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Tout ce qui a été posté par zyggy
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Un couple de randonneurs à la campagne. Le femme : "le paysage me laisse sans voix" L'homme : "parfait, nous campons ici" Me tapez pas les filles!!!
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Cher Ami, si tu m'en veux croire Cher Ami, si tu m'en veux croire, Nous quitterons ces jeunes sots Qui ne parlent que de la gloire Des combats qu'on fait sur les flots. Éternisons notre mémoire À vider un nombre de brocs. Si nous sommes gros de trop boire, Nous en tiendrons plus, tant gros. Moquons-nous de cette fumée Qu'on appelle la renommée, Et dont se moque l'Esprit fort. Un verre plein durant la vie Est cent fois plus digne d'envie Qu'un tombeau vide après la mort. Vion D'Alibray Les montreurs Tel qu'un morne animal, meurtri, plein de poussière, La chaîne au cou, hurlant au chaud soleil d'été, Promène qui voudra son coeur ensanglanté Sur ton pavé cynique, ô plèbe carnassière ! Pour mettre un feu stérile en ton oeil hébété, Pour mendier ton rire ou ta pitié grossière, Déchire qui voudra la robe de lumière De la pudeur divine et de la volupté. Dans mon orgueil muet, dans ma tombe sans gloire, Dussé-je m'engloutir pour l'éternité noire, Je ne te vendrai pas mon ivresse et mon mal, Je ne livrerai pas ma vie à tes huées, Je ne danserai pas sur ton tréteau banal Avec tes histrions et tes prostituées. Charles-Marie Leconte de Lisle
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Il était une fois une asiatique qui venait de se marier avec un français. La pauvre dame ne savait malheureusement pas beaucoup de mots en français,mais elle réussissait à communiquer avec son mari. Son malheur était quand il fallait qu'elle aille faire les courses en France . Un jour,elle se rendit chez le boucher pour acheter des cuisses de grenouille ne sachant pas comment le demander,elle leva sa jupe jusqu'a ses cuisses;le boucher comprit et elle retourna chez elle avec des cuisses de grenouille. Le lendemain,elle a besoin de poitrine de poulet,encore une fois ne sachant que dire au boucher,elle déboutonna sa blouse et montra sa poitrine au boucher et encore une fois la dame obtint ce qu'elle désirait. Le 3eme jour,la dame eu besoin de saucisses…………… Elle emmena donc son mari chez le boucher….. …. A quoi pensiez-vous ??? Bande de pervers… Son mari parle français!!!!!
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Ben à propos de fruits, lors de cette fameuse journée, c'était le libre service, pour le repas de midi. Comme je ne suis pas amatrice de fromages (me tapez, s'il vous plaît!!!!) quand on nous a posés deux plateaux, il y avait aussi une corbeille de raisins (noirs) et une petite soucoupe, toute petite, contenant ce qui m'a semblé être de la confiture, avec des amandes effilées dessus; Deux collègues belges étaient en train de reprendre du saumon avec de la purée, j'étais avec un collègue algérien qui a pris toutes sortes de fromages, très content. Alors j'ai pris des raisins et la soucoupe J'ai commencé à manger à la cuillère, c'était du sirop de Liège (j'ai reconnu son goût, quand même ) Et v'là mes collègues belges qui se la rappliquent et qui me voient, alors, ils se bidonnent et commencent à se payer ma tête La fameuse soucoupe, c'était pour tous ceux qui prenaient du fromage , pour accompagner, tout comme les raisins C'était pas le dessert C'était la honte, pour moi, mais bon, quand on nous a servi le dessert, ça a été le rush, donc j'avais bien fait de prendre une bonne part de raisin et la soucoupe de sirop de Liège, j'aime bien terminer mon repas avec quelque chose de sucré, non mais..
