Je suis donc revenu à la fac pour m'inscrire en espagnol : après avoir trouvé une foule immense devant une petite salle, et avoir réussi à y entrer, on me dit qu'ici, c'est pour les première année. Je demande alors où il faut que j'aille, étant en deuxième année, et on m'a dit d'aller voir à l'UFR, où "tout est affiché". J'y vais, et parmi les innombrables notes placardées, je vois, dans un coin, que je suis censé revenir jeudi.
J'ai attrapé la pluie et un exemplaire gratuit de Libé en contrepartie de mon déplacement.