laurett

Je suis arrivée ce matin au boulot, ouvert ma boite mail… C'te grognasse me fait suivre un mail d'un de mes clients qui demande de prendre en compte deux commandes pour deux moteurs hydraulique. La demande initiale date du 25 octobre Elle me transmets ça que maintenant, soir trois semaines plus tard, et bien sûr, rien n'est fait… ZEN, laurett, ZEN…

Je n'en doute pas

Morceau d'antologie aujourd'hui : Ce matin, la grognasse n'arrivait pas à avoir la barre d'adresse sur explorer. Elle et une collègue (Sophie) ont cherché pendant une demie heure comment la remettre, sans succès. Quand la grognasse est partie déjeuner, j'ai demandé à Sophie quel était le problème, elle m'a exliqué, et j'ai été voir. C'te conne était en mode plein écran, je lui ai remis son truc comme il fallait en moins d'une seconde. A son retour de déjeuner, la grognasse voit que le problème est réglé et lance "Merci Sophie", la Sophie en question répond "Non, c'est Laure qui a réglé le problème", et là, la grognasse re-lance "Merci Sophie" :warez: Ha, j'étais à un mètre à peine de la grognasse, la présence d'esprit m'a manquée, j'aurais du lancer "mais de rien !" à tue-tête

Héhé, j'ai trouvé un truc rigolo avec ma collègue : être sympa avec elle. Ca a l'air de l'étrangler.

Je viens de me laver les dents avec le dentifrice moussant dont il y a la pub à la télé. WOW…

Je mange du camembert

Alors bonne nuit et bon courage.

Je vais me faire un sandwich au nutella

Il va falloir fouiller très profondément pour trouver quoi dire, alors

La grognasse n'était pas là aujourd'hui. C'est fou comme l'ambiance est plus détendue. Les collègues qu'elle a envouté me parlent spontanément et m'invitent à manger avec elles, du coup !

Bon, c'est pas tout, mais dodo, maintenant…

Impossible. Apparrement, elle a décidé que je ne devais pas non plus lui parler… alors, quand elle m'engueule, impossible de placer plus d'un mot d'affilé, elle parle sans arrêt et de plus en plus fort. Du coup, j'adopte la technique du "chuissourde". Ca a pas mal marché hier, elle a fini par arrêter de gueuler et est retournée s'assoir… Open space : On est 20 collègues sur un grand plateau ouvert.

Je prends les bonnes idées…

Si mes malheurs peuvent aider… J'essaye, mais je te confirme que c'est TRES difficile. Par contre, vu son comportement, je me rends compte qu'elle se donne bien du mal pour moi Ca me fait bien marrer…

Les autres collègues avec qui elle était comme ça sont parties du service… Je lui ferais volontiers des grosses blagues si ce n'était pas si voyant (open space oblige) Mais comme elle pique la mouche dès que je lui fais suivre un mail qui la concerne avec un petit commentaire du genre "ce mail est pour toi" (elle m'a chopée dans les chiottes pour m'engueuler parce que j'avais pas à lui écrire ), pas besoin de blagues… elle se monte la tête toute seule. Elle a pris un énauuurme long weekend, je vais pouvoir souffler demain et lundi…

Ma sociopathe de collègue m'a tellement dans le pif que maintenant elle prend soin d'oter la formule de politesse incluse dans sa signature automatique quand elle m'écrit un mail. Cet excès d'attention me touche

Lasagnes maison pour nous.

Je regarde super nanny en mangeant des pralines, ça compte comme fruiélégum ?

Si on ajoute les féculents, les lipides et les protéines qui doivent figurer dans tout bon repas équilibré… ben ça fait que c'est impossible de manger tout ça dans une journée…

Vous rigolez ou quoi ? Les plans IKEA sont super fastoches à comprendre… même pour une bille comme moi. Bon 9h40 le lundi, retour au boulot. J'ai une nausée pas croyable. Je sais pas si c'est lié. Ou alors c'est la glace d'hier ?

Je déprime. Et du coup je viens de m'enfiler 200 grammes de parmesan.

Mon ventre crie famine !

Jesrad, ne poste plus, t'es à 2000 !

Reste à le faire

Oui, je l'ai refait ce midi. En fait, je ne la suis pas. J'ai une collègue qui m'a demandé si je voulais les rejoindre à déjeuner, et y'a pas de raison que je vienne pas, même si le dragon est avec le groupe. Cette fois elle a à peu près su se tenir, et n'a rien osé dire quand les collègues ont parlé des congés qu'elles voulaient poser à Noël . Mais à la fin du repas elle en pouvait plus de ma présence, elle n'a même pas attendu qu'une collègue ait fini son désert pour sonner la levée du camp. Enfin, ç'était moins un désastre pour elle que la dernière fois. Jesrad, tu peux raconter si tu veux, mon bureau est dans l'allée et tout le monde voit que je ne fous rien, là…