Il ne parlait pas de racisme anti-blanc, mais de discrimination anti-blanche.
Et, là, il va quand même falloir se lever tôt pour trouver des blancs souffrant massivement de la discrimination aux USA.
On connaissait le parcours du gus depuis 2001.
La France n'avait qu'à ne pas accréditer ses lettres de créance. Stou.
Alors, maintenant, si on met le business avec une dictature au-dessus de la protection de ses propres concitoyens...