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Mon séjour à Liège, la plus belle ville du monde à mon avis prend fin Je suis en train de faire ma valise, et ce n'est pas facile J'ai acheté des décorations fragiles dans un marché aux puces, alors j'enroule mes vêtements dessus, ça fera plein de bosses Et j'ai de la doc, et un cartable qu'on m'a donné vu que j'ai assisté à la journée du béton, Concrete Day , à Bruxelles. Et mon ordi, en plus Si je ne donne plus signe de vie, c'est que j'ai perdu mes bras durant le voyage
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C'est dérangeant quand même
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Pommes … de terre ou fruits du pommier ?
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Me voilà pour encore 3 semaines en Belgique , à Liège. Je suis censée travailler et passer du bon temps (ça, ce sont les collègues jaloux qui ne savent pas que 965 euros pour un mois , on n'a pas intérêt à faire la fête) Mais je me suis coltinée une bonne grippe, j'ai des courbatures et des douleurs vu que ma valise était trop lourde ( j'y ai mis, en plus de mes vêtements habituels, une grosse veste et un manteau, sait-on jamais ) avec mon ordi, ça m'a achevée Evidemment je dis aux enfants que je suis aux nues ( j'aime beaucoup Liège , c'est vrai, mais malade je préfère être chez moi, au moins je ne fais pas l'effort d'aller au bureau si je suis vraiment patraque) Week-end raté donc, un petit tour au marché de la Batte hier, samedi promenade de deux heures, juste pour repérer les cadeaux à acheter, je suis revenue morte Quand je retournerai chez moi, on m'enviera, à mort
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Trop marrante cette image!!! Extra! Je n'aime pas la viande (sauf le poisson), mais je n'ai rien contre ceux qui veulent en manger . Pour moi, c'est juste une question de goût, il est rare que j'apprécie un morceau, même grillé ou frit, je ne le termine pas. Mais ce qui m'épate , c'est que dans la nourriture, il y a quand même une hiérarchisation des aliments, et dans de nombreuses sociétés, la viande occupe la première place. Vous me direz regarde aussi son prix, mais je raisonne en pensant seulement au goût
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Je connais toutes les vieilles BD et je les révise régulièrement Blek, Akim, Pim Pam Poum, Zembla, Mandrake,Bécassine, Les pieds nickelés, pour les plus anciens et puis Lucky Luke, Boule et Bill, Tintin, Lagaffe ,etc.. j'en ai des tas à la maison, et j'y tiens. Les dernières parutions ne sont pas disponibles régulièrement ici, et elles sont hors de prix, alors je suis complètement out, même quand je viens en Europe, je ne peux pas me permettre d'en acheter, à cause du poids, je prends plutôt des livres Parmi les BD en français qui sont produites en Algérie, celles de Slim, (une série qui raconte les aventures de Bouzid, amoureux de Zina), sont mes préférées http://bouzid.go.to/
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Je suis contente à chaque fois que ce fil remonte, et j'en profite pour envoyer un texte de Bruce Bégout qui me touche beaucoup, il parle de survie et de sous-vie. "La misère de notre époque ne concerne plus les difficicultés inhérentes à notre entretien quotidien de la vie. La faim, le froid, la maladie ne nous concernent plus qu’épisodiquement. Nous avons vaincu ces fléaux ou sommes en passe de le faire. C’est cette victoire imminente qui nous rend encore plus insupportable la condition de ceux qui en sont encore exclus. Pour la plupart d’entre nous, la misère a pris un nouveau visage : elle découle de tout ce qui excède le besoin (pour qui les nécessités de la vie sont-elles encore nécessaires ?) et s’avère au final bien plus pauvre que lui. Misère affective, sexuelle, culturelle, spirituelle, symbolique. Misère des sens et des images, misère de ne même plus s’apercevoir de sa misère et d’en être satisfait. Nous sommes pauvres de nos mots et de nos sentiments, de nos désirs et de nos idées. Au chaud, notre corps a froid d’un manque de chaleur humaine. Repu, a faim de nourritures spirituelles; éduqué, souffre d’un défaut de sens. L’entretien du processus vital suffit à notre peine laquelle s’est considérablement allégée depuis que nous avons délégué aux machines et aux organismes sociaux le soin de notre âme. C’est ce contraste entre, d’un côté, nos corps