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Nirvana

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Tout ce qui a été posté par Nirvana

  1. Ils n'ont donc pas neuf vies… quel dommage. Je suis désolé.
  2. Les fichiers PDF peuvent varier énormément en formatage d'un fichier à l'autre. La qualité de la conversion en mobi n'est donc pas garantie, et il faudra souvent retoucher le fichier obtenu après conversion, surtout pour des problèmes de mise en page. C'est faisable, mais ça peut prendre du temps et des efforts et il vaut parfois mieux se contenter du PDF d'origine. Les pages de ton document sont assez denses en texte. En affichant la pleine page à l'écran (fit-to-width), les caractères sont minuscules, mais encore lisibles et parfaitement déchiffrables à l'oeil nu (ce qui n'est pas très évident sur la photo, désolé de la qualité de l'image) Avec le zoom à 150 %, on a ça : Avec le zoom à 200 % : Enfin, zoom maximal à 300 % : Affichage horizontal : Affichage horizontal + zoom à 300 % :
  3. Eh bien, c'est plus grand (légèrement plus petit qu'une feuille A4) et un peu plus lourd (535 grammes). C'est tout à fait possible de lire en le tenant d'une main (ça n'empêche pas de changer de page en cliquant avec le pouce), mais une légère fatigue peut s'installer à la longue. Aucun problème si on le tient des deux mains ou en le posant sur les genoux. J'ai principalement choisi le DX pour la taille de l'écran, et pour la qualité d'affichage (je l'ai acheté quasiment à sa sortie, et le Kindle 3 avec qualité d'affichage équivalente n'était pas encore sorti). Si tu ne comptes pas utiliser beaucoup de PDF (journaux, bandes dessinées, ouvrages techniques ou académiques, documents scannés en tout genre) et que la portabilité est un élément important, le Kindle 3 devrait suffire et coûte bien moins cher.
  4. La taille de l'écran est un vrai plus (je trouve le Kindle 3 vraiment minuscule, personnellement), et il y a la possibilité de zoomer. Il y a également une fonction de zoom automatique qui permet d'évacuer les grosses marges blanches au cas où.
  5. Voici une démonstration du Kindle DX à la lumière du soleil. Ca me semble assez représentatif de la réalité (je possède le même modèle) :
  6. Pas nécessairement, on peut utiliser le câble USB fourni. http://www.amazon.com/Kindle-Wireless-Read…;pf_rd_i=507846
  7. Si j'ai bien compris, les formats epub et mobi ne sont que des pages html dans des conteneurs à peine différents, je me trompe ?
  8. Pas directement. Il faudrait le convertir en .mobi, ce qui, je le confirme, se fait en un clic sous Calibre sans le moindre paramétrage. En ce qui concerne d'éventuels DRM, il faudrait bien sûr les retirer au préalable. Je ne l'ai jamais fait, mais j'ai entendu dire que c'était simple.
  9. On peut lire n'importe quel fichier texte, Word, PDF ou .mobi sur le Kindle, même sans passer par la boutique d'Amazon. Pour installer Calibre, c'est là : http://calibre-ebook.com/download Kindle : iPad : Journal : Magazine : Livre ordinaire :
  10. Si vous n'avez pas vu le lien entre le grain de sel qui pimente un spectacle qui mijote, c'est que vous n'avez rien compris à l'art de la métaphore filée. Devançons immédiatement ceux qui se demandent par quel miracle être "rasé de frais" pourrait bien "empêcher de s'énerver" : c'est la licence journalistique moderne. La conclusion est de toute beauté : "la France doit avancer et s'ouvrir à l'autre". Non, vous n'entendez pas ça en permanence : Jamel ne l'avait pas dit publiquement depuis son dernier 20h. Souvenez-vous, en faisant le pitre derrière Claire Chazal, l'humoriste (choisissez vous-même le qualificatif : iconoclaste, irrévérencieux, poil à gratter, trublion…) a fait rire simultanément toute la France, des cités au bistrot jambon-beurre. Passons à la première question, qui doit se lire sur fond de marche funèbre de Chopin : "Vous revenez sur scène après sept ans d'absence. Depuis quand y pensez-vous ?" Parce qu'il est l'un des humoristes