-
Compteur de contenus
71 304 -
Inscription
-
Jours gagnés
90
Tout ce qui a été posté par h16
-
On ne stocke pas les déchets faiblement radioactifs de la même façon que les plus radioactifs, ce me semble… +1 Et c'est normal que ça fasse hurler certains zécolos : la plupart du temps, ce qu'ils veulent vraiment, c'est avant tout le pouvoir (celui de décider à la place des autres ce qu'on doit faire de nos vies), pas résoudre des problèmes environnementaux…
-
Il me semble que le DDT agit sur le système nerveux des insectes et pas franchement (du tout) sur celui des animaux (mammifères notamment)…
-
Wikipedia, Agence D'auto Promotion Politique
h16 a répondu à un sujet de labbekak dans Politique, droit et questions de société
CoOomment, il n'y est pas déjà ? -
Wikipedia, Agence D'auto Promotion Politique
h16 a répondu à un sujet de labbekak dans Politique, droit et questions de société
Partant, on peut faire de wikipédia une sorte de blog, non ? -
Paris sur la présidentielle 2007
h16 a répondu à un sujet de Coldstar dans Politique, droit et questions de société
(erreur) -
Paris sur la présidentielle 2007
h16 a répondu à un sujet de Coldstar dans Politique, droit et questions de société
Franchement, j'hésite. -
… "Pollution" qui sauve des êtres humains, semble-t-il.
-
Mais il ne faut pas perdre de vue que ces sujets légers ne seront des problèmes qu'une fois un libéralisme assez poussé déjà atteint partout ailleurs. A ce moment, il sera bien temps de s'étriper sur la nature humaine ou non du foetus ou du poison à injecter pour le condamné à mort … Sérieusement, je rêve d'un pays où les questions comme l'avortement, la peine de mort et Beurre Salé / Beurre Doux sont les seules questions politiques qui restent à trancher …
-
C'est un sujet déjà débattu ailleurs, mais il est clair qu'en donnant (enfin et de retour) la parole aux acteurs réels de la société, en permettant vraiment à tous de s'exprimer pour pas cher, on redonne au libéralisme une chance de s'affirmer et de montrer en quoi les autres tendances (notamment le collectivisme) sont des faridondaines mortifères. Il est d'ailleurs étonnant que l'internet, réussite éclatante du capitalisme et de la société de consommation, en donnant aussi facilement la parole à tous, ne jette pas la honte sur tous les petits cocos boutonneux qui ont pourtant réussi à noyauter les média traditionnels français. La nature intrinsèquement décentralisée de l'objet doit probablement les enquiquiner pas mal, notamment si l'on en juge par toutes les tentatives stupides des gouvernements successifs pour museler (ou "canaliser") ce medium… (mais nous dérivons du fil initial, déjà fort tortillé)
-
Tout à commencé pour moi en … 1987, à la suite d'un contrat de développement (d'un jeu vidéo, pour tout dire). Une fois sauvagement ponctionné par l'état, je me suis dis que finalement, compte tenu que ce dernier n'avait absolument rien fait et moi tout pour obtenir l'argent, il avait certainement plus besoin de moi que moi de lui. Petit à petit, découvrant que j'étais anarchiste et que, pourtant, je ne pouvais pas piffrer les communistes, je me suis rangé du côté des ronchons non-votants en attendant de savoir exactement où je me situais. A la suite de dérives internet, je débarquais ici… Libéral à tendance corrosive, j'assume donc depuis quelques années. (Mais au restau, j'en parle tout bas, pour ne pas choquer les autres tablées .)
-
Il me semble que de toute façon, la charité est un choix individuel. A ce titre, tout comme le port de vêtements en cuir moulants, la sélection exclusive de nourriture bio en provenance du Népal ou s'adonner à l'épépinage de groseilles, elle ne peut pas être réellement discutée ; même sur le strict plan moral, il y a des gens qui veulent se faire assister (et assument, ne se sentent pas humiliés), et d'autre qui aiment assister ; il y a donc un marché ou ceux qui veulent se faire assister rencontrent ceux qui assistent. Je ne vois pas trop où est le débat, finalement…
-
Quelqu'un peut-il m'expliquer comment on en est venu à parler de ces bidules alors que nous parlions du coming-out de certains intervenants du forum ? La route n'est pas droite, et la pente est raide …
-
Il y en a un. Mais il faut un peu mieux connaître Jabial et un peu plus lire ce forum.
-
Tant mieux si cela se passe comme ça et si ça reste au niveau individuel… Ha, zut, tu n'aura pas trouvé à utiliser , , et . Dommage, belle série.
-
Ou dans Groundhog day. Répétition infinie d'un motif déjà vécu.