choyés, soignés, suralimentés, assurés et vêtus et, de l’autre, nos pauvres esprits illettrés, anesthésiés et gourds qui exprime mieux que tout autre image notre condition misérable. Nous nous pavanons dans nos habits de rois (il y a un extrême contraste de plus en plus fort entre notre bien-être matériel et la misère affective, symbolique et théologique de nos existences) avec des discours de gueux. Par sous-vie, j’essaie de nommer cette condition moderne de notre existence où tout désir est devenu besoin, où tout dépassement de soi dans une oeuvre ou une action est tout de suite rabattu vers la simple perpétuation d’une existence la moins pénible qui soit. Si, pour reprendre les mots de Simmel, la vie est marquée par une double tendance, “plus de vie” et “plus que la vie”, force est de constater que notre sous-vie actuelle délaisse la seconde aspiration au profit de la première. “ Bruce Bégout - Pensées privées
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La voiture de demain, énergies alternatives
zyggy a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Science et technologie
C'est pourtant simple Et tellement pratique! -
Réchauffement climatique
zyggy a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
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Ben je vais me lancer parce que je me rends compte que j'ai besoin d'aide!!! Je n'arrive pas à savoir quoi faire, quelle serait la meilleure attitude à avoir. Cela va peut-être vous sembler incroyable, mais je me suis faite manipuler comme une enfant et j'ai aidé deux personnes machiavéliques, le mot n'est pas trop fort, à prendre le "pouvoir" sur un site dont je ne donnerai pas plus d'informations. Le résultat est que je me sens maintenant très mal, j'ai une douleur dans le ventre parce que j'ai contribué sans le vouloir à perpétuer une situation anormale que certains ont voulu dénoncer… et auxquels je me suis opposée , et comme je le regrette maintenant! Je suis torturée par un sentiment de culpabilité, bien que j'aie été dupée et que je n'aie découvert la vérité que depuis deux mois, environ, et je ne sais plus quoi faire, puisque je ne peux lutter contre elles, étant en position d'infériorité, elles m'élimineront très facilement, de plus je ne peux avouer publiquement mon erreur après les avoir soutenues. J'ai choisi la fuite, momentanément, or c'est ce qu'elles souhaitaient. Je suis donc toujours en train d'y penser, partagée entre un sentiment de culpabilité, de honte d'avoir été aussi idiote et une envie de justice et de revanche. Mes proches me disent de laisser tomber, pour ne plus perdre mon temps et mon énergie, et à la limite ne pas me perdre, à lutter contre le mensonge et la mauvaise foi. Je n'y arrive pas , du moins pas encore. Si vous me donnez votre avis, ça m'aidera. Merci d'avance.
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Images fun et leurs interminables commentaires
zyggy a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
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DEFINITIONS DU MARIAGE Définition religieuse : Acte religieux qui consiste à créer un crucifié de plus et une vierge de moins. Définition juridique : Sentence dont le "condamné à perpétuité" est libéré uniquement pour bonne conduite. Définition de la vie courante : Aucune femme n'a ce qu'elle espérait et aucun homme n'espérait ce qu'il a. Définition mathématique : Somme d'emmerdes, soustraction de libertés, multiplication des responsabilités, division des biens. Définition pondérale : Méthode la plus rapide pour grossir. Définition militaire : C'est la seule guerre où l'on dort avec l'ennemi. Définition philosophique : Sert à résoudre des problèmes que l'on aurait jamais eu en restant célibataire. Puis vient l'heure du bilan … le mariage avant et après : Avant : 2 fois par nuit Après : 2 fois par mois Avant : tu m'éssouffles Après : tu m'étouffes Avant : ne t'arrête pas Après : ne commences pas Avant : saturday night fever Après : wednesday night football Avant : être à tes côtés Après : reste de ton côté Avant : je me demande ce que je faisais sans elle … Après : mais qu'est ce que fais avec elle ? Avant : érotique Après : neurotique Avant : on croirait qu'on est ensemble depuis toujours Après : on est toujours ensemble ! Avant : hier soir on l'a fait sur le canapé ! Après : hier soir, j'ai dormi sur le canapé ! VIVE LE MARIAGE !
