Jump to content

ULYSSE

Utilisateur
  • Posts

    2170
  • Joined

  • Last visited

Posts posted by ULYSSE

  1. C'est très contre-intuitif cette histoire de jus de citron qui basifie l'organisme. Est-ce qu'une âme charitable voudrait bien me résumer la voie métabolique impliquée ?

    Il faut chercher les références sur le métabolisme des citrates.

    Les citrates sont couramment utilisés comme compléments alcalins.

    Le bicarbonate est dans l'organisme un produit dérivé du métabolisme du citrate. En cas de problème métabolique, on donne directement du bicarbonate.

  2. Plus haut je postais quelques liens scientifiques issus de PubMed, mais il faut fouiller davantage pour trouver les éléments de base.

    Sur PubMed on commence par trouver des études récentes très pointues, n'abordant l'angle de l'équilibre acide-base que pour une application précise.

    L'indice Pral a été établi par le "Dr Thomas Remer, spécialiste de l’équilibre acide-base au département nutrition et santé de l’Institut de recherche pour la nutrition des enfants à Dortmund en Allemagne".

    Cet indice Pral est encore imparfait, d'ailleurs :

    "Les limites du PRAL

    Le PRAL est intéressant mais il ne permet que d’approcher sommairement la réalité. En effet, il ne tient pas compte de la teneur en bicarbonates et citrates (il fait la supposition que ceux-ci sont liés au potassium). Surtout, il s’appuie pour les protéines sur une teneur en acides aminés soufrés moyenne, dont certains aliments peuvent s’écarter."

    http://www.lanutrition.fr/bien-comprendre/le-potentiel-sante-des-aliments/aliments-acidifiants-et-basifiants/lindice-pral.html

    Je vais regarder ce que je trouve de mieux, comme études globales, et scientifiques.

  3. "Dans le camp des minéraux « acidifiants », on retrouve le chlore, le soufre et le phosphore".

    "Vous salez vos plats ou vous consommez des plats industriels déjà salés ? Le chlorure du sel vient acidifier votre organisme."

    Voir : http://www.lanutrition.fr/bien-comprendre/le-potentiel-sante-des-aliments/aliments-acidifiants-et-basifiants/lalimentation-moderne-est-trop-acide.html

    "L’alimentation moderne est trop acide"

  4. Déjà on est dans la biochimie, pas la chimie.

    C'est un peu différent.

    Par exemple, le citron est acide (en chimie), mais alcalinisant (en biochimie humaine).

    Pourquoi ? Parce que l'acide du citron est très rapidement évacué par les poumons sous forme de CO2, et il reste les bases minérales du citron pour alcaliniser le corps.

    (Sauf métabolisme fonctionnant mal, et n'arrivant pas à métaboliser les citrates).

    En revanche une protéine, dans le métabolisme humain, génère une acidification. Même si le PH de la protéine est au départ moins acide que celui du citron.

    Pour chaque aliment, il y a ce qu'on appelle une charge basifiante ou acidifiante, qui ne correspond pas exactement à la chimie même de l'aliment, mais à la façon dont l'organisme s'en arrange, à la biochimie humaine, donc.

    Certains acides seront évacués facilement par la respiration, d'autres vont encombrer l'organisme, pomper des bases, générer des pathologies, etc.

    On ne regarde donc pas si un aliment est acide ou basique, mais s'il est acidifiant ou basifiant.

    Les chlorures sont classés en acidifiants. Les aliments souffrés aussi (protéines). Les céréales aussi

    Les aliments riches en potassium et avec peu de composants acidifiants, comme les légumes sont basifiants, etc.

    Un fruit frais est souvent basifiant, malgré son acidité superficielle.

    Tout cela repose sur des études complexes du métabolisme humain.

  5. j'ai du mal avec le acide=mal alors que base=bien

    Tu as raison parce que je n'ai pas dit cela, et ce serait faux de le dire.

    C'est une simple question d'équilibre.

    L'acide devient un mal quand on est en terrain trop souvent acide (cas de l'alimentation moderne : le peu de légumes consommé compense rarement les doses de protéines, de laitages, de céréales, et de sucres, tous acidifiants).

    Dans l'alimentation ancienne, on mangeait beaucoup de légumes, moins de laitages, et moins de viandes. Les céréales étaient complètes (pain noir), apportant des minéraux compensant en partie l'acidité de la céréale, avec l'aide de la bonne soupe de légumes.

