pourrait évoluer entre les différents courants et tendances...je ne sais pas si ça s'est déjà fait. A vous lire !
  18. Juste une petite précision : il est très difficile de changer les choses en profondeur en France, via la politique. Le pouvoir politique a été dissous en de multiples échelons, notamment depuis la décentralisation de 1982 : Europe, Régions, Départements, Communes et maintenant intercommunalités et métropoles, qui se partagent compétences et crédits. Conquérir le pouvoir à un échelon ne vous garantit aucunement d'avoir les coudées franches car les règlementations et le système des finances publiques existant limitent de facto les évolutions possibles. Dans un sens, ça permet d'éviter les conneries si un abruti arrive aux affaires, et dans l'autre, cela empêche les innovations intéressantes de se développer. Si un nouveau parti politique voulait avoir les coudées vraiment franches, il lui faudrait gagner successivement : les élections communales, départementales, régionales, législatives, sénatoriales, présidentielles et européennes. Ces scrutins se déroulent sur plusieurs années. Cela laisse le temps au système de s'adapter et de freiner les envies de changement. Sans compter le primat juridique accordé à la Commission Européenne et à la Cour de Justice de l'Union Européenne, qui ne peuvent pas être élus. Autrement dit, c'est (quasiment) verrouillé.
  19. Merci José pour cette liste éclairante. A partir de cette lecture, je commence à mettre des noms sur les principales tendances du libéralisme. Voici un essai de compréhension, comprenant les qui ne saurait être exhaustif. 1. Libéralisme Un Etat présent à l'interventionnisme économique limité 1A. Libéralisme classique Constant, Bastiat, Say puis Jacques Rueff au 20ème siècle Attachement à la séparation des pouvoirs 1B. Libéralisme conservateur F. Hayek ; Thatcher, Reagan, courant néo-conservateur aux Etats-Unis Sensibilité aux questions culturelles (rapport à la famille, à la patrie, à la religion...) 2. Libertarianisme Un État réduit au strict minimum 2A. Minarchisme Von Mises, M. Friedman, A. Rand Un État strictement limité aux fonctions "vitales" (armée, police, justice) 2B. Anarcho-capitalisme Rothbard, Rockwell Suppression de l'Etat souhaitée à terme. On retrouve l'influence de l'école autrichienne un peu partout (Von Mises, Hayek, Rothbard) tandis que l'école de Chicago semble plutôt minarchiste (Friedman). J'y vois désormais plus clair. Du coup j'ai l'impression que peu d'expériences récentes relèvent du libéralisme classique (Merkel peut-être ?) Merci !
  20. Merci beaucoup pour cette approche synthétique. Cela m'éclaircit bien les idées. Si je comprend bien, la taille de l'Etat peut se révéler être un curseur entre "anarcho-capitalistes", "minarchistes" et "libéraux". Et les questions d'ordre plutôt culturel (les valeurs du passé) une frontière entre libéraux classiques et conservateurs. Merci pour cet éclairage, y compris sur les écoles de pensée que j'avais du mal à intégrer.
  21. Avatar : Fait ! C'est une image de la forêt des Landes, mes origines partagées avec un certain Frédéric Bastiat... merci pour votre accueil, c'est très agréable à vous. J'ai commencé à regarder les liens proposés par Ultimex, c'est vraiment très riche ! J'ai bien noté que dans les bonnes pratiques n°5, il convient d'utiliser des images de taille raisonnable. J'espère que le schéma que j'ai posté tout à l'heure n'était pas trop grand ! Je suis un fan de visuels et de schémas, et si je dois vous en faire partager d'autres, je m'efforcerai de réduire la taille des images. @Cugieran : je me trouve en parfait accord avec tes derniers commentaires : absence de mobilité sociale possible (comme s'il y avait un cloisonnement non apparent), mépris du Small Business par les grosses boîtes, hypertrophie de l'Etat qui génère des dérives de tous ordres, et ça rejoint le post de @Nathalie MP : merci pour ce lien, ton article est passionnant. je m'y retrouve complètement sur le comportement des grosses boîtes, celui des PME qui cherchent à tirer profit des miettes disponibles, les aides à la presse censées initialement assurer leur indépendance et qui finissent in fine dans la poche des grands groupes de presse, et ... BPI France, que je vois de près à mon travail, qui perturbe le fonctionnement normal du marché du crédit. Le pouvoir appelle le pouvoir, l'Etat appelle l'Etat, c'est une machine qui s'autoalimente et dont l'appétit se développe de manière exponentielle, et dont les rapports avec les acteurs économiques génèrent des comportements malsains de part et d'autre. L'Etat s'occupe d'un peu de tout, et il le fait mal. S'il était recentré et bien dimensionné sur un nombre de missions limitées utiles au développement d'une concurrence libre et saine, on vivrait sans doute mieux. Comme disait Benjamin Constant : "Il ne faut pas d'Etat hors de sa sphère mais dans cette sphère, il ne saurait en exister trop." Enfin, que pensez-vous de cet article de Pierre Chaillot, paru dans Agoravox le 21 avril dernier ? Sa définition du "vrai libéral" m'interpelle... http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/macron-et-fillon-l-asservissement-192002 Merci pour vos réponses !