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Je le posterai si je le trouve. Je cherche un poème de Shakespeare qui s'intitule "La vie" En attendant, pourquoi ne pas se faire plaisir en lisant Sully Prudhomme? L'habitude L'habitude est une étrangère Qui supplante en nous la raison : C'est une ancienne ménagère Qui s'installe dans la maison. Elle est discrète, humble, fidèle, Familière avec tous les coins ; On ne s'occupe jamais d'elle, Car elle a d'invisibles soins : Elle conduit les pieds de l'homme, Sait le chemin qu'il eût choisi, Connaît son but sans qu'il le nomme, Et lui dit tout bas : "Par ici." Travaillant pour nous en silence, D'un geste sûr, toujours pareil, Elle a l'oeil de la vigilance, Les lèvres douces du sommeil. Mais imprudent qui s'abandonne A son joug une fois porté ! Cette vieille au pas monotone Endort la jeune liberté ; Et tous ceux que sa force obscure A gagnés insensiblement Sont des hommes par la figure, Des choses par le mouvement. - SULLY PRUDHOMME -
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Un peu d'étymologie … Vous savez sans doute que, dans des temps anciens, pour s'assurer que quelqu'un était bien décédé, l'usage voulait qu'une personne en charge de cette vérification morde violemment un des doigts de pied de la personne (en général le gros orteil). Si rien ne se passait, la personne était déclarée morte. C'est donc de là que vient l'appellation de "croque-mort". Cette fonction de croque-mort, qui était en fait une vraie charge (comme les bourreaux) se transmettait de père en fils depuis la nuit des temps. Mais un jour, catastrophe : le dernier croque-mort, bien que père de nombreux enfants, n'avait eu aucun garçon ! Après concertation, discussion et avis favorable du conseil des anciens et de l'Église, sa fille aînée reprit donc sa charge. Mais une des premières victimes qu'elle eut à traiter était un jeune homme décédé d'une maladie grave : blessé aux jambes, la gangrène l'avait gagné et on lui avait coupé les 2 jambes jusqu'aux cuisses avant qu'il ne meure des suites de l'opération. Là, c'est certain que vous me voyez arriver avec mes gros sabots ! Bref, la jeune fille examina la situation et mordit donc avec précaution le premier membre inférieur qu'elle put trouver. Alors ? Alors ! Ce fut à cette époque, et très précisément dans ces circonstances, qu'on passa de l'expression croque-mort à celle de pompe funèbre.
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La blonde et le routier Un camionneur s'arrête à un feu rouge, une blonde le rattrape. Elle sort de son auto en courant vers le camion et frappe sur la porte. Le camionneur descend sa vitre et elle lui dit : - Bonjour, mon nom est Alice et je veux vous dire que vous perdez votre cargaison. Le camionneur l'ignore et continue sa route. Quand le camion s'arrête à un autre feu rouge, elle le rattrape encore une fois. Elle descend en courant de son auto et court au camion. Elle frappe sur la porte. Le camionneur redescend encore une fois sa vitre. Elle lui dit comme si elle ne lui avait jamais parlé : - Bonjour, je suis Alice et je veux vous dire que vous perdez votre cargaison. Secouant la tête, le camionneur l'ignore encore une fois et continue son chemin. Le feu passe au vert, le camionneur embraye et poursuit sa route. Voyant que la blonde compte encore insister, c'est lui qui prend cette fois les devants. Il se dépêche, sort de son camion et court à l'auto de la blonde. Il frappe sur la portière, elle descend la vitre et il lui dit exaspéré : - Bonjour, je suis André, c'est l'hiver et je conduis un camion de salage !!