    En soi la base n'est pas plus un bien que l'acide n'est un mal.

    Du moment qu'on ne penche pas trop d'un côté ou de l'autre.

  6. Je ne vois pas en quoi un sel comme le chlorure de sodium serait acide. Tu as oublié d'exposer une étape, ou bien c'est de la chimie vaudou ?

    Le chlorure est acidifiant, le bicarbonate est basifiant.

    C'est de la (bio)chimie.

    Pour alcaliniser on peut donc prendre du bicarbonate de sodium, mais comme on ne manque déjà pas de sodium, on préfère le bicarbonate de potassium.

  7. Harvard conseille un multi-vitamines quotidien, en plus d'une alimentation équilibrée :

    http://www.hsph.harvard.edu/nutritionsource/what-should-you-eat/index.html

    "A daily multivitamin is a great nutrition insurance policy. Some extra vitamin D may add an extra health boost."

    Harvard School of Public Health

    The Nutrition Source

    What Should I Eat?

    (Sur la vitamine D il faut ajouter que les crèmes solaires, et les conseils de ne pas s'exposer au soleil la journée, bloquent ou diminuent la synthèse de vitamine D par la peau, même l'été.

    Les réserves du corps s'épuisent en arrivant vers le mois de décembre, janvier…

    Comme pour beaucoup de vitamines, il y a aussi une différence entre l'état de carence forte conduisant à une maladie spécifique,

    et la carence moins forte, qui affaiblit l'organisme d'une façon plus globale.)

  8. (Les réserves

    Bon, et le miel, alors ? Sans déconner, c'est du sucre pur, mais "on" dit que c'est du bon sucre

    Le miel, et même la gelée royale ou la propolis, difficile d'avoir de bonnes infos sur les propriétés réelles. Il y a des minéraux et d'autres composantes (plus ou moins antibiotiques), mais on n'a pas d'études très précises, qualifiées et quantifiées.

  9. Et quels sont les risques d'avoir un régime trop alcalinisant ?

    Le ZymaD, doit il être prescrit par un médecin ?

    Une alcalose ne vaut pas mieux qu'une acidose.

    Mais sauf maladie du métabolisme, on est aujourd'hui plutôt en risque d'acidose, avec l'alimentation moderne très acide (protéines, glucides, chlorures (de sodium), manque de potassium…).

    On peut contrôler le PH urinaire soi-même avec une bandelette PH. L'idéal est d'avoir une moyenne de 7 (sur plusieurs jours). Si l'on arrive à 8, on évolue vers l'alcalose. Si l'on est régulièrement à 6 ou moins c'est plutôt l'acidose.

    (Le test urinaire est approximatif. Pendant un certain temps, on peut avoir un PH urinaire acide, sans acidose profonde. Le corps fait son travail en éliminant les acides en trop. Mais avec le temps, pour faire ce travail il va pomper de plus en plus de bases, et il y a un risque d'acidose profonde dans les tissus, et de déminéralisation, avec une cascade de pathologies liées à l'acidification et la fuite des minéraux basiques (calcium, magnésium, potassium…) servant de tampon pour équilibrer le PH sanguin.)

    -

    Vente libre pour le ZymaD. (Pas faire n'importe quoi avec la vitamine D, elle fait partie des vitamines potentiellement dangereuses, mais uniquement en cas d'accident de dosage, ou certaines pathologies rares. Toute personne avec une maladie grave doit de toute façon consulter un médecin, même pour un changement de régime qui serait anodin pour quelqu'un d'autre. Ne pas prendre sans avis médical en cas d'antécédents de calcifications.)

    Sauf geek ne sortant jamais l'été, la vitamine D n'est nécessaire en supplément, en France, que de novembre à mars.

    D'avril à octobre on la synthétise au soleil (en faisant même quelques réserves).

    L'hiver, même en sortant dehors, il n'y a plus assez d'UV pour permettre la synthèse par la peau.