  22. Bonjour et merci pour cette réaction, ça me permet d'avancer dans mes réflexions, merci vraiment. ok pour la France qui travaille (en tant que fonctionnaire, je suis bien placé pour voir que beaucoup travaillent (souvent en bas de l'échelle), et que certains travaillent beaucoup moins (souvent ceux qui sont placés en haut ou proches des élus) ok pour dire qu'il ne faut pas généraliser. Je reste toutefois un partisan du schéma explicatif car c'est important d'avoir les idées claires. J'ai l'impression que l'Etat (et le pouvoir politique en général) a généré un double-cancer : d'une part la constitution d'une élite de haut-fonctionnaires qui s'autoreproduit, via l'ENA et les grandes écoles, et d'autre part l'alliance de grands groupes industriels et financiers qui tirent partie de l'Etat pour récupérer tout ce qu'ils peuvent : niches fiscales, terrains bradés, contrats publics, contre pantouflage de hauts-fonctionnaires et copinages divers. ils adorent tirer à boulets rouges sur l'Etat mais sont également les premiers à en profiter, non ? Et enfin, dans la "France qui travaille", j'ai mis l'ensemble des acteurs économiques qui donnent plus qu'ils ne reçoivent. Ils produisent des richesses, des emplois, contribuent de manière significative à la croissance et paient leurs impôts loyalement, n'ayant pas les moyens de s'offrir les services d'avocats fiscalistes experts en optimisation fiscale. Ce faisant, ils semblent contribuer plus que les autres à la richesse publique (un fonctionnaire ne crée pas de richesse par exemple, puisqu'il est payé par l'Etat) sans pour autant bénéficier pleinement des retours de leur contribution. Et ils ne me semblent pas être vraiment défendus par les partis politiques actuels, de droite ou de gauche d'ailleurs. Bref, j'ai l'impression que nous sommes face à un "Tiers-Etat" moderne... Quand tu dis "le libéralisme préconise la limitation de l'intervention de l'Etat par les lois et les personnalités politiques", veux-tu dire que ce sont des lois votées par certaines personnalités politiques qui permettront de limiter l'intervention de l'Etat ? Si tel est le cas, il faudrait donc une force politique qui engage une réforme profonde de l'Etat, passant par le démantèlement des outils qui reproduisent les castes au pouvoir (ENA, Sciences Po, Polytechnique, HEC) mais du coup on toucherait aussi à la surpuissance des grandes entreprises françaises qui vivent de ce système (EDF, Engie, Areva, Alstom, Thomson... et la plupart des groupes du CAC 40). Ne risque-t-on pas de se heurter à un mur de résistance ? En lisant Salin, j'ai vu que Giscard et Juppé n'ont pas réussi (en même temps, ce sont des produits du système labellisés ENA )
  23. Bonjour, et merci beaucoup pour votre accueil et vos réponses. Pour la question 1, je connais Wikibéral et justement, la richesse du portail m’empêche de disposer d'une vision synthétique de l'ensemble des courants, qui ont une longue histoire et sont très variés. Je ne désespère pas de trouver, voire de créer moi-même une synthèse. Merci aussi pour vos conseil de lectures (Pulp Liberalism notamment) Pour la question 2 : Capitalisme de connivence, ou "crony capitalism". Il me semble que nous sommes en plein dedans actuellement en France. Je suis actuellement en train de lire deux livres qui confirment ma vision : - un roman : "La grève" (Atlas shrugged) de Ayn Rand (1957) - un essai : "Français, n'ayez pas peur du libéralisme", de Pascal Salin (2007). Pour répondre à ta question Cugieran, je te propose un schéma de mon cru. J'ai l'impression que les partis politiques, de droite et de gauche, ne sont pas neutres dans cette affaire. Merci encore pour votre accueil et vos réponses. A très bientôt pour de nouveaux échanges.
  24. Bonjour à tous, je viens de m'inscrire sur ce forum pour apprendre (beaucoup) et comprendre (un peu) ce continent de la pensée qu'est le libéralisme. Cadre de la fonction publique, je me révèle de plus en plus critique sur le fonctionnement d'un Etat et de collectivités de moins en moins soucieux de "l'intérêt général" (notion floue je vous l'accorde) que de la carrière d'élus et de notables en particulier. Longtemps conditionné par le regard "antilibéral" colporté par une partie de la gauche, je découvre une pensée bien plus riche et complexe que celle décrite initialement par certains profs ou journalistes. Et enfin, en plein questionnement sur mon avenir professionnel (une reconversion dans le privé voire une création de boîte n'étant plus exclue aujourd'hui), je cherche à mieux comprendre les fondements théoriques du libéralisme et les préoccupations des chefs d'entreprise qui contribuent, par leur création d'emploi et de richesse, à maintenir le pays à flots. Question 1 Aussi, savez-vous si je peux trouver un schéma pour comprendre les différences entre les différentes écoles et tendances actuelles du libéralisme ? Entre école classique, autrichienne, anarcho-capitaliste, ou libertarien, entre libéralisme économique, politique et sociétal, je m'y perds un peu.. c'est vraiment très riche ! Question 2 J'en profite, tant que c'est mon premier post. Les penseurs libéraux développent une critique de l'Etat (Bastiat par exemple) qui n'est pas inintéressante. Aujourd'hui, au vu de l''implication de plus en plus en étroite des hautes sphères de l'Etat (élus et hauts fonctionnaires) et des grands groupes industriels et financiers (membres des conseils d'administrations par exemple), ne peut-on pas penser que cet ensemble Etat-Grands groupes constitue les deux faces d'une même élite qui impose un certain oligopole/monopoles sur les marchés et l'offre politique, qui entrave l’initiative individuelle et l'établissement d'une authentique concurrence libre et non faussée ? Ou est-ce que c'est un fantasme gauchiste qui résulte de mon ignorance crasse ? Merci pour votre attention, et d'avance, merci pour vos éclairages. A bientôt, Jori Chercheur de sens.
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