préféré des Français, Jamel répond : "sept ans". Une interview d'anthologie s'annonce. On parle de l'ego de Jamel : "J'ai toujours eu envie d'exister. Or, quand tu es arabe, handicapé, pas très grand, pas très beau, c'est compliqué. Je cherchais la considération en permanence. Avec des potes, on a même voulu inventer un mouvement: le considérationnisme". Ça rappelle la pub de Coca Cola : "Pas de local, pas de considération…" Considérez-nous, merde. Au lieu de se remettre en question, l'inconsidéré postule étrangement que la considération est un droit. Aujourd'hui plus que jamais, Jamel (qui a énuméré ses innombrables qualités plus haut) devrait se demander si la considération que lui porte le public est vraiment autre chose qu'un droit. Parce que le mérite, franchement, on a beau chercher… Ce qui frappe tout d'abord, c'est que Jamel joue les victimes. "Je ne peux faire aucun travail physique", "je n'ai pas le bon cerveau pour les métiers intellectuels" (lucide !). "C'était compliqué, difficile, humiliant". "J'avais honte de tout. De mes fringues, de mes parents, de mes cheveux, de mes pieds". "Ma femme et moi avons reçu énormément de lettres d'insultes". Attention, les phrases qui vont suivre méritent leur encadrement en bonne place dans le futur Musée de l'Autolyse Intellectuelle. Comment s'appelait déjà cet adolescent laiteux, chétif et humilié de la nouvelle de Dino Buzzati ? Dolphi ? Ne vient-il pas de s'ouvrir les portes du Panthéon ? La phrase typique du brave gars de gauche : je ne vous abandonne pas, je suis avec vous. Je sais d'où je viens. J'ai connu votre misère. Je pense bien à vous. Gros bisous. Oui parce qu'attention, Jamel est de gauche. La vraie, celle de Bedos, d'Arditi et de Muriel Robin. Jamel a joué dans Indigènes, c'est un ancien caïd, un ami de Luc Besson et il roule en Ferrari. On ne s'étonnera donc pas qu'il soit de gauche. Il y a belle lurette que les millionnaires n'ont plus la décence d'être de droite. "Vous auriez pu vous contenter de faire dans le rire drôle" On ne saura sans doute jamais si ce "rire drôle" est une tentative de boutade du stagiaire de l'Express, qui voudrait dire par là que Jamel n'était pas obligé de politiser ce que nous sommes contraints d'appeler son "humour". Jamel ne fait la plupart du temps pas exprès d'être drôle. Par exemple, lorsqu'il cite Jaurès et Blum comme références pour la gauche. Blum, un type qui parlait de races supérieures et inférieures. Jaurès, cet autre brave colonialiste humaniste qui voulait apporter la "gloire de la France pure" aux colonisés… Heureux les incultes, le royaume du progressisme est à eux. Jamel Debbouze nous rappelle ensuite qu'il sait prendre des positions courageuses et inattendues : "J'ai lu dans Courrier international que l'immigration rapportait 12 milliards d'euros à la France. Vive l'immigration." Rappelons que Michèle Tribalat (de l'INED) estimait de son côté que l'immigration coûtait à la France 30 milliards d'euros. La méchante femme. Mais que fait l'Inquisition ? "Voyez-vous les choses bouger ou est-ce toujours aussi désespérant?" Demande le stagiaire, décidément fort à propos. "Un Noir habite la Maison-Blanche". "Mon fils s'appelle Léon Debbouze". Pour lui, ce sont là d'incontestables "signaux". En général, quand les signaux sont incontestables, ça veut dire que le train arrive. Ce qui n'a pas toujours réussi à l'humoriste, du temps où il n'était pas drôle. En 1990, un train tue Jean-Paul Admette et blesse Jamel Debbouze à la main. La famille de la victime accusera le second d'avoir tué le premier : un non-lieu sera prononcé. Jamel se fait plutôt discret sur son propre passé de voyou mais ne se gêne pas pour justifier la délinquance, en expliquant que "commencer à foutre la merde" est la conséquence logique du "refus d'un bidon d'huile au supermarché "par un "bâtard". Et après ça, Jamel ose : "Mon idée, c'est plutôt de dire : Acceptez d'être français, même si la France ne vous accepte pas". Où le personnage témoigne de son