  10. Oui j'ai vu 4000 IU comme maximum sans même dire que c'était « mal ».

    Un nouvel article aujourd'hui :

    http://www.lanutrition.fr/les-news/la-vitamine-d-ameliore-la-puissance-musculaire-et-fait-maigrir-de-la-taille.html

    "La vitamine D améliore la puissance musculaire et fait maigrir de la taille"

    Avec 4000 UI de vitamine D3 par jour :

    "Au bout de 12 semaines, ceux qui avaient le taux le plus élevé de vitamine D dans le sang sont aussi ceux qui ont le plus perdu de graisse au niveau du tour de taille. Les chercheurs rappellent qu'une diminution du tour de taille représente une réduction potentielle du risque de maladies cardiovasculaires et métaboliques, comme le diabète."

  11. (En fait la différence avec la météo, c'est qu'il y a peu de concurrence dans la prévision météo.

    Donc pas vraiment de choix à se poser, pour l'usager, entre les différentes prévisions. Il y a un bulletin unique de météo France.

    Tandis qu'en nutrition, il n'existe pas un truc unique comme "Nutrition France", aussi neutre et fiable que Météo France, ne laissant aucune place à de la concurrence.

    Les services d'information officiels en nutrition sont tellement peu réactifs, dans la communication transmise au public, qu'ils laissent place à des milliers de petits vulgarisateurs indépendants, souvent à l'avant-garde pour informer le public des dernières études, bien avant qu'un grand service national les centralise et n'émette un bulletin global (souvent déformé par le poids de l'industrie et des lobbys).

    C'est un peu comme si Météo France donnait un bulletin déformé par le poids des lobbys de l'industrie touristique.

    Ou comme s'il existait des tas de chercheurs indépendants informant le public de l'arrivée d'un nuage de pluie, non annoncé par Météo France.

    Le point commun avec la météo, c'est donc la complexité des paramètres. Mais pas le modèle de transmission et de synthèse des paramètres à destination du public, en toute intégrité et réactivité, au jour le jour.)

  12. Ok je comprends… Mais comment distinguer les bons conseils des mauvais?

    Il faut recouper au maximum. Voir déjà si quelqu'un a intégré les dernières études.

    On peut avoir des débats, opposer des études l'une à l'autre, opposer aussi les modèles de prédiction.

    On peut ne pas être d'accord. Mais il faut commencer par être au maximum informé des études les plus récentes.

    -

    En recherchant les meilleurs spécialistes, je commence par rechercher l'étendue de leurs connaissances.

    Est-ce qu'ils se reposent sur un système unique "qui a réponse à tout" ?

    Est-ce qu'ils font une veille des nouvelles études ?

    Est-ce qu'ils ont l'honnêteté de faire état de nouvelles études contredisant leurs premières affirmations ?

    L'orgueil est souvent un obstacle énorme. Par fierté, on refusera de s'être trompé, on s'enfonçera dans l'erreur. et on trompera les autres.

    Ensuite il peut y avoir des enjeux financiers, le lien avec des lobbys, etc. Est-ce que le chercheur est indépendant, est-ce qu'il recherche la vérité ou sert-il des intérêts d'une compagnie ou d'un lobby de producteurs ?

    --

    Pour les "vulgarisateurs", beaucoup de gens se sont moqués de David Servan-Schreiber, par exemple, mais ce que je respectais chez lui c'est :

    - 1 : il était malade (cancer), donc cherchait vraiment la vérité. Il ne voulait pas vendre n'importe quelle théorie, mais trouver des éléments pour se guérir lui-même.

    Point très positif

    - 2 : l'homme était intelligent, cultivé, bien formé. Anglophone (les meilleures études sont en anglais).

    - 3 : il avait l'esprit curieux et en permanence disponible pour découvrir de nouvelles choses.

    Après, il a pu se tromper, mais c'est le genre de paramètres que j'attends, pour commencer.

  13. Point de vue qui ne se discute pas mais comment pouvoir modéliser les risques avec autant de paramètres que sont la nourritures, le mode de vie, la génétique, les facteurs externes comme la pollution…???

    La recherche en nutrition, c'est comme la météo. Il y a une telle quantité de paramètres à prendre en compte, que la prévision n'est jamais certaine, surtout à long terme, mais malgré tout on progresse peu à peu, en intégrant toujours plus de paramètres, et en améliorant les principes de modélisation (et d'observation, de prises de mesure…).

    Cette multitude de paramètres fait qu'on peut toujours se tromper. Malgré tout, la météo moderne, même en se trompant souvent, reste utile et mieux que rien.

    Si j'ai besoin de savoir le temps qu'il fera à 7 jours, je sais que la météo ne m'en donnera qu'une probabilité incertaine, selon une modélisation ne reposant que sur une partie des paramètres réels.

