José

Le pire chez les gouvernants, c'est leur grande ressemblance avec leurs électeurs.

Au Venezuela, c'est simple : si t'es malade, t'es mort. Entre 70% et 80% des médicaments connaissent la pénurie. 70% des salles d'opérations des hôpitaux publics sont à l'arrêt. 20 à 30 traitements pour la chimiothérapie sont inaccessibles. Neuf régions du pays manque de moyens en radiothérapie. Le taux de mortalité a été multiplié par trois dans les hôpitaux publics. un hémophile sur deux a accès à son traitement. Etc. "Socialismo o muerte", qu'ils disaient. Ben, ils ont le socialisme et la mort.

Ad augusta per angusta

C'était ça ou "Donnez-moi la confiture ou donnez-moi la mort !"

Manoeuvre pour qu'il obtienne l'impunité. Provisoirement.

Pragmatims way of life.

C'est une vraie question ?

Un peu comme Hollande ?

Déjà... "tenter d'expliquer" la politique des USA au 21e siècle avec le concept de WASP, c'est du nawak de compète.

Si t'es une rousse à grosse poitrine, on s'en fout un peu...

Ils sont détressés depuis la création des USA, ces cons-là. Le discours xénophobe de Trump répond aux inquiétudes des xénophobes. Soit. On ne voit pas trop ce qui devrait nous plaire là-dedans.

Le saut lacantique se situe déjà dans le fait de faire référence à la propriété privée pour parler d'immigration. L'immigration n'est pas un phénomène qui concerne la propriété privée. Quand quelqu'un loue un appartement, ce n'est pas un immigré, c'est un locataire. Quand quelqu'un entre dans un restaurant, ce n'est pas un immigré, c'est un client.

Comme tout le monde le sait, l'immigrant paie zéro impôts et taxes dans le pays qui l'accueille.

Il n'y a pas d'état d'urgence en Belgique ; c'est un pays civilisé.

Si les noms de domaine redessinaient la carte du monde.

Meanwhile in Austin...

Plus j'observe les chats, plus j'aime les socialistes.

http://www.youtube.com/watch?v=Ciavyc6bE7A

C'est pas non plus comme si Humphrey Bogart n'avait pas joué dans Dark Passage en 1947.

Quoi ! Il n'y aura même pas de IIIe Guerre mondiale avec la Turquie... Je suis déception.