Jesrad

Non il s'agit de cas documentés d'abus, passés en jugement, et menant à une condamnation de l'auteur. Dans 84% de ces cas, la victime continue de nier son statut, si c'est un homme, contre 40% pour les femmes.

Non. En tout cas aucun de ceux que j'ai lu.

En utilisant les cas d'abus qui sont documentés suite à dénonciation par des tiers plutôt que par les victimes.

Oui, tout à fait.

My point exactly, merci. Mettre en cause hommes ou femmes dans la violence à coups de chiffres c'est presque TOUJOURS un sophisme ex post facto. On en a déjà parlé sur ce fil, les hommes ne portent quasiment jamais plainte alors qu'ils comptent pour un gros tiers des victimes. Ce qui permet ensuite aux féministes de la ramener sur le nombre de conamnations d'hommes V.S. femmes pour violence conjugale.

C'est surtout inexact. Les femmes réalisent 70% des violences domestiques unilatérales, principalement à l'encontre de leurs enfants (descendre à "nature des crimes et délits") et de proches dépendants (infirmes ou trop âgés pour se défendre). Les hommes n'ont "l'avantage" qu'entre époux (violences conjugales seulement). Cela vient du fait absolument décapant que la violence s'exerce presque toujours d'une personne physiquement plus forte vers une personne plus faible. Les hommes sont juste souvent les seuls assez forts pour taper sur les femmes, qui elles tapent sur les hommes les moins forts et sur tous les autres. Mais je t'accorde qu'elles tuent moins souvent que les hommes: malgré ça elles font "seulement" 45% des victimes de violences domestiques mortelles.

Kamoulox.

...ça ose tout.

Les deux membres d'équipage (le pilote et le copilote) se sont éjectés, leurs parachutes ont été vus.

C'est plus simple de retirer tout caractère obligatoire aux prélèvements de l'état. Comme ça les gens décident eux-même du rythme et de l'ampleur de la baisse. Et les fonctionnaires doivent apprendre à vivre avec.

C'est pas beaucoup mieux dans les séries médicales où, par exemple, pratiquement toutes les réanimations réussissent (contre 5 à 10% en réalité, et encore dans des conditions optimales).

Dilemme pour les écolos, devoir choisir entre l'antiOGM et leur rêve humide de Na'Vi:

les nonosses, ouais.

Une bonne raison de bannir Glandouille pour de bon, yep.

rejoindre l'armée, ou bien la police mais c'est pas aussi sûr.

Le vrai risque de ces drones c'est de se faire un bleu en le prenant dans la tête par surprise.

Je ne voyais pas du tout ça de la manière que tu dénonces... Mais le revirement vaut la peine de le signaler.

"...then you win" Alan Greenspan admet l'échec complet des QEs, le pire est encore devant nous, conseille d'acheter de l'or.

Regarde le premier épisode de la série réactualisée (2005: Rose) ça suffira à te faire un avis.

Elles seraient foutues d'aimer ça: une bonne excuse pour se victimiser un peu plus.

Du coup que tu en parles je suis allé voir J'avais bien aimé le film, qui m'avait fait découvrir le comics (très différent) qui sert bien plus de base à la série. Le pilote est pas mal du tout. Sinon j'ai fini de voir tout Doctor Who depuis le reboot de 2005. Le 9ème docteur reste mon favori, et je trouve la saison 8 avec le 12ème docteur très inégale (premier épisode franchement nul, second réussi, troisième bâclé limite fanservice, quatrième touchant mais bourré de plot holes béants, cinquième excellent tout à fait dans la veine de la série...)

Oui, en commençant par le traité de l'espace qui les empêche de commercialiser leurs échantillons et exploiter leurs droits de propriété extraterrestre.

Juste pour la forme:

Pour le dire plus simplement, ce que tu vois comme "en haut" et "en bas" du trou est en fait derrière.

La NASA ça représente genre $30 par contribuable US par an, si je compte bien. Il faut les privatiser et qu'ils fonctionnent par abonnement (y compris pour les particuliers hors US) + partenariats commerciaux avec les médias intéressés par un contenu scientifique qui épate. Ils ont presque déjà investi cette niche, ils ont les contacts, le savoir-faire marketing/communication, les lieux touristiques, les produits dérivés et l'image requise auprès du public. Shoe in.