    Mais personne d'autre pourra m'en donner une meilleure probabilité. On n'a que cela. Une modélisation incomplète.

    Pour vivre en bonne santé jusqu'à 90 ans, on n'a aucune certitude, mais des modélisations, prenant en compte le maximum de paramètres. Chaque jour ces paramètres évoluent.

    La première chose que je demande à un spécialiste en nutrition, c'est de rester à l'écoute des nouveaux paramètres. On est obligé d'évoluer sans cesse, dans ce domaine.

  14. Tout à fait d'accord.

    Et donc, sur le lait, tu as des études qui montrent que la consommation de lait pour la récupération des sportifs entraîne une morbi-mortalité accrue ?

    Non. Fin de la discussion. :icon_smile:

    Les meilleurs sportifs ont déjà pris l'habitude d'écarter la protéine totale de lait, pour lui préférer la whey (protéine de petit-lait), qui pose moins de problèmes (plus proche du lait humain dans sa composition en acides aminés. Sans caséine.).

    Et pour cette protéine de petit-lait, ils prennent en plus soin de prendre un isolat sans lactose.

    Parce qu'ils ont identifié les multiples problèmes que pose le lait brut, que ce soit pour la récupération ou la construction musculaire, du point de vue de la santé globale.

  15. Il y a peu, j'ai lu un article d'une étude qui semblait observer que la récupération musculaire et métabolique après un effort prolongé était meilleure avec le lait qu'avec toute autre boisson y compris les boissons vendues comme telles.

    Il faut distinguer les effets positifs ciblés, à court terme et pour telle fonction,

    et les effets à long terme sur la santé globale.

    Dans une approche de nutrition optimale aujourd'hui, l'objectif est de maintenir l'organisme global en bonne santé jusqu'à 85 ou 90 ans.

    Enormément de substances peuvent avoir des effets bénéfiques à court terme, et devenir désastreuses avec le temps, les problèmes arrivant à partir de 50, 60, 70, ou 80 ans.

    (C'est aussi la limite du modèle paléo, quand l'homme arrivait rarement à l'âge de 70 ou 80 ans…

    Le chasseur paléo qui se nourrit de viande et meurt à 45 ans, n'a pas les problèmes du mangeur de viande d'aujourd'hui, qui ne veut pas mourir à 45 ans)

  16. Un truc qui m'a mis une claque quand j'ai vu ca, c'est le jus d'orange. 10% d'une bouteille de Tropicana, c'est du sucre. Je me doutais qu'il y en aurait, mais pas a ce point.

    Les fruits sont à prendre de préférence entier. Les fibres ralentissent les pics d'insuline.

    En jus, les fibres sont soit absentes, soit broyées (selon que le jus est complet ou filtré), ce qui détruit leur capacité de ralentir les pics d'insuline.

    Le sucre est très vite disponible. L'IG bondit alors.

    Le plus important n'est pas la teneur en sucre, mais l'environnement qui ralentit ou pas la disponibilité du sucre.

    Dans le chocolat noir à 80%, il reste encore beaucoup de sucre, mais l'environnement (matières grasses) ralentit sa disponibilité (et ses dégâts).

  17. De mémoire, dans le Matin Léger, on remplace le lactose par d'autres sucres (si on y mettait de la lactase, j'imagine qu'elle hydrolyserait directement le lactose sans attendre qu'on l'ingère). Quoiqu'il en soit, la fois où j'avais goûté ce fait, je l'avais trouvé beaucoup plus sucré qu'un lait normal.

    La lactase hydrolyse le lactose dans la cuve et le transforme en sucre simple :

    "Le lactose n’a pas été enlevé du lait Matin Léger®; la majeure partie est coupée en deux sucres qui seront plus facilement absorbés par l’organisme. Les éléments qui composent le lactose restent bien partie intégrante de Matin Léger®, mais ne perturbent alors plus la digestion."

    http://www.lactel.fr/chacun_son_lait/matin_leger.php#sp

  18. (J'ajoute l'inconnu des très nombreux facteurs de croissance du lait. Il y a des recherches sur cette question, pas tranchée.

    Les facteurs de croissance sont faits, dans le lait, pour permettre une croissance très rapide du veau - qui doit gagner plusieurs centaines de kilos rapidement.