-
aparté : je suis évidemment d'accord pour dire que l'impôt ne risque pas de résoudre vraiment ces problèmes (ni RC, ni malaria) - mais ça n'empêche pas les gouvernements de le mettre en place ; par exemple, ping, la taxe sur les billets d'avions. La lutte "au sens large" est une affaire individuelle. Chacun choisit de lutter ou pas contre le RC ou la malaria ou les deux. En pratique, si je choisis de dépenser 1 EUR dans la lutte contre une maladie ou pour aider au développement de points d'eau en Afrique sub-saharienne, dans la majorité des cas, c'est 1 EUR que je ne dépenserai pas pour une association de lutte contre le lancer de nains, lutte contre l'abrutissement par le foot, ou de lutte contre le cancer ou de lutte contre le RC. De même que l'impôt n'est pas extensible à l'infini, les ressources individuelles non plus. A force de faire du battage sur un problème potentiel-futur-à-venir-peut-être-éventuellement-si, on détourne une masse d'argent des luttes contre des problèmes avérés.
-
Eh oui, on ne sait plus à quel saint se vouer.
-
Etant donné pour le moment que les ressources à débloquer pour lutter contre le RC sont issues (en grande partie) de l'impôt, et que les ressources à débloquer pour lutter contre la malaria (etc) sont aussi issues (en grande partie) de l'impôt, les deux ressources à débloquer sont effectivement en concurrence. Ce qu'on dépense pour le RC ne l'est pas pour la malaria. C'est tellement vrai que le RC pompe tout ce qu'il peut de support médiatique au détriment direct, vérifiable et visible de la lutte contre les grandes pandémies humaines traditionnelles (malaria, diphtérie, dysentrie) … Et encore une fois, les ressources financières n'étant pas infinies, il est impossible d'affecter toujours plus au RC sans diminuer les dépenses ailleurs (sauf en France où la dette constitue une réponse évidente )
-
Flûte, tu coupes à Fredo la possibilité de dire : "il s'agissait de ma copine de l'époque, une blonde renversante" … Aaaaaaah, nostalgie.
-
Je n'ai absolument pas dit ça. J'ai dit que les sommes en jeu (leur ordre de magnitude) sont parfaitement connues. Pour abolir la famine, on résoud le problème de production et/ou d'acheminement/distribution. Ces problèmes sont connus, les solutions aussi. Rien d'hypothétique là dedans. Acheminer de l'eau potable, déployer des puits, enrichir des sols, tout ceci n'est en rien hypothétique. Mais je renonce à argumenter plus avant : ceci m'apparaît comme des évidences, apparemment pas à toi. J'attends si tu le peux que tu me montres en quoi l'éradication de la famine ou de la malaria, par exemple, sont aussi (ou plus) hypothétique que les effets attendus de la lutte contre le RC.
-
STOP. Et ici, tu te retiens très fort. Tu penses à ton banquier.
-
Ah oui, les marques dans le caleçon. Très fin. Plombier. Nan, je déconne…
-
Et ils avaient un couteau suisse. Tu as pensé au couteau suisse ? Hein ? Important, ça, le couteau suisse.
-
Mais tu va voir un banquier. Ce qui est en soi une énhaurme erreur. En plus, les banquiers français sont généralement assez inopérants quand il s'agit de vraies bonnes idées.
-
A la limite, c'est "vous qui juxtaposez". Et j'aimerai aussi qu'on se fixe une règle simple : tutoiement ou vouvoiement, mais pas les deux, sinon, je m'y perds, moi (je n'ai qu'un tout petit cerveau). Je réitère : vous mettez (tu mets) sur le même plan une lutte contre des conséquence hypothétique d'un phénomène non décidable / non calculable, et la lutte contre des conséquences connues et fixes d'un phénomène connu, maîtrisable et calculable. Je note au passage qu'on connaît assez bien les sommes en jeu pour éradiquer la famine ou la malaria ou les problèmes d'approvisionnement en eau. En revanche, on n'a aucune idée des sommes globales à investir pour diminuer disons d'1°C la surface du globe. Et on n'a aucune idée non plus de la méthode efficace à 100%. Pardon ? Lutter contre la famine repose sur des hypothèses ? Si c'est une plaisanterie, elle est un peu légère… Pour rappel, quelqu'un qui a faim ne meurt pas si on lui donne de la nourriture (fait). Pour lui donner de la nourriture, soit il faut la produire sur place (fait), soit la produire où c'est possible et l'acheminer (fait). Tout ceci nage dans la banalité, mais on est tout de même plus précis que : si on diminue (un peu, beaucoup ?) la production des gaz à effets de serre (la vapeur d'eau ? le CO2 ? le souffre ? le méthane ?, un peu tout ça ?) en réduisant les consommations des véhicules (?), les pêts de vache (?), la consommation électrique (?) en passant au solaire (?) - etc ad nauseam - , peut être que la température n'augmentera pas, ou peut-être qu'elle diminuera ou peut-être rien du tout…