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Un autre poème que j'aime tellement! En dépit de ça Est-il un homme pauvre, un homme honnête, Qui, honteux, se cache, et tout ça? Ce peureux, cet esclave, on ne le connaît pas, Nous, on ose être pauvre, et tout ça! Et tout ça, et tout ça; Le rang n'est que le moule à pièce, Mais l'or, c'est l'homme, malgré ça. Peu importe qu'on mange maigre, Qu'on porte du lin gris, et tout ça; Donnez donc leur vin aux bandits, et aux idiots leur soie, Un homme est un homme, malgré ça, Malgré ça, malgré ça, Malgré leur faire croire, et tout ça; L'honnête homme, aussi pauvre qu'il soit, Est le Roi des hommes, malgré ça. Voyez ce jeune coq, qu'on appelle un Lord, Insolent, m'as-tu-vu, et tout ça. Deux cents faquins sont pendus à ses paroles, Ce n'est qu'un bouffon malgré ça, Malgré ça, malgré ça, Ses rubans, ses étoiles et tout ça, L'homme à l'esprit indépendant S'en moque et se rit de tout ça. Un prince peut faire un seigneur à écharpe, Un marquis, un duc, et tout ça; Mais faire un honnête homme est au-dessus de ça, Il faut la bonne foi, pour ça, Pour ça, pour ça; Leurs titres, leurs récompenses, et tout ça, Le bon sens, l'orgueil de son état, Sont d'un meilleur rang que tout ça. Alors prions pour qu'enfin arrive, Comme il arrivera, malgré tout ça, Le moment où bon sens et valeur, sur terre, Emporterons tout et tout ça, Car malgré tout ça et tout ça, Le moment arrive, malgré tout ça, Où l'homme pour l'homme, sur toute la terre, Sera un frère, en dépit de tout ça. Robert Burns (1759-1796)
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Soha: café bleu Gogol Bordello: wonderlust king Joseph D'Anvers: entre mes mains Joshua animals will save the world Muzard: vie de loup Mando Diao : dance with somebody Ce sont quelques chansons récentes que j'aime bien, mais la liste n'est pas terminée
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Coucou, les nouveaux : présentez-vous !
zyggy a répondu à un sujet de Copeau dans Forum des nouveaux
Avec l'arabisation, ce sont des BD en arabe qui ont remplacé les Lucky Luke et autres Boule et Bill. Là, j'ai oublié le nom du barde, mais pas celui de la beauté du village, Bonnemine, sûrement pas anorexique, elle. -
La servante au grand coeur est magnifique , je ne connaisssais pas Voici un poème de Sully Prudhomme qui fait partie de mon anthologie personnelle: Le vase brisé Le vase où meurt cette verveine D'un coup d'éventail fut fêlé ; Le coup dut l'effleurer à peine, Aucun bruit ne l'a révélé. Mais la légère meurtrissure, Mordant le cristal chaque jour, D'une marche invisible et sûre En a fait lentement le tour. Son eau fraîche a fui goutte à goutte, Le suc des fleurs s'est épuisé ; Personne encore ne s'en doute, N'y touchez pas, il est brisé. Souvent aussi la main qu'on aime Effleurant le coeur, le meurtrit ; Puis le coeur se fend de lui-même, La fleur de son amour périt ; Toujours intact aux yeux du monde, Il sent croître et pleurer tout bas Sa blessure fine et profonde : Il est brisé, n'y touchez pas. Sully Prudhomme
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Coucou, les nouveaux : présentez-vous !
zyggy a répondu à un sujet de Copeau dans Forum des nouveaux
Merci les amis pour vos messages sympathiques Faut pas trop m'encourager, pour les poèmes, sinon, comme le barde du village gaulois d'Astéix ( Abracourcix?) je ne saurai plus m'arrêter! Bon d'accord! mais au féminin, ça donnerait quoi?