    Pour l'enfant humain ça peut encore aller (même si la composition en acides aminés n'est pas bonne, et s'il manque des substances pour le cerveau. Un veau ne développe pas son cerveau comme un bébé humain. Le lait humain diffère du lait de vache.)

    Pour l'adulte, qui a souvent des débuts de cellules cancéreuses non connues, continuer d'avaler des facteurs de croissance à haute dose pourrait accélerer le développement des cancers.

    Dans la nature le lait c'est pour les enfants, pas les adultes.

    A suivre, recherches en cours… Rien d'absolument certain.

  19. Le lait est déconseillé pour la santé ? Et le fromage ? Vous êtes sûrs ?

    J'ai plus qu'à aller me pendre

    Le lait brut il y a beaucoup d'éléments contre.

    Deux problèmes :

    - la caséine (protéine majoritaire), pas très bonne pour l'homme

    - le lactose (manque de lactase pour le digérer après un certain âge)

    Pour la lactase, on peut à la rigueur en prendre en complément, ou prendre du lait sans lactose (avec ajout de lactase) comme "Matin léger".

    Le fromage est un peu moins contesté (lactose pré-digéré), mais il reste le problème de la caséine (+ le sel et les lipides en excès).

    Le yaourth en principe c'est OK, les ferments pré-digèrent tout.

  20. Thierry Souccar est peut-être excessif contre le lait, mais cela compense un discours officiel français qui donne beaucoup trop d'importance au lait en balayant avec mépris toutes les objections prudentes (lobby laitier) :

    "Lait, mensonges et propagande" :

    http://www.lanutrition.fr/la-boutique/livres/nutrition/lait-mensonges-et-propagande-nouvelle-edition-revue-augmentee.html

    "Déjà, aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, la consommation de laitages est en baisse, grâce au travail d’information de mes confrères et aussi grâce à des chercheurs comme Walter Willett de Harvard qui considère qu’encourager la consommation de laitages est "irresponsable". La France va suivre inéluctablement. Il faudrait déjà se poser la question de la reconversion des producteurs vers des activités plus éthiques et qui servent mieux la santé humaine. "

    http://www.thierrysouccar.com/les_livres/nutrition/lait_mensonges_et_propagande_epuise/thierry_souccar_les_vendeurs_de_laitages_nous_mentent

  21. Oui. C'est le concept de densité nutritionnelle.

    Et c'est aussi la limite de tout conseil qui peut tenir en une phrase, comme de tout principe trop général. Cela exclut trop de critères très importants à prendre en compte en plus, critères particuliers parfois plus importants que la loi générale.

    Dans certains cas, le lait peut faire encore plus de dégâts que le sucre.

    (Si quelqu'un se bourre de produits laitiers, développe une acidose et de la perméabilité intestinale, avec des maladies auto-immunes liées à la protéine du lait et au lactose mal digéré… + les dioxines éventuellement présentes dans le lait…

    Par rapport à quelqu'un qui prendrait raisonnablement du sucre de temps en temps.)

  22. le top c'est le lait.

    peut-être la limite, datée, du truc.

    La protéine de lait est impliquée dans pas mal de pathologies.

    Même ses facteurs de croissance, ça peut favoriser la croissance des cancers.

    Les facteurs de croissance du lait, c'est bon pour les enfants, pas toute la vie et à toute dose.

    (Sans parler du problème bien connu du lactose. Seuls les enfants ont assez de lactase, l'enzyme pour bien digérer le lactose. Parce que la nature n'a pas prévu qu'on prenne du lait après l'enfance.)

  23. Le couscous royal sans la semoule, a mon avis ca rend pas pareil.

    Pour ceux qui ne suppriment pas tous les glucides, on peut remplacer la semoule de blé par de la semoule de maïs (bio), c'est aussi bon au goût.

    Au niveau IG, ce n'est pas mieux, mais c'est sans gluten et ça provoquera moins de désordre intestinal que la semoule de blé.

    (L'IG n'est pas l'unique critère de santé à prendre en compte. On peut de temps en temps conserver quelques aliments à IG élevé, surtout au milieu d'un plat complet. L'IG le plus dangereux c'est pour un aliment isolé.)

    On peut aussi remplacer par du quinoa complet, pour l'IG ce sera mieux, mais le goût sera différent.

×
×
  • Create New...