immense gratitude envers un pays qui a eu la fantaisie mal placée de le sortir du caniveau… Il faut dire que l'antiracisme a toujours fait du zèle avec Jamel. En l'an 2000, l'AFP photographie l'humoriste face contre terre, entouré par deux CRS. La légende : "Deux CRS prennent le pouls du comique". Canal +, spécialiste du genre, ne voit pas la même chose : "Le comédien aurait été malmené par des policiers". L'Humanité se précipite dans cette brèche mensongère. Seul le journal Marianne prendra la peine de rectifier. Ce genre d'affaires bidonnées ne peut-il pas être à l'origine de l'impression de rejet qu'il déplore ? C'est une question qu'il ne se pose pas. "Vous voudriez davantage entendre parler des trains qui arrivent à l'heure?" Questionne le journaliste, bien décidé à ne pas s'éloigner du thème "chemins de fer". Pour sûr, c'est exactement ce qu'il veut ! Laissons libre court à l'antiracisme primaire : "La gamine de la Creuse n'a jamais vu de Noir ni d'Arabe, mais elle en a peur. Je vous jure que c'est aussi con que ça". De toute façon, les gamines de la Creuse, dès lors qu'il faut faire preuve d'ouverture d'esprit… Déjà qu'elles ne sont pas foutues de se promener à Barbès les nuits de pleine lune pour "faire connaissance" (comme le prône Debbouze)… Alors évidemment, ça "n'avance pas". "Le problème, vraiment, c'est cette peur de l'autre distillée par les médias. Le journal de 20 heures, c'est flippant". C'est vrai : mieux vaut une gentille journaliste de M6, une certaine Mélissa T. par exemple, pour vendre l'île-aux-Enfants aux jeunes filles de la Creuse. Est-ce bien utile de parler de violences et de viols, a fortiori s'ils existent ? Dans son interview, Jamel défend un tas de bonnes causes, en particulier celle de "l'avance rapide". Comme toujours, on ne sait ni où ni comment ni pourquoi, mais une chose est certaine, il faut avancer : "C'est terrible qu'en 2011 les choses n'aillent pas plus vite". On ne sait pas où va son train fou, mais autant en sauter avant qu'il ne prenne trop de vitesse. À la fin de l'entretien, Jamel, comme un vulgaire Besancenot, se félicite de la situation en Tunisie et en Algérie. "Il faut contester", qu'il affirme. Surtout au Zénith, surtout avec des cachets de plusieurs millions d'euros, surtout en contestant ce que tout le monde conteste déjà. Tant que les moutons bêleront à l'unisson, ils ne s'apercevront pas que la vraie contestation est silencieuse. Décidément lucide sur son passé, le comique reconnait qu'à l'époque, il "n'avait pas d'outils intellectuels à (sa) disposition". Son problème, c'est qu'il croit que le succès a forcément changé la donne. La meilleure pour la fin : "je ne rigole pas avec le droit de vote". Rappelons qu'il avait voté Ségolène Royal en 2007. Laurent Obertone http://www.surlering.com/article/article.p…lait-debbouztra
  11. Nirvana

    Jeux vidéo

    Non, mais après un si long développement, on ne pouvait pas attendre de miracles. Disons que ce sera la touche 90's du jeu.
  12. Je l'ai mentionné trois messages plus haut
  13. http://www.leaderpost.com/news/Text+messag…2966/story.html
  14. Test du Fnacbook : http://www.lesnumeriques.com/fnac-fnacbook…_10267_509.html
  15. A force d'attendre, on n'achète plus rien.
  16. D'après la source, l'information serait fausse. Pas de nouveau Matrix à l'horizon.
  17. http://www.lepost.fr/article/2011/01/24/23…tml#xtor=AL-235 Une interpellation pour ça ? C'est pourtant les jeunes qui étaient en tort
  18. Si seulement c'était sa femme…
  19. http://www.google.com/hostednews/afp/artic…20b8aad27e8.2b1 Ils sont pourtant bien placés pour savoir que ce n'est pas encore Noël.
  20. Voilà un discours qui est plein de bon sens.
  21. La réalité rejoint la fiction :
  22. Il y aura un Matrix 4 et un Matrix 5, en 3D : http://www.aintitcool.com/node/48199 http://marketsaw.blogspot.com/2011/01/hell…ore-matrix.html
  23. http://www.lepost.fr/article/2011/01/22/23…tml#xtor